Pv SherlockedFancyness <3 (SHERLOCCCCKK ~) - TERMINÉ

John leva automatiquement les ras au ciel, se libérant ainsi de son pull par Sherlock. Son torse dévoilé, il embrassa le détective, faisant glisser la chemise du corps de Sherlock, laissant voir ses épaules. Il serra fort dans ses bras l'homme aux cheveux bruns, prenant une grande respiration au creu du cou de Sherlock, son odeur florale envahissant ses narines. Il voulait ancrer dans sa mémoire l'essence de l'homme, ne voulant jamais l'oublier. Il lui embrassa tendrement le cou et la mâchoire, caressant le dos long de Holmes. Il tira son corps contre le sien de ses bras forts qu'il dissimulait dans ses vêtements en laine et en gros coton.

Il embrassa tout ce qu'il avait à sa portée; cou, mâchoire, épaule, joues, nez, paupières, front, gardant la magnifique bouche pour la fin. Il voulait habituer Sherlock à toutes ces tendresses, lui montrer qu'il l'aimait et le désirait. Ses mains glissèrent du dos de son ami à sa poitrine, descendant lentement plus bas, jusqu'à la ceinture du pantalon de Holmes.

Chaque baiser le fit frissoner de pur bonheur. Il se laissa faire et lorsque l'homme commença à détacher la ceinture de son pantalon, il fit de même avec celle de son compagnon. Puis, il sera John dans ses bras pour les faire pivoter. Il se retrouvait maintenant au dessus du docteur et s'affaira à lui enlever ses pantalons. Il descendit du lit pour se débarasser de sa paire de pantalons noirs pour mieux revenir s'sintaller au dessus de son amour.

Les deux hommes étaient maintenant presque nus et Sherlock commençait vraiment à être excité par toute cette faire et il s'aperçu que John aussi, par la bosse dans ses boxers.

Il lui fit son plus gros sourire avant que commencer à lui embrasser le cou, puis il descendit vers le torse de l'homme où il allait enfait découvrir ses tetons. Puis, il mit ses douces lèvres sur l'un deux pour commencer à le teter. Il sentit l'homme sous lui vibrer de plaisir, ce qui l'insita à continuer.

Après quelques minutes, il changea de tetons et s'affaira sur l'autre. Par contre, il voulait retrouver aux lèvres de son ami, y retourver sa langue délicieuse. Donc, il remonta lentement jusqu'au visage de Watson en embrassant chaque parcelle de peau qu'il put rencontrer.

Lorsqu'il rencontra à nouveau les lèvres de son compagnon, il y mit une très grande pression, beaucoup de passion. Il avait l'impressiojn que son corps bouillait de désir, de sensations. Il voulait profiter du moment plus que jamais, se rapeller de chaque petit mouvement produit et chaque petit mots prononcés.

Il entremela sa langue avec celle de l'homme sous lui tout en augmenta la pression avec laquelle son bassin était posé sur celui de son petit ami.

Watson ferma les yeux, savourant les lèvres de son amant sur sa poitrine. Ses mains avaient retrouvées le dos nu de l'homme et le caressa, l'encourageant dans ses gestes. Ils s'embrassèrent à nouveau, leurs langues se touchant, s'entremêlant, comme si c'était une bataille. Une bataille d'amour et de passion.

L'homme descendit ses mains pour prendre les fesses recouvert de tissu de Sherlock et les pressa, appuyant leurs deux érections ensemble. Il passa ses mains sous le boxer, empoignant les petites fesses rondes de l'homme. John avait relevé le haut de son corps et était maintenant en train de suçoter le cou de Sherlock, sans pour autant lâcher les fesses de son amant. Les bassins ondulèrent dans une douce friction et John grogna mordit légèrement la peau pâle devant lui et l'aspira, faisant un suçon visible dans le cou de Sherlock.

Les pulsions dans son bas ventre augmentait, il ne pouvait plus contenir le plaisir qui le hantait et laissa pousser une soupir de plaisir :

-Ahhhhh, John, je, mhhh.

Il baissa ses mains vers les fesses de son amis et en profita pour les faire pivoter. Ainsi donc, Sherlock se retrouvait sous l'homme qui venait de lui faire un suçon. Il le regardait, en attendant qu'il fasse les premiers pas, puisqu'il était incertain de la façon dont il fallait s,y prendre.

Mais, il se contenta d,embrasser fougueusement son amant jusqu'à en perdre haleine. Sa tête lui faisait mal tellement il était étourdi, sauf qu'il n'y fit rien, il continua d'embrasser de plus en plus rapidement l'homme qu'il aimait. Il sentait son corps vibrer de sa tête à ses pieds. Involontairement, il en demandait encore plus à Watson.

Il mit ses mains sur les fesses bien rondes de son ami et s'y agrippa solidement, sans pour autant le blesser. Par contre, ce n'était pas suffisant. Il commença à faire son chemin vers le côté opposé dans le caleçon de John.

Puis, il s'arrêta en posant ses paumes sur les hanches de celui-ci, ses pouces caressant ses aines.

Entendre l'homme à ses côtés gémir, un choc agréable vint se joindre à la sensation qu'il avait à son bas ventre. Leurs positions furent à nouveau changées, il était de retour au-dessus. John caressa avec ses mains et ses lèvres le corps de Sherlock. Il adorait embrasser son ami et su qu'il ne s'en lasserait jamais.

Tout d'un coup, il sentit de grandes mains fines se diriger vers son caleçon. Son souffle resta dans sa gorge, ayant oublié de respirant pendant une seconde. Les pouces de Holmes caressaient une régions si sensible, si près de ses organes géniteurs.. John avala sa salive.

Ses yeux s'assombrissent, voilés par le désire, voir de luxure. Il ne prit pas de temps pour atteindre l'élastique des boxers de Sherlock et tira sur le dernier vêtement et le jeta par terre. John admira le magnifique corps decat lui et embrassa l'homme, se collant contre le bel spécimen.

Dès qu'il fut à découvert, il sentit une énorme gêne s'emparer de lui et il ne put s'empêcher de se figer. Il regarda Watson avec de grands yeux anxieux.

Il devait se calmer et il le savait, car l'important était d'être détendu dans ce genre de situation. Il observa le regard séducteur que lui faisait son amoureux et il se sentit bouleversé par la peur qui le hantait.

Il prit deux grandes respirations avant de commencer à enlever le boxer de John, ce qui était bien évidemment la seule chose qui lui restait sur le dos. Puis, en voyant ce qui se cachait sous les sous-vêtements de l'homme, il sentit son propre sexe se durcir.

Holmes avait très envie de l'homme qui se trouvait dans le même lit que lui, il ne pouvait plus le nier. Ne sachant pas où mettre ses mains moites, ils les posa dans le bas du dos de son amant.

John fut patient pour Sherlock, qui semblait tendu. Dire quoi que ce soit n'aurait fait que l'effrayer. Il laissa l'homme le dénuder complètement, caressant son visage pour le distraire un peu. Les deux hommes enfin nus, Watson baissa tentivement le bas de son corps, rencontrant le bassin de Sherlock. Leurs deux sexes se frottèrent ensemble et John se tena bien en équilibre pour mieux maîtriser ses mouvements.

Il approcha une main entre eux deux et prit leurs deux membre pour plus de contact. Il lâcha le sien et se concentra sur celui de son amant et entreprit un doux mouvement de cas et viens pour commencer. Il augmenta graduellement la vitesse, prenant plus d'assurance au fur et à mesures. Sentir le membre de Sherlock gonfler dans sa paume l'excita à un tel point. Il guetta le visage de Sherlock, voulant savoir s'il appréciait ce qu'il faisait.

Lorsque John commença à faire des mouvements de vas et viens sur son sexe, Sherlock ferma les yeux et sentit ses épaules se décrisper et même qu'elle étaient extrêmement détendu. Il laissa l'homme au dessus de lui prendre en charge la situation, pour le moment, en pensant qu'il allait, un jour, lui redevoir tout ça, lui rendre la pareille.

Plus son partenaire augmentait la vitesse, plus il avait l'impression que son corps bouillonnait de l'intérieur. Il mit ses mains sur les fesses fermes de l'homme au dessus de lui et les caressa. Il ne savait plus quoi faire et sentait que son corps n'allait pas tenir le coup. Il se demandait alors ce qu'il ferait si cela était seulement les préliminaires.

Après avoir ouvert les yeux, il posa son regard dans celui de John puis ne pût s'empêcher de pousser un cri de jouissance, il ne put le contenir et il renversa la tête vers l'arrière.

-Aaahh, Oh, John, aaah.

Il mit une de ses mains dans les cheveux de John et jouait avec chacune de ses mèches alors que son corps se cabrait de plaisir.

Les magnifiques cris de Sherlock firent bouillir son sang. John embrassa le torse de l'homme et fit d'autres suçons, marquant son territoire. Il passa son pouce sur le bout du membre de l'homme, taquinant ainsi le gland. Puis il continua les mouvements de vas et vient sur le membre. Sa poigne émit un peu plus de pression, juste assez pour donner des sensation, mais pas trop pour faire du mal à son amant.

Il le désirait tellement. Il avait hâte d'entendre les cris et gémissements amplifiés de Sherlock, il voulait l'entendre dire son nom lorsqu'il serait en lui. La prochaine étape n'était pas la plus évidente, mais vaudrait certainement le coup. Bientôt... John fit une pause mentalement. Il allait publier quelque chose d'important. Il releva la tête et croisa le regard de Sherlock. Sa respiration était un peu saccadée, mais il parvint à dire le mot important.

- Préservatifs?

Totalement absorbé par les sensations que lui amenaient les caresses de John, il perçu difficilement ce qu'il venait de dire.

-Préservatifs ?

Sherlock sentit son coeur s'arrêter dans sa poitrine, il crut ne plus respirer pour un instant. Des préservatifs, il n'avait jamais pensé à acheter cela, car pour lui, le sexe na,avait jamais été une option, ou même une relation amoureuse tout court.

Plus il y réfléchissait, plus il sentait la sueur perler sur son front. S'il n'en avait pas ici, Watson devait sûrement en avoir... dans sa chambre à coucher. S'il devait se lever, il romprait leurs actions. Il n'en avait pas envie.

Par contre, il eut un flash back juste avant que la panique ne l'atteigne. Son frère, dans toute son ironie, lui avait donner, au Noël précédent. Il lui avait fait ce cadeau à cet instant plus précieux que n'importe quel autre chose inutile qu'il aurait pu lui donner. Mais, se trouvant totalement hilarant, il lui avait acheter cette boîte de préservatif, pensant qu'il ne l’utiliserait jamais.

Il étira le bras jusqu'à sa table de chevet, ouvrit le tiroir et sortit la petite boîte qui s'y cachait. Brandissant sa découverte devant le visage du docteur, il vit le regard étonné de son compagnon.

-Remercie donc l'humour de mon idiot de frère !

John ne pût s'empêcher de rire en enfouissant son visage dans le cou de Sherlock, soulagé. Il remercia mentalement Macroft d'avoir pensé à cette petite blague qui leur sera bien utile.

Il prit la boite que Sherlock tenait et l'ouvrit. Ils n'avaient pas de bouteille de lubrifiant en disposition, ils devront alors s'arranger autrement. Au moins, les condoms étaient pré-lubrifiés. Il sortit un préservatif de la boite et vérifia rapidement la date d'expiration. Sans problème alarmant il mit le petit préservatif proche d'eux et présenta trois doigts à Sherlock. Il attendit qu'il comprenne le message et qu'il ne trouve pas le geste trop obscène. S'il ne s'opererait pas à la tâche, il s'en occuperait lui-même. Il était important qu'ils le fassent, pour le moins de douleur possible. Blesser l'homme était une de ses plus grandes craintes.

(Macroft ? XD, C'est Microft chou )
Le détective fit un drôle d'air avant de comprendre ce qu'il devait faire. Devait0il lècher les doigts que l'homme lui présentait ?

Il se trouva totalement idiot et ne pu se résoudre à lui poser la question. Alors il passa sa langue sur les doigts de l'homme, puis lubrifia bien chacun des doigts en les mettant un après l'autre dans sa bouche.

Après avoir terminé ce que lui avait demander l'homme silencieusement, il leva les sourcils, en attendant de voir ce qui allait se passer.

Avait-il fait la bonne chose ou s'était-il mis dans une situation totalement ridicule ?

(huhuhu :'( c'est vrai j'me trompe toujours quand je l'ecris grrr!)

John sourit lorsque Sherlock commença à sucer ses doigts. Il semblait être doué à cela.. Lorsque ses doigts furent bien lubrifies, le détective les lâcha. Watson pu alors commencer. Il caressa tendrement la cuisse de Sherlock puis emmena son index humide entre les fesses de l'homme. Il le glissa et l'entra prudemment en lui.

Il ne bougea plus le doigt, laissant l'homme s'habituer à la nouvelle sensation avant de continuer plus loin. Après quelques instants, il commença à onduler son doigt en Sherlock, le pénétrant plus profondément. S'il réussit à effleurer la prostate de l'homme, ce serait génial. Pour l'instant, il inséra son majeur pour accompagner l'index, étirant les paroies. Dans ces gestes, il continua de caresser la cuisse de Sherlock, d'en-dessous du genou jusqu'à l'aine et fit quelques petits baiser contre la peau.

C'est lorsque Watson pénétra son deuxième doigt en Sherlock que celui-ci sentit un éclair de douleur le traverser. Il se demandait s'il pouvait y avoir pire comme douleur, mais il se ravisa. Il ne voulait pas montrer à son amant qu'il souffrait. Il ne voulait pas qu'il arrête la.

Alors, les dents serrée il murmura tranquillement à l'homme près de lui :

-arhh. Continue.

Voyant le visage crispé de l'homme, John commença à transpirer, nerveux. Il savait que ce ne devait pas être la sensation des plus agréable, mais il n'avait pas le choix, aussi non, ce qui suivra sera pire.

Il fit un mouvement de cisaillement avec ses doigts, pour bien étirer les parois étroites de Sherlock. Il se permit même d'y ajouter un troisième doigt. Il fit un mouvement de vas-et-viens, accoutumant l'homme à la sensation. John le pénétra de ses doigts, les enfonçant plus loin à chaque fois.

Il colla son visage contre celui de Sherlock et lui parla d'une voix apaisante.

-Ça va? Concentre toi sur mon visage..

Il aurait pu aller mieux, mais saurait sûrement pu être pire. Alors il lui dit d'une voix assurée:

-Je vais bien, Watson!

Il souriait à l'idée de ce qui allait venir. Mais, il continua a s'habituer à la sensation, plus ça allait et mieux il se sentait. La douleur faisait tranquillement place au plaisir. Même qu'il appréciait terriblement que John enfonce ses doigts de plus en plus loin en lui.

Il s'agrippa a son oreiller, attendant ce qui allait inévitablement arriver bientôt. Il susurra au docteur:

-Je t'aime tellement.

Il enleva ses doigts, sentant qu'ils étaient prêts à aller plus loin. John se baissa vers Sherlock et l'embrassa.

-Moi de même Sherlock. Je t'aime.

Il défait l'emballage du préservatif et enfila le condom sur son membre dressé. Il écarta doucement les les cuisses de l'homme pour se faufiler entre elles. Il se positionna et regarda le visage de Sherlock. Il entra le bout de son membre en son amant puis le pénétra lentement avec précaution...

La sensation était incroyable. L'homme était si serré autour de lui.. La respiration de Watson se fit un peu tremblante. Il s'abaissa à nouveau sur l'homme et lui embrassa la joue puis le lobe d'oreille. Il garda sa tête à côté de celle de Sherlock, en continuant de le pénétrer.

Sherlock sentit tout son corps se contracter lorsque son amour le pénétra, comme s'il essayait de le rejeter. Mais son partenaire n'y fit rien, même qu'il avait l'air d'apprécier la résistance que lui procurait son corps encore vierge.

Sherlock ne put s'empêcher d'exprimer son bonheur, cette douce sensation qui grandissait en lui, comme s'il semblait perdre le contrôle de son corps peu à peu. Il flattait doucement le bas du dos de son amant, tout en chuchotant à l'oreille de son amour :

-Aaaaaaahhh, Johhnnnn.

Entendre son amant prononcer son nom l'encouragea et John finit par être complètement en l'homme. Il attendit un moment pour commencer tout mouvement. Il chuchota à l'oreille de Sherlock des paroles réconfortantes, des paroles remplies d'amour surtout.

Pensant ayant suffisamment attendu, John commença bouger. Il sortit son membre ne laissant que le bout puis rentra en un coup sec profondément en l'homme. Par la suite, il entreprit des mouvements régulier, prenant de la vitesse et de l'experience à chaque coup. Watson était plutôt doué en la matière, quoique ce fut la première fois qu'il eu une étreinte ainsi avec un homme. C'etait si différent. Sa respiration s'accéléra et de la sueur se perla sur ses tempes. Il prenait goût à cela et devenait fou en regardant Sherlock et le sentant autour de lui comme ça. John accéléra davantage, empoignant les cuisses de son amant pour une meilleure liberté de mouvement.

Le corps de Sherlock se cabra alors que la cadence de John s'accentuait. Il ne contrôlait plus son corps et certainement plus sa tête.

La respiration accélèrée de l'homme qui le pénétrait faisait dresser chaque poil de son corps. Il ne contrôlait plus le volume de ses plaintes et savait que peut-être Mme Hudson les entendrait. Mais qu'est-ce que ça pouvait vraiment lui faire ?

Il tira sur l'orreiller à ses côtés et s'enfoui la tête à l'intérieur, de peur de réveiller tout le quartier. Cela pouvait parraître stupide, mais il était terrifié du jugement de n'importe qui d'autre que la femme à qui appartenait l'immeuble.

Il coinça ses ongles très court dans les épaules musclées de John. Peut-être qu'il lui faisait mal. Il retira donc ses mains de cet endroit meurtri par ses mains, souleva l'orreiller et entre deux respiration, il prononça difficilement :

-Ça te fais mal, mes ongles ?

John ondula du bassin, n'arrêtant surtout pas ses vas-et-viens. Les ongles plantés dans sa peau lui fit un peu hisser, mais ne broncha pas plus que cela.

-Non...accroche-toi.

Il accéléra encore plus la cadence. Ces mouvement furent intenses, désordonnés. Ses coups étaient parfois brusque, allant très loin, d'autres, étaient plus lents et langoureux. L'homme était proche de venir et souhait faire jouir son partenaire. Il prit le membre de Sherlock dans sa main et commença à le pomper en même temps de le pénétrer loin en lui. Il mordit le lobe d'oreille de l'homme et haleta.

-Ahh, Sherlock..

Lorsque l'homme lui donna son accord pour qu'il s'accroche à même son corps, il n'hésita pas une seule seconde et agrippa solidement les omoplates de l'homme.

Dès que Watson commença à masser son sexe bien durcit, il savait qu'il ne durerait pas longtemps, c'était imminant. À chaque fois que le membre de son amour atteignait sa prostate, il lâchait des plaintes,m qu'il ne pouvait bien évidemment plus contenir depuis un bon moment.

-Ahh, Sherlock...

Et ce fut ce qui déclencha l'éjaculation de Sherlock. Il était tellement excité et il avait atteint le summum de son corps vierge. Le liquide chaud coula sur les mains de son amant et il finissait sur un dernier soupir :

-AHH, Watson !

John continua à peine quelques coups qu'il rejoignit bien vite l'homme dans l'extase. Il se retir de Sherlock et Touka sur le côté pour reprendre sa respiration. C'était incroyable comment ce fut si différent des autres fois. Après avoir goûter à l'homme aux cheveux bouclés, il n'était plus question d'aller voir ailleurs. Juste l'amour qu'il ressentît envers l'homme était supérieur à tout le reste.

Watson rit d'aise, libérant le peu de tension qui lui restait. Il regarda les tâches au plafond dont il avait l'impression qu'elles étaient plus belles qu'avant. Il se retourna le corps pour admirer quelque chose de plus beau encore.

-Comment tu te sens?

Il lui souriait et lui prit la main. Le docteur se sentait tellement bien.

-Comment tu te sens ?

Il regarda l'homme qui l'observait déjà. Tout en fesant des cercles avec son pouce sur la main de celui-ci, il lui répondit :

-Je vais extrêmement bien ! Et toi, mon amour ?

Il serra encore plus fort de la main de l'homme, approcha son visage du sien et l'embrassa tendrement, dans un baiser rempli de passion.

Il ne pouvait plus s'empêcher de sourire, il était si bien. Cette proximité qu'il avait maintenant avec son collègue lui faisait chaud au coeur. Il arrivait difficilement à croire ce qu'il venait de se passer. Il n'en revenait pas que leur amour était réciproque.

John Watson l'aimait. Cette pensée ne fit qu'agrandir son sourire alors qu'il regardait droit dans les yeux de l'homme à ses côtés.

Il aurait voulu rester dans cette position pour une éternité. Mais, même s'il devait seulement être 4 heures de l'après-midi, il se sentait fatigué, épuisé. Il avait besoin de sommeil. Sûrement que leurs ébats amoureux. Il proposa à l'homme qui se situait à sa droite de se blottir sous les couvertures pour quelques heures de repos.

John ferma les yeux, comblé du contact des lèvres de Sherlock sur les siennes. Il était comblé par le moment passionnel qu'ils ont partagés ensemble. Il s'approcha un peu plus de l'homme, profitant de sa chaleur et présence corporelle. Il colla sa tête contre l'épaule de Sherlock, l'homme aux cheveux bouclés étant plus grand. Le docteur huma l'odeur maintenant légèrement musquée de son amant, enfouissant son nez dans son cou.

Lorsque Sherlock lui proposa de faire une bonne sieste pour bien se reposer. John accepta. Ils avaient eu une journée loin de tout repos après tout. Il releva l'épaisse couverture molletonneuse du lit du détective et la rabattit sur eux. Il passa son bras sur le torse nu d'homme sur lequel il prenait appui et serra le corps contre le sien. John ferma les yeux et respira d'aise. Ainsi, ils étaient tellement confortable et le docteur ne voulait plus jamais bouger de toute sa sainte vie.

-Dors biens Sherlock. Fais de beaux rêves, je t'aime.