Missing. [libre]

Loïs n'avait pas bougé d'un cil, pour gêner le moins possible Ezio qui avait besoin de toute sa concentration étant donné la difficulté de la descente. Contrairement au reste, c'était quelque chose qui effrayait moins la jeune fille même si elle avait par moment l'impression qu'ils allaient s'écraser au sol jusqu'à ce que Ezio se rattrape miraculeusement à un autre rebord de la façade. De plus, Ezio ne le montrait pas mais elle se doutait que son bras devait lui faire mal. La plaie était encore toute fraiche et il se servait de toute la force de ses deux bras, ce qui ne pouvait qu'aggraver la blessure. Ils arrivèrent finalement en bas sans s'être écraser en cours de route. Loïs se détacha alors doucement du dos d'Ezio.

Il la regarda fugacement puis alla vers la route. Son bras lui faisait vraiment mal maintenant, et il saigné encore plus, au point que le bandage était devenu entièrement rouge. il jeta un coup d'œil sur celui ci... Il servait à rien du coup mais bon il pouvait pas l'enlever.
Il marcha dans la rue un petit moment, tout en s'assurant que Loïs soit bien près de lui et que les Italiens étaient pas là. Ce qu'il faut faire maintenant, c'est rester discret. A cette heure si les rues étaient déserte... Encore heureux parc que si quelqu'un passait et reconnaissait Loïs, il serait dans la merde.
Il continua de marcher, puis stoppa net à côté d'une voiture. Regardant autour pour voir si il y avait quelqu'un... personne.
Il regarda Loïs avec un petit aire amusé et donna un rapide coup dans la vitre de la voiture, côté conducteur. Une fois brisé , par chance y avait pas d'anti-vol, il passa la main à travers la vitre et ouvrit la porte, s'asseyant dans la siège, il ouvrit la porte à Loïs de l'intérieure.
-"Si Madame veut bien se donner la peine."

C'est pas parce qu'ils sont en fuite, qu'il pouvait pas la taquiner. Elle devait pas apprécier quil volait une voiture. Mais bon vu le contexte, elle dira peut-être rien.. Espérons.

Il ouvrit d'un coup de pied le dessous du volant et commença à bidouiller les fils pour faire démarrer. Manquant de prendre une décharge, il arrive enfin à faire le moteur. Se redressant il commença à rouler. Sans problèmes, excepté un. Les gens dans la rues, maintenant qu'il avait changé de quartier ils y en avaient. Il commençait à flipper. Si quelqu'un la reconnaissait ?!
-"Cache toi."
Rah et la délicatesse y connait pas ?! ... Ben non.

Il la regarda se glissa en bas du siège... Ouha y pensait pas qu'elle y arriverait si facilement. Enfin bon tant mieux. Il devait se rendre au QG le plus vite possible pour avertir la Patronne est après la ramener chez elle... Finalement c'était la seule solution.Alors à contre cœur il l'emmènerais là bas.
Le Qg n'était pas très loin. Donc ils y seraient assez vite.

-"Ouais."
Il descendit et fit le tour de la voiture pour aller chercher Loïs. Il la fit sortir et l'entraina sur le trottoir.
Devant eux se présentait la QG. Un immeuble de trente étage, avec des vitres sur toute la façades. Il rappelait un peu les grands immeuble des comptable ou des grandes sociétés.
Mais bon, à l'intérieur on pouvait s'en douter, c'était ultra gardé. Des mecs armés par dizaines, tous avaient leurs armes en vu pour intimider. Le première étage n'était là que pour la sécurité. Ezio était connu donc il n'avait pas l'obligation de passer tout les contrôle, ainsi il peut passer sans probléme directement à l'ascenseur. Direction dernière étage.
Il pénétra donc dans l'ascenseur, par chance celui ci était vide. Les agents de sécurité en bas avait tout de suite reconnu Loïs, et ils s'étaient inquiétés. Tout le monde était au courant de l'enlévement mais elle ne devait pas venir ici. C'est pourquoi ils étaient si surpris.

Le dernier étage en question était le top du top. Un truc luxueux et propre. Super claire, tout en blanc et noir dans un style très neutre. Seule quelques plantes mettaient de la couleur. La Patronne était sur le balcon et quant elle vit Ezio, elle se précipita de venir à sa rencontre.
-"Mais tu faisait quoi ?! J'étais morte d'inquiétude tu ne répondait pas!!!"
-" Les Italiens ont débarqués. On a du partir en vitesse."
Elle les fit s'installer sur une grande table en fer forgé. Elle leur servit du thé en disant que rien ne pressait. Elle avertirait le président de la situation et que peut-être elle le tournerait en son avantage.
Derrière ses allures gentillette, sa voix douce et ses manière calme, cette femme était une vrais manipulatrice et gérait ses affaires avec beaucoup de talent. Ezio l'avait toujours admiré pour ça. Yasu n'était pas vraiment comme ça, il était plus directe, plus froid.

-" Faire durer n'apportera rien de bon. J'étais juste venu pour vous informer que je la ramenait."
Ezio savait très bien que Loïs était très sensible. Ce la faisait trop longtemps qu'elle était loin de chez elle. Si ça continuait, elle supporterais plus. Sans dire un mot de plus, Ezio se leva et se redirigea vers l'ascenseur. Il n'allait pas gentillement attendre que la patronne aggravé la situation. Car s'est ce qui allait arriver... Le président n'a pas l'aire de tout mettre en place pour récupérer sa fille. Il pouvait plus supporter ça. Tout ce qu'il avait réussit à faire c'était de blesser Loïs. Il en avait assez, il y mettrais un terme.
-"Tu est conscient que ce que tu fait est considéré comme une trahison?!"
La patronne n'avait pas bougé de sa chaise, elle le regardait avec un sourire charmeur à faire peur.
En guise de réponse, Ezio lui tourna le dos. Il venait de signer son arrêt de vie.
-"Alors le chien se rebelle contre son maître ?! Si tu veux, mais fait attention."
Cette femme était capable du meilleur, comme du pire. Mais c'était bien dans le pire qu'elle était la meilleur.
Les apparence son trompeuse. Si Yasu était encore en vie, il n'aurait jamais laissé faire ça. Cette femme avait le contrôle de la famille maintenant. Restait là n'apporterait ien de bon. Si Ezio avait aveuglement suivit les ordres jusqu'à maintenant, c'était pour Yasu. Jamais il n'obéirait à cette femme.
-" Sale cabot."

Il avança et prit l'ascenseur. Avant que les portes ne se referme sur eux, Ezio lança un regard sur la Patronne, elle semblait troublée. Il devrais prendre en compte ses menaces. Elle en était parfaitement capable. Maintenant, il ne pouvait plus rester au service de la famille, il devait partir. Son projet de partir au Japon était de plus en plus plausible.
Il s'adossa contre les parois de l'ascenseur et poussa un soupir las.
-"Elle exagère."
Une petite pensé qui lui avait échappé.

Partir où. Japon était le bienvenue mais le problème était que c'était grâce à Yasu qu'il avait trouvé se contrat. Maintenant qu'il était mort et qu'il venait de trahir la Patronne. Mais il pouvait toujours essayer. Rah il venait juste d'y pensé, il avait était trop con, si il avait prévu il aurait déjà signé avec le Japon est comme ça y aurait plus de soucie. Mais maintenant comme il allait faire ?!
-"Ben je te ramène."
Elle avait pas besoin de savoir ce qu'il ferait après.

Il prit Loïs par le bras. Fallait pas qu'il traine ici. Il marchait d'un pas vif. Si la Patronne avait déjà avertit les agents, ils étaient dans la merde.
Par miracle ils réussir à sortir Il s'empressa de rejoindre la voiture. Il fit signe à Loïs de se cacher comme toute à l'heure.
Fallait vraiment pas qui traine.

Au bout d'une demi heure, Ezio se gara enfin devant la maison blanche. Les garde le regardait bizarrement lorsqu'il sortit. Il eut envie de s'enfuir, si il restait la police l'attraperais, c'était certain. Les voiture des flics étaient toutes là, rangées en fil indienne. Les Flics étaient dedans surement en train de parler au employé.
Mais il pouvait pas la laisser. Au moins en prison, y avait les repas assuré et c'était gratuit.
Il fit le tour et sortit Loïs de la voiture. La les gardes se précipitèrent. Il prirent Loïs et mettait les menottes à Ezio... Pourtant il l'emmena avec Loïs pour voir le président. Peut-être un ordre donné par celui ci. Où le commissaire était avec le président allait savoir.

-" Pas de souci je savais bien que vous ne feriez pas preuve d'humanisme envers moi. Pis j suis venu en connaissance de cause."
Au moins en prison il aurait à manger et un lit pour dormir. La belle vie quoi !... Bon c'est de l'humour mais cela ne semblait pas déranger Ezio. De toute façon, il a jamais put le blairer le président, c'était pas maintenant qu'il allait l'aimer. Il avait jamais comprit cette froideur qu'il avait envers Loïs; sa propres fille. Mais bon, il pouvait rien y faire.
Il commença à se retourner pour partir, les mains menotté dans son dos.
-" Bon ben je vous souhaite pas bonne journée."
Il commençait à partir ainsi. Pas la peine d'en faire toute une histoire, il savait bien qu'il irait en prison de toute façon.

Il s'était assit comme il le pouvait dans la pièce. Les mains dans le dos, le nez qui le grattait, il essayait de se le frottait sur l'épaule. Mais c'était vraiment pas pratique. Quant il vit Loïs entrer il stoppa ses contorsion.
-" Alors. Qu'est ce tu me veux ?!"
il se demandait vraiment pourquoi est ce qu'elle l'avait fait venir ici. il lui avait rien volait. Donc on pouvait pas l'accuser de quoi que ce soit. Il avait rien fait.
Il tenta de se lever pour aller la rejoindre, mais fut violemment rassit par un des trois gardes qui était rsté là.
-"C'est bon je compte pas la tuer. Sinon je l'aurais pas ramené."
Cette phrase dit avec plein d'humour jeta un froid parmi les gardes. C'était la première fois qu'il voyait unmafieux ou quoi ?!