Petit RP bien sadique... Niark Niark !! (Libre)

Il fronça les sourcils en la voyant s'énerver comme ça. Et puis d'abord, c'était quoi ces refus persistants !? Elle n'avait plus aucune raison de le torturer comme ça, il faisait des efforts pour se montrer moins désagréable, et elle, c'était comme ça qu'elle lui en était reconnaissante !? Il se releva brutalement et enleva sa chemise. Puis son pantalon. On aurait pu croire qu'il s'apprêtait à la violer, comme ça, mais... Il déclara brutalement, l'air furieux:

- Fais chier... J'vais prendre une douche. Huh.

Et il s'enferma dans la salle de bain. Quelle belle soirée en perspective, ahhhh lala.
Et puis, peu de temps après qu'il eut ouvert la douche et ne soit entré dedans, son téléphone portable se remit à sonner, pour la troisième fois déjà aujourd'hui. Il était dans la poche arrière de son pantalon, qu'il avait jeté sur le lit.
Au bout de cinq sonneries, le répondeur embarqua. La personne ne laissa aucun message.

~~~~

- Ça ne répond pas....
- Réessayez. Et laissez donc un message cette fois.

Des doigts tremblants composèrent une quatrième fois le même numéro. Au bout de toutes les sonneries, la voix peu assurée d'une femme de ménage du manoir résonna dans la chambre d'hôtel:

- Monsieur Miller ! P-Pourquoi ne répondez vous pas ? D'habitude, vous répondez toujours au téléphone... euh...
-Venez-en droit au fait ! murmura précipitemment une voix méconnue, à peine audible.
- Euh, oui. Je dois absolument vous parler, c'est très trèèèès important. Rappelez-moi. Ou... Je vous rappelerai. Ou... C'est ça. Eum... Aurevoir.

~~~~

La douche de Jared commençait à s'éterniser. Il n'avait pas l'intention de sortir de sitôt. Il se contentait de laisser l'eau chaude couler délicieusement sur ses épaules, sur son corps nu. Ça faisait du bien, c'était agréable.
Et, ooooh combien agaçant, le téléphone sonna encore...

Écoutez, ça sert à rien, il est sous la douche, il vous rappellera. Alors arrêtez d'appeler, bordel !

T'as un message.

Il fut déstabilisé en voyant le portable foncer vers lui à toute vitesse. Et là, plus rien ne compta pour lui que rattraper ce foutu machin à cinq cent dollars. Parce que, ouais, ça l'air de rien comme ça mais c'est pratique quand t'as besoin de contacter de gens et que, mine de rien, t'es à l'autre bout du monde !
Et il fit presque un plongeon spectaculaire - ok, il tendit les deux mains devant lui - pour réussir à rattraper le téléphone de justesse. Et avec un air embêté, il allait écouter le message lorsque ça sonna encore une fois. Haussant un peu les sourcils, il décrocha et mit le téléphone sur speaker, de façon à ce que même Caitlin pu entendre la voix tremblante de la même jeune fille s'exclamer avec un certain soulagement:

- M'sieur Miller !
- Huh. Qu'est-ce qu'il y a ?

Il y eut un bref instant d'hésitation. On entendait des chuchotements à l'arrière plan, mais il était impossible de comprendre ce qu'il se disait. Finalement, la fille reprit:

- Vous... Vous devez rentrer. Vous ne pouvez pas rester au Japon. Il y... a... une urgence. C'est important. C'est... Il...

Un peu plus et elle fondait en sanglots. Jared se coucha sur le lit et posa le téléphone devant lui, l'air intrigué.

- Katie, dit moi ce qu'il se passe.
- Oh ! Excusez-moi... Je... Votre père. Voilà. J-J'étais ici et il est p-passé au manoiiiir... ! Il avait l'air furieux... Je ne sais pas, je n'en sais pas plus... Revenez, je vous en supplie !! C'est urgent !

Et brusquement, la communication fut coupée. Jared secoua un peu la tête, les sourcils froncés. Son père !? Qu'est-ce qu'il foutait là lui ? Lentement, il leva les yeux vers Caitlin, l'air étonné et surtout perplexe. Il semblait avoir oublié sa frustration envers elle.

- Euuuuuh...

Caitlin ouvrit de grands yeux. Son père ?! A lui ?! A ce machin ?! Le papa Miller en personne ? Ça devait pas être un joyeux, tiens, celui-là. La femme semblait plus effrayée par le père que par le fils. Au point d'être soulagée à son appel ? Maiiiiieuh ! C'était son sien. Elle voulait être la seule à se sentir bien en entendant sa voix... C'pas juste. Fallait vraiment rentrer ? Elle ne savait pas. Elle avait beau tenter de ne pas prendre la chose au sérieux, avec le tableau qu'on lui avait peint de Papa, elle n'était pas sûre de vouloir se frotter à l'homme en question. Elle jeta un œil à Jared, un peu perplexe. Peut-être un peu inquiète.

- Qu'est-ce qu'il te veut, ton père ? Faut rentrer ?

Demanda-t-elle, curieuse. Intriguée par l'évènement. Merde ! Si c'était lui, qui avait appelé, quand elle avait décroché ? Ça le faisait pas. Na... Calme. C'était... euh... Katia, ou j'sais plus qui, qu'il y avait, au téléphone. Faudrait quand même qu'elle pense à connaître le nom de ses collègues... Quoique. Na. Mauvaise idée. Elle en avait baffé une, et avait gueulé sur un autre.

- Non. On... On rentre pas. J'veux pas le voir.

Il secoua un peu la tête en regardant sur le portable l'heure de chaque appel. Quand même, elle l'avait appelé souvent et régulièrement, pour seulement lui annoncer que son père était passé ! Peut-être qu'il avait fait quelque chose... Ou alors, il était avec elle et l'obligeait à passer ces appels ?
Quelque chose clochait. Ça n'allait pas du tout. Son père était furieux... ? Pourquoi ?
Et puis... Si il ne rentrait pas, alors, ça serait pire ? Wooow, il ne savait plus quoi faire. Il avait presque peur, faut dire. De toute façon, il avait pas envie d'être harcelé au téléphone par Katie ou un quelconque autre domestique ! C'est quoi ce délire....

- Merde. C'est tout ce que j'ai à dire. C'est que d'la merde tout ça.

...

Et s'ils téléphonent encore ?

- S'ils téléphonent encore, je...

Il planta son regard dans la sien. On pouvait y lire une profonde inquiétude, mais la main que Caitlin posa sur la sienne sembla le réconforter. Il esquissa un mince sourire et compléta, un peu plus sûr de lui:

- Je demanderai à Katie de me passer mon père. Et alors... On s'expliquera. Je me laisse jusqu'à demain pour songer à ce qu'on devrait faire. Je ne suis pas sûr que rester ici soit le meilleur choix, mais rentrer et affronter mon père ne me plaît pas. Surtout qu'il peut parfois entrer dans un de ces colères à vous faire froid dans le dos...

Il jeta un dernier coup d'oeil au téléphone puis le rangea dans la poche de son pantalon, vite fait, pour ne plus le voir. Et essayer de l'oublier un peu. Du moins, jusqu'à ce qu'ils décident de rappeler. Oui. Il ne voulait plus y penser.
Il attira doucement Caitlin contre lui et enfouit son visage dans ses cheveux.

T'inquiètes pas, comme ça...

Ça va aller.

- Ouaiis... Je l'espère.

Il resta un moment ainsi, collé contre elle, en silence. Il ne faisait que respirer son odeur, passa un peu sa main dans ses cheveux en s'efforçant de faire le vide dans sa tête. Puis, il commença à faire courir tout doucement ses doigts le long du bras de la jeune fille et un sourire éclaira son visage.

- Héé... Tu veux pas me donner ton consentement pour me consoler ??

Et il lui sortit encore le truc des yeux de chien battu. Comme quoi il commençait à aller mieux, là ! En fait, il rigolait un peu, mais si jamais elle disait oui... Oh, ce serait génial. Et puis, pourquoi elle dirait pas oui, hein ? Huh... Elle en avait autant envie que lui, c'était certain ! Elle devrait pas s'entêter comme ça...

Psst ! Profite pas ! Et c'est pas la peine de me faire tes petits yeux, ça marchera pas sur ce coup-là.

Héhé ! C'est qui, qui domine, là ?

- Vas-y fort, j'aime ça.

Il sourit en coin et, malgré les coudes de Caitlin qui pesaient bien sur son torse, il tenta de se redresser un peu pour aller chercher un baiser sur ses lèvres.

- Et puis, je profite pas. J'essaye de te faire comprendre que t'en as envie. Et que moi, bientôt, je vais mourir de désir. M'enfin. Si tu veux me laisser crever, c'est ton choix...

Il prit une mine triste et mit son bras sur son front en fermant les yeux, jouant le mort. Pendant, disons, quelques secondes. Puis, d'un coup, il abandonna cette idée et mit ses mains sur la taille de la jeune fille, essayant de la faire bouger de là pour redevenir celui qui domine. Il aime ça, dominer, lui.

Si tu meurs de désir, je crois que je le prendrais comme un compliment.

Tu triches, t'as plus de force que moi.

Une fois qu'elle fut tombée contre lui, il n'eut aucun mal à rouler sur le côté pour se retrouver sur le dessus. Il se pencha et déposa quelques baisers dans son cou, tout doucement. Il sourit alors à son commentaire.

- Peut-être bien... Mais maintenant, c'est moi qui domine. Je peux te redonner ta place, si tu veux... Mais faudra me donner quelque chose en échange.

C'était diabolique, ça ! Mais en même temps, peu lui importait, d'être dessus ou dessous. En autant qu'elle reste contre lui et... qu'elle change d'idée. Un jour. Peut-être pas tout de suite, mais, le plus tôt possible en tout cas.

Il rapprocha ses lèvres des siennes et l'embrassa un instant, tendrement. Puis ses baisers se firent plus pressants, ses mains chaudes se baladèrent un peu plus.

J'crois que je préfère te laisser la place, pour cette fois.

Après quelques instants de passion brûlante, de chauds baisers et caresses, Jared détacha sa bouche de la sienne. Alors, l'expression de son visage se fit plus sérieuse. En réalité, toute trace de moquerie s'était envolée de son visage. Il la regarda quelques instants, puis souffla en esquissant finalement un petit sourire, son regard remplit d'une tendresse qu'on ne lui voyait pas souvent:

- Je t'aime.

Il se rapprocha ensuite lentement pour continuer de l'embrasser. Ses mains parcouraient son ventre, son dos, passaient parfois sur ses cuisses. Il n'osa pas vraiment aller plus loin. Il alla frôler sa poitrine parfois, légèrement, à quelques reprises. Mais il avait peur qu'une nouvelle chicane ne commence et vienne briser ce moment de douceur et de passion.

Moi aussi.

Cette réponse le fit sourire. Il mit une main sur la nuque de Caitlin et l'autre dans son dos et, dans cette position, il la serra avec douceur contre lui. Longtemps. Sans bouger. Puis, il l'embrassa tout près de l'oreille, et dans le cou et finalement sur son menton. Lentement, il remonta vers ses lèvres et alla l'embrasser, mêlant leurs langues avec un plaisir évident. Et soudain, avec un sourire amusé, il pencha un peu la tête pour découvrir son cou et lança:

- Tu me fais un autre suçon ? Je veux les collectionner !

Ouais. Pour les fois où il s'amusait et disait des conneries, il en profitait ! Habituellement, du moins, avant de rencontrer Caitlin, sa vie était pour le moins sérieuse et calme. Pas qu'il n'était pas capable d'être sérieux, au contraire, mais il aimait ces moments de détentes. Surtout avec la possible rencontre avec son père, qui serait peut-être bien tendue.

Ok. Mais alors j'en veux un aussi, après.

Allez, hop hop hop ! Et plus vite que ça !

- Tout de suite, ma p'tite dame.

En riant, il la prit par la taille et alla tout dabord caresser son cou du bout des doigts, et y posa ensuite ses lèvres - assez bas, question que ça ne soit quand même pas à la vue de tout le monde. Bien vite, la petite tache rouge sombre se forma sur la peau de la jeune fille et il se décolla alors lentement. Mais en n'en resta pas là. Il avait d'autres projets, oh oui !
Doucement, pas trop vite non plus question de ne pas la brusquer, il souleva la chandail de Caitlin. Sa bouche se logea à la naissance de son sein et il y fit alors un deuxième suçon, tout petit, tout mignon.

Qu'est-ce c'est que ce truc ?

Tout tranquillement, il allait l'embrasser mais il se trouve que mademoiselle perdit l'équilibre. Et Jared, pas assez rapide pour tenter de la rattraper, voyait son visage se rapprocher dangereusement du sien. Soit ils allaient se casser le nez, ou alors s'exploser la tête. Ouais.
Mais non, en réalité, elle se rattrapa de justesse. En posant sa main pile poil sur Kiki #2. Bah oui, souvenez-vous que le premier, c'était son chien !
Bref, son engin se retrouva (agréablement) comprimé par une main douche et chaude. Il ne fit pas de remarque, jugeant que c'était seulement pour se rattraper qu'elle avait fait ce geste. Bref, réflexes, c'était la première chose qu'elle avait réussi à attraper quoi ! Mais.. Elle ne s'arrêta pas là. Oh non, c'est qu'une petite vicieuse la mademoiselle...
Elle n'eut pas l'air de comprendre sur quoi elle avait mit la main. Alors elle saisit le membre, déjà bien dur faut bien le préciser, de Jared. À pleine mains, à travers le boxer bien sûr. Et c'était... OH, bon dieu que c'était bon ! Malgré lui, une petite plainte étouffée franchit ses lèvres. Il rejeta la tête en arrière, et ne fit rien pour l'empêcher. Il adorait la sensation que lui procuraient ces mains, qui enserraient son engin, chaude étreinte qui le faisait se dresser au maximum. Finalement, elle sembla se rendre compte de ce qu'elle touchait et recula alors sa main avec une lenteur extrême. Le souffle court, un peu haletant, Jared posa les yeux sur elle. Il semblait dans tout ses états.

- Bordel...

Et c'est précisément à ce moment-là qu'il perdit le contrôler. Il ne pouvait plus se retenir. Il avait bien trop envie d'elle... Et elle avait achevé de l'exciter bien comme il faut. Alors il se jeta presque sur elle et l'embrassa quasi furieusement. Ses mains quittèrent la taille de la jeune fille et lui enlevèrent son débardeur. Il les glissa ensuite dans son dos pour tenter de dégrafer son soutif.

Elle lâcha un espèce de cri de surprise, qui n'eut pas le temps de s'achever que Jared lui sautait dessus, pour la déshabiller, histoire de ne pas changer. Et dans sa tête, ça faisait un peu comme une alarme incendie. Ouais. C'était un peu ça. Y'avait un feu à éteindre, et celui-là, il était fort. Elle avait pas touché le bon truc, là. Elle posa ses mains sur ses bras, qui montaient vers l'agrafe de son soutien-gorge, pour les pousser vers le bas. C'est quand même pas humain, d'être aussi pressé. Bon, ok, elle avait plus moins... mais c'pas une raison, si ? Faute de pouvoir s'énerver, elle essaya au moins de le repousser... j'sé pas... gentiment, on va dire ? Sans trop se laisser aller par ses émotions et ses paniques, elle tenta de jouer les pompiers. Sauf que elle aussi, elle commençait un peu à s'enflammer.

- A... Arrêtes.

Lança-t-elle, avec une espèce d'hésitation, mêlée à... un peu de tout, en fait. Anxiété, angoisse, et envie en même temps. Pourquoi elle avait envie, merde ?! Fichues hormones...

- Fait pas chier... grogna Jared d'une voix un peu étouffée, la respiration trop haletante pour pouvoir parler plus, et correctement.
Il faut garder en tête qu'il est déjà, au départ, plus fort que Caitlin. Puis, aussi, il est du genre entêté. Et finalement... Il avait une excitation de la mort que plus rien ne pourrait arrêter. Bien vite, il détacha le soutient-gorge de la jeune fille et l'envoya plus loin. Il passa doucement ses lèvres sur ses seins, s'arrêtant en particulier à l'endroit où il avait laissé un suçon. Puis, après quelques caresses brûlantes sur sa peau nue, il entreprit de lui enlever son short. Il semblait totalement ailleurs, obnubilé par le corps de Caitlin. IL en avait que trop envie... À un tel point qu'il n'écoutait même plus ce qu'elle disait. Qu'il repoussait toutes ses tentatives pour l'éloigner d'elle. Il savait qu'elle en avait envie, de toute façon. Ça ne lui ferait pas de mal. Peut-être même que, si ça se trouve, elle le regretterait pas du tout.
Et puis, bordel, il avait pas le temps de réfléchir à ça maintenant !

Okay, okay. Ça commençait à lui plaire un peu moins, là. C'était dur de trancher. De se décider. Alors elle continua vaguement d'essayer de le repousser, de lui dire d'arrêter. Et ça marchait pas. C'est pas facile, quoi ! Elle était quand même à moitié dans le truc. A moitié agréable. Mais une moitié, elle, ça lui suffisait pas. Mais... Le contact de ses mains, qui glissent vers ses hanches. Les lèvres chaudes qu'il posait sur sa poitrine. Et quand les hormones s'y mettent... Elle était censée faire comment, pour lutter contre lui, et contre elle, en même temps, hein ? Et pourtant, elle y mettait de la force. Étant donné qu'il visait plus bas, elle chopa son short d'une main, pour couvrir le bouton, et empêcher Jared de le détacher. Et de son autre main libre, elle tentait de le pousser là où elle pouvait, de plus en plus vigoureusement. Elle haussa un peu le ton de sa voix, profitant du fait qu'elle était encore maître d'elle-même. Comme quoi, elle était quand même bien contente de paniquer. Ça lui permettait au moins de garder un peu ses esprits.

- Écoutes-moi ! Arrêtes ! J'te jure j'vais m'énerver !

Elle allait s'énerver !? Bon sang, mais elle allait arrêter avec ses petits caprices ?! Il n'avait qu'une chose en tête: lui faire l'amour. Mais après cette phrase, une sourde colère avait commencé à monter en lui.
Il ne prit pas le temps de réfléchir. Il était hors de lui. Dans tout les sens du terme. En colère, mais aussi totalement, extrêmement brûlant de désir. Il ne pensa même pas à retenir son bras. Il avait à peine eu conscience qu'il l'avait levé. La gifle partit toute seule, aussi forte qu'au premier jour de travail de Caitlin, aussi douloureuse aussi. Ça le défoula. Le calma. Le claquement qu'avait produit le coup résonnait encore à ses oreilles... et... et une mine horrifiée se peignit ensuite sur son visage lorsqu'il remarqua la vive rougeur de la joue de Caitlin, ainsi que sa propre main encore brandit dans les airs. Pendant quelques instants, il ne bougea plus. Seule sa respiration irrégulière venait briser le silence. Peu à peu, il reprit son souffle. Mais il était toujours aussi troublé. Non... Pourquoi !? Qu'avait-il fait ?! NON !
Il se leva brusquement. Regarda la jeune fille toujours étendue sur le lit. Son coeur rata un battement. Non...
Il secoua la tête, la prit entre ses mains. Comment avait-il pu !?
Vivement, il attrapa un pantalon ainsi qu'une chemise, les enfila en moins de deux et sortit de la chambre en claquant la porte derrière lui. Inspire... Expire... Inspire... Expire, doucement, voilààà...

» academy killer ( pv les pece de sadique fofolle!)
» ne m'en voulrer pas ses pour mon bien
» J'reviens... Si on veut bien de moi.
» (libre pas de titre)
» Libre ;)