Pourquoi moi ? ( pv loupio )

- qu'est-ce qu'on fait alors ?
j'eu un sourire

- Je ne sais pas.
Mensonge. Tout ce que je voulais faire, là, maintenant, c'est lui sauter dessus et l'embrasser. Mais ce n'était pas quelque chose que je pouvais lui proposer. Je me voyais mal lancer: "Bah, on pourrait s'embrasser!".
Je souris un peu à mon tour.

j'éclatai soudainement de rire
- tu trouve pas qu'on a dl'air idiots ainsi ? rien a faire dans un lit.

Cette remarque me fit rire aussi. Il avait raison.
- C'est vrai, on est vraiment stupides.
Je me levai et m'étirai un peu, le regardant ensuite avec un sourire.
- Allez, on va trouver quelque chose à faire!
Je commençai à marcher dans la maison en réfléchissant, me mordillant un peu le bout de la langue.

je la suivit en souriant
- Alors, les recherches avance ? dis-je dans son dos

Je me tournai pour lui faire face et m'avançai jusqu'à être à seulement quelques centimètres de lui.
- Ben... Peut-être. Si tu comptes ça pour une activité à faire...
Sur ces mots, incapable de résister plus longtemps à son beau visage, je plaquai mes lèvres sur les siennes.

Je pris son visage entre mes mains, prolongant le baiser. j'aurais été cinglé d'y mettre fin.
je la plaquai délicatement contre le mur, puis finalement mon regard rencontra le sien.

Ma respiration s'était considérablement accélérée, mon coeur battait à une vitesse folle. Je le regardai dans les yeux sans bouger, complètement chavirée par ce baiser. Je ne fis que murmurer:
- Jamais frère et soeur...

- ça ne semble pas parti pour ça.
j'intérompai ma phrase en la réembrassant, ne pouvant me controler a présent.

Je constatai avec surprise qu'il en avait autant envie que moi, qu'il n'attendait que ce moment. Mes baisers se firent plus fougueux, presque furieux, tandis que je mettais mes mains sur sa nuque, collant le plus possible mon corps au sien. J'étais totalement folle de lui...

J'avais l'impression qu'il existait une attirante plus que physique entre nous, comme si nos disputes au départ avait alimenter une sorte de désir sauvage. J'avais espoir en cette relation hors de l'ordinaire, rien de banal.

Je lui rendit ses baisers avec fougue, mes mains balayant son dos et ses hanches.

Je ne savais comment expliquer ce que je ressentais pour Alexandre. C'était fort et puissant, passionné. Un immense désir. J'emprisonnai quelques mèches de ses cheveux entre mes doigts en l'embrassant encore et encore, les yeux fermés, incapable de détacher mes lèvres des siennes.
C'était encore plus qu'un immense désir. C'était inexpliquable.

Mes lèvres rencontrèrent son cou, puis se promenère sur son oreille. tandis que mes mains passèrent sous ses fesses pour l'agripper a moi

J'entourai sa taille de mes jambes et son cou de mes bras. Je m'accrochai à lui, les yeux toujours fermés et le dos appuyé contre le mur. Le souffle court, je soufflai à son oreille:
- Qui aurait cru que ça allait se passer ainsi, hein...?
Je souris un peu mais recollai aussitôt mes lèvres aux siennes, ne voulant pas gâcher ce moment.

- pas nos parents certains
je ne prononcai rien d'autre, trouvant que les mots était bien pauvres face a ce que je ressentait

- Finalement, ces deux semaines vont être les plus belles de ma vie.
Je l'embrassai encore une dernière fois puis me décollai un peu de lui à regret et ajoutai avec un sourire en coin et un air amusé:
- Au fait, je te déteste toujours.

je lui tirai la langue
- de même pour moi
j'acompagnai par contre mes paroles d'un leger baiser

J'entourai son torse de mes bras et le serrai contre moi avec un sourire.
- Tu sais, c'est vrai que tu es irrésistible.

j'éclatai de rire en baisant la tête vers elle
- Je l'ai toujours su dis-je en prenant un air vantard
j'entourai sa taille de mes bras

Mon rire se mêla au sien et je le regardai longuement avant d'accoter doucement ma tête sur son torse.
- Pfff, espèce de vantard... marmonnai-je avec un sourire.

j'embrassai son front
- On devrais peut-être se préparer pour le dernier souper avec les parents avant 2 semaines dis-je en souriant
ça me faissait drole qu'on vive ensemble ainsi, un défi j'imagine, plus de temps en sa présence donne plus de chance aux disputes, mais j'ai confiances que tout ira bien.

- Ouais, t'as raison...
Je lui prit la main et le tirai vers la cuisine.
- Bon, ça ferait certainement très plaisir à mon père si je préparais moi-même un petit truc pour souper, donc...
J'ouvris le frigo et regardai ce qu'on avait en me demandant ce qu'on pourrait bien manger.

j'éclatai de rire
- Tu veux de l'aide ?
j'imaginai déja la réaction de nos parents apprenant que nous nous étions aidé pour faire le souper

- Oh, puisque tu le proposes si gentiment ! Bien sûr.
Je lui fis un large sourire et commençai à sortir quelques ingrédients en me demandant ce que les parents penseraient s'ils nous voyaient faire... car nos derniers contacts en leur présence n'étaient pas franchement bons.

- Et on prépare quoi ? demandais-je doucement dans son dos
je ne pu me retenir d'encercler sa taille de mes bras