Petit RP bien sadique... Niark Niark !! (Libre)

Les Miller ont une histoire. Vous ne la connaissez pas ? Depuis des générations, ce sont des monstres : est-ce qu’une seule fois, en tant et tant d’années, ils ont payés pour leur erreurs ? Je ne crois pas, non. Si personne ne lui tient tête maintenant, jamais, jamais il n’arrêtera, et jamais il ne paiera pour ce qu’il a fait à Jane. Les mauviettes dans votre genre qui se répètent ce genre de stupidités pour se rassurer me dégoûtent.

Vous avez une idée, un simple petit indice, de l’état dans lequel ma sœur est, actuellement ? Alors non, je n’arrêterai pas de gueuler parce que je dérange monsieur.

Faites-lui passer le message. Collez-lui une bonne baffe, la même, rien que pour moi.

La domestique, apeurée par tant de violence, se dépêcha bien de remonter en fermant la porte derrière elle. Timidement, elle se dirigea vers le bureau du garçon, ouvrit la porte et s'inclina un peu. Lentement, il leva les yeux de son livre avec un soupir exaspéré, recommençant à entendre les cris et les insultes de Caitlin en bas.

- Je suis profondément désolée, je lui ai dit d'arrêter mais... En fait, elle a un message pour vous.
- Allez-y, je vous écoute.
- Vous ne me frapperez pas, si j'ose vous le transmettre ? Ce n'est pas joli joli...
- Mais non, c'est promis.

La femme s'avança alors lentement vers lui, le regarda un instant, l'air terrorisée, puis lui frappa la joue avec force. Moins fort, sans doute, que l'aurait fait Caitlin. Mais tout de même une bonne gifle. Et elle s'enfuit alors en courant. D'abord ébahit de s'être fait frapper par cette bonne femme d'habitude si docile, il resta immobile le temps de reprendre ses esprits puis se leva d'un bond et descendit lui-même au cachot. Il avait deux mots à dire à cette fille.

- Si tu fermes pas ta sale gueule, t'auras rien à manger de la journée.

Tiens, Sir Miller me fait l'honneur de sa présence. Peut-être que si vous me laissez tranquillement sortir, je pourrais considérer l'idée.

Il sembla réfléchir un instant à ce qu'il devait faire, puis finalement, il décida de lui ouvrir grand la porte et croisa les bras en la regardant. Il avait sur la joue une belle trace de doigts encore rouge.

- D'accord. Sors. Mais tais-toi !

De toute façon, même si elle pouvait se promener librement dans le manoir, elle ne pourrait pas aller bien bien plus loin, ni même sortir à l'extérieur. Il tâcherait de garder un oeil sur elle... Ou de mettre un gardien près de la porte. Le genre de mec bâti comme une armoire à glace, qu'on ose pas trop essayer de tasser de notre chemin.

Je vois que mon message est passé.

Bien sûr, je n'ai pas plus l'intention de travailler pour vous que tout à l'heure.

Il mit ses mains dans ses poches et la suivit aussitôt, ignorant son commentaire. De toute façon, il n'allait pas la laisser s'échapper si facilement. Alors oui, elle travaillerait, ou alors il la garderait prisonnière et lui ferait regretter ce mauvais choix. Mais qui dit qu'il avait seulement envie de la faire travailler ? Oh non, il avait bien des projets pour ce joli bout de femme. En voyant le couloir qu'elle empruntait, il ne pu retenir un ricanement moqueur.

- Excellent choix. Ma chambre est justement par là. Nous pourrions y faire un petit arrêt...

Il ne marchait maintenant plus derrière elle, mais bel et bien à ses côtés, l'air sérieux et un peu contrarié à la fois. Il s'était quand même attendu à une jeune femme bien docile, or elle avait tout un caractère qu'il lui serait difficile à dompter. Mais c'était un nouveau défi, et d'un autre côté, il appréciait bien.

Épargnez-moi votre humour douteux.

J'aimerais rentrer chez moi, me changer. Puisque vous avez si généreusement tâché mes habits de sang. Pourriez-vous au moins m'indiquer la sortie de cette foutue demeure qu'est la vôtre ?

- ... Je dois avouer que c'était là une belle tentative d'échappatoire. Mais, malheureusement pour toi, je ne suis pas aussi naïf. Voir que tu va revenir ensuite bien sagement ici... !

Il s'avança un peu pour se retrouver tout près, très près d'elle. Et il plongea ses yeux verts dans les siens, sans un mot, pendant un long moment. Comme s'il essayait de voir au plus profon d'elle-même, seulement en scrutant son regard.

- Je te passerai des vêtements, ça fera bien l'affaire, lâcha-t-il finalement.

Non, ça ne fera pas l'affaire. Je rentre chez moi.

Sa main lui empoigna brusquement le bras. Il en avait visiblement assez, là. Il la tira vers lui, si brutalement qu'elle lui tomba dans les bras, et il passa d'ailleurs celui-ci autour d'elle pour la maintenir plus solidement. Il approcha son visage du sien et alla lui mordiller un peu la lèvre avant de sourire.

- On se calme, ma p'tite dame !

Dernière édition par Archimède le Lun 11 Oct 2010 - 12:15, édité 1 fois

Pouaaaaah ! Lâchez-moi ! C'est dégoûtant !

Il écarquilla les yeux, plus de surprise que de réelle douleur, alors que sa jambe flanchait sous le coup, pliant automatiquement vers l'avant, lui faisant perdre l'équilibre. Il tenta de retrouver son équilibre sur une seule jambe, mais avec en plus la jeune fille dans ses bras, ça ne lui facilitait pas la tâche. Gardant néanmoins un bras autour d'elle, il chercha à atteindre le mur de son autre main pour pouvoir se retenir, mais ne rencontra que du vide, et c'est à ce moment-là que son pied se prit dans un bout de tapis, et tout les deux se retrouvèrent au sol. Lui sur le dessus, elle sous lui dans une position des plus gênantes. M'enfin, ça dépend pour qui. ^^

Si je peux me permettre, il serait bon pour vous de vous relever. Dans les secondes qui suivent. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais mon genou est parfaitement aligné avec ce qui vous sert d'attributs masculins. Faut-il que je vous fasse un dessin ?

Si ses parties n'avait pas été en aussi dangeureuse position, il aurait bien fait exprêt de mettre encore plus de poids sur elle pour l'écraser un maximum, et peut-être en profiter pour tenter de glisser sa main sous ce petite chandail...
Mais il tenait à la survie de ses attributs. Il se dépêcha donc de se relever, sachant bien à quel point la jeune fille pouvait se montrer sauvage. Il ne la laissa cependant pas repartir tout tranquillement. Il lui attrapa le bras et la releva brutalement, la tirant sans un mot dans le couloir en direction d'une porte, menant... on ne sait où.

Jared tourna la tête vers elle et l'observa brièvement. Le point faible des filles, hum... Ah !
Tirer sur son poignet ne suffisait plus. Il lui attrapa une bonne touffe de cheveux, et commença à la tirer à nouveau. Certain qu'elle allait se calmer, car si elle tirait trop fort de son côté..... Elle se retrouverait avec une bonne partie de la tête chauve. C'était son choix.
Il dû relâcher ses cheveux pour ouvrir la porte. C'était une grande chambre spacieuse, mais visiblement pas la chambre du garçon car tout était propre, bien rangé, et rien ne semblait avoir été utilisé depuis un moment. Une chambre d'amis, sans doute.
Il la tira brutalement vers le lit et la poussa dessus sans ménagement. Il prit alors soudain d'aller verrouiller la porte, et glissa la clé dans la poche de son pantalon. Il sourit alors d'un air pervers, bien fier de son coup.

- La petite était bien bonne... Voyons voir si c'est le cas de la plus vieille...

Cella-là, lui attacher les poignets avec une cravate, ce ne serait sûrement pas suffisant. Elle était tenace, bien plus que la jeune fille de l'autre fois, qui s'était à peine débattue. Faut dire qu'il l'avait maîtrisée bien rapidement, et sans trop de mal...

De quoi ?!

Vous ne parlez pas de ma sœur comme d'un bout de viande !

Loin de se laisser démonter par les coussins qui volaient vers lui à travers la pièce, et le frappaient sans même lui laisser une petite égratignure, le jeune homme détacha sa ceinture, la retira et franchit alors la distance qui le séparait de Caitlin, ceinture en main. Il avait un sourire à la limite du diabolique, et on se doutait bien que dans ses mains, une ceinture banale en cuir pouvait devenir une arme bien redoutable...

- Je sens que cette chambre va être en très, très mauvais état lorsqu'on en aura fini, toi et moi...

Votre mère ne vous a jamais appris qu'on ne frappait pas les filles ?

- Huh, il m'a plutôt appris le contraire, crois-moi...

Pendant un instant, il eut presque l'air un peu désolé, mais bien vite tout ça disparu de son visage et il retrouva son sourire. Plus il avançait, plus elle se tassait, mais bien vite elle se retrouva acculée dans un coin de la pièce, lui devant elle, menaçant, brandissant la ceinture.
Mais il ne la frappa pas. Sa main se referma sur son poignet, et il guetta chaque éventuel coup de sa part, mais rien ne vint.

- Bon. Là, on va s'amuser un peu.

Il la tira brutalement sur le lit.

Amusez-vous tout seul !

L'un des deux coups de pieds en particulier, plus puissant et étonnament bien visé, le fit plier en deux de douleur. Il avait perdu le souffle sous le choc et, maintenant à genoux par terre, il essayait tant bien que mal de le retrouver le plus rapidement possible, question de pouvoir rattraper la demoiselle qui avait bien décidé de prendre la fuite. Il était furieux et à la fois surpris que la jeune fille lui donne autant de fil à retordre, lui qui était habitué à la totale soumission dès qu'il levait la main en faisant mine de frapper. Cette fille n'était pas comme les autres. Ça c'est certain.
Sa main se referma sur sa ceinture bien solidement. Lentement, il se remit debout. Il ne tolérerait plus d'écart de comportement dans ce genre.
La ceinture claqua. Le cuir émit un bruit infernal en frappant directement sur les fesses de Caitlin, puisqu'elle était en ce moment dos à lui, à quatre pattes, essayant de s'enfuir sur le lit.
Nouveau coup de ceinture.
Il jugea que trois ou quatre coups seraient suffisants. Ç'aurait été plus frappant - et plus sanglant - sur de la peau nue, mais ça ferait l'affaire comme ça.

- Ne refais plus jamais ça.

Il fut bien ravi de l'effet produit par les coups de ceinture. Pour une fois, il voyait la résistance de la jeune femme flancher. Elle lâcha même un cri, et étouffa les autres, ça il le voyait bien. Sa ceinture toujours à la main, l'air menaçant, il décida de se glisser sur le lit. Voyant ses jambes vers lui, éventuellement pour lui donner un coup de pied, il jugea plus prudent de leur donner un petit coup de ceinture préventif. Qu'elle essaye de le refrapper pour voir, et il la ferait déshabiller avant de la fouetter jusqu'au sang. C'était tout ce qu'elle méritait.
S'emparant d'une longue corde sous le lit, il lui saisit les deux poignets en mettant un genou sur son ventre pour l'empêcher de bouger. Il fit plusieurs noeuds solides, lui attachant bien serré les deux poignets ensembles. Puis, il attacha la corde à la tête de lit, de façon à lui laisser très peu de liberté de mouvement.

Tss ! Je suis sûre qu'en plus, vous êtes nul au lit.

» academy killer ( pv les pece de sadique fofolle!)
» ne m'en voulrer pas ses pour mon bien
» J'reviens... Si on veut bien de moi.
» (libre pas de titre)
» Libre ;)