This is my idea of fun (prise 2) [LOULOU]

Bon alors, vous venez d’assister à un tour de la grande magicienne Chibi qui vous a montré son plus grand talent : la désertion. Voyez comment elle sait laisser couler un topic durant des mois et le reprendre après grâce à l’amour éternel que lui voue sa si merveilleuse et charmante Loulou. Ouais bon, après on a qu’à dire que je tiens mal le stress et les études et que ça détruit mon temps et mon inspiration. Fin de semaine de quatre jours et première de libre depuis deux mois, et je ne sais déjà par quoi faire. Alors on se dit, retournons au Rp et emmerdons bien comme il faut notre très chère Katlyn en lui rappelant qu’elle a baisé avec son ennemi d’enfance, l’a reconnu et qu’elle est en ce moment au restaurant avec lui contre son gré. Leurs deux mères roucoulant devant leur supposée chimie et surtout, devant le baiser que monsieur vient de coller sur les lèvres de notre charmante demoiselle. Que fera-t-elle? Trouverons-nous un article sur Ryan dans la rubrique nécrologique du journal du lendemain? À quand la prochaine scène de cul? La soupe aux tomates du restaurant où ils soupaient était-elle réellement délicieuse? Tant de questions qui seront élucidée durant ce chapitre certainement pas final de notre histoire. Que le rideau se lève, et que nous retournions à notre chère Kate.

Elle venait de s’enfuir vers les toilettes, la pauvre, rouge de honte et de rage suite au baiser volé par notre sex-symbol de service, à savoir ce pervers crétin et arrogant de Ryan. Mais comme la narratrice semble avoir un faible pour lui, rappelons que c’était Kate qui avait commencé à le draguer, et pas le contraire. Parce que les présentations étaient allées comme suit : « Bonjour, je m’appelle Katlyn, voici mes seins ». Et le simple fait que ça avait marché prouvait que ce Ryan n’était qu’un bon à rien n’est ce pas? Enfin je veux dire, si elle avait su que c’était lui, Kate n’aurait pas attendu une nuit –longue et sauvage- pour lui balancer des trucs à la tête. Bref. Maintenant, après s’être faite ridiculisée totalement pas lui, l’idée de prendre les voiles par la fenêtre de la toilette des dames semblait très alléchante. Mais bon, humiliée ou pas, elle restait une Lady. Alors après s’être passé un pu d’eau au visage, elle revint à la table, la tête base et le regard courroucé. Sa mère éclata d’un gloussement sonore.
Kate ouvrit les yeux grands. Quoi? Non. Non et non. C’était T-O-T-A-L-E-M-E-N-T impossible. Ça ne pouvait pas aller plus mal. Articulant à grand peine, elle ne lança même pas un regard à Ryan avant de lancer :

« Quoi? Ha-habiter avec lui? »

Sa mère lui offrit un sourire ravi.

Elle devait réfléchir, et à la vitesse de l’éclair. D’abord, parce qu’elle avait l’air d’une cruche comme elle était, la bouche entrouverte de stupeur, le regard vague et implorant. Ensuite parce qu’elle ne connaissait que trop bien le chez-soi de Ryan. Son lit aussi, d’ailleurs. L’idée de retourner aux toilettes pour véritablement fuir par la fenêtre lui sembla un instant tout à fait justifié : ensuite, elle n’aurait qu’à se barrer avec la voiture et rouler, rouler sur les routes désertes jusqu’au Mexique pour se refaire une vie avec une nouvelle identité. Elle s’appellera Katerina, tiens. Et elle vendrait des légumes sur le bord de la rue. C’était pas si pire, comme vie, non? Tout était mieux qu’habiter avec cette imbécile de toute façon. Si elle avait su… elle aurait refusé de venir à ce diner, c’était certain. Mais bon, elle y était rendue et était confronté à la triste vérité. Elle prit alors un air mal à l’aise –ce qui ne fut pas très compliqué vu la situation dans laquelle elle s’était fichue- et articula tant bien que mal :

« Tu sais maman, je ne crois pas que ce soit très raisonnable que j’habite avec un garçon. Surtout que je ne le connais pas vraiment et… »

Et la veille, c’était quoi? D’autant plus qu’elle, elle se serait volontairement jetée dessus… histoire de l’étrangler bien comme il faut. Le tout aurait certainement été moins pénible si elle n’avait pas passé la nuit dans ses draps –noter ici que j’ai longuement hésité entre l’utilisation de « bras » ou « draps », la dernière affirmation semblant plus appropriée, finalement-.

Hélas mon cher Ryan, ne sais-tu pas que Dieu ne se montre pas très clément envers les pêcheurs? Tu devrais. Et Kate et Ryan, ces petits débauchés, crois-tu qu'il mérite l'attention de Dieu? Hélas, non. Kate écouta, enragée, le petit discours que fit la dame et décocha un regard en coin désespéré à Ryan. On aurait pu y voir là quelque chose de surprenant -aucune animosité dans son regard- mais c'était plutôt un cas de nécessitée. Ils devaient se serrer le coudes, tous les deux, afin de pouvoir se détester bien comme il faut. Loin, très loin l'un de l'autre. Surtout en passant au fait qu'ils s'étaient sauvagement sautés dessus la veille. Holala. Pourquoi elle y repensait tout le temps aussi? D'abord, il faut que la narratrice mette l’emphase sur ce pilier du Rp et, qui plus est, Kate était à côté du tombeur, alors forcément ça rappelle des souvenirs. Elle fit à sa mère une moue dégoutée avant se se concentrer sur son assiette, les pates qu'elle contenait -car nous nous rappellons de son contenus- semblant d'un coup beaucoup plus intéressantes que les bavardages incéssants de sa mère.


Puis elle se ravisa. Elle allait dire quoi? Sa saleté de maison? Sa tronche trop craquante et ses si beaux yeux bleus? Elle se surpris à le toiser de haut en bas et à, pendant un tout petit mais alors tout petit moment, se demander pourquoi elle se plaignait de s'être tapé ce truc là. Puis. Non. Pfeuuh. Comme s'il était beau de tout façon. Il était pas canon, huh?

« Maman, j'aimerai mieux rentrer chez moi et puis bon, je crois qu'il vaut plutôt mieux le laisser seul, t'imagines, si la maison est pas propre et... »

Mais la mama lui lança un regard lui faisant signe de se taire et Kate ne pu que décocher un second regard suppliant à Ryan.

C’était décidément la pire journée de sa vie. Non seulement avait-elle du se réveiller d’une nuit merveilleuse pour comprendre qu’elle avait baisé avec son pire ennemi, mais Kate avait également dû se faire trainer au restaurant pas sa mère pour se retrouver devant cet insignifiant et arrogant crétin qu’était Ryan. Pauvre con. Ensuite, pour courroner le tout, on lui apprenait qu’elle allait perdre quelques semaines de sa vie à habiter avec lui. Déjà, j’vous entends vous dire « ouais mais Ryan il est trop canon, c’est pas vraiment dur ». Pour Kate, ce l’était. Personnellement, en tant que narratrice de l’histoire, j’aurais bien pris sa place histoire d’avoir une chance de surprendre Ryan en serviette, le corps tout humide parce qu’il sort de la douche, mais Kate, ça ne lui passa même pas par l’esprit.

Et elle voyait le petit air arrogant qu’il abordait, et si elle avait su qu’il s’imaginait faire tout le travail, elle l’aurait surement frappé. Naméh, c’était elle qui avait trouvé l’idée de la copine non? Bon ça n’avait pas marché, mais quand même. Comme pour donner raison à Don Juan, les deux mères finirent par s’entendre sur le fait qu’il était mieux que Kate aie dormir chez elle, mais ce ne fut pas après des remarques sur le fait que Ryan était un vrai gentleman et qu’il ne voulait pas que notre pauvre petite Kate toute innocente se sente seule. Enfin, le repas se termina dans un silence gêné et les deux femmes se dirigeaient vers les toilettes histoire de pouvoir espionner « discrètement » -lire ici, on les voyait de très loin- nos deux « tourtereaux ». Kate ne demanda pas plus pour baisser sa garde et enfoui sa tête dans ses deux mains en un soupir découragée :

« J’vais les tuer toutes les deux. Elles veulent clairement notre peau »

Allons, allons, petit Ryan, personne n’a dit que Kate serait émerveillée devant ton si beau corps d’Apollon. Toutefois, il faut avouer qu’elle serait probablement troublée. Et lui, de toute façon, comment il réagirait s’il tombait sur Kate à moitié nue chez lui? Elle était jolie, ennemie ou pas. Et puis bon, passons sous silence que tous deux avaient une connaissance assez détaillée du corps de l’autre, à cause d’une nuit qu’était pas prête d’oublier notre serveuse. Pauvre petite. Le sexe avant l’amour parce que –désolé de vous spoiler l’histoire- Kate et Ryan finiront certainement par tomber amoureux. Non, pour vrai? J’vous jure. De toute façon il n’est pas rare que l’amour soit proche de la haine, n’est ce pas?

Bon, je vous ennuie avec mes réflexions et mes questions idiotes, d’autant plus qu’il suffit de dire que les narratrices promettent de nombreuses scènes malaisantes de nudité partielle. Film 16 ans et plus mes amis –et je ne dis pas ça parce que j’ai seulement 16 ans-. Bah oui quoi, si j’avais dit 18 –nécessaire vu la nuit qui venait d’être passée- je m’excluait de l’auditoire et ainsi, fini le Rp, n’en a plus. Bref. Kate termina son assiette de pates sans appétit, passant sous silence les regards compatissants de sa moman qui semblant dire « t’inquiète pour sa copine, c’est toujours toi qu’il a préféré ». Les femmes partirent et un semblant de complicité semblait régner entre Ryan et Kate. Comme quoi ils devaient s’unir pour mieux se détester.

« Parce que tu crois qu’elles me laisseront aller ailleurs? T’es pas si con, non ne réponds pas, quand même?! Elles sont persuadées que je n’ai d’yeux que pour toi et vice versa. Même quand tu leurs a fait croire que t’avais une copine, elles étaient sures que t’allais, genre, la laisser pour me faire l’amour sur la table »

Elle regretta presque ces paroles en se disant que s’ils étaient resté un peu plus longtemps dans le bar, la veille, si elle avait pas eu sa soirée, ils auraient bien pu baiser sur le comptoir. Troublée, elle rougit fortement.

Awoué, les gens autour, ils avaient pas l’air très heureux. Kate venait de le remarqué : des adultes aux regards sévères les toisaient d’un air mécontent alors que des gamines lui faisaient la moue en rougissant à Ryan. Holala, elles étaient ridicules. M’enfin, pas autant que leur mères à tous deux qui s’étaient cachées près d’un mur pour les observer à leur gré. Elle prit le silence pour une marque de soumission et lui offrit un petit sourire satisfait et complètement chiant. Elle leva un sourcil en le voyant payer pour tout le monde, mais décida qu’il ne l’avait pas fait par galanterie mais pour faire « salut, j’ai de l’argent, je peux même payer le repas aux gens que je déteste ». Et puis peut-être pour la serveuse aussi, qui semblait complètement subjuguée par le charme inconditionnel du beau Ryan. Kate, elle se contenta de rouler les yeux. Ah, il lui offrait le voyagement, en plus? Pfeuuh. Elle avait pas oublié comment ça s’était passé la dernière fois qu’elle était embarquée dans sa bagnole. Elle se leva et, d’un air suffisant, lui lança :

« Ah ouais, pour que tu décides encore de me sauter dessus? Non merci. Et puis t’imagine comment ça ferait plaisir à ma mère de me voir partir avec toi. Pfeuh! Certainement pas »

Elle le remercia pour le souper de façon un peu raide, mais avec bonne volonté –quand même, elle avait pas eu à payer- et soupira une dernière fois :

« On se voit demain, je suppose »

Elle retint bien que mal un « crétin » et alla chercher sa mère, histoire de la raccompagner chez elle.

Kate ne broncha pas à l’accolade de Ryan, bien qu’intérieurement elle se demandait ce qu’il avait à la toucher, elle avait mis bien clair qu’elle ne voulait pas de contact non? Et bien faut croire qu’il avait pas compris. Elle aurait qu’à instaurer la bien connue règle du « un bras de distance » lorsqu’ils vivraient ensemble, tiens!

Je crois qu’on peut vous éviter un résumé de la journée d’après huh? Et bien Kate se leva, alla à l’école et, lorsqu’elle revint, son appart était totalement vide sauf pour les bagages que maman avait prit soin de faire pour elle. Katlyn aurait eu beau dire qu’elle avait le temps de s’en occuper itou itou, sa mère avait décidé de fouiller ses affaires itou. Heureusement pour elle, Kate s’était occupée la veille, en revenant du restaurant, de remplir une boîte –ou un sac-avec tous les objets que maman n’aurait pas voulu voir. Genre capotes, lingeries etc. Quand même, fallait pas lui faire faire une crise de cœur à sa vieille.

C’est ainsi que, le jour suivant, notre Katlyn nationale se retrouvait sur le pas de la porte de chez Ryan, valises –comptez deux valises et un gros sac- à la main, un petit air résigné au visage. On lui avait confirmé que les rénovations prendraient au moins un mois. Un mois de torture, à vivre avec ce crétin. Mentionnons pour la forme qu’elle était seule devant la porte, et qu’aucune maman n’était camouflée derrière un sapin. Elle sonna. Un… deux… trois. Pas de réponse. À tous les coups, il l’avait oubliée et il était parti faire la fête avec des amis. Elle ragea intérieurement et sonna une seconde fois, sans réponse, puis une troisième.

Elle s’y serait pas attendue. À quoi? D’abord un minimum de civilité de la part de Ryan qui lui libérait des tiroirs et des tablettes, juste pour elle. Elle se l’imaginait en rustre mal élevé, le monsieur. Bon d’accord, ils se détestaient, mais Ryan n’était certainement pas un homme mauvais pour autant non? Il n’appréciait seulement pas notre héroïne et tout ça, c’était prévu dès le départ, histoire de les mettre dans une situation très intéressante et marrante pour les narratrices sadiques que nous sommes. Mais bon voilà, il fallait pas qu’ils aient la vie trop dure alors histoire d’éviter de la merde, notre gentil crétin avait eu la bonne idée de faire de la place pour les choses de madame. Parfait. Restait à voir s’il lui laissait la chambre. Quoi que, avait-elle réellement envie de dormir dans un lit où elle avait baisé avec son pire ennemi deux jours plus tôt? Peut-être que c’était ça le plan. Il voulait s’en débarrasser! Et si, horreur, il n’avait pas changé les draps? O.O à cette réflexion, elle se jura de nettoyer le lit si elle décidait qu’elle voulait la chambre. Après elle pourrait mettre ça sous le compte de « ouais pas si ta stupidité est contagieuse, je veux pas l’attraper ». Elle pouvait quand même pas dire à Ryan qu’elle le soupçonnait d’être un pervers malpropre qui changeait pas les draps après une dirty night –veuillez lire ces mots avec un accent français parce que c’est comme ça que je les ai pensé-.

Ensuite, elle s’attendait pas à tomber sur monsieur joli mec en costume d’Adam. C’est vrai quoi, même moi, ça m’était sortie de la tête. Je m’attendais à ce que Ryan surgisse par derrière où que Kate le trouve au lit avec une autre demoiselle, mais une scène de serviette? Ohlala ma Loulou, ce que tu me fais une surprise –pour vrai hein, ça m’était total sorti de la tête-. ‘fin. Elle regarda son corps de haut en bas parce que bon, un si joli body, ça attire les yeux, avant de lever le regard au ciel et de pencher légèrement la tête sur le côté, un air découragé au visage. D’abord, elle avait envisagé le frapper avec son sac, mais elle s’était ravisée. Il fallait être civilisée, voilà tout. Ouais, civilisée. Il fallait juste espérer que répondre à moitié nu n’était pas une habitude de monsieur.


Elle agrippa ses valises une à une et les rentra dans la maison. Awoué, il avait tout un V le monsieur. Elle l’avait pas vu la dernière… ouais, c’est ça. Elle lui lança un vague « non, non t’inquiète j’ai surtout pas besoin d’aide pour entrer tous ces trucs » qui se voulait sarcastique puis se dit que finalement, c’était peut-être mieux qu’il l’aide pas, parce que la serviette aurait pu décider de se sauver. Ouais. Il avait des beaux abdos aussi, Ryan. Et un très joli torse. Mais c’est Chibi qui dit ça hein, Kate n’aurait jaaaaaaamaaaaais pensé une telle chose. Banon.

Bien sur qu’elle déménageait! Dois-je vous rappeler qu’elle resterait chez lui pour un mois et qu’elle étudiait, alors il lui fallait tous ses bouquins et déjà, ça remplissait une partie de la valise. Ensuite, c’était maman qui avait rempli les deux valises et le sac avait été fait par Kate –pour y mettre les trucs pas nets- et tout le monde sait que moman mets toujours plus qu’il n’en faut. M’enfin. Il avait quand même l’air plus con qu’autre chose, les bagages en main, à moitié nu se baladant jusqu’à la chambre. Oh, ce serait donc la chambre. Elle sourit à elle-même et se remémora sa promesse. Alors voilà, elle devrait changer les draps mais au moins elle aurait un lit douillet itou itou.

« j’t’engueulerais bien si tu agis mal, crétin »

fit-elle à mi-voix

Il ne devait pas l’avoir entendu, enfin on espérait. Et d’un coup, sans prévenir, lorsqu’il déposa les valises, la serviette décida de glisser et de montrer le joli cul de monsieur l’imbécile. S’en était trop pour l’hystérique intérieure de Kate et elle ne pu s’empeche de se précipiter vers lui pour marteler son dos de coups de poings de mauviette : pas méchant ni douloureux, juste direct.

« Mais va t’habiller espèce d’exhibitionniste! Pose ça et va enfiler des vêtements au lieu de te pavaner à moitié à poil! »

Elle allait le tuer. Elle allait définitivement le défigurer. Elle l’avait pas frappé pour lui faire mal ou pour être méchante, même que s’ils avaient été amis, la situation aurait pu être comique. Mais ce sale imbécile avait tout pris au premier degré et il avait décidé de se venger d’un affront imaginaire. Il lui avait plaqué son ignoble serviette souillée au visage. Serviette qui était entré en contact avec l’engin de monsieur par son rôle de pagne. Alors elle, elle se ramassait avec l’engin de monsieur sur la gueule. Si nous voulions être méchantes, nous mentionnerions que ce n’était pas la première fois que l’organe de Ryan entrait en contact avec la bouche de Katlyn. Mais nous sommes gentilles, alors nous ne le ferions pas. Ohlala mauvais humour quand tu nous tiens. T’as qu’à pas balader ta langue sur n’importe quoi, petite catin.

Elle aurait bien voulu le massacrer, mais le temps qu’elle eut retiré la serviette de son visage, des mèches de cheveux châtains tombant devant ses yeux, monsieur avait déjà filé vers la salle de bain où il s’était enfermé. Elle couru à la porte et y frappa maintes fois en gueulant à plein poumons.

« SORS DE LÀ ESPÈCE DE PORC DÉGOUTANT! J’vais te découper en rondelles sale crétin! Je t’avertis, je t’attends et je te réduis en charpie dès que tu sors! »