Missing. [libre]

Il resta un peu planté, tout étourdit. Mais il reprit son calme. Il se rassi dans le canapé, comme si de rien n'était et alluma une cigarette. Il allait les attendre, car si il fuyait, ils seraient que Loïs est bien là.
Un grand bruit puis la porte s'ouvrit dans un grand claquement. Deux hommes armés de flingue entrèrent.Ezoi ne bougea pas.
-"Il y a des manière plus délicate de rentrer chez les gens."
Il allait les avoir au bluff si c'est comme ça.
-"Ta gueule et dit nous où est la gamin !"
-"Si je me tait je pourrais rien dire... si tenté qu'il y est quelque chose à dire."
-"Joue pas à sa avec nous !!!"
-"C'est pas la peine de s'énerver. Je vais vous dire où elle ait."
Ezio se leva tranquillement.
Mentir, il le faisait jamais c'est ce qu'il avait dit. Mais quand la vie d'une personne à qui il tient en dépend, mentir n'est plus un pêché non ?!

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Loïs ne bougeait pas d'un poil. Finalement, les deux hommes parlaient si fort qu'elle entendait tout correctement, ce qui ne la rassura pas plus. Rien que de les entendre était effrayant. Alors elle se força à fermer la bouche et n'émettre aucun son. Plongée dans le noir, elle attendait la suite. Et si quelque chose arrivait à Ezio? Si il ne leur disait pas où elle était et qu'ils lui tiraient dessus, comme ça? Non non, il fallait qu'elle réfléchisse un peu. Si ils le tuaient, ils ne sauraient pas où elle pouvait se cacher, ni même si elle était ici, mais n'empêche qu'ils avaient quand même bien l'air sûrs de leurs sources.

-" Celle que vous recherché est partit à Las Vegas !"
-" Hein ?! Te fous pas de nous, qu'est ce qu'irait foutre à Las Vegas la fille du président ?!"
-" A c'est elle que vous cherchez ?! Ah bon ben là j'en sais rien."
Un coup de feu retentit bruyamment dans l'appartement. Ezio s'écroula... Non il est pas mort, mais il l'en touchait au bras... Ça fait mal quand même. Il était à genoux en face de ces deux hommes.
-"On rigole pas chez nous. "
Tandis qu'un fouillait l'appartement, l'autre resta avec Ezio... Un flingue sur sa tempe. Chaque pièce fut mise à sac. Il ont même briser le vase ancien. Les mufle.
Puis Il entra dans le placard. Là où était caché Loïs. Ezio ne bougea pas, si il faisait quoi que se soit ils seraient qu'elle était là.

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Loïs vit de la lumière filtrer de derrière la porte et comprit qu'ils venaient d'ouvrir le placard. Un nouvel élan de panique la prit, mais elle se força à ne pas bouger, se mettant elle même les mains sur la bouche pour s'empêcher de prononcer un son. Son cœur battait de plus en plus vite. Bon sang mais quand est-ce qu'ils allaient refermer ce maudit placard, ils ne voyaient pas qu'il n'y avait rien dedans?! Au moment où ils allaient refermer le placard en question, Loïs tourna légèrement la tête. A peine, d'un centimètre tout au plus, et cela lui suffit à se cogner la tête contre un objet dur, sûrement en bois, provoquant un léger bruit étouffé.

-" C'était quoi ça ?!'
Demanda l'homme qui tenait Ezio en joue avec son p**** de flingue.
-"Je crois que c'est ton neurone qui s'est cogné contre ton crâne. Un son si creux, ça peut venir que de là."
Ezio releva un peu la tête pour lui afficher un sourire amusé. Mais le mec, il semblait pas avoir d'humour. Il frappa Ezio avec le revers de son arme. Merde il s'était ouvert la lèvre... En plus de saigner du bras. Il saigné de la lèvre maintenant. Fais chier.
L'autre homme avait aussi entendu le bruit. Il re rentra dans ce placard. Ezio voulu dire quelque chose. Faire une réflexion qui aurait détourné leur attention. Mais avant qu'il ait pu faire quoi que se soit, il commença à donner des grand coup de pied et de poings contre le mur du placard... P**** il était intelligent !! Il avait trouvé la planque!!! Ezio le regarda, interdit... Non c'était pas possible qu'il la trouve... Non !
Ben si. L'homme avait finit de défoncer la porte.

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Loïs tremblait de tout ses membres en entendant la conversation. Comment elle avait put faire une chose aussi débile?! Il suffisait qu'elle ne bouge pas, mais seulement, elle ne s'était même pas rendue compte de ce mouvement si insignifiant. Et puis, elle avait entendu un coup de feu, elle commença à paniquer. D'un coup, elle entendit les hommes taper dans la porte, et elle sentit ses mains commencer à trembler. Elle enfouit sa tête dans ses bras, alors que maintenant tout son corps entier tremblait, et ce qu'elle craignait le plus arriva : ils avaient défoncé la porte.

-"Yeah J'ai trouvait la gamine !!!"
Il avait prit Loïs par le bras et la soulevait comme un vulgaire pantin. Ezio toujours tenu sous un flingue, pissant la sang ne bougea pas non plus. Quand l'homme revint vers eux, il criait fort qu'il l'avait trouver et qu'il allait être riche. Ezio ne bougea pas. Puis il commençait à dire que ce serait dommage de la laisser partir, sans lui faire "un câlin chaleureux"...
-"Bande de crétins."
Ezio n'avait pas bougé. Il attendait. Il attendait quoi ?! Ce moment précis où les deux homme étaient interdit, le regardaient avec des yeux de merlan frit. Il se releva en placa un coup de coude dans le ventre de celui qui le tenait sous le flingue, celui ci qui tomba de douleur au sol. Il récupéra le flingue au passage. Il le pointa sur l'homme tenant Loïs.Il était droit, un pied sur le mec par terre.
-"Rend là moi."
Il avait un regard froid. Un regard qui vous glace le sang. Se genre de regard que n'ont que ceux qui ont déjà tué.

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Loïs n'avait même pas la force de bouger ou de se défendre. Et puis, se défendre comment? Se mec faisait au moins trois têtes de plus qu'elle et arrivait à la maîtriser d'un seul bras. Et puis elle vit avec horreur qu'Ezio était blessé, partout. Bon, non, il ne devait pas être blessé partout, mais tout ce qu'elle voyait c'était du sang, du sang partout. Elle le vit alors se redresser et prendre par surprise les deux hommes en prenant le flingue de celui qui le menaçait avec quelques secondes auparavant. L'homme qui la tenait hésitait. Il regardait Loïs puis Ezio qui pointait son arme sur lui. Loïs regardait uniquement le regard d'Ezio qui lui glaçait le sang, mais qui pouvait en même temps lui sauver la vie.
L'homme réfléchissait à toute vitesse, tentant de trouver un moyen de garder Loïs sans se faire tirer dessus. Il lâcha celle-ci, et la poussa en direction d'Ezio, tout en regardant le deuxième homme pour trouver une solution.

Ezio reprit Loïs dans ses bras. La serrant fort d'un bras, sans détacher son regard de l'homme qu'il avait en face... Il cherchait une solution. C'était lisible. Il paniquait. Ezio était de marbre. Avec un regard froid il tenait la vie de deux personnes entre ses mains mais n'était pas perturbé du tout. Loïs n'était plu en danger parce qu'il l'avait récupérée... Les seul qui étaient en danger de mort, c'était les deux autre.
-"Cassez vous si vous voulez pas que je vous crève."
Sa voix était plate. Sans une seule nuance de sentiments. En cette instant on aurait vraiment put l'appeler : meurtrier.
Il savait exactement ce qu'il faisait. Il ne bougea pas d'un seul pouce, ne respirait presque plus. Ses battement de cœur était lent et calme. Il tenait fermement Loïs contre lui, et donna un coup de pied dans le ventre du mec au sol pour le pousser brutalement vers l'autre resté debout. Il avait ses deux pieds au sol. Maintenant, il était près. Si ils ne partaient pas comme Ezio leur avait gentillement conseillé, il savait exactement ce qu'il devait faire.

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Loïs avait été jetée dans les bras d'Ezio et ne bougeait plus, complètement tétanisée par la peur. Imaginez bien qu'une gamine de 16 ans, qui en plus de ça est la fille du président, soit celle qui est surprotégée qui ne voit donc rien de ce qu'il se passe à l'extérieur de sa prison dorée. Même Ezio lui faisait peur. Elle avait peur qu'il les tue. Qu'est-ce qu'ils attendaient pour dégager bon sang?!
L'homme qui était à terre se décida alors à se relever et il partirent en marche arrière vers la porte, ayant toujours un regard vigilant sur Ezio, puis refermèrent finalement la porte derrière eux, mais pour combien de temps?
Loïs restait plantée là, immobile, et serrait les dents pour empêcher une larme qui s'obstinait à vouloir couler.

Ezio les regarda partir, sans rien dire, les suivant du regard et du bout du flingue. Si il n'était pas partit, il les aurait tué. Mais maintenant qu'ils sont parti, quelque chose clochait... C'était trop simple. Elle baissa néanmois l'arme. Soufflant un peu, il reprit sa respiration. puis regardant le flingue il déclara.
-"J'ai pas perdu ma journée. Un Walther CP Sport, ça vaut cher ça."
Ouais il avait récupéré le flingue de l'autre Italiens chochotte. Il s'apraitait à dire à Loïs qu'il devait partir sur le champ, quand, baissant les yeux pour la regarder, il vit qu'elle semblait pas dans son assiette. Il se pencha pour mieux la voire.
-"Eh ça vas ?! Il t'ont fait mal ?!"
Tient ça serait plutôt à lui de dire ça, avec son bras plein de sang... Il commençait à salir sa chemise que Loïs portait... Bon c'est pas grave c'est la sienne.
Il la fit s'asseoir sur la canapé. Elle avait vraiment pas l'air bien. Ezio oublié parfois que ce qu'il venait de vivre n'était quelque chose que les gens normaux voit souvent. Pour lui s'était la routine quoi ! Son jobs.

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Une fois assise Loïs hocha la tête essayant tant bien que mal de se ressaisir.

-Non, non, je n'ai rien. C'est plutôt à toi de demander ça ... Fit-elle en levant les yeux vers son bras plein de sang.

Elle rebaissa les yeux et tenta vainement de reprendre son calme et de se remettre les idées en place. Elle se leva alors en regardant à nouveau le bras d'Ezio.

-Il faut que tu soignes ça. Ou au moins que tu ..

Elle se dirigea vers la cuisine où elle s'empara d'un rouleau de papier absorbant et revint là où elle était. Elle en déchira un bout et le posa doucement de le bras d'Ezio pour éponger le sang et l'empêcher de couler plus qu'il ne l'avait déjà fait.

-" Tu sait qu'il faut jamais éponger un plaie avec ce genre de papier."
Lui dit-il avec un sourire amusé. Ben ouais les papier absorbant aspire le sang. C'était mauvais parcqu'ils absorbent aussi du sang qui sans ça serait resté dans son corps. Il posa sa main sur la têt de Loïs avec un aire amusé et alla à la salle de bain prendre de quoi faire un pansement... Mais un pansement au bras tout seul c'est pas facile.
Mais c'était pas sa préoccupation première... Loïs allait vraiment pas l'aire bien. Il lma regardait en même temps qu'il essayait de faire ce p**** de bandage.
-" T'est sur que ça va ?!"'

Invité

(Ah ben mince, j'fais tout le temps ça moi quand je saigne beaucoup XD)

Loïs se rassit et croisa les bras contre sa poitrine en attendant qu'il aille se soigner lui même, parce qu'elle, ben, c'était pas trop ça, mais elle voulait se rendre utile.

-C'est bon j'tassure ... Tu veux de l'aide peut-être?

Elle se leva et alla dans l'encadrement de la porte de la salle de bain.

( Ben faut pas ^^ t'est pas douée .. Non je lol, moi je laisse saigner jusqu'à ce que ca s'arrête.. C'est pas mieux XD)

-" Ouais je veux bien."
Il lui tendait la bande pour qu'elle la tienne pendant qu'il y a mettait de l'alcool à 90 sur sa plaie... Ca pique !!!! Mais Ezio est fort et il n'y eut qu'un rictus très minime et fugace qui passe d'un coup de vent sur son visage. C'est bon c'était passé. Après il lui reprit la bande et commença à essayer de la mettre tout en indiquant à Loïs qu'il fallait qu'elle pose un doigt sur la bande sinon il y arriverait pas... C'était une belle plaie quand même. Heureusement que la balle a traversé sinon il aurait dut lui même aller la chercher... Il 'lavait fait une fois et ça fait mal.
Une fois finit, il s'alluma une clope, histoire de récupérer. Il réfléchit un instant. Restait ici était maintenant trop dangereux. Le mieux était de la ramener chez elle immédiatement. Mais sur la route, les Italiens pourrait revenir... Que faire ?!

Invité

(Bon ben j'aurais appris un truc XD)

-Et .. Qu'est-ce qu'on fait maintenant? Demanda-t-elle justement à vois haute.

Elle n'avait aucune envie de recroiser l'un des deux gars, ça c'était certain, mais elle était consciente qu'il fallait qu'ils sortent d'ici maintenant. Mais elle était terrifiée à l'idée de sortir maintenant, et de les voir l'attendre à un coin de rue ou un truc du genre. Alors elle avait demandé à Ezio espérant qu'il saurait quoi faire, lui.

Une idée lui vint à l'esprit. Il suffirait qu'il montent sur les toits. De là-haut les Italiens ne les verraient pas. Et même si ils les voyaient, Ezio avait un flingue maintenant. Il regarda Loïs et lui expliqua donc ça. Les toits n'étaient pas bien écarté aucun risque qu'ils tombent.
De toute façon il pouvaient pas rester là. Il voulait la ramener au QG de la famille, là bas elle sera vraiment en sécurité... Oui il avait dit la même chose de son appart' mais là bas c'est remplis de mafieux donc pas le moindre risque que les Italiens attaquent.
Il fouilla un peu dans tout les tiroirs de la cuisine et dégota une boite de cartouche 45 mn, trois couteau qu'il cacha dans ses chaussette et dans son dos. Ça, c'était les couteaux de survit, au cas où. Il rechargé la pistolet et mit la boite de cartouche dans sa poche. Allait hop, lui il était près.

Invité

Loïs n'avait rien à préparer étant donné d'abord qu'elle n'était pas chez elle et qu'elle n'avait donc aucune affaire, et aussi parce qu'elle n'avait aucune idée de là où il comptait aller, mais elle lui faisait confiance pour les sortir de là, et puis, elle n'avait pas vraiment le choix de toute manière. Elle regarda tous les couteaux qu'Ezio avait caché sur lui en plus du pistolet qu'il venait de charger et le noeud qu'elle avait dans l'estomac se noua encore plus qu'il ne l'était déjà. Voir Ezio avec toutes ces armes ... Elle n'aimait pas trop ça, ça la faisait autant flipper que lorsqu'il regardait l'autre mafieux italiens avec ce regard vraiment effrayant .

Il était fin près et prit Loïs par le bras pour la faire sortir de là. Une fois la porte franchi, il l'entoura de son bras libre tandis que l'autre s'occupait du flingue. Il regardait partout, mais restait étrangement calme. Il ne fallait surtout pas que Loïs s'inquiète encore plus, si elle le voyait s'inquiéter, elle allait mourir d'une crise cardiaque. Mais bon Ezio était souvent confronté à se genre de situation donc bon.
Il arriva sans trop de mal jusqu'au toit. Mais là-haut, un Italiens montait la garde... LE tuer avec le flingue serait trop bruyant et se ferait remarquer. Une seule option, le couteau, plus discret moins sonore.
Il laissa Loïs dans un coin où il ne pouvait pas la voir.
-"Reste là... Et ferme les yeux."
Ça y est il venait de prendre conscience qu'elle pourrait peut-être pas supoorter le faite qu'il allait égorger un homme. Bon il allait le faire de façon à ce qu'il ne souffre pas. Mais il allait quand même le tuer.

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Loïs se laissa entrainer sur le toit et tenta de ne pas se poser de question, et de juste faire à la lettre ce qu'Ezio lui demandait. Quand elle vit l'homme sur le toit elle ne put s'empêcher de tressaillir mais garda son calme. Ezio la lâcha alors soudainement et sortit un couteau de sa poche. Il lui avait demandé de fermer les yeux, ce qui la fit se douter de ce qu'il allait faire. Elle se mordit la lèvre en le voyant avancer, immobile, puis se décida finalement à fermer les yeux juste à temps, c'est à dire avant qu'Ezio n'enlève la vie à l'italien. Elle était toujours à sa place et serrait les dents, attendant que ce soit finit. Il avait eu raison de lui dire de ne pas regarder. Elle n'aurait sans doute pas put supporter de voir Ezio tuer quelqu'un.

Il revint. L'aire de rien.Essuyant son couteau sur son pantalon pour enlever le sang... Merde dans la précipitation il avait oublier de mettre une chemise. Bon pas grave. Il revint donc vers Loïs et , après avoir rangé son couteau dans une poche dans son dos prévu pour ça, Il prit une de ses mains.
-"C'est bon viens."
Il avait dit ça sur le même ton qu'il aurait dit " C'est bon j'ai sortit le chien on peut aller manger maintenant." Pour lui ce n'était rien d'autre que son travail. Mais il avait enfin prit conscience que pour Loïs, une gamine surprotégée, c'était pas pareil. Elle devait pas voir ça avec les même yeux.
Il se mit de telle façon qu'elle ne pouvait pas voir le corps., et continua à avancer sur les toits.

Invité

("C'est bon j'ai sortit le chien on peut aller manger" Enorme XDDD)

Elle serra fort la main d'Ezion quand il lui prit la main pour continuer de marcher sur le toit sans qu'elle voit le corps et il arrivèrent à l'autre bout du toit sans plus de problèmes. Loîs n'avait rien dit jusque là, se contentant de marcher en tentant de ne penser à rien. Jusque là, ça n'allait pas trop mal, et puis elle n'avait rien vu, c'était déjà ça.

(Ouais je trouvais ça trop drôle.. J'imaginais trop Ezio sortira ça au moment le plus critique du truc Ouha énorme juste magique.)

Ezio continua de marcher jusqu'au bord du toit... Mais là c'est le drame. Ezio remarqua le grand trou entre les deux immeubles. Il avait pas une bonne mémoire, l'endroit où on pouvait marcher sur les toits sans problème c'était sur entrepôt. Mas pas chez lui.
Bon tant pis, ils allaient descendre et continuer à pieds. Pour lui pas de problème, y avait des rebord de fenêtre partout. Des gouttière et tout ce qui fait que pour lui c'était possible de descendre... Mais pour Loïs.
Il la regarda, ce demanda comment ils allaient faire pour descendre... Y pourrait descendre puis après elle saute et il la récupère dans ses bras en bas... Non pas possible.
-"Monte sur mon dos et accroche toi bien."
Il trouvait plus que ça comme solution.

Invité

Loïs regarda l'écart entre les deux immeubles. Ezio était dégourdi, certes, mais ça l'étonnait fort qu'il arrive à sauter à lui tout seul une aussi longue distance, qui plus est à une hauteur considérable. Il y eut quelques secondes de réflexions pendant lesquelles Loïs s'empêchait plus de penser à une éventuelle nouvelle mésaventure que de comment ils allaient descendre. Lorsque Ezio lui dit de monter sur son dos elle fut un peu surprise. Il comptait descendre avec elle en plus qui lui faisait quand même pas mal de poids supplémentaire sur le dos?! Bah, de toute manière, elle ne voyait pas d'autre solution. Elle se mit alors derrière son dos et s'accrocha à celui-ci de la manière à être le mieux accrochée possible.

Sujet: Re: Missing. [libre] Sam 1 Jan 2011 - 10:58

Une fois qu'elle fut montée sur son dos. Ezio passa ses mains pour mieux la soutenir juste au début, après il pourrait pas trop quand même. Ouha comme elle était pas lourde du tout. Sans était même effrayant... A moins que se soit lui qui était fort... Ou peut-être un peu des deux. Bon laissons là cette réflexion.
Il commença par enjamber le rebord du toit pour se retrouver suspendu dans le vide, tenue uniquement par la force des bras. Avec Ses jambes il cherchait des appuis... Mais y en avait moins qu'il le pensait. Bon pas grave. Il se lâcha un peu pour se rattraper à une fenêtre. Petite monté d'adrénaline avec des chute libre jusqu'en bas. Heureusement que personne était cardiaque parce que sinon...
Une fois au sol, il reprit un peu son souffle. Cette descente avait agrandit la plaie. Si c'est possible parce que qu'en on force trop sur un bras avec une plaie ouverte, la peau étant élastique s'étire et ouvre encore plus la plaie.
Donc ça piquait. Mais il essayait de pas que Loïs le remarque. Sinon elle s'inquiéterait et quelqu'un qui s'inquiète dans ce genre de situation et quelqu'un mort.

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