Missing. [libre]

Elle laissa échapper un sourire.

-Oui bon, c'est vrai cette fois c'est moi.

Elle enfila la chemise puisque Ezio voulait bien qu'elle la garde et se blottit dans le canapé en serrant la chemise contre elle. C'est qu'elle était bien dedans, parce qu'en plus de tenir un peu plus chaud, elle sentait l'odeur d'Ezio, et elle devait bien avouer qu'elle aimait bien cette odeur.

-Ca fait longtemps que je dors?Demanda-t-elle.

En effet, elle n'en avait pas la moindre idée. Elle n'avait pas la moindre idée de l'heure qu'il était quand elle est arrivée ici et le temps qui c'était écoulé, et elle ne pouvait même pas s'aider de la lumière extérieure puisqu'ils étaient au sous-sol.

-" une heure."
Pas besoin de rajouter plus. Elle avait bien dormit faut dire. Mais elle avait qu'a regarder la pendule qu'était au dessus de la TV pour le savoir. Mais bon.
Toc.Bang.Toc Toc.Bang. Toc Toc Toc.
Tient, Ezio n'avait reçu aucun appel qui disait que quelqu'un allait venir, c'est pourquoi il hésita à ouvrir la porte. Puis une voix se fit entendre, une vois fort qui semblait essoufflée.
-"Ezio vite c'est grave, faut bouger de planque".
il avait aussi une plaid en sang sur le bras, son flingue à la main.
-" Qu'est ce qu'il y a ?"
-" Les italiens, ils sont là, y veuelent là gamie sous prétexte qu'il en on plus besoin que nous."
-" Pourquoi Boss ne m'a pas prévenue ?!"
-"... Il est mort, Ren aussi. On a pas pu aller voir le président, ils nous on attaqué avant."
Les Italiens étaient une autre familles de la mafia. Mais eux étaient sans pitié. Si ils mettent la main sur Loïs, qui sait ce qu'ils lui feront.
Ezio parut perdu, boss mort. Ren mort. Les Italiens au cul. Manquait plus que Loïs soit un agent du FBI tient... Peut probable mais bon.
Il l'a regarda un instant puis la prit dans ses bras pour l'emmener ailleurs. Il fallait surtout pas qu'il l'est. Il partit en courant, suivit de Nobu.

Il courait aussi vite qu'il le pouvait pour la mettre à l'abri. Mais ses effort furent vint, les Italiens étaient déjà ici. Ce fut une balle qui siffla près de l'oreille de Ezio qui l'alerta. Faisant volt face, il vit l'homme. Enfin les hommes, ils étaient quatre.Il Mit Loïs derrière un mur en lui disant de ne pas bouger, et sortant son flingue commença à tirer. Faisant tout pour qu'ils ne se rapprochent plus. Les balles siffler dans tout les sens. Ezio ne savait plus quoi faire, il devait rester près de Loïs pour ne pas qu'ils l'emmènent, mais il devait aussi tuer ses mecs. Nobu était déjà en train de tirer.
Il regarda L'ange dans les yeux. Comme c'était la permière fois et se planta dans le couloir où les balles volaient de partout.
Vidant son chargeur, dix minutes après,les quartes hommes étaient mort. Et Nobu aussi. Ezio s'avança pour voir qi il respirer encore. Une balles dans la cœur l'avait achevé. A cause de cette mission il venait de perdre les trois personnes qui l'avait accepter. Les trois personnes qu'il respectait le plus. Le boss, Ren, Nobu. Plus jamais il ne l'ais verrait.... Il restait encore la patronne, la femme de Yasu, c'était une femme forte. Elle lui dirait quoi faire.
Mais où emmener Loïs maintenant ?! Pour l'instant il l'a reprit dans ses bras et s'enfuit en volant une voiture qui s'était garée à la sortit du bâtiments. Le plus imlportant était que Loïs reste en vie.

Ezio n'avait plus vraiment conscience de rien, il roulait à toute vitesse. Ne remarquait pas que Loïs était paniquée. Il savait pas trop quoi faire. Le mieux encore était d'aller voire la patronne. Elle lui dirait quoi faire. Mais si il y allez maintenant, les Italiens allait savoir où était la maison mère... Il bifurqua sèchement sur la gauche et eut enfin une idée. Il allait emmener Loïs à son appart'. Là-bas c'était sûre et il avait fait installer quelque truc au cas où des événement comme ça arriver. Notamment une petite pièce caché qui pourrait servir à Loïs pour se cacher si les Italien débarquaient.
Il freina durement en arrivant en bas de son immeuble. Là il resta un instant, essayant de éclaircir ses idées.

Le voix de Loïs lui fit reprendre conscience. Il en avait presque oublié qu'elle était là elle !
-" Ouais... Mais avant fait que je te prévienne d'un truc. A la base ça devait juste être un kidnapping puis toi tu rentrer chez toi et on en parle plus, mais la y a des complication. Alors tu choisit soit tu m'écoute et tout ce passe bien, soit non et là je sait pas si tu restera en vie. Ceux qui en on après toi sont prés à tout, il sont sans pitié. Alors pour ta sécurité, écoute ce que je dit OK ?!"
Mieux vaut prévenir que guérir comme on dit. Il était claire sur ce coup là. Mais il avait utiliser peut-être des mots un peu trop brute pour l'ange. Il avait pas totalement conscience du poid des mots et il était un peu déboussolé. On lui pardonne ?!
Il sortit de la voiture et vain ouvrir la porte à Loïs. Il l'a prit par le bras et l'emmena dans l'immeuble. Une fois dans l'ascenseur, il appuya sur l'étage voulut. 7.

Il s'avança en tenant le bras de Loïs dans la main. Une fois devant son appartement, il introduit la clef et poussa la porte. Faisant entrer Loïs en premier, il verrouilla l a porte après être entrait lui même.
C'était un appartement tout ce qu'il y a de plus banale. Une chambre, une salle de bain et un grande pièce qui servait à tout. Les meuble était tous en bois massif. Et la déco était douce avec quelque tableau de grand peintre, des sculptures. Un bonsaï trônait fièrement sur la table à manger. Un grand écran plasma était accroché au mur en face d'un canapé noir trop soft.
Sympa comme appart'. Être dans la mafia n'a pas que des avantage mais ça paye bien.Il ne dit pas un mot et s'assit sur une chaise pour rallumer une clope. L'appartement, en plus de l'odeur d'ezio, sentait l'encens.
Ezio savait pas trop quoi faire. Le mien était d'attendre un peu puis d'appeler la patronne. Il leva les yeux vers Loïs. Elle semblait pâle et pas en forme.Il se releva et posa une main sur osn front pour voir si elle avait de la fièvre. Elle aurait prit froid dans la cellule ?!
Voyant bien qu'elle n'avait de température, il en déduit qu'elle devait être stressée.
-"T'inquiète pas, maintenant ça vas se calmer.T'est en sécurité ici , petit ange."

-" Jusqu'à ce qu'il te trouve... Où que l'on te rend à ta famille. Mais même là je suis pas sûre qu'il te laisse en paix."
C'est vrais après. Ils ne s'arrêteront pas. Mais cette appartement n'est pas connu et il n'avait pas utilisé son nom pour le louer. Alors personne ne savait qu'il habiter ici. Donc Ils ne pouvaient pas savoir où était Loïs pour l'instant elle était en sécurité... Tout d'un coup, il se rendait compte qu'il était pas doué pour lui parler. Il disait la vérité mais c'était peut-être dure pour elle. Mais y pouvait pas non plus lui mentir.
-"Désolé de te dire ça comme ça. Mais t'a pas à t'en faire, je l'ais laisserait pas t'avoir petit ange. Je leur donnerait du fil à retordre à ses enfoirés."
Ouha mais qu'est qu'il lui avait prit de dire ça !! Non mais ça le gênait lui. Déjà s'excuser était un truc qui faisait pas souvent. Puis lui dire ça comme ça. Des fois faudrait qu'il se mette à réfléchir....

Elle hocha à nouveau de la tête en le regardant. Il était certain qu'elle avait trouvé la suite un peu plus rassurant, pour une fois ça lui faisait du bien. Parce que depuis les début on lui faisait bien comprendre qu'au moindre faux pas elle était mal. C'était sans doute vrai, et c'était bien qu'elle le sache, mais ces quelques mots rassurants ne tueraient personnes.
Elle réussit alors à se détendre un peu dans les quelques minutes qui suivirent. Rien que l'odeur que contractait cette pièce suffisait à la calmer.

-Merci ... Balbutia-t-elle finalement au bout d'un moment.

Bon il était vrai que comme nous l'avons déjà dit c'était en partie à cause de lui qu'elle se retrouvait là, mais maintenant que les choses ne tournaient pas comme elles auraient du se faire, Ezio aurait très bien put la laisser et prendre la fuite, maintenant qu'il avait perdu les personnes qui l'avait recueillit. Mais ce n'était pas le cas, et elle était obligée d'avouer qu'elle en était reconnaissante.

Bon il se sentait gêné. C'est vrais pour lui dire ce qu'il ressentait vraiment, c'était pas son style. Alors qu'est ce qu'y lui avait prit de dire ça. Ben c'est pas comme si il lui avait dit clairement ses sentiments. Mais bon. Pour lui c'était pareil.
Il se leva tout en continuant à fumer, un peu gêné il décida de passer un coup de fille à la patronne histoire de changer de sujet. Il s'enfonçait à vu d'œil là. Il prit le combiné et composa le numéro. Quelque décrocha aussitôt.
-"Allo ?!"
La voix au combiné était douce et calme. Elle tremblé d'émotion... pour la patronne non plus ce ne doit pas être facile. Après avoir perdu son mari, ses deux fils elle doit se retrouver à la tête de la famille de la mafia.
-"C'est Ezio."
-"Ezio ! est ce que tu vas bien ?!"
-" Oui, et vous patronne ?"
-" Oui il faut bien. Tu est au courant?!"
-" Nobu est venu me chercher, il me la dit. Puis les Italiens nous ont surprit. J'ai pas put le protéger..."
-" Ce n'est pas de ta faute Ezio... Et la fille ?!"
-" Elle est avec moi. En état de choque mais en bonne santé."
-" Très bien. Je viendrait moi même pour tout arranger. Le président aussi viendra avec moi. On finira cette histoire une fois pour toute."
-" Mais les Italiens ne s'arrêteront pas là. Même une fois rendu à sa famille, elle sera en danger et ..."
Mais qu'est ce qui lui prend à la fin.
-"De toute façon, je ne pense pas que je pourrait venir de si tôt. Je te tient au courant."
-"Ouais."
-"A plus tard Ezio, fait pas de bêtises qui te couterait la vie d'accord ?!"
-"J'essaierais."
Il raccrocha sans plus de précision. Maintenant au moins il était fixé. Il devait rester là et attendre...
La patronne était quelqu'un de très doux. Il ressemblait un peu à une maman c'est vrais.

Loïs leva le regard vers Ezio et le suivi des yeux jusqu'au téléphone. Là, intriguée, elle tenta de comprendre à qui il téléphonait, jusqu'à ce que le mot "patronne" vienne à ses oreilles. Elle commençait à comprendre. Mais le reste de la conversation lui fut assez trouble puisqu'elle n'entendait que l'un des deux interlocuteurs, c'est à dire Ezio.

-Des bonnes nouvelles ...? Tenta-t-elle, même si elle n'avait pas beaucoup d'espoir.

Elle se leva a son tour, marchant un peu dans la pièce pour tenter de se dégourdir les jambes. Elle regarda alors la décoration de la pièce, s'attardant sur certains tableaux.

Elle semblait pas avoir comprit l'épisode où il s'inquiétait pour sa vie... Même la patronne avait semblait un peu étonnée par sa réflexion, il avait eut un petit rire léger. Ezio l'aimait bien, elle était gentille et franche. Clame. Il la respectait beaucoup.
-" Pas pour toi. On peut pas voir le président dans l'état actuel, alors tu devrais rester ici."
C'était pas cool de devoir l'enfermer comme ça. Il aurait voulut la rendre à sa famille. Mais il pouvait pas. Les Italiens pourrait la reprendre. Et puis c'était ça mission depuis le début de la surveiller jusqu'à la négociation.
Il s'affala sur la chaise qu'il avait quitté un peu plus tôt en la regardant marcher das son appart'. C'était bizarre pour lui de voir quelqu'un chez lui... C'était la première fois. Il ralluma une cigarette et tirait une longue bouffée. Pour l'instant le rythme semblait ce clamer. C'est pas plus mal.

Elle tourna la tête vers lui au moment de sa réponse. Bah, elle s'y attendait de toute manière. Elle essaya de ne plus y penser, de se dire qu'elle était juste dans l'appartement d'Ezio en attendant que son père vienne la chercher. Difficile à imaginer, mais rien que d'avoir cette idée en tête la détendait un peu. Après avoir fait le tour, elle revint se poster face à lui et fronça les sourcils en voyant qu'il avait encore une clope à la bouche.

-Imagine si tu fumes déjà tout ça à 19 ans ... Qu'est-ce que ça sera dans 5, 10, ou même 15 ans?

-"Qui sait si demain je suis pas mort.Je m'en fiche de ça moi."
Il était pas du genre à penser au futur. Il savait très bien que dans cinq minute il pouvait se fracasser le crâne à cause d'une mauvaise chute et mourir d'un coup. Où d'autre truc comme ça. Puis, on est inquiet de mourir que quand des gens autour de nous ne veulent pas qu'on meurt. Dans sa vie à lui, il y avait personne. Alors il s'en fichait bien de mourir.
-"Si tu veux un truc tu te sert."
Il se leva et alla s'allonger sur la canapé. il faisait bon dans l'appartement. Heureusement qu'il était torse nu sinon il aurait trop chaud. Il ferma ses yeux, pour se reposer un peu. Tout en continuant à fumer tranquillement.

Rah ce que c'était bien de pouvoir enfin se reposer. Il était complétement à côté de la plaque là. Une bombe aurait put exploser à coté qu'il s'en foutrait. Il dormait pas vraiment, il somnolait, en oubliant sa clope, laissé entre ses deux doigt de la main posé sur son torse.
Il essayait de se remémorer tout ce qu'il s était passé aujourd'hui. Il avait kidnappé la fille du président, il l'avait séquestrée. Puis les Italiens sont arrivé, on tuer le boss Ren et Nobu. Et maintenant c'est à la patronne de lui dire ce qu'il doit faire. Il savait plus où donner de la tête, c'était trop compliqué cette affaire pour lui.
Quand il commençait vraiment à piquer du nez, la cendres de sa clope tomba sur lui. Et ça brule cette connerie. Il se redressa d'un coup avec un P**** assez discrait mais audible quand même. Saleté de clope.

-"... C'est la première fois que ça m'arrive... Tient si c'est comme ça j'en allume une autre."
Il prenait un malin plaisir à l'énerver mais depuis le début elle réagissait pas. C'était pas drôle. La brûlure de cigarette lui avait fait une patit marque sur la peau, une de plus à rajouter. Comment en l'espace de seulement 19 ans il avait put se faire autant de cicatrice... Bonne questions.
Tout en sortant une nouvelle cigarette du paquet, il se rendit compte que son briquet marchait plus... Le plus pénible pour un fumeur c'est d'avoir la clope mais rien pour l'allumer.
Pas de problème, il devait bien avoir un briquet quelque part. Il se leva et se dirigea vers la cuisine. Pas de briquet, mais une boite d'allumette. Il devrait sans satisfaire. Il craqua donc une allumette et une petit odeur de souffre se fit sentir l'espace d'un instant.
Revenant vers son canapé adoré, il posa son regard sur Loïs... Elle faisait quoi là ?! Un dessin de lui ?! Il s'approcha pour bien regarder. Plutôt pas mal réussit d'ailleurs, c'était ressemblant. Il sourit un peu, échappant un léger rire.
-" Tient t'est attente du syndrome de Stockholm maintenant !"
Pour ceux qui ne le savent pas, le syndrome de Stockholm c'est quand les victime éprouve de l'affection vis à vis de leur agresseur.

-" Rah mais tu sait, quand tout ça sera finit, je pense pas qu'un portrait robot aidera à me retrouver. Soit contente tu me reverra plus."
Ouais après cette mission, il partait. Où ça... Japon peut-être il parlait le japonnais et un chef de la mafia japonnai l'avait remarqué. Il disait qu'il serait très fière de compter Ezio dans ses rang... Ouais plus rien ne l'attachais aux USA maintenant. Il pouvait partir sans se retourner.
Il posa la main sur la tête du petit ange en frottant doucement comme on fait pour féliciter un chien.
-"Gentille fille va!"
Il repartit sur son canapé. Histoire qu'elle puisse finir son dessins. Elle pouvait pas avoir réussit à dessiner toutes ses cicatrices en aussi peu de temps. 43 il en avait comptait une fois. Sur tout le corps... Mais c'était l'an dernier, il devait en avoir plus maintenant. Il souri doucement, si tout les otage était si facile que Loïs, il en aurait peut-être un peu moins.

(Omg, j'ai HORREUR quand on me fait le coup du "gentil chien c'est bien" moi XD)

Elle se retourna vers lui alors qu'il retournait sur son fameux canapé et fronça les sourcils, sentant le rouge lui monter aux joues. Elle prit alors la feuille et en fit une boule dans ses mains et la jeta un peu plus loin.

-De toute façon il est raté, pas étonnant avec le modèle que j'ai pris aussi.

Elle croisa les bras en retournant le dos à Ezio et resta assise comme ça sans plus bouger.