Pv SherlockedFancyness <3 (SHERLOCCCCKK ~) - TERMINÉ

Sherlock, confortablement installé, s'endormit en moins de deux.

***

Encore dans sa bulle de chaleur, transmise par l'homme collé contre son torse, Sherlock ouvrit doucement les yeux. Il se frotta les yeux et s'étira longement, tout en faisant bien attention à l'homme qui dormait bien paisiblement contre lui.

Il souria en le voyant ainsi placé et tourna se tête vers le réveil matin qui indiquait l'heure. Il était 4h08 du matin. Il se frotta doucement le front en réalisant qu'il n'avait plus du tout sommeil. Il dormait très rarement plusieurs heures d'affilées et encore moins douze heures de suite. Il soupira en espérant que son amour se réveille bientôt.

D'ailleurs, lorsque la pensée traversa son esprit, il sentit le docteur se frotter la tête contre l'épaule de celui-ci, ainsi, ses cheveux chatouillaient doucement le cou de l'homme.

Il riait, heureux qu'une telle simplicité le rend aussi heureux.

Son sommeil fut sans rêves, paisible. Lorsque celui-ci devint plus léger, il sentit quelque chose gigoter sous lui. N'étant plus apte à se rendormir, il grogna un peu et s'enfonça dans les couvertures et contre la chose gigoteuse. En ouvrant un oeil, il vint quelque mèches de cheveux bruns bouclées et reconnut Sherlock. John sourit sur la peau de l'homme et leva ses yeux paresseux mais remplis d'amour vers son nouveau petit ami.

-Hmm, quelle heure est-il?

Avec le rythme de vie que l'homme médecin avait, on pouvait dire qu'il appréciait ses moments répits. La plupart du temps, ces rares moments qui lui étaient sacrés lui servaient pour dormir. Il aurait pu rester au lit encore longtemps, mais la présence de Sherlock à côté de lui l'aida à se réveiller et revigorer l'esprit. Seule sa présence le mit de bonne humeur pour la journée qui s'en venait. Il se demanda réellement quelle heure il était, voyant dans une fissure entre les rideaux de la chambre qu'il faisait encore sombre dehors.

-Hmm, quelle heure est-il?

Il souriait à la question de son ami, répondait tranquillement :

-Un peu plus de 4 heures du matin. Nous avons dormi près de 12 heures !

Sherlock embrassa tendrement son amour sur la bouche avant de se retirer des couvertures pour enfiler sa robe de chambre et tendre la main à son amour.

-Tu viens, je suis affamé. Que dirais-tu de faire des biscuits. Ça serait délicieux non ?

Voyant que John restait là à le regarder avec un drôle d'air, il se dirigea vers la chambre du docteur, en face de la sienne. Il revenait avec la robe de chambre de son amoureux et lui donnait en souriant.

Il resta immobile dans le lit, se demandant s'il avait entendu quelle était la proposition de Sherlock. Lorsque l'homme enfila sa robe de chambre et sortit de la pièce pour aller chercher la sienne, il conclut que le détective était sérieux.

John se mit en position assise sur le lit et attrapa au vol le vêtement que son ami lui lançait. Il mit la robe de chambre et se leva pour nouer les cordes pour la tenir en place.

-D'accord, donne-moi juste un moment.

Il passa à côté de Sherlock, lui touchant l'épaule et alla se brosser les dents à la salle de bain. le docteur n'appréciait pas tellement avoir une mauvaise haleine. Il se dirigea vers la cuisine où l'homme aux cheveux bouclés se retrouvait déjà.

-Avons-nous tous les ingrédients qu'il nous faut?

Alors que l'autre homme s'était dirigé vers la salle de bain, Holmes s'était dirigé vers la cuisine prestement. Il avait ouvert le livre de recette qu'il avait reçu par M.Hudson le jour où il avait emménagé ici. Elle lui avait qu'il devait apprendre l'autonomie, car elle n'était pas sa femme de ménage et non plus sa cuisinière. Mais ça lui faisait souvent très plaisir de venir l'aider à préparer les repas, ou faire du thé.

Après avoir lu tout ce qu'il fallait pour préparer des biscuits au pépites de chocolat, à la bonne page, il s'empressa de regarder dans les armoires à la recherche des ingrédients.

-Avons-nous tous les ingrédients qu'il nous faut ?

Il sourit, le nez dans une armoire. Il en sortit la farine, la cassonade, le sucre et la vanille. Il y retourna pour complèter la liste de choses ce dont il avait beosin.

-Je crois bien que oui ! Cette semaine, Madame Hudson nous a fait une épicerie et a, ma foi, rempli tout notre garde manger.

Il sorti un grnad bol d'acier pour y mélanger les ingrédients. Il regarda son homme avec un grand sourire. Il lui proposa de venir l'aider, tout en s'approchant de lui pour lui prendre la main et le rapprocher de lui, de l'autre côté du comptoir.

John serra la main de Sherlock et l'embrassa sur la joue, suivant jusqu'au comptoir. Il regarda dans le livre de recettes pour y lire les étapes de préparation des biscuits. Watson aimait beaucoup les sucreries étant petit et c'était encore le cas. Leux hommes commencèrent alors à mettre les ingrédients dans le bol et John s'occupa de mélanger le tout avec une cuillère en bois, pour obtenir une texture convenable.

La mixture semblait appétissante et le docteur ne put s'empêcher de tremper un doigt dans le bol. Il mit son doigt dans la bouche et huma au goût délicieux. La quantité de sucre était à point. Il avait bien hâte de voir le résultat cuit. Il trempa à nouveau son doigt, ne se gênant pas pour goûter de nouveau la pâte sucrée.

-C'est très bon!

Watson qui mangeait la pâte à biscuit incita Sherlock à y goûter, lui aussi. Il dégusta tranquillement le petit amas de pâte à biscuit qu'il avait mis dans sa bouche. Le mélange fondait dans sa bouche et il ne put s'empêcher d'aller chercher une cuillère et commencer à manger à même le bol.

Il sourait d'extase, c'était délicieux. Il aurait mangé tout le bol s'il l'aurait pu. Il présenta une cuillère pleine à John qui lui fit non de la tête, lui disant qu'il faudrait mettre les biscuits au four, pour pouvoir les manger plus tard.

Donc, il prit la cuillère dans un différent angle et lanca le contenu de la cuillère et le lança au visage de son amour. En voyant la réaction de celui-ci, il commença à rire, se pliant en deux tout en se tenant le ventre. Il se trouva très drôle.

Il prit le bol avec lui alla près du frigo, pour regarder Watson, tout en mangeant la pâte à biscuit, un gros sourire aux lèvres.

Son petit ami s'avait emparé du bol et mangeait à la cuillère le mélange. Il lui dit qu'il fallait arrêter de manger le mélange, sinon il n'en resterait plus pour faire cuire les biscuits! Il ne s'attendait pas à ce que Sherlock lui lance de la pâte à biscuit au visage. Le détective semblait se trouver bien drôle et riait plié contre lui même.

Ayant resté figé un moment de stupéfaction, John se reprit. Il enleva la mixture sur sa joue avec son pouce et lécha le mélange tout en fixant Sherlock avec insistance.

-Sherlock, donne-moi le bol et tout vas bien aller..

Le docteur s'approcha lentement à petits pas vers l'homme qui avait le plat en sa possession. Comme ça, Sherlock avait l'air d'un jeune enfant se préparant à faire un mauvais coup. Peut-être que ce n'était pas une bonne idée de laisser Sherlock faire la cuisine.

Il eut l'enive irrépressible d'embrasser l'homme qui essayait de lui prendre le bol de mélange à biscuit. Il colla son corps contre celui ce l'homme devant lui en déposant le bol sur le comptoir. Il mit sa main sur la nuque du docteur et colla ses lèvres contre la bouche de celui-ci.

Puis, il passa sa langue sur les lèvres de son amant, en essayant de s'imposer. Il ressentait des pulsions qu'il ne contrôlait pas. Il mit ses mains dans le bas du dos de l'homme. Il en voulu beaucoup plus, mais il se recula, regarda l'homme dans les yeux.

Il prit subtilement une petite pognée de pâte à biscuit dans le fond de la paume de sa main et l'étendit sur la joue de son amoureux. Il lui souriait et s'approhca de la joue de l'homme. Il commença à lécher le mélange sur la joue de celui-ci, tout en lui donnant pleins de petits bisous.

-Miam. C'est terriblement bon !

Le docteur perdit toute son autorité sur l'homme lorsqu'il se colla contre lui et se pencha pour l'embrasser. John passa ses bras autour de la taille de Sherlock pour le serrer contre lui et autorisa la langue de son amour visiter sa bouche. Ce baiser avait un goût de biscuit, de chocolat et de Sherlock.

L'homme lui étendit de nouveau de la pâte à biscuit dans le visage, mais cette fois-ci Sherlock entreprit de le nettoyer. Il passa sa langue sur ses joues, le taquinant de léchage et de bizous.

-Miam. C'est terriblement bon !

Le ton utilisé par Sherlock pour prononcer ceci lui réchauffa le bas du ventre. Il grogna involontairement puis se calma. Il étira subtilement son bras pour que sa main atteigne le bol. Il prit une bonne poignée de mélange et en colla sur le visage et les cheveux de Sherlock. Cette diversion lui permit de se dégager de son emprise et il s'éloigna avec encore une bonne quantité de pâte à biscuit dans les main.

Il était près pour le champ de bataille.

-Hahaha, oh, j'adore ça.

Sherlock souriait comme un idiot, heureux que Watson prenne part à son jeu d'enfant. Il n'avait jamais eu de plaisir dans sa jeunesse et il voulait profiter du fais que son collègue l'appréciait autant. Il avait vécu dans la tristesse, mais ce temps-là était révolu.

Puis, il prit une grande poignée de pâte à biscuit et se prépara à attaquer. Il observait l'homme qui s'était éloigné et qui le regardait, qui attendait le moment opportun pour lancer le mélange que ses mains contenait.

Ensuite, il fit semblant d'être distrait, ce qui laisserait croire à Watson que la voie serrait libre, bien évidemment. Il le connaissait, il savait comment l'homme réagirait.

John continua de regarder l'homme en face de lui sans perdre la face. Sherlock avait l'air bien content et ça lui procurait une douce chaleur dans la poitrine, mais resta concentré. Il resta aux aguets des moindre geste du détective, appréhendant sa prochaine attaque. Sur la défensive, il attendit qu'il y ait une fissure dans la défense de Sherlock.

Par chance, l'homme sembla distrait par le plafond. Sans doute avait-il trouver une tâche intéressante, laissant de côté leur guerre de nourriture. John ne retint même pas son sourire lorsqu'il bondit sur ses pieds et lançait la pâte à biscuit dans la trajectoire de l'homme à la tête ailleurs.

-Quelle imprudence dont tu me fais part Sherlock. Je te tiens!

Il reçu le missile de John sur la tempe droite, comme prévue. Il lui fit un regard bref et vif après quoi il lui lançait le sien droit dans le cou.

Il trouvait cela tellement drôle, ce moment était un moment de bonheur pur et il était tellement heureux de le partager avec son meilleur ami. Il gardait toujours le sourire aux lèvres, il avait le coeur qui battait très rapidement, plus rapidement que jamais. Il s'approcha du bol pour reprendre du mélange à nouveau et ne prit pas de temps avant de le lancer sur l'homme désarmé.

Il s'empara d'une cuillère remplie de pâte à biscuit, qu'il se fourra dans la bouche avant de la resortir, intacte. Il en mis à nouveau dans la cuillère et s'avança lentement vers Watson. Il lui offrit cette énorme bouchée de pâte à biscuit, mais l'homme n'eut pas le temps d'accepter ou même de refuser, qu'il se retrouvait avec une cuillérée de mélange sucré dans la bouche.

Sherlock lui souriait et lui donna quelques baiser dans le cou, pour le tenter un peu.

Watson sourit de satisfaction en voyant son projectile s'écraser sur la joue de son petit ami. Il s'apprêta à l'approcher, mais Sherlock lui lança une nouvelle boulette de pâte! John évita de justesse la boule, celle-ci répandant sur le mur derrière lui. Accroupit par terre, le coeur de John battit vite par l'adrénaline causée par l'action installée dans la cuisine.

Il eut à peine le temps de se relever que Sherlock vint vers lui et lui fourra la cuillère dans la bouche. Le docteur prit la cuillère en main et mâcha l'énorme bouchée se trouvant dans sa boucbe. Le grand homme l'embrassa dans le cou et le docteur eut un frisson agréable et lâcha un soupir. Il lui empoigna les fesses, les pétrissant sous son toucher. Profitant du fait que l'homme ait sursauté, il se précipita vers le bol et lança son contenu sur Sherlock. Dans sa précipitation, la plupart du mélange atterrissait soit par terre ou sur le comptoir. Seulement une petite quantité se retrouva sur le début du torse de Sherlock, se cachant dans sa robe de chambre.

L'homme plus petit s'approcha de Sherlock tel un prédateur et se colla contre lui. Il écarta un peu les pans de la robe de chambre bleue de l'homme et se mit à lécher la poitrine de son amour, joueur.

Sherlock qui était terriblement amusé par tout ce qui arrivait, riait aux éclats. Il voulait tout simplement prendre John dans ses bras et le plaquer contre le mur, l'embrasser et se laisser à aller au rythme des pulsions qu'il ressentait dans son bas ventre.

Lorsqu'il reçut du mélange sur le torse et que son copain vint lui enlever avec sa langue, il ne pu réprimer un grognement de satisfaction. Il agrippa l'homme par sa robe de chambre et l'obligea à s'allonger sur le sol. Une fois couché sur Watson, il lui dit en riant :

-Hahaha. Got'cha ! C'est moi qui te tiens à présent !

Il l'embrassa sur les joues avant de se diriger vers son oreille droite qu'il mordilla tendrement. Finalement, sa langue rencontra le cou de John, sur lequel il fit un énorme suçon. Le goût métallique du sang que procurait cette blessure au cou de John le rendit encore plus fébrile. Sherlock lui murmura doucement à l'oreille :

-Tu es un homme extraordinaire.

Il donna un dernier baiser au lobe de l'homme avant de replonger son regard dans le sien, ayant l'impression de plonger dans un océan d'amour infini.

L'homme se fit plaquer au sol, emprisonné par le corps de Sherlock. La bouche de l'homme contre sa peau le fit lâcher un son plaintif de sa gorge, la sensation lui donnant un plaisir fou. John rit faiblement lorsque Sherlock lui chuchota à l'oreille.

-Tu es un homme extraordinaire.

Entendre dire cela de la part de Sherlock était spécial. S'il y avait bien quelqu'un qui sortait de l'ordinaire ici, c'était bien le détective à la chevelure frisée! Les deux hommes se dévorèrent des yeux, brillant d'amour passionné pour l'autre. John ne peut plus garder ses mains pour lui-même et les glissa en-dessous de la robe de chambre de Sherlock et vint caresser les cuisses de son amour.

Au même moment, on pouvait entendre la porte de l'appartement ouvrir puis se claquer. Une femme à l'âge avancé marchait joyeusement dans la maison, apportant des légumes frais aux locataires. En arrivant dans la cuisine, elle eu le saut et laissa tomber le sac de végétaux, poussant un petit cri de surprise. En face d'elle se trouvait un couple d'hommes en train de se ravager, entouré d'un grand désordre. Sur les murs et le plancher semblait être de la pâte à biscuit. La dame était à peu près sur que ce n'était pas de cette façon qu'on préparait des sucreries.

-Dear Lord, Sherlock, John! Que faites-vous par terre et qu'aviez-vous fait à cette pauvre cuisine?

-Dear Lord, Sherlock, John! Que faites-vous par terre et qu'aviez-vous fait à cette pauvre cuisine?

Sherlock posa son regard dans celui de John et réalisa à quel point la situation était hilarante. Il riait à en pleurer. Il se releva, faisant bien attention de bien ajuster sa robe de chambre pour pas que Mme Hudson voit son corps nu. Il tendit la main vers Watson qui la prit et l'aida à se remettre sur pied.

Il souri à la femme prise par la panique et lui dit gentiment :

-Ce n'est rien, c'est notre essai à faire des biscuits. Mais, puisque John ne peut se contenir, il en a mit partout.

Elle leurs renvoya un gentil sourire de compassion. Elle affirma qu'elle était contente qu'ils essaient d'être autonome et pour les féliciter d'un tel avancement, elle allait leur faire des biscuit et nettoyer la cuisine. Sherlock lui proposa de l'aider, mais elle lui proposa d'aller plutôt se nettoyer.

L'homme aux cheveux d'ébène se retourna vers son petit ami, en le prenant par la main il lui proposa :

-Et si tu me suivais ?

À l'arrivée de miss Hudson, leurs regards se sont croisés et les deux avaient rit. John accepta la main de Sherlock et se remit sur pied bien assez vite. Il replaça sa robe de chambre et se retint de rétorquer aux remarques semi-obscènes de Sherlock à son sujet. Le médecin remercie la femme qui allait s'occuper du reste et s'apprêta à aller s'installer au salon pour lire un peu. Sherlock lui prit la main et le demandait s'il souhaitait venir prendre une douche avec lui. Avec leur avant-goût de proximité d' il n'y a pas si longtemps dans la cuisine, John accepta. L'homme se laissa tirer par son amant dans la salle de bain qu'il ferma la porte par la suite.

-Pauvre Mrs.Watson, elle doit ramasser toute la pagaille que nous avons créés juste à l'instant.

Au moins, il auront de bons biscuits et une cuisine propre.

La remarque de John le froissa un peu. Après tout, elle s'était proposée, et il était de respect de lui laisser la chance de faire ce qu'elle avait envie de faire. Par contre, il n'y porta pas attention plus qu'il ne le fallait. Il se retourna vers John, qui était là à le regarder. Il s'approcha de façon séductive et l'embrassa passionnément avant d'aller mettre en marche la douche, pour que l'eau se réchauffe un peu et qu'elle soit à la bonne température quand ils y rentreraient.

Revenant vers son amoureux, il commença à détacher la ceinture de sa robe de chambre, laissa paraître son corps blanchâtre et son membre déjà bien dur, par l'excitation qu'il ressentait à ce moment même.

Il arqua un peu son dos en mettant ses bras derrière lui, se qui fit tomber naturellement le tissu qui le recouvrait sur la céramique. Il posa ses lèvres sur le nez de John, mais n'y mit que très peu de pression, ainsi, sa bouche frôla le visage de l'homme.

Puis, il se dirigeait vers la douche et au dernier moment, retourna seulement la tête vers l'homme encore planté au milieu de la pièce et lui lança un regard de braises.

Le temps que John ferma les yeux et s'apprête à approfondir le baiser, Sherlock s'était déjà éloigné de lui pour ouvrir le jet de douche. S'apercevant de l'absence des lèvres de son petit ami sur les siennes, il battit des paupières et ouvrit les yeux. L'homme s'était retourné vers lui et enleva son seul morceau de vêtement, exposant son membre gonflé de désir. Juste avec la magnifique vue qui se trouvait devant lui, son propre membre durcissait.

Il détacha les cordons de sa robe de chambre, ne quittant jamais les yeux perçants de Sherlock. Le survêtement tomba au sol et John se trouva nu tout comme son compagnon. Sa respiration était lente et posée, malgré l'excitation qu'il éprouvait à l'intérieur. Il marcha vers le détective et le prit par les hanches. Il caressa la peau ou ses pouces étaient posés. Il avança, obligeant Sherlock à entrer dans la douche. Watson tira sur les rideaux, voilant leurs actions au reste du monde.

Lorsque les deux hommes se retrouvèrent seuls, bloqués du monde, par le fin rideau de douche, Sherlock embrassa John vigoureusement. L'eau chaude coulait sur leurs têtes et cela apaisa tranquillement le détective qui était extrèmement nerveux.

Puis, après quelques baiser, il commença à embrasser tranquillement le cou de l'homme et lui mordait un peu le bas du cou. Par la suite, il descendit tranquillement, tout en continuant à embrasser le corps de l'homme, vers le sexe dur de son compagnon. Il débuta par faire quelques va et viens sur celui-ci avec ses mains, tout en embrassant les cuisses de son amoureux.

Finalement, il lança un coup d'oeil au visage de l'homme qui avait fermé les yeux. Il mis le membre de l'homme rapidement dans sa bouche et passa sa langue sur le gland de celui-ci.

Ainsi donc, il fit quelques va et viens pour retourner à l'extrémité du pénis de Watson et le chatouiller tendrement avec ses lèvres. Il recommença son manège quelque fois avant de se concentrer uniquement sur le gland de son petit copain, en utilisant sa langue.

John se colla contre le mur, se laissant aller aux caresses de leur couple. Ils s'embrasserent et l'homme aux cheveux bouclés le caressait aux cuisses et pompa son membre maintenant en pleine érection. Ses mains avaient trouvées refuge dans le dos du détective, pour se retenir. Lorsque l'homme descendit et se mît à ses pieds sus ses genoux, Watson tremblait d'excitation. Ses jambes lâchèrent presque quand son amant le prit en bouche. Le docteur émit une plainte étouffée, agrippant les cheveux de Holmes.

Le plaisir gronda en son ventre et son cœur battit plus vite. Le carrelage était froid contre son dos, la bouche de Sherlock émettait une chaleur exquise et l'eau de la douche fit bouillir sa peau. Toutes sensations le rendaient fou. John lâcha un petit grognement, haletant. Son bassin bougea inconsciemment, avançant davantage dans la cave buccale de Sherlock.

Sherlock sentait que John appréciait terriblement ce moment, ce qui l'insita à s'activer encore plus sur le membre de l'homme.

Il agrippa les fesses de l'homme, tout en les massant tranquillement. Il avait de l'eau das les yeux, mais n'y fit rien et pourtant, il détestait avoir de l'eau dans les yeux. Il mis une grande pression avec ses lèvres sur le sexe de l'homme.

Il ressentait un drôle de sentiment quant à ce qu'il faisait à son petit ami. Le faire jouir de cette manière lui apporta un énorme bien être ainsi qu'un très grand désir envers l'homme.

Puis, un liquide pré-éjaculatoire se répendit dans sa bouche et Sherlock eut l'impression qu'il allait vomir. Il trouvait ce goût totalement répugnant. Sauf qu'il fit tout pour ne plus y penser, il devait terminer ce qu'il avait commencer.

Plus ça allait et plus que John sentit proche. Les coups plus sûrs de Sherlock et ses mains contre ses fesses, ne l'aidait pas à se contenir. Le docteur entrouvrit les yeux et son regard tomba sur la chevelure de Sherlock, puis son dos tombant dans une fantastique chute de reins. John gémit et tira sur les boucles de l'homme pour planter son regard embué dans le sien.

-Haa, haa.. Sherlock..! Je vais v-venir..!

Peu de temps après, son corps éprouvut un spasme et John éloigna le visage de son amant avant d'ejaculer, ne pouvant se contenir. Son corps s'ecrasa contre le mur et John calma sa respiration. Il tira le bras de Sherlock pour qu'il se lève et l'enlaça contre lui.

Tout se passa très vite, mais Sherlock lâcha un soupir de soulagement lorsque Watson se retira pour éjaculer. Lorsqu'il fut remis sur pied, il fourra son nez dans les cheveux de John, qui était maintenant trempés, et souriait tranquillement.

Il mis sa main sous le menton de l'homme encore essoufflé et l'embrassa tout doucement. Il resta ainsi, collés à son amour sous le jet de douche avant de commencer à se laver les cheveux.

Alors qu'il se moussait les cheveux avec son produit préféré, il sourit doucement à l'homme encore en train de se remettre de toute l'action qui venait d'arriver.

-Alors, qu'as tu pensé de ma performance ?