Petit RP bien sadique... Niark Niark !! (Libre)

- Ah oui ? On va bien voir ça...

Il prenait en réalité plus la phrase comme une provocation. Ses mains avides parcoururent le corps de la jeune fille, empoignèrent ses vêtements. Il tira brutalement dessus, les déchirant tout simplemement pour les lui enlever, plutôt que de les lui retirer normalement. De toute façon, il aurait dû détacher ses poignets pour faire passer son haut. Donc...
Il se pencha sur elle et la souleva un peu pour pouvoir dégrafer son soutient-gorge. Il eut bien du mal à le faire, d'ailleurs, bon sang que c'est mal fait ces trucs quand même !

Non ! Non, non, non ! Je veux pas savoir, moi ! Y'a pas de "on" qui tiennent !

Problème de gigotement urgent à régler. Il n'avait jamais vu une fille se démener autant. Décidément, elle était pleine de surprises et il aimait ça. Ça faisait du nouveau, c'était charmant. Et puis, il n'eut aucun mal à régler le problème : Sans vraiment se soucier de lui faire mal, il s'assit à califourchon sur elle et retourna se battre avec l'attache du vêtement. Finalement, il réussit à le dégraffer et le jeta plus loin. Aussitôt, ses mains plongèrent sur sa poitrine dénudée. Il ne faisait preuve d'aucune délicatesse. Il s'en fichait bien de l'état dans lequel serait Caitlin lorsqu'il en aurait fini avec elle. Sans doute plus massacrée que sa soeur, car elle ne se laissait pas faire. Elle courait après. C'était une folle. C'est tout.

STOP ! Si t'arrêtes j'accepte de bosser pour toi !

Il s'immobilisa à ces mots, et se redressa un peu en lâchant sa poitrine. Toujours assit sur elle, il croisa les bras et sembla réfléchir un instant à sa proposition. C'est vrai qu'il souhaitait qu'elle travaille pour lui, mais en même temps, il allait rater une bonne baise et puis qui sait, peut-être qu'elle le ferait marcher. Elle était assez diabolique pour ça et il ne voyait pas pourquoi il lui ferait confiance.
- Qu'est-ce que cela changerait ? Peu importe ce que je vais décider, tu vas travailler pour moi quand même. Ou tu n'auras jamais la conscience tranquille, j'y veillerai personnellement... Tu as mieux à proposer ?

Tant qu'à négocier, aussi bien voir si elle pouvait lui offrir quelque chose d'intéressant en échange... Bien qu'il doutait fort que cela puisse surpasser une bonne baise.

Je m'engage à satisfaire personnellement tous vos petits caprices. Sauf ceux qui consistent à tout ce qui se fait en-dessous de la ceinture sans mon consentement. Je vous signe un contrat, s'il vous voulez. Un contrat entre vous et moi, pas un contrat de travail. Un contrat où je peux pas démissionner, si cela vous rassure.

- Ça m'intéresse. Mais j'aurais peut-être quelque chose à ajouter à notre contrat. Si le travaille est mal effectué, j'ai le droit de te punir. Alors... March conclu ?

Il se tassa de sur elle et remit sa ceinture, la rattachant comme il faut. Il alla ensuite détacher les poignets de la jeune fille et la laissa se relever en reculant du lit. De toute façon, si elle tentait encore une fois de s'enfuir, elle ne pourrait pas aller bien plus loin que dans la chambre.

Caitlin souffla, en le voyant remettre sa fichue ceinture, et la détacher. Une catastrophe d'évitée, une ! Cependant, elle retint un grommellement insatisfait, à sa clause peu plaisante. Mais soit. Elle n'était pas type à mal faire son boulot, même s'il consistait à nettoyer le salon de l'homme qu'elle détestait le plus en ce vaste monde. Elle pensa vaguement à demander un salaire, mais, en se redressant, et alors qu'elle frottait ses poignets malmenés, elle se souvint de plus important : automatiquement, ses bras se refermèrent sur sa poitrine, pour la cacher, et elle quitta le lit, sans gestes brusques, pour récupérer son soutien-gorge, qu'elle remit rapidement. Elle jeta un regard discret vers son haut transformé en lambeaux, et soupira.

- Tant que vous ne tentez rien de pervers. Cela dit, j'aurais autre chose à... hum... demander.

Elle n'abandonnait pas vraiment. Disons juste que... elle essayait de trouver un compromis. Après coup, elle pouvait également tenter d'assurer un confort financier pour sa cadette. Payer l'hospitalisation de sa sœur avec l'argent de son agresseur ? Ironie. Mais ce n'était pas ça, qu'elle avait à demander. Non, non. Elle resta un peu loin, des fois que, méfiante, et pointa le jeune homme du doigt. Ou plutôt, son haut.

- Je peux avoir votre chemise ?

Y'avait que ça, de toute manière.

Il éclata de rire et fut bien tenté de lui répondre non, après tout, il la préférait bien sans haut, mais il finit par déboutonner sa chemise et la retira, s'avançant vers elle pour la lui tendre avec un sourire. Et bon, c'est pas pour se vanter, mais... Il a un torse musclé à croquer, quoi. Et, ~~saaaaans faire exprêt~~, il faisait jouer mes muscles pour voir un peu sa réaction.
En fait, il était bien content. Les choses s'arrangeaient un peu. Elle allait travailler, et il en profiterait un max. Pourquoi pas en mettant tout à l'envers dans une pièce, question de lui donner des heures de travail ? Ou alors... de l'embêter tout simplement. Ou de l'agresser sexuellement. Ou... Bon, d'accord, il ne vous dira pas tous ses plans secrets quand même !
Passant un bras autour de ses épaules, il l'entraîna vers la porte et sortit la clé de sa poche. Déverrouillant, il sortit de la chambre avec elle.

la sienne

Est-ce que vous accepterez mon montant, concernant mon salaire ?

- ...D'accord. Tu demandes combien de l'heure ?

Je lâchai ses épaules et croisai les bras, posant sur elle un regard calme et sérieux. Mon petit sourire débile avait disparu. J'avais presque un air sympathique, ainsi. Un visage à peu près neutre, et pas cette lueur méchante dans le regard. J'étais prêt à la payer, ça en vaudrait bien la peine de toute façon. Ça me permettrait ainsi de m'assurer qu'elle resterait et continuerait de travailler pour moi Et c'est pas l'argent qui me manquait, faut dire.
En espérant juste que le prix ne soit pas trop exorbitant, mais si c'était le cas, je n'aurais qu'à rajouter une ou deux petites conditions par-ci par-là...
Elle semblait s'être un peu calmée et, même si je savais que sa haine pour moi était encore tout aussi forte, elle avait l'air de se maîtriser. Tant mieux. Je commençais à en avoir un peu ras le bol de son petit caractère, la journée d'aujourd'hui avait été assez épuisante en soit...

Le strict nécessaire. Tout ce que je veux, c'est avoir l'argent dont j'ai besoin lorsque j'en ais besoin. Je vous demanderais juste de me donner ce que je vous demande au moment ou je vous le demanderai. Et si vous êtes trop radin, je peux aussi vous montrer le montant de mes factures.

Bon, on va le rédiger, ce fichu contrat, ou on attend qu'il neige ?

- Très bien, très bien...

Il la laissa le dépasser, de toute façon, ça ne changeait strictement rien car elle ne pourrait pas sortir du manoir, de toute façon. Il la rattraperait bien avant qu'elle n'atteigne la porte, pour sûr. Il ne fit que la suivre pendant quelques instants puis poussa la porte du fameux bureau où il était lorsqu'elle était arrivée au manoir. La faisant entrer, il alla s'asseoir au bureau, saisit une feuille de papier blanche ainsi qu'un stylo. Il alla écrire quelque chose, se ravisa, réfléchit un instant puis finalement posa les yeux sur Caitlin.

- J'écris, et toi tu me dicte quoi écrire.

Ce serait bien plus simple comme ça, elle n'aurait pas à se plaindre que ce n'était pas correct et ils ne recommenceraient pas cinquante fois, ce qui serait vraiment énervant. Et puis, s'il se montrait un tant soit peu aimable avec elle, elle finirait par baisser ses gardes. Tout était une question de ruse et de pièges. Et ça, il était fort là-dedans.

Caitlin afficha une moue, dans une brève réflexion. Qu'est-ce qu'elle pouvait lui dicter ? Les contrats, c'était pas sa spécialité. Mais soit. Elle devait penser à tout, alors. Elle chercha un moment, et décida de commencer par ses propres engagements. Qu'il écrive ne la dérangeait pas : ses poignets tremblaient trop, elle n'aurait pas pu le faire. Cependant, elle avait bien l'intention de revoir le bout de papier dans les moindres détails, des fois qu'il veuille lui faire un coup foireux et écrire des trucs en petits, ou jouer sur les mots. A force de bien se remémorer ce qu'il avait fait, sa méfiance était revenue. Il ne fallait pas qu'elle l'oublie. Plutôt se tirer une balle.

- Bon. Déjà... hum... Mon nom complet c'est Caitlin Joan Mason. Caitlin, c, a, i, t, l, i, n.

Quittes à faire un contrat, autant le faire sérieusement, et sur le papier, elle s'appelait Caitlin Joan Mason. Elle ne manqua pas d'épeler son prénom, étant donné que les trois quarts des gens l'écrivaient mal : Katlin, Cathline, etc, etc. D'autant que le premier "i" ne se prononçait pas. Mais bref.

- Donc... Je soussigné, Caitlin Joan Mason, m'engage à travailler pour vous en tant que femme de ménage, et à satisfaire toutes vos demandes, sans rechigner, correctement, et efficacement, sans possibilité de démission. Je vous autorise à... heu... me sanctionner comme bon vous semble, dans le cas où je bâclerais mon travail.
Moyennant mon travail, vous vous engagez à me verser l'argent que je vous demande, et à ne jamais me harceler ou m'agresser sexuellement parlant.

Peut-être bien qu'il n'allait pas être d'accord sur ce dernier point, mais elle n'avait pas envie de le négocier. Qu'il fasse avec.

J'écrivais au fur et à mesure qu'elle me dictait le texte, souriant parfois à certains passages qui me plaisaient bien. Je m'efforçais d'écrire assez bien, pour que ça ait l'air un peu plus formel, même si je devais vraiment écrire vite pour arriver à suivre sans oublier de mots.

- ... à me verser l'argent que je vous demande, point, compléta-t-il alors qu'il finissait d'écrire.

Il déposa son stylo et relut rapidement la feuille avec un sourire satisfait. Puis, en levant les yeux vers Caitlin, il fronça les sourcils, jouant le total innocent alors qu'il venait carrément d'enlever la moitié d'une phrase sans même la consulter.

- Bah quoi ? J'ai oublié quelque chose ?

Quand même, je ne pouvais pas écrire que je m'engageais à ne jamais l'agresser sexuellement ! Ce serait trop... Il n'y aurait plus rien d'intéressant à faire avec elle à part la frapper, et même là, à la longue ça devient lassant. Et puis même ça, j'avais seulement le droit de le faire quand elle faisait mal son travail. Donc...

Blasée. D'une certaine manière, elle s'y était attendue. Caitlin fronça les sourcils. Ça avait l'air de le faire rire. Bah tiens, bah tiens. Caitlin s'empara de la feuille et du stylo, pour relire. Tout semblait en ordre, jusqu'à la fin. Alors, très rapidement, de manière la plus lisible possible, elle rajouta la suite de sa phrase, et signa avant de lâcher le stylo par manque de force dans le poignet.

- Si le fait de ne pas pouvoir m'ajouter dans votre liste de viols et d'agressions réussies vous déplaît, vous n'avez qu'à tenter d'obtenir mon consentement. Ou vous devrez vous contenter de ce qui est écrit sur ce contrat, et cultiver votre imagination.

Voilà, c'était tout. Point barre.

- Fait chier...

Il signa la feuille à son tour et, avec un soupir, l'épingla sur un petit babillard sur le mur. Puis, il regarda Caitlin et lui foutu une baffe en passant près d'elle, lançant simplement comme raison "C'était mal écrit. Travail mal fait." et il sortit ensuite de la pièce en la laissant là, l'air d'un peu se ficher d'elle maintenant.
Obtenir son consentement, et puis quoi encore !? Il aurait 90 ans au moins lorsqu'elle accepterait ! Ou alors il serait mort avant ça. Géniaaal...
Elle était mieux de bien travailler car il s'en donnerait à coeur joie sur les coups. Question de petite vengeance pour l'affaire de l'interdiction du viol.

Jared était descendu aux cuisines et de nombreux cuisiniers s'affairaient à lui préparer un petit quelque chose à manger. La tête appuyée sur sa main, il réfléchissait. À ce qu'il venait de signer comme contract. À ce qu'il pourrait faire pour obtenir le consentement de Caitlin pour coucher avec elle...
À la façon d'agir avec elle. Il ne savait plus s'il devait se montrer violent et sans pitié, ou être ferme et autoritaire sans pourtant être méchant...
Non. C'était une femme, et une femme avec un sale caractère. Il devait lui montrer dès le début que c'était lui le boss, et qu'elle avait intérêt à faire tout ce qu'il demandait, sans faiblir. La violence était parfaite. Ou peut-être pas. Mais de toute façon, connaissait-il réellement une autre manière d'agir qui serait plus appropriée ? Élevé dans la violence, dès son plus jeune âge on lui avait mit en tête que les femmes n'étaient bonnes qu'à baiser et à effectuer les tâches ménagères. Elles devaient s'efforcer de plaire aux hommes sous peine d'être puni sévèrement. Et par-dessus tout, les hommes avaient une totale autorité sur les femmes. C'était cette mentalité-là qui lui avait été imposée dès qu'il avait eut l'âge de parler, marcher et aller à la toilette seul...
Lorsqu'on lui apporta son plat, il le mangea sans se presser, l'air toujours aussi préoccupé.

Après avoir mangé, il décida de finalement partir à sa recherche car cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas revue. Il songea qu'elle devait être partie, mais en arrivant près de la porte, il vit qu'elle était encore verrouillée, et si Caitlin était partie... Elle n'aurait pas pu la verrouiller de l'extérieur...
Il entreprit donc de la chercher, et faut dire que c'était pas une chose facile dans cet immense manoir... Lorsque, finalement, il la trouva dans un des nombreux salons, endormie là paisiblement, totalement sans défense, il s'approcha sans bruit du sofa et s'accroupis près de Caitlin. Doucement, il passa deux doigts sur sa joue en une légère caresse. Puis, avec un soupir, il se leva et alla fouiller dans une armoire pour prendre une couverture qu'il déposa sur la jeune femme. Finalement, sans un mot, il sortit de la pièce sans bruit en refermant la porte délicatement. Pourquoi avait-il agit ainsi ? Il n'en savait que trop rien. Juste qu'il l'avait trouvée totalement mignonne et... il n'avait pu se résoudre à la réveiller.

C'est alors que Jared fit son apparition dans la chambre, vêtu d'une chemise bleu clair et d'un jeans normal. Pour une fois qu'il n'avait pas l'air riche même dans ses vêtements...
Il s'approcha du sofa sans émotion apparente sur son visage. Il avait cet air neutre, ni fâché ni heureux, juste... bien normal. Il s'assit aux côtés de Caitlin et lui leva la tête avec un doigt pour la regarder dans les yeux, l'air de juger son état. Puis, il la lâcha et croisa les bras en se calant plus confortablement dans le sofa.

- J'ai dit au serveur de nous emmener le petit déjeuner ici. De toute façon, je doute que tu aies la force de te lever.

C'est pas vrai... Je peux me lever... C'est juste que, j'veux pas.

- Huh ouais, sûrement...

Il rit un peu en lui tapotant la tête et, lorsqu'on cogna à la porte, il cria au serveur d'entrer. Celui-ci emmenait avec lui un gros plateau sur lequel étaient déposées deux assiettes. Il approcha la table basse du sofa, et déposa devant chacun une assiette ainsi qu'un verre de jus d'orange, et un café. Il s'inclina ensuite et sortit de la pièce.
L'assiette contenait des oeufs, toasts et petites patates ainsi que du bacon et tout ce que peut contenir un bon petit déjeuner.

» academy killer ( pv les pece de sadique fofolle!)
» ne m'en voulrer pas ses pour mon bien
» J'reviens... Si on veut bien de moi.
» (libre pas de titre)
» Libre ;)