le destin (libre)

Elle se souvenait de cette douleur, alors qu’elle était mi-assisse, mi-allongée sur ces deux fauteuils. Le train avançait, imperturbable, insensible à la détresse et à la souffrance de la jeune fille. Ses yeux la piquaient, mais il lui était impossible de pleurer. Elle avait trop mal. Alors qu’elle regarde ce moment du passé, elle se dit qu’elle avait mal au vendre à force de pleurer. Ou peut-être à cause d’autre chose.
Son esprit avait remonté le temps, peu à peu, par petit bout, contre son gré.
Le train… Il y avait un couple de l’autre côté de la rangée. Et elle haletait un peu, la douleur logée en elle comme un feu qui dévore sans cesse. Aucune position ne la soulageait. Elle écoutait sans les comprendre les murmures des amoureux, se raccrochant à ça, au bruit du train, tentant d’éloigner l’esprit de la douleur physique. De s’éloigner de son corps.
Son esprit, lui, était incapable de réfléchir, anesthésié, sous le choc. Il ne voulait pas croire, ni revoir. Dans un état second, le train l’emmenait vers un refuge.

Avant le train, il y avait eu la gare, les sanglots. Le téléphone avait sonné. Ou elle avait appelé ? Souvenirs confus… Ça remonte déjà à des mois… Un an ? Qu’importe maintenant, après tout. Elle s’était retrouvée au téléphone avec sa bande d’amis, ils étaient tous les trois au bout du fil. Ils parlaient de quoi ? Ah oui, de la guilde. En y repensant, elle eut un rictus amer. La fabuleuse et grande Guilde des Magiciens ! Et ils lui demandaient si c’était vrai, si c’était vrai qu’elle la quittait, et pourquoi elle s’en allait. Et elle leur répondait qu’elle s’en foutait, elle leur criait ce qui s’était passé. Et ils ne l’avaient pas crue. Ça venait d’arriver, ça venait de lui arriver ! A elle ! Et eux, ils… ils… ils s’en fichaient, ils croyaient à un mensonge, une exagération. Mais elle souffrait et ils ne la croyaient pas.

Elle se rappelle aussi l’attente entre les deux trains, dans cette même gare. C’était long… Une heure ? Deux ou trois ? Ça aurait pu être des mois, ça aurait été la même chose, la même douleur trop proche. Mais quand il avait pris les billets, il s’en fichait. Il voulait juste qu’elle dégage, tant pis pour l’horaire, juste qu’elle disparaisse. Et elle le voulait aussi, fuir, s’enfuir, disparaître loin de lui.

Le premier train… Elle pleurait par hoquets… Pleurait-elle ? C’était si flou à présent, et plus la douleur se rapprochait, plus sa brume couvrait les souvenirs. Elle ne se rappelle que la souffrance nichée en elle, mille aiguillons de châtiment. L’impression qu’elle était inscrite pour toujours au fer blanc, pour toujours, dans son corps.

La canette de Coca. Elle la tenait encore quand elle était montée dans le train, tandis qu’elle faisait un dernier geste d’adieux à sa demi-sœur, le cœur lourd de chagrin. Elle l’adore. Ou l’adorait. Elle ne sait plus trop… Si longtemps qu’elle ne l’avait pas vue…
Cette journée-là, elle était venue sur le quai, une demi-heure après qu’il soit parti. Elle l’avait consolée. Et elle lui avait confié qu’elle aussi avait vécu ça. Et sa sœur lui avait montré son poignet. Une trace blanche courait dessus, longue, blafarde, accusatrice. Pourquoi ? Pourquoi ! Pourquoi avait-il fait ça ? Pourquoi personne n’avait rien fait ? Pourquoi ! Pourquoi cette sœur s’était tue, et presque tuée ?

Mais avant la sœur et sa douleur, il était là. Les mots qu’elle criait en pleurant étaient durs, ils se coinçaient dans sa gorge, brûlaient son cœur. Elle le détestait. Et il criait lui aussi. De ne jamais revenir. Elle lui avait répondu qu’elle ne contait pas le faire. Et lui, qu’il prédisait son retour en rampant dans dix ans. Elle le détestait, une haine pure qui dévastait son hôte en sortant en mots amers pour piquer, mordre, tuer l’autre. Lui.
Il l’avait trop déçue, beaucoup trop.

Et avant la gare… La voiture, en silence, elle pleurait… Et lui, il lui criait dessus. Elle répondait à peine, apeurée, prisonnière et seule contre lui dans cette boîte de métal. Sa voix était entrecoupée de hoquets. Lui, sa voix était dure, violente, meurtrissante.

La maison ? Elle courait en pleurant dans toute la maison, à la recherche de ses affaires. Elle en avait oublié, elle s’en rappelle. Mais elle avait pris le plus important, ce qui était à elle. Elle avait tout mis en vrac dans sa valise. Partir. C’était tout ce qui comptait à présent. Fuir.
Avant ça… Non, elle ne voulait pas se rappeler. Pourtant, son esprit avait déjà trop remonté le temps, et la scène lui explosa aux yeux, cruelle.

La femme lui criait d’arrêter. Et elle, elle lui criait de la tuer. « Tue-moi ! Tue-moi ! J’en ai plus rien à foutre maintenant ! ». C’est vrai, peu lui importait son sort. Sa vie venait de voler en éclats. Autant mourir par sa main que par un suicide. Elle voulait qu’il la tue. Ses côtes lui faisaient mal, son crâne lui faisait mal. Elle avait mal. Elle souffrait. Elle ne se rappelle plus très bien de ce moment. Elle se rappelle qu’elle criait. Qu’elle criait qu’elle voulait qu’il la tue. Son pied la frappait, dans les côtes, le bras… La porte mordait dans le côté qu’il ne frappait pas.
Elle se rappelle la gifle qui l’avait étendue là, entre la douleur et la douleur. Dans un étau qui lui faisait exploser l’esprit par ce supplice.
« Fuis ! Fuis ! » cria une voix en elle. « Ne regarde pas… Oublie, dors. Une autre fois. »



Deux ans ont passés. Et elle a mal, au cœur, parfois aux côtes. Mais moins mal qu’à ce moment. Et moins mal qu’à l’âme. Elle le hait toujours. Mais elle l’aime encore. Déchirure qui la détruit, âme mourante, à petit feu. Jamais tout à fait morte. Pas tout à fait vivante non plus. Elle le fuit encore. Et rêve de le revoir. Elle a peur de lui, terrifiée. Et veut retrouver ses bras rassurants qui l’avaient bercée, enfant.
Cette voix qui chantait une berceuse. Avec un lièvre. Qui lui disait de descendre de l’arbre, qu’il n’y avait rien à craindre, qu’il tenait bien la corde et le harnais. La voix qui riait.
Qui criait.

moi moi ^^

mais je suis suposer faire quoi au juste?

(ben sa peut etre un autre gars ou celui qui la battue...et qui veut se rachetter)

Deux année se sont écouler...deux années pendant lesquels il n'avait pas vue sa soeur. Michael était plus vieu qu'elle d'environ 7ans.

Étrangement il ne voulait pas qu'elle revienne. Il savait qu'elle le détestait pour se qu'il avait fais dans le passé. Il n'aurait pas du lever la main sur elle autant de fois et aussi durement mais ces années là était stressante pour lui. Il avait agit lachement en évacuant sa colère sur sa petite soeur et il le savait. Maintenant il voulait se racheter mais ne savait pas comment.

Il avait changer depuis le temps. Il était devenue plus musclé, plus beau et plus sérieux. Ses cheveux noir qui était pas trop court ni trop long et son regard obscur, presque ténébreux le rendait encore plus séduisant. En plus de tout cela il était devenu un médecin aprentit.

Il attendait dans la gare du train avec nervosité. Il avait peur de la reacion de sa soeur...Sa mère l'avait forcé a allez la chercher...qu'elle idée génial...

sa devait faire deux ans oui ses sa..cela fesait érange de revenir a l'endroit ou tout ses malheur on commencer et terminer..
enfin le chauffeur annonca que le train fesait arret a champ fleury son arret.
la jeune fille sortit du train en deux ans elle avaiy asser changer...mince elle portait ses cheveux tres long lui arrivant en bas du dos..
ses yeux etait brillant vert malgres un leger voile sombre qui les recouvrait..
elle etait tout sauf laide..
Par le message de sa mere ell evenait la chercer alors ellecherchait celle ci des yeux

Michael remarqua la fille a l'air perdu et se rendit aussitôt compte que c'était sa soeur. Elle était rendu tellement belle mais elle ne semblait pas plus intelligente.

Toujours cette air innocent. Toujours se visage effreyer.

Il se mit devant elle et roula des yeux.
-Tu es perdu petite sourie...

C'était l'image qu'elle lui évoquait a l'époque et apparemment ça n'avait pas changé.

sacha leva les yeux pourl es poser sur son interlequteur ..
la premiere chose qu'elle remarqua s'etait la grande beauter du jeune homme devant elle mais deux se fut quand il l'appella petit souris qu'elle comprit
pourquoi sa mere avait envoyer lui pour la chercher popurquoi lui!...
ses yeux se voilere et son regard devint plus grave ainsi que son visage une attidute que avec lui dans son enfance elle n'avait jamais osée faire..
-pourquoi ses toi qui est venut me chercher.

-Bas, maman ma demander de lui rendre service. Le monde tourne pas autour de toi tu sais.

Il eu un sourir amuser devant son air dur puis passa une main sur sa tête.

-Bon...t'es prette a rentrée à la maison, soeurette?

sacha se decolla lentement et se mit a coter de lui
-oui je suis prete..micheal..
Plus jamais en faite pour le moment elle ne considerait pas le gars devant lui comme son frere et de plus grace a sesdeux ans au college elle avait aquis plus de maturiter et ansi dire de l'intelligence elle nen manquait pas..
elle prit les devant marcahntn devant lui ses long cheveux volanty au vent...
montrant dans son coup une cicatrice vieille de leur enfance

Michael l'observa marcher et eu un légé rire méprisant.

-Tu prends les devant alors que tu ne sais même pas qu'elle est ma voiture. Hé bien...On dirait que tu es aussi brillante que quand tu étais une gamine.

Il alla jusqu'à sa voiture et entra dedans, décourager par sa soeur. Ok, il c'était promis de faire des efforts mais là...il n'avait aucune envie de se faire marcher sur les pied pas sa soeur.

sacha soupira il avait raison elle ne savait pas ou etait la voiture..
elle eu un leger regard méprisant et se rendit du coter conducteur elle ne savait vraiment pas comment agir avec son frere malgres quelle voyait quil essayait de se rattraper elle se laissa aller un peu reardant dehors attendant quil conduise

(on dit côté passager

ps:j'ai finit ton livre. J'adore la fin!!! Enfin quelque chose qui m'a donner une émotion...haaa)

Michael démarra la voiture. Sa musique partit en même temps que le moteur. Il baissa le song en soupirant. L'atmosphère était lourde...

-Alors...heum...tu as fais quoi pendant que tu étais partit?

(j'espere eve ..va sur le chat box..)
Sacha se retourna lentement il essayait une convesation alors malgres son dénis elle lui repondit quand meme lentement..
-Je suis partit chez une amie a quebec et j'ai été deux ans a l'ecole priver de sacrée coeur..
elle posa ses yeux vert sur lui il avait changer certe mais fallait le voir pour le croire

-Vrrraaaiiimeeeent?

Il avait étirer se mot de façon faussement impressionner. Cette école avait couter extremement cher pour leur mère. Il avait trouver ça ridicule qu'elle se sauve comme ça. Sa mère, elle, avait dit que c'était pour son bien. Quel bien?

sacha lui fit un regard noir...
-oui vraiment..micheal..
elle soupira et se retourna regardant par la fenetre...
-et toi qua tu fait

-J'ai poursuivit mes études. Je suis maintenant un medecin apprentit. Premier de classe comme toujours je serais docteur d'ici peu.

Il observait la route avec un air amuser.

-Il faut croire que se n'est pas de famille.

sacha le regarda froidement
-tu sera mon chere frere que au colleger j'ai etudier pour entrer en tecnique animaliere soit cette année je rentra au cegep pour etudier le métier de véterinaire on ma deja accetper..

elle fit un petit sourire et reregarda la route

-Wow...Les technique animalière...se n'est pas pour ceux qui ne sont pas assez bon pour entrer en médecine?

Il la fixa avec son air supérieur tout tournant sa tête vers la route.

-comparer a toi j'aime pas vraiment l'ide de jouer dans des humain d'accord et tu le sait tres bien a moin que tu ne me connaisse pas du tout
que j'adore les animaux..

elle se tourna
-ou peut etre je t'apprend quelque choseque tu ne savait pas..

elle le regarda avec mépris

Il prit une grande inspiration.

-C'est vrai que sauver des vie animale c'est tellement plus important que de sauver celle d'un humain.

Il devait se calmer sinon il ferait quelque chose qu'il pourrait regretter.

elle le regarda espirer une hhabitude qu'il avait avant de faire des choses qu'il regrettait supposement toujours alors pour detendre l'atmosphere sacha soupira
-j'ai pas dit sa...en fait félicitation pour ton poste en apprentit medecin
elle etait sincere mais quand meme setait dure de revenir dans les vieilles habitude

Il ne répondit pas et continua de fixer la route en silence. Ça vallait mieu ainsi. D'ailleur, il se mit a pleuvoir. Le ciel qui était totalement bleu était maintenant remplis d'épais nuage gris et noir.

Il s'arrêta devant la maison de sa mère qui n'avait pas changer d'un pouce. Biensûr lui ne vivait plus là depuis l'année dernière.

sacha regarda la maison avec un leger sourire et des souvenir lui vint en memoires..des souvenir disont le qu'elle preferait pas y pensser..
elle prit son lourd sac de voyage et sortit courant vers la maison sa devait faire deux ans qu'elle n'avait pas vue sa mere..

sans cogner elle entra
-maman? tes la? ses sacha

Michael entra derrière elle en soupirant.

-Pas besoin de crier. Elle est pas encore rentré, sinon on aurait vut sa voiture en avant.

Il enleva ses souliers et lui fit signe de le suivre.

-Je vais te montrer ta nouvelle chambre.

sacha hocha la tete
-d'accord..
elle enleva elle meme ses soulier et se diriga derriere lui regardant le decors avec un sourire
tout etait comme dans ses souvenir