Pv SherlockedFancyness <3 (SHERLOCCCCKK ~) - TERMINÉ

John fermit les yeux paresseusement et répondit au baiser de l'homme. Celui-ci lui posa une question tout en se lavant les cheveux qui le surprit. Le docteur rit faiblement et se passa une main dans ses cheveux touts trempés.

-Oh, c'était bien. Très bien même..Delightful.

À son tour, il prit sa bouteille de shampoing, leur dix ayant chacun leur shampoing, et nettoya sa chevelure courte. Facilement traitables, il eut terminé rapident et se rinçait la tête, enlevant tout produit. Il se nettoya ensuite le corps avec son gel de douche. Il observa Sherlock qui s'était placé sous le jet de douche pour se rincer. Ses cheveux naturellement bouclés étaient maintenant applatis sur son crâne, lui donnant l'air d'un chat mouillé. Il prit une savonnette et proposa à son compagnon de lui nettoyer le dos.

Il accepta la proposition de l'homme et lui rendit sa faveur. Puis, il éteignit l'eau avant de se diriger hors de la douche, s'entourant d'une serviette. Il en lança une à John afin que celui-ci puisse lui aussi se sécher.

Il embrassa une dernière fois Watson avant de se diriger vers sa chambre ou il enfila un chandail I *coeur* love London. Puis se dirigea vers le cadre de porte de la chambre de son petit copain, ou il l'attendit pour retourner au salon lire, peut-être.

Il souriait au plafond, content de vivre un moment d'amour aussi pur avec son collègue. Enfin, il n'aurait sûrement plus jamais à conserver son amour pour cet homme pour lui-même.

À vrai dire, Holmes n'avait aucunement peur du jugement des autres, ils pourraient penser ce dont ils en avaient tous envie, car il était heureux et n'allait certainement pas se priver de son bonheur. Sauf que si John était mal alaise à démontrer son affection pour le détective en public, il n'aurait aucun problème avec cela, puisqu'il l'aimait.

Je l'aime, pensa-t-il pour lui même. Oh oui, je l'aime etrriblement.

L'homme prit la serviette que Sherlock lui lança et se séchait le corps pour ensuite enrouler la serviette autour de sa taille. Il imita le grand homme et partit de son côté à sa chambre. Il enfila un caleçon au motif de l'Union Jack, un cadeau de Noël de Mrs Hudson. N'ayant pas de sortie à faire aujourd'hui, il neit que sa robe de chambre pour compléter sa tenue. Il sourit bêtement à l'idée de rejoindre son petit ami et ouvrit la porte de sa chambre.

Sherlock était en train de l'attendre et remarqua comiquement que Sherlock adoptait lui aussi un vêtement 'patriotique' de leur pays. Le grand homme n'avait pas mot de pantalon, seulement des petits boxers noirs serrés mettant ses jambes en valeur, ne dérangeant aucunement Watson. Bien au contraire.

Il contourna son petit ami et l'embrassa avant d'aller s'asseoir au salon pour lire un peu, l'esprit en paix.

Lentement, mais surement, le détective à la chevelure mi-bouclée allait s'asseoir face à John, tout en saluant Mrs. Hudson qui était toujours dans la cuisine, à sourire joyeusement, tout en faisant le ménage.

Assis dans son fauteuil, il plongea finalement dans le livre acheté la veille et lu pendant un bon moment. Il fut dérangé par la dame de la maison qui lui apportait du thé et lui expliquait que les biscuits étaient disposés sur le comptoir, à refroidir.

Il se leva d'un bond en remerciant la femme et prit sa tasse de thé avec lui pour s'installé à la table avec l'énorme assiette de sa gâterie favorite.

-JOHHNNNNN ! As-tu faim ?

Sursautant par l'exclamation de Sherlock, John laissa tomber son bouquin par terre. Il le ramassa et enregistrait ce que son compagnon lui avait demander. Comprenant que les biscuits devaient être prêts, il posa son livre et se leva, arrangeant sa robe de chambre et partit dans la cuisine.

La dame qui s'occupait d'eux lui offrit une tasse de thé et il la remercie en s'asseyant à la table. John souriait comme un enfant. Sur la table se trouvait une énorme assiette remplie de merveilleux biscuits aux brisures de chocolat. Cela semblait si appétissant! L'odeur exquise de la gourmandise parvint à ses narines et l'homme expira, un bruit d'aise sortant de sa bouche.

Ne pouvant plus attendre face à la pâtisserie sortant tout droit four et encore chaude, il rendit la main vers l'assiette pour s'emparer d'un biscuit sans même laisser le temps à Sherlock de se servir lui-même.

Sherlock qui regardait l'assiette attentivement, à la recherche du meilleur goûter possible, remercia gentiment la femme qui leur avait préparer une telle gâterie.

Ses yeux brillaient d'envie face aux biscuits qui devaient sûrement fondre dans la bouche. En effet, lorsque Sherlock dégustait son premier biscuit, il eut l'impression d'être propulsé droit au paradis des papilles gustatives.

Malheureusement, il ne se rendit pas compte de la vitesse à laquelle il mangea un bon nombre de sucrerie et il devina que ce devait être la même chose pour John, car après moins de 20 minutes, il ne restait plus un seul biscuit sur la table.

Holmes se leva pour aller chercher la théière sur la cuisinière. Il revint et servit une bonne tasse à son copain ainsi qu'à lui-même. Il tenait sa tasse d'une main et alla poser l'autre sur celle de John qui était à plat sur la table qui les séparait.

Il lui fit un petit sourire gêné et continua à contempler dans ses yeux pour un bon moment.

Le ventre plein, Watson relaxa complètement sur sa chaise. Son estomac semblait comblé et il s'imaginait être dans un cartoon, le ventre tout rond la ceinture défaite et le chandail retroussé. Il ne portait pas de chandail ou de ceinture en ce moment, donc l'image était impossible.

Levant les yeux sur Sherlock, il remercie son petit ami qui lui avait apporté une tasse de thé bien chaude de son petit voyage dans la cuisine. Il but une gorgée et soupira satisfait du breuvage chaud qui réchauffait sa gorge. Le détective avait posé sa main sur la sienne et en profita pour retourner sa main pour serrer celle de Sherlock. Il répondit à son sourire adorable avec le sien remplit de tendresse, accompagnant ses yeux démontrant la même émotion.

Le grand homme se leva pour aller embrasser le front de son amoureux puis lui dire tout bas :

-J'ai tellement mal au ventre, je crois que je vais aller dormir. Bloody Hell ! Ces biscuits étaient si bons, je dois en avoir mangé beaucoup trop. Je t'aime beaucoup.

Sherlock lâcha sa main puis se dirigea vers la salle de bain, où il se brossa les dents. Puis, il se dirigea vers son lit douillet où il s'enroula dans les couvertures avant de s’endormir dans un sommeil parsemé de rêves merveilleux à propos de son nouveau petit ami.

Il se réveilla vers midi, enfila un pantalon noir et se dirigea vers le salon en demandant tout haut :

-John ? John, mon amour ? Où es-tu ?

John laissa Sherlock aller faire une sieste. L'homme ne dormait presque jamais d'habitude donc il se demanda s'il devait être content ou s'inquiéter que le détective dorme autant. Il resta donc dans la maison, attendant le réveil de son petit ami pour le questionner sur son état.

Le docteur s'occupa pour le reste de la matinée en continuant sa lecture, dont celle-ci fut presque terminée. Il alla faire aussi une visite sur son blog pour le mettre à jour et regarder les commentaires. John fut bien content d'avoir créés le site. Sherlock avaient plusieurs fans qui l'encourageait dans son travail et ça le motivait.

Il resta à l'ordinateur jusqu'au midi, alors que l'homme de ses pensées s'était réveillé. Il répondit à l'appel de l'homme, gardant ses yeux sur l'écran de son ordinateur portable.

Il avait l'esprit lourd, il avait beaucoup trop dormi et compris difficilement la réplique de son amoureux. Il répondit tout bas :

-hmmmm bon après midi!

Il s'écroula dans son petit fauteuil une place. Il regarda l'homme travailler sur son ordinateur portable. Il avait l'air tellement aspiré par le petit écran, qu'il n'osa pas le déranger. Le détective observa le journal du jour déposée sur la table de chevet. Il le prit entré des longs doigts avant de regarder l'article à la une. Une histoire de vol dans un petit supermarché du coin.

Il roula les yeux, ennuyé. Il avait hâte d'avoir une nouvelle enquête, des fois, ils n'etaient pas interpellés pendant plusieurs jours. La dernière fois, le délais avait été d'une semaine et 3 jours. Cette semaine-la avait été péniblement longue.

L'homme continua de tapoter sur son clavier d'ordinateur, continuant un article. Rien de très élaboré étant donné qu'ils n'avaient pas de nouvelle enquête sous les bras. Il édita une dernière fois son texte puis appuya sur envoyé. Il ferma l'écran de son portable.

-Bien dormi? Il me semble que tu as beaucoup dormi dans les dernières 36h.

Son attention maintenant sur Sherlock, il porta sa tasse de thé à sa bouche, prenant une gorgée. Le détective avait l'air exaspéré par le journal. Surement que les cas représentés dans les articles étaient beaucoup trop banals pour le grand homme. Sherlock devait avoir bien hâte qu'un nouveau cas qui aurait besoin de son expertise se pointe le bout du nez.

-Bien dormi? Il me semble que tu as beaucoup dormi dans les dernières 36h.

Sherlock, dont les idées vagabondaient, fut surpris par le questionnement de John. Il se retourna vers l'homme qui l'observait attentivement et lui répondit, sur un ton qu'il essaya de garder le plus neutre possible :

-Oui, j'ai très bien dormi, merci. Puis, à vrai dire, oui, en effet, c'est sûrement pour rattraper toute mes nuits d'insomnies des dernières semaines ! Il est vrai que je dors très peu habituellement, mais je crois que c'est seulement le manque d'enquêtes ces derniers temps, ça devrait passé. En plus, il y a un drôle de sentiment qui me tiraille. Mais ce n'est rien !

Il souriat faiblement à l'homme qui le regadrait toujours. Il avait l'impression que cette conversation n'allait pas être sa préférée du siècle.

John hocha lentement la tête, sirotant son thé hésitant. Il n'était pas convaincu par le petit discours apporté par Sherlock. Le docteur resta sceptique. Il était au courant des problèmes d'insomnies de l'homme. Il s'avait réveillé à plusieurs reprises des nuits, écoutant la mélodie de Sherlock qui jouait de son violon. Il be le dira jamais à Sherlock, mais les chansons qui jouaient tard le soir l'aidait souvent à se rendormir lorsqu'il faisait des cauchemars à propos de l'Afghanistan.

L'insomnie ne l'avait jamais fait tomber ainsi endormi pas l'epuisement. Sherlock parlait aussi de manque d'enquête à son actif. C'est vrai que l'homme détective s'ennuyait facilement, mais cela l'agita plus que l'endormir. En temps normal.

-Je sais pas la raison, mais je sais que ce n'est pas ça. D'habitude quand tu n'as pas de cas à étudier, tu es super nerveux.

Il fut déçu que son amoureux ne lui apporte pas de possibilités. Il n'avait pas plus d'idées par rapport à ce qui le rendais aussi lasse. Il posa son regard incompréhensif dans celui de l'homme qu'il aime et lui dit terrifié :

-Si tu ne sais pas ce qui pourrait me causer cela, alors imagines-toi comment moi je pourrais le savoir ? Tu es un docteur, tu connais le corps et ses réactions mieux que plusieurs personnes. Je suis excellent pour comprendre et découvrir ce qu'il se passe dans la vie des autres, mais je n'ai jamais été un expert pour me déchiffrer. Je... j'ai l'impression d'être perdu.

Il n'avait plus autant confiance en lui et ça le déprimait, il voulait se comprendre et se demandait pourquoi il était aussi difficile de se démystifier, alors qu'il y excellait en ce qui concernait les autres, même les purs inconnus.

L'homme médecin se frotta les tempes avec ses doigts, appréhendant une migraine. Il posa sa tasse de thé sur la petite table et se redressa.

-Je ne voulais aucunement t'offenser. Je suis docteur, je peux savoir les symptômes et ce que ton corps à besoin, c'est vrai. Mais je ne peux pas déchiffrer ton esprit, surtout la tienne. Pas entièrement du moins, meme si je le désirais. Tant mieux si tu trouves le sommeil pour une fois, mais c'est le contraire de tes habitudes et je ne peux m'empêcher de m'inquiéter un peu.

Il fit une pause, ne sachant quoi ajouter. L'homme devant lui était tourmenté par lui-même. Le Sherlock confiant était absent.

-Te sens-tu perdu parce que tu n'as rien a faire pour t'occuper l'esprit?

Il se sentit mal alaise que le docteur croit qu'il l'ait insulter. L'homme ne l'insultait jamais, puisque cette habitude était beaucoup plus apparente chez lui, et non chez son collègue.

-Je suis désolé que tu crois que tu aies touché un point sensible, ce n'est pas la vérité. Tu es la dernière personne que je connaisse sur cette terre qui puisse avoir la capacité de m'insulter. De plus, tu es toujours aussi réceptif, en tout temps...

Il soupira, découragé que la conversation tourne autour de lui et non quelque chose de plus intéressant, comme une enquête.

-Et puis, j'ai ce sentiment de déroute depuis quelques semaines déjà. Depuis ... depuis le moment où j'ai découvert à quel point ... à quel point j'avais des sentiments forts pour toi. Je suis déboussolé, c'est terrible de croire que le sentiment qui rend heureux autant de gens et qui est la source d'autant de problèmes, m'affecte. Je ne suis pas tout à fait habitué à ce genre de sentiment envahisseur, qui met autant de bonheur dans mon coeur.

Il regardait à présent le plafond, les larmes aux yeux.

- C'est un peu sot, mais, John, je n'ai jamais aimé quelqu'un de la sorte et je suis terrifié de laisser la chance à mon coeur de prendre le contrôle, alors que ma tête à toujours été le maître d'orchestre de ma logique.

L'homme souhaita se lever et serrer Sherlock dans ses bras mais s'abstenit. Il resta bêtement assis sur son fauteuil, les mains moites et la gorge serrée de voir les yeux larmoyants de son amour.

-Oui, c'est le cœur qui décide tout pour la tête. Il n'y a aucun raisonnement à faire. Aucun antidote pour y remédier.

Le docteur rit faiblement.

-C'est égoïste de ma part, mais ça m'arrange. Tous ces sentiments confus. La seule certitude que j'ai est que je t'aime. Savoir que tu as les même sentiments en toi me comble de joie. Je ne crois qu'il y ait davantage de cernements à faire.

Il finit à peine sa phrase que Ms Hudson apparaît dans le cadre de porte du salon, son manteau encore sur le dos.

-Les garçons, venez vite!! Un meurtre à eu lieu à quelques rues à peine d'ici!!!

Il fut comblé lorsque son copain prononça ses paroles. Il était très content que ses sentiments soient réciproques.

Il fit un énorme sourire à la femme qui surgissaient dans la pièce, avec une nouvelle qu'il attendait impatiemment. Il se lavait d'un bond, prenant la main de John au passage, pour l'amener près de la porte.

Il s'habillait dans une vitesse éclaire et regarda l'homme de ses rêves d'un air amoureux, l'embrassa rapidement avant de mettre le pied hors de la porte, terriblement heureux d'aller faire son travail.

John fut un peu ennuyé par l'intrusion, mais se laissa tirer par son petit-ami. Au moins, Sherlock avait retrouvé la bonne nouvelle et va pouvoir utiliser ses méninges. Il réussit à peine à suivre le rythme du détective qui dévalait déjà les escaliers, alors que lui était en train de mettre précipitemment ses chaussures. Il prit son manteau, salua la dame et accouru jusqu'à son amoureux qui était en train de l'attendre dans le taxi arrivé en un temps record.

Il entra dans le véhicule et boucla sa ceinture. Bien sur, Sherlock ne s'avait préoccupé de ce détail. Il regarda fermement l'homme.

-Nous reprendrons notre conversation après l'enquête Sherlock.

Malheureusement pour notre cher Watson, le cas du meurtre dura pour quelques bons jours.

Quatre jours plus tard, Sherlock, contenté, regardais joyeusement le petit bonhomme sourire sur le mur. Il lui souriait comme si cela avait été un sympathique samaritain.

Il attendait, depuis un peu plus d'une heure, le réveil de son collègue. Celui-ci devait être épuisé, se cette enquête avait demain beaucoup du sien. Ce meurtre avait été causé par une surdose de vaccin contre une certaine maladie, ce qui avait amené la victime par être atteint de celle-ci et en mourir, des la dernière dose, dans l'appartement même du meurtrier.

Il avait préparer, pour son cher John, un délicieux thé fruité, ainsi qu'une grande assiette d'oeuf brouillés, mis au réchaud pour qu'il ne refroidissent pas.

Puis, il prit son violon et joue une belle mélodie qui réveillerait tout doucement le docteur endormie a quelques pas de là, tout en repensant à l'enquête qui s'était achevée le jour précédant.

John se retourna dans son lit, se frottant les yeux. Il entendait au loin de la musique, de la belle musique. Il finit par ouvrir un oeil, puis l'autre. Il grogna en voyant les rayons du soleil qui transperçaient les rideaux. Dire qu'il se faisait rare d'avoir des journées aussi ensoleillées.

Le docteur se leva péniblement en prenant sa robe de chambre et se dirigea vers la salle de bain. Rien de mieux qu'une bonne douche pour mettre en marche sa tête et son corps. Après sa douche, il enfila son peignoir se brossa les dents et se rasa. Il sortit de la salle de bain tout frais.

En sortant, il fit un tour dans le salon et vit Sherlock. Il sourit et vint à sa rencontre pour l'embrasser sur la joue qui n'était pas appuyé contre l'instrument.

-Bonjour darling .

Sherlock se retourna de bonne humeur, et partit comme une flèche vers la cuisine.

-Viens, suis moi !

Il entrecroisa ses doigts avec ceux de John tout en déposant son violon à l'endroit où il le rangeait puis, il amenait l'homme vers la table pour deux personnes. Il lâcha la main de son amoureux pour tirer sa chaise et inviter le dernier à s'y asseoir confortablement.

De plus, il avait déjà fait l'arrangement pour le déjeuner, avec une jolie rose rouge dans un petit vase à la droite de Watson, une serviette de tissu violet repliée de façon à former un cygne, les ustensiles et la vaiselle, bien placée pour les deux hommes.

Il accourrut vers le réchaud pour en sortir la délicieuse nourriture confectionnée une heure plus tôt. Il déposa le plat sur la cuisinière pour vérifié la température et constata qu'elle était encore d'une chaleur parfaite. Il sorti du réfrigérateur quelques fruits bien coupés en cubes et déposa les deux assiettes pleins de nourriture devant l'homme de ses rêves.

Par la suite, il alla chercher le thé et déversa une certaine quantité du contenu de la théière dans chacune de leurs tasses.

Après son manège, il s'asseya en face de Watson et lui sourit.

-Bon Appétit ! J'espère que tu sauras apprécier ma piètre cuisine !

Il rit tranquillement, en insitant d'un geste de la main, l'homme face à lui à se servir avant lui, par galenterie.

Il observa son amoureux finaliser la belle table qu'il avait mis. Sa piètre cuisine? Tout avait l'air délicieux! Même le signe plié dans la serviette mauve, mais il s'abstenait tout de même de ne pas vouloir la manger. John sauta alors sur les plats, mettant une bonne quantité d'oeufs brouillés et de fruits dans son assiette. Il remercie l'homme en face de lui puis n'attendit pas pour commencer à goûter au déjeuner.

À la première bouchée, il était aux anges. Ses papilles gustatives se régalerent. Les œufs étaient dorés mais encore tendre dans sa bouche et les fruits était d'une fraîcheur étonnante. Il but une gorgée du merveilleux thé.

-C'est délicieux mon amour.

Après avoir vidée son assiette, il se servir une autre fois. C'était si délicieux qu'il ne pourrait laisser une seule miette.

Sherlock regarda son petit ami dévorer les plats qu'il avait préparé. Il trouva plutôt comique qu'il apprécie autant la nourriture, puisque c'était une des premières fois où l'homme prenait la peine d'en faire, lui-même.

Après avoir rit mentalement des manières de John, qui étaient terriblement mignonnes, il se servit une ou deux cuillerée d'oeuf ainsi que quelques dés de délicieux melon.

Il savoura chaque bouchée. Il devait s'avouer que la préparation des protéines jaunâtre était parfaite. Il était très fier de lui, une chance qu'il les avaient réussis, car ils les avaient spécialement cuits pour son meilleur ami.

-Merci, je suis heureux que tu aimes cela.

Sa deuxième assiette achevée, John s'essuya la bouche avec une serviette. Il n'avait pas osé prendre celle pliée en forme de cygne et en avait pris une autre. Il desservit la table, ramassant son assiette. Watson fit le tour de la table pour embrasser Sherlock en guise de remerciement. Les petites attentions comme celle-ci faites par l'homme, il les chérissait.

Les couverts dans l'évier, John se rendit compte que le lavabo était plein à craquer de vielle vaisselle sale. Il plissa le nez de dégoût et entreprit de faire la vaisselle.


-Ouf, il était temps de mettre un peu d'ordre la-dedans.