Missing. [libre]

Il y a une vingtaine d'années, monsieur Dickson n'était alors qu'un jeune homme de trente ans, fraichement sortit de longues études en sciences politiques. C'est à cet âge là que cet ambitieux et vigoureux garçon s'embarqua dans le domaine complexe qu'est celui-ci de la politique. Il avait toujours eu une âme de leader, toutes les personnes le connaissant pouvaient le confirmer. Ils étaient d'ailleurs tous persuadés que James Dickson finirait dans un poste très promu, à la tête de nombreuses personnes. Si on lui avait dit, à cette époque, qu'il s'agirait des États-Unis entiers, il leur aurait rit au nez. Pourtant, c'est ce qu'il s'est passé. James ne s'est point contenté d'être à la tête d'un groupe de personnes, non, il a décidé, exactement 15 ans plus tard, après être passé de maire, à député, puis ministre, de se présenter aux élections présidentielles. C'est ainsi que James Dickson entra dans la maison blanche, accompagné de sa charmante femme, Sidonie Dickson, et de sa fille unique, la prunelle de ses yeux, la belle Loïs. Une fois sa date au poste de président expirée, James retenta sa chance qui lui sourit à nouveau et il fut réélu à l'unanimité.

Il faut savoir que lorsque l'on est président le danger et les menaces pèsent beaucoup plus lourd que le commun des mortels, sur vous ou sur votre famille. Aussi, James Dickson fut habitué à recevoir divers lettres de menace anonymes au cours de sa carrière, même lorsqu'il n'était que ministre, et n'y fit plus attention. Oh, bien sûr, il n'en était pas indifférent. Lorsqu'il lisait quelque lettre parlant de tuer sa fille ou sa femme, un frisson lui parcourait l'échine et il balançait la lettre en ordonnant qu'il ne voulait plus voir des horreurs pareilles dans son bureau. Peut-être n'aurait-il jamais dû, ou alors, aurait-il dû simplement prêter un peu plus d'attention à ces lettres qui semblent être là uniquement pour épouvanter l'homme à la tête du gouvernement, et qui, parfois, peuvent se révéler véridiques, et les auteurs de celle-ci commettent vraiment les actes qu'ils prévoient de faire.
Et malgré toute la protection qu'il y avait toujours eue autour de la famille Dickson depuis la montée de celle-ci au pouvoir, on n'empêcha pas la fille du président de se faire enlever. Oui, le 16 février exactement, Loïs Dickson fut enlevée, sans qu'on sache comment. Ceci resta longtemps dans les mémoires, le plus grand des mystères. Était-ce le génie des malfaiteurs ou une erreur professionnelle des employés chargés de la protection de la jeune fille? On ne le sut jamais. Mais ce qui préoccupa plus, le 16 février au soir lorsqu'on appris officiellement que Loïs était portée disparue, était, comment allait-on la retrouver? Vivante … Morte? A quel prix?

Mais parlons un peu plus de Loïs Dickson. Alors qu'elle n'était qu'une gamine quand elle était entrée à la maison blanche, elle était maintenant âgée de 16 ans, et était plutôt mature pour son âge, aussi bien physiquement que mentalement. Toute sa jeunesse elle fut protégée, et entourée pour la plupart du temps uniquement d'adultes. Elle n'était autorisée en rien à ce que tous les enfants « normaux » de son âge auraient le droit de faire. Comme aller à l'école à pieds avec les copains, puis aller à des fêtes, sortir avec des garçons. Non, Loïs avait été surprotégée, ce qui est, pour son cas, normal. Mais elle avait été privée de son enfance, et maintenant de son adolescence. Elle ne s'en plaignait jamais, car elle était contente et fière de son père, et de sa mère, que la plupart des gens du pays aimaient. Elle même, était appelée étant jeune « le petit ange des États-Unis », le surnom était ensuite resté. Sinon, en apparence, la demoiselle était de taille moyenne,et avait les cheveux blonds formant de belles boucles lui arrivant au milieu du dos. Sa peau était légèrement dorée et ses yeux étaient d'un vert remarquable. Son visage fin et doux. Ses formes parfaites. Elle était ravissante.

Loïs non plus ne sait pas comment elle-même a été enlevée, car elle n'en a plus aucun souvenir. Non, elle se souvient juste d'un objet lourd et massif lui ayant cogné violemment le crâne. Sa vision s'était troublée et en peu de temps, elle était inconsciente. Elle s'était réveillée, dans une pièce à un sous-sol, du moins elle le supposait, car aucune lumière naturelle ne filtrait la pièce démunie de fenêtres, éclairée seulement d'une vieille lampe halogène, baillant au plafond et éclairant faiblement. Elle avait voulut se relever, mais en tentant de s'aider de ses bras, elle découvrit ceux-ci ligotés derrière son dos. La panique avait commencé à la prendre. Jamais elle n'avait été éloignée de ses parents ou de chez elle, et la seule fois où elle avait l'occasion de le faire, c'était pour se retrouver dans cette pièce -fortement déconseillée aux claustrophobes- vide. Pas même un signe de vie. Et alors qu'elle se croyait seule, abandonnée à son sort ...

(Voilà, c'est libre, je pense que je n'ai pas besoin de vous dire qui il faut faire. (: )

Le pays des USA était en totale confusion. Tout le monde cherchait le petit ange. Les chaine TV était toute en train de parler de son enlèvement. Comment malgré toute la sécurité qui avait était déployer pour protéger la fille du président, il avait sauvagement était kidnappé. Par qui ? Pourquoi ? Mais surtout Comment ?
Allons, allons. Un question à la fois. Comment ? Par un plan qui avait couter trois ans de sa vie à un jeune homme de 19 ans maintenant. Le plan était simple est en même temps assez dure à réaliser. Le jeune homme en question devait rentrer au service de la maison blanche. mais simplement âgé de 16 ans à son entré, il ne pouvait rien espérer de mieux que bonne. Une jeune homme se retrouva donc à passer le balais, pendant deux ans, avant d'enfin pouvoir postuler pour la garde rapproché de la fille du président. Une fois à son service, il sympathisa avec Loïs pour gagner sa confiance. Attendant un ans, pour ne pas que les soupçons retombe sur lui, il l'assomma pour l'emmener dans se sous-sol des plus lugubre.
Pourquoi maintenant. Parce qu'on lui avait dit de la faire. Ce n'était pas lui le cerveau de l'opération, il n'était que sous fifre. Et pour répondre à cette question, on doit aussi répondre à la question "par qui?". La mafia était derrière tout ça. Et oui, la mafia avait un intérêt que le jeune homme ne connaissait pas à kidnapper le petit ange. Il avait demander au plus brillant élément de la maison secondaire qui siégeait près de la maison blanche de s'occuper de l'enlever.
Son nom : Ezio.
Il n'avait pas de nom de famille, car il était orphelin. Abandonné à sa naissance, recueillit par la patronne de la maison mafieuse de Washigton, il avait vécu de le sang des ennemies de la mafia, dans le vole, dans les coup d'état secret et tout cette univers qui a fait de lui, ce qu'il est aujourd'hui. Un mafieux, un vaurien.
Il était grand, musclé, à la peau blanche. Ses yeux étaient gris métal et ses cheveux brun sombre. Il avait une cicatrice qui lui barrait l'œil gauche.
Il était assit dans un fauteuil près de la cellule de l'ange. Il se reposait un peu, car l'enlèvement était fatiguant.

Bang...
Non des réveilles au son d'un porte métallique frapper par un pied c'est pas agréable.
Ezio ( prononcé à l'italienne son nom s'il vous plait) se leva péniblement, se grattant la tête de sa main droite. Vêtu d'un costard noir avec une cravate, tenue mythique des mafieux, il en avait juste gardé la chemise blanche le pantalon noir, la cravate qui partait sur le côté et dont le nœud se trouvait au niveau de son cœur... Il avait les cheveux qui partait dans tout les sens aussi. En,fin bon une tête d'un mec qu'a pas assez dormit quoi. Trainant les pieds, il se laissa guider par son instinct vers le frigo pour en sortir une canette de bière et une bouteille d'eau. Il posa la canette sur la table qui se trouvait non loin du réfrigérateur et s'avança vers la porte. Ouvrant une petite trappe qui se trouva sur celle ci, il tendit tranquillement la bouteille d'eau.
-" Enfin réveillée Loïs ? T'a besoin d'un truc ? Sinon silence je pionce."
Sa voix grave était douce quand même. Agréable et apaisante.
Il trouvait pénible son boulot à la maison blanche, alors le faite que la mission fut enfin terminé était un soulagement pour lui. Servir de larbin au président, qu'elle plaie. Mais quand il fut rentré au service de Loïs, il trouvait les jour un peu moins long. Y avait plus d'action, c'était mieux, puis il avait sympathisé. Mais s'en souvenait-elle ? Parce qu'après tout, il n'a toujours était qu'un sous fifre...

Loïs, qui attendait un réponse, s'immobilisa en entendant la voix de l'interlocuteur derrière la porte, qui lui avait par l'intermédiaire d'une trappe, fait glissé une bouteille d'eau. Pendant au moins trente secondes qui lui parurent une éternité, elle ne bougeait plus, comme si elle n'arrivait à se remettre du choc qu'elle venait de recevoir. Était-ce bien Ezio qu'elle venait d'entendre? Elle avait beau avoir reçut un coup sur la tête il y a peu (quoiqu'elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là après tout), elle se rappelait tout de même de la voix du jeune homme.

-Ez ...Marmonna-t-elle avant de finalement changer d'avis et ne rien dire.

Elle s'était sans doute trompée, ça ne pouvait être lui, c'était impossible. C'est qu'elle était bien naïve, la petite (plus si petite que ça) de penser qu'aucune des personnes de son entourage ne lui voulaient du mal, ou du moins, avaient de mauvaises intentions.
Elle déglutit alors, respira un bon coup pour se donner du courage et empoigna fermement la bouteille et dit d'une voix plus forte que précédemment :

-Qu'est-ce que je fais là?

Assez stupide, comme question, mais en même temps, c'était la question qui lui trottait le plus dans la tête. C'est vrai, qu'est-ce qu'elle faisait là au juste?

-" J'en sais rien moi. On m'a dit te te mettre là et t'attendre... Attend et tu sera. Bon si tu veux rien, moi je vais pioncer. Bonne nuit."
C'était typique de lui ça. Il arrivait à s'endormir en moins de temps qu'il ne faut à une personne normalement constituée. Il lui arrivé même des fois de dormir sur le canapé qui se trouvait dans la chambre de Loïs quand celle ci prenait son bain. Mais le réveille était toujours un truc qui passé mal.
Il s'était sentit mal, en l'assommant. Il avait l'impression de la trahir. Qu'il ne méritait plus sa confiance. Mais c'était surement une amitié factice qu'elle lui portait. Il n'avait que trois ans de différence, faisant de lui le plus jeune qui travaillait à la maison blanche. C'était donc normale qu'ils se rapprochent. Pourtant il avait des caractère différents. Mais bien sûre, l'ange ne la connaissait pas si bien, puisqu'elle ne devait pas se douter qu'il eut put faire ça. Il s'était réconforter en ce plongeant dans l'idée que c'était décidé depuis la début, qu'il ne devait fidélité qu'a son boss, qui lui avait servit de père. Elle n'était rein d'autre qu'un colis qu'il devait apporter. Pourtant, quand il la déposa dans le sous sol, et que son boss lui dit que sa mission était finit et qu'un autre la surveillerai, il insista pour qu'il s'en charge lui même... Et après ça elle était rien hein ?!
Ils savent pas ce qu'il veulent ses mecs.
Il s'assit sur la canapé, engloutit sa bière et alluma la TV sur un reportage détaillé de la situation à la maison blanche après l'enlèvement de la fille du président.
-"Écoute la TV et tu sera ce qui t'est arrivé."
Il avait trop la flemme de lui expliquer.

-"Quoi ?! ... T'a faim ?"
Lui il était pas très délicat dans son genre, mais bon on lui pardonne. Il pensait que ça faisait un moment qu'elle savait qui il était, donc il s'affolait pas. Il se releva pour retourner dans le frigo et prendre un sandwich préalablement fait. Il se re avança et ré ouvrit la trappe pour lui tendre la sandwich, en attendant cette fois qu'elle le prenne, un sandwich qui s'écrase au sol c'est pas bon à manger après.
-" J'espère que ce simple met suffira , petit ange !"
Mais il savait que ça lui plairait, c'est lui même qui avait préparer les provision, et il avait fait ce sandwich celons les gouts de Loïs, pour justement qu'elle en mange, une gréve de faim serait évitée, elle pouvait pas résister à son sandwich préféré quand même.Un brin d'ironie flottait dans sa voie, sans méchanceté, il déconnait juste.
-" Cette fois si tu veux un truc dit le moi maintenant avant que je me rassoit, sinon je me relèverait pas."
Il resta comme ça, la main dans la trappe avec le sandwich à l'autre bout. Debout contre la porte. Il regarda un peu par la trappe qui était quand même assez grande pour essayer d'apercevoir le petit ange derrière.
C'était des journaliste qui lui avaient donnés se surnom. Ezio l'utilisé toujours pour parler d'elle, il lui allait si bien.

Loïs fronça les sourcils, sentant le feu monter à ses joues. Elle n'était pas tellement d'humeur à rire, vu les circonstances. A moins qu'il ne soit là pour la "délivrer", non elle ne rirait sûrement pas avec lui. Et comme il était certain qu'il ne la laisserait pas sortir, cela ne serait pas prêt d'arriver. Mais quand il lui tendit le sandwich elle s'attendrit presque, je dis bien presque. Elle prit le sandwiche violemment, enfin, violemment selon elle, parce que, si on comparait sa violence à celle de Ezio, il était certain qu'il n'y aurait pas photo, mais il avait du le sentir, sans doute.

-J'en veux pas de ton stupide sandwich! Grommela-t-elle, en ayant tout de même pris le sandwich.

Était-ce sa faute à elle si c'était son sandwich préféré et que rien qu'en le voyant elle s'était rendue compte qu'elle crevait de faim?
Une fois qu'elle l'eut elle retourna au fond de cette caverne -bon, c'était pas non plus une caverne mais presque- et s'y rassit sans dire plus un mot. Qu'est-ce qu'elle aurait put dire de toute façon? Ezio ne voulait pas parler, et de toute manière, elle se sentait trop trahie pour faire la causette.

(Je viens de me rendre compte qu'elle a prit de l'eau et son sandwich avec les mains ce qui est très logique de ma part --', on oublie cette histoire de mains XD)

-" oula, petit ange est en colère"
Au début il trouvait ça marrant te rit légèrement même. Puis quand il prit conscience de rudeur, qu'il l'a vit partir au fond, son faible sourire disparu. Il se retourna et d'un air sérieux, avec une vois encore plus grave, il prononça quelques mots:
-" Si tu me hais , dit le moi tout de suite qu'on soit fixé."
Il essaya de se mettre à sa place. Elle devait se sentir trahit, alors que pour lui, il n'avait fait que son boulot. Il avait ses motivation d'agir ainsi, et même si il l'avait apprécier son petit ange, rien ne serait comme avant. Il savait pas ce qui allait se passer. Peu-être qu'ils veulent juste faire peur au président afin d'avoir plus de pouvoir. Ou veulent-il de l'argent... Où ils allaient... La tuer.
Ezio avait beaucoup insisté pour que ce soit lui qui garde son petit ange, mais si le boss lui demandait de la tuer, il saurait surement pas quoi faire. Il avait eu une amitié avec Loïs depuis trois ans. Mais cela faisait 19 ans que Ezio était au service de cette homme qui l'avait recueilli et élevé comme un fils, lui qui n'avait plus rien. Même son nom n'était surement pas celui que c'est parents lui ont donné... Si tenté qu'ils lui en ait donnés un.
Si son boss lui demandait de tuer son ange, comment devrait-il réagir ?!
Mais pour le moment, il n'est pas question de meurtre. Peut-être que son boss ne veut que faire un arrangement avec le président et que Loïs rentrerais chez elle après...

Loïs releva la tête en entendant à nouveau la voix de Loïs, qui lui disait de dire carrément tout de suite si elle le détestait ou non. Pour toute réponse, elle ravala sa colère et resta immobile dans son coin de la pièce. Elle n'avait pas envie de parler.
Il était évident que, pour le président, libérer sa fille ne serait pas tâche facile. Tout d'abord parce que ces gens là ne négociaient pas beaucoup en général, et réclamaient de très fortes sommes d'argent, en échange de quoi il libéraient leur otage, et encore ... Où allait-il le trouver tout cet argent? Etant le président, il était certain que celui-ci disposait de beaucoup d'argent, mais que beaucoup étaient aussi aux caisses de l'état. Et cela n'allait-il pas créer une polémique que d'accepter de donner n'importe quelle somme pour libérer Loïs sous prétexte que c'est la fille du président, alors que d'autres se morfondent depuis des années dans un pays étranger attendant que le pays veuille bien payer? Toute cette affaire était des plus complexe à gérer, et qui sait combien de temps elle allait durer.
Mais cela, Loïs ne semblait pas bien s'en rendre compte. Ni même que sa vie était en danger. Non, tout simplement parce Ezio faisait partie de l'enlèvement et que le fait que ce soit un "ami" qui ai fait ça, elle ne pouvait vraiment évaluer le danger. Elle se contentait de rester assise immobile et de ne pas bouger. Mais au bout de longues minutes qui lui paraissaient interminable, elle ouvrit enfin la bouche.

-Quand est-ce que je vais sortir? Demanda-t-elle avec froideur.

-"Ch'ais pas..."
Elle pouvait pas répondre aux questions ?! Bah tant pis, le faite qu'elle lui parle si froidement veut tout dire. Puis, ils n'avaient jamais dut être amis d'en le cœur de Loïs, après tout, c'est surtout par la force des chose qu'ils se parlaient. Si elle le prenait comme ça, alors il n'avait pas de soucie à ce faire alors.
Le téléphone résonna dans la pièce. Il s'avança en grommelant. Qu'est ce qu'il pourrait dormir ?!!!!
-" Ouais ?"
-" Ezio, c'est moi, j'arrive avec deux personnes, on sera la-bas dans cinq minutes. Tu nous ouvrira quand on frappera avec le code habituelle."
-" Oui Boss."
Fin de la conversation. La mafia n'est pas très causante au téléphone. Son boss allez donc venir. Il pourrait savoir ce qu'il doit faire alors.
Il vint de remarquer qu'il avait fait un connerie. Il avait dit "boss", alors maintenant Loïs doit se douter qu'il faisait partit de la mafia... Après tout, elle l'aurait sut tôt ou tard. Alors tant pis.
Le code dont faisait allusion son boss était une manière frapper à la porte qu'ils utilisent entre eux. Un toc, un coup de pied, deux toc, un coup de pied, trois toc.Ce code n'était utilisé que dans sa famille de mafia. Les autre famille ont d'autre codes. Ainsi avant même que quelque n'entre dans une pièce, entre mafieux, on peut savoir à quelle famille il appartient.
Il alla se rasseoir sur le canapé, plus question de dormir maintenant. Tient bizarre, à la TV on ne parler plus de l'enlèvement de Loïs. Le président avait peut-être ordonné qu'on nen parler plus pour ne pas encourager le malfaiteur. Bah, Ezio s'en foutait que tout le pays sache que l'ange avait disparut. Il ne ferait rien de plus et surtout rien de moins maintenant qu'on en parlait plus... Au contraire, ça l'arrangeait.

La tension montait encore plus. Entre eux. Même à travers la porte dont il avait laissé la trappe ouverte, malgré la distance qui les séparaient. Il sentait une étincelle dans l'air. Il n'avait pas besoin de se justifier. Parce qu'il n'avait jamais était son ami, enfin pour lui si, il s'était entichée de cette fille. Mais pour elle, s'était surement rien.
Il sentit néanmoins le besoin de la rassurer.
-"Il t'arrivera rien. Tu rentrera surement chez. A moins que ton père nous est fait un coup bat, je pense pas qu'ils pensent à te tuer."
Ouais enfin rassurer, rassurer. C'est vite dit. Il était pas le plus délicat du monde ce type mais bon. La délicatesse s'apprend avec sa mère. Il n'en avait jamais eut, donc il ne savait pas vraiment ce que c'était. Il disait les chose comme elles étaient. C'est d'ailleurs cette franchisse qui plait à son boss. Il sait qu'il peut compter sur Ezio, car il a le sens de l'honneur, de le fierté. Et il est fier d'être le fils adoptif du boss.
Pourtant en cette instant, il aurait aimé ne plus l'être. N'être qu'Ezio qui travaillait à la maison blanche. Même si il n'avait pas aimé ça. Son ange il était là. Il l'avait toujours considéré comme un petit ange, elle était certes au dessus de lui dans la hiérarchie mais pas que pour ça. Elle lui avait apprit la douceur un peu. Et il n'était pas qu'un simple mafieux, celui qu'on craint et qu'on hait. Il était le garde du corps, celui qui vient pour défendre son ange.
Ouais pour lui, Loïs était vraiment un ange, et il tenait à elle. Mais plus jamais elle ne voudrait lui reparler comme avant.

-"Parce que je ne suis pas celui que tu croit."
Bim prend ça dans les dents. Pour du directe ça c'était un bon directe. Non mais c'était juste qu'il savait pas trop quoi répondre.
-"Enfin, si quand j'étais encore à votre service, je ne t'ai jamais mentit. Mais tu ne connait rien de moi, on n'est du même monde."
C'était vrais, jamais il ne lui avait mentit. Il avait toujours était franc avec elle. Et même si à la base c'était ça mission de gagner sa confiance, il y avait quelque chose d'autre, il s'était vraiment prit au jeu et l'avait vraiment considérée comme son ami. Mais depuis le début c'était dit, il devait le faire. Ce plan à durer trois ans, il ne pouvait pas faire fouarer le plan juste parcqu'il la considérer comme une amie. Trahir une amie, même si c'était dure, il pouvait le faire parce que dans cette situation c'était prédit. Mais trahir sa famille, même si il n'y a pas de lien de sang entre eux, il ne pourrait jamais.
toc. Bang. Toc Toc. Bang. Toc Toc Toc.
C'était eux. il alla ouvrir et entra trois homme :
Un grand chauve avec des lunettes de soleil, costard noir parfaitement repassé avec une chemise bordeaux. Le boss. Il s'appelle Yasu
Un Plus jeune, au grand yeux bleus et les cheveux blonds. Costard blanc avec une chemise noir. C'était Nobu, le charmeur de la bande.
Un autre Plus vieux que le blond, mais plus jeune que le boss. Cheveu noir et yeux sombres. Costard noir et chemise bleu. Lui c'est Ren, l'espion le plus doué. Discret comme un chat.
Nobu et Ren sont les vrais fils de Yasu. Mais ils considèrent quand même Ezio comme un frère. A eux trois, ils forment le plus brillant trio de la mafia américaine.
-" Alors Ezio, elle est où la gamine ?"
Ezio fit un rapide mouvement de tête vers la porte pour la désigner au boss.
-" Ezio tu ne devrait pas laisser la trappe ouverte comme ça !"
-" Il n'y a aucun risque Nobu... Ren t'a mes clopes ?!"
Ren envoya le paquet de clopes vers Ezio qui le prit dans se mains et en alluma une de suite.
Ils s'installèrent ensuite tout les quatre sur le canapé, sauf Ezio qui resta accoudé au meuble de la TV en face d'eux.

Ren vint regarder par la trappe pour voir de près à quoi ressembler la fille du président, enfin de près... Elle était à l'autre bout et c'était dans le noir, mais il y voyait un peu.
-" Ezio, c'est pas très polis de laisser un jeune fille de cette classe sociale assise par terre dans le noir !"
Dit Yasu en s'approchant. Puis en s'adressant directement à Loïs :
-" Si tu nous promet de pas fait de bêtises, je te laisse venir participer à la conversation, après tout t'est la première concernée !!"
Il rit doucement. Ouais il était vraiment pas méchant pour un boss de la mafia. On pouvait même dire qu'il était le plus cool. Mais après tout qu'avait à craindre quatre mafieux d'une jeune fille de bonne famille ?!
Yasu à toujours était comme ça, gentil et franc. Mais pourtant il est intelligent, c'est grâce à lui qu'Ezio a put la kidnapper. Dans l'histoire, c'est bien Ezio le plus vil et tueur d'entre les quatre homme ici présent. Même pour défendre Loïs il avait du tuer des hommes. Il ne l'ait compter plus.
-" C'est quoi la suite du plan ?!"
Demanda sèchement Ezio. Mais Le boss semblait plutôt intéressé par Loïs que par Ezio.

-" Allez je prend ta bouille pour un "je le promet" !"
Il ouvrit la porte pour la laisser sortir. Mais il était pas bête, il savait très bien qu'elle pouvait pas partir de toute façon, pas de fenêtre et la seule porte par laquelle ils étaient entrés avait était verrouillée juste après par Ezio qui gardait la clef dans sa poche.
Il l'invita à aller s'asseoir dans le seul fauteuil et retourna lui même s'installer en compagnie de Ren sur le fauteuil où était Nobu.
-"Je vais pas te faire un dessin gamine, t'a rien à craindre. On doit s'arranger avec ton père et tout se finira bien dans le plus parfait des monde."
L'arrangement en question était un supplément de pouvoir pour la mafia. Il avait fait ce kidnapping pour prouver qu'ils étaient capable de tout. C'était comme un test en quelque sorte.
Ezio finit sa cigarette et en ralluma une autre juste après. Pendant qu'il sevrait à la maison blanche, il lui avait était interdit de fumer. Il ne pouvait donc le faire que les quelque fois qu'il était en congé. Il éteignit le poste télévision.
-" Ezio !"
-"Oui boss ?!"
-" Je t'ai déjà dit de m'appeler papa comme mes autres fils ..."
-"... Je ne suis pas votre fils."
Il n'avait jamais réussit à l'appeler papa. Pour lui c'était avant tout son boss.
-" Bref. L'entretient avec le président se fera dans un quart d'heure alors j'y vais.Nobu et Ren vienne avec moi aussi. Quant à toi, tu reste ici tu surveille la gamine et tu peux la laisser là, elle est pas dangereuse. Je sais pas quant cette histoire vas se finir, je te tient au courant."
Sur ces mots ils ressortir tout les trois.
Ezio se retrouva encore seul avec Loïs, mais cette fois dans la même pièce. Il préférait quand elle était dans la cellule. Non pas qu'il est peur d'elle. Mais après la révélation sur ce qu'il était vraiment, ce retrouver dans la même pièce qu'elle... Elle allait s'énerver. Et il aimait pas quand il y avait du bruit.

Il se laissa tomber dans le fauteuil et continua tranquillement de fumer sa cigarette, il l'a savourer celle là!
2chappant un léger nuage de fumer, il regarda Loïs un instant. Elle semblait pas à l'aise. Elle devait s'inquiéter pour son père. Où pour elle .
-" T'inquiète, ton père il aura rien. Ils vont juste parler pour négocier. Puis... Je te ferait pas de mal... Même si tu me considère surement comme un ennemie maintenant."
C'est vrais qu'elle devait le prendre pour un ennemi. Mais même si il l'avait kidnapper, il lui voulait aucun mal. Il pourrait pas lui faire du mal même si il voulait. Mais bon allait lui faire comprendre ça tient.
Allez hop, un petit tour au frigo pour chopper le paquet de bière et une autre bouteille d'eau. revenant sur son canapé, il posa la bouteille d'eau près d'elle. Il craignait qu'elle la refuse si c'était lui qui lui tendait. Il décapsula une canette de bière et but quelque gorgés.

-"Hep pas si loin, je doit te garder. Que tu me haïsse au point de ne plus vouloir me parler est une chose, mais tu pourrait au moins rester dans la pièce, sinon je serait obligé de te remettre en cage."
Il parler d'elle comme si il aurait parler à un animale. Elle le dédaignait, ne lui adressait plus la parole. Ça commençait sérieusement à l'énerver. Mais vraiment, il était au bord de frapper quelque chose là. Qu'elle essai au moins de comprendre elle aussi bordel. Elle se prenait pour qui ?! Parcqu'elle était la fille du présidente, tout lui était permit et elle pouvait juger sans même prendre conscience de la situation?
Il se leva pour ce placer derrière elle. Les deux seule autre pièce était une chambre à couché et une salle de bain. Ce sous-sol avait tout pour vivre. La raison était simple, ce n'était pas la seule fois que Ezio emmenait un otage ici. Même en travaillant au service d de la famille présidentielle, Ezio continuait toujours à faire des petites missions. Et oui ce n'était pas son premier kidnapping. Et ce n'était pas la première fois que quelqu'un se retrouvait enfermé dans cette cellule. Mais cette fois c'était différent. Il était sûre qu'elle sortirait sans une égratignure, enfin si elle continuait avec son air dédaigneux, c'était pas si sur... Non il la frapperait. Il pourrait pas.

Loïs serra les poings, et tenta de se calmer pendant l'espace de quelques secondes, mais rien n'y fit et elle explosa :

-Je suis pas ton chien OK?! En plus de t'amuser kidnapper les gens, ce qui est totalement illégal, tu leur parles comme de la merde! Et le respect de la personne tu connais ça?

Elle se rassit à la même place, le feu lui montant aux joues. Ça avait été plus fort qu'elle. Elle était tellement révoltée de voir cette nouvelle facette de Ezio qu'elle en avait presque oublié que c'était elle l'otage et que ce n'était pas forcément bon pour elle de se disputer avec lui maintenant.

-Et pour ta gouverne, non je ne comprends pas et je ne vois pas comment je pourrais comprendre. D'abord, ce que tu fais es complètement immoral, d'autant plus que qu'assommer quelqu'un, que ce soit moi ou quelqu'un d'autre ça ne se fait pas non plus. Il y a d'autres moyens pour se faire remarquer ou gagner de l'argent tu vois. Ajouta-t-elle ayant deviné ce qu'il pensait.

Mais pour le moment, elle ferait mieux de ne plus la ramener, c'est pour ça qu'elle se tut, desserrant les poings. Elle priait de toutes ses forces que ceci ne soit qu'un mauvais cauchemar et qu'elle se réveillerait bientôt, mais malheureusement pour elle, ce n'était pas le cas.