PV : C.C le soleil écarlate

Il avais gémis un peut de douleur, que je vis les larmes sur le coins de ses yeux. Je n'osait plus bouger, le laissant s'habituer à une présence en lui. Malgré totu, quand je vis qu'il semblait s'y habituer je continua à tâter le chemin, cherchant à faire attention de passé sans trop de dégât. Une fois que je me dis que ce serais correcte, je me plaça entre ses jambes, prenant un petit coussin et le mettant sous lui pour le soulever un peut. Je l'embrassa alors doucement retirant mes doigts.

-J'y vais.. d'accord..

J'écartais un peut ses jambes, m'alligant et rentrant lentement en lui. La chaleur m'envahissait, tout mon corps en avait envie. Je le regardais en même temps, voulant voire sa réaction, autant par plaisir que par inquiétude. comme j'avais envi de me laisser libre....

Je le vis m’installer de façon à ce que je soit plus confortable que souri. Il se plaça entre mes jambes et retira ses doigts que cela me fis gémir.

-J'y vais.. d'accord..

Je me mordis la lèvre le regarda s’en venir vers moi. Mes mains cherchèrent une prise et empoignèrent les draps. Je me crispai encore une fois quand il entra en moi. Cette fois si les larmes me coulèrent sur les joues sans que je puisse les retenir. Je n’avais pas penser que sa ferait aussi mal. Mal malgré tout, je poussai un gémissement quand il entra en moi. De douleur oui, mais mélanger avec du plaisir aussi petit soit-il pour le moment. après un moment je lui fis signe qu'il pouvait continuer.

Il gémis lorsque je rentra, empoignant les draps, des larmes perlant sur le bord de ses paupières. Je resta quelques secondes immobile jusqu'à ce qu'il me fit un signe pour que je puisse continuer. Je lui sourie pour lui dire que j'avais compris, me retirant lentement, puis re-rentrant. j'y allais lentement, me collant à lui, le tenant fermement par les hanches. Je sentait une petite goute de sueur descendre le long de mon dos, roulant jusqu'aux draps et s'y perdant. Tout mon corps brûlait, se consumait. Je l'attirais plus proche, y allant plus profondément, le plaisir montant d'un cran.

Un autre gémissement sortie de ma gorge quand je le sentis re rentré en moi. Je serrai les draps de plus en plus forts sous le plaisir. On pouvait voir de mince ligne mauve dans mes yeux verts. Le sentir en moi était quel que chose de merveilleux. Ma respiration se faisait difficile, je regardai Cariel que la chaleur m’envahit. Il était tellement beau et il était rien qu’a moi. Je souris a cette pensée et je criai presque quand je le sentis y aller plus profond. Je mis mes mains sur ma bouche ne voulant pas que les domestiques nous attendent.

Ses gémissements devenaient plus fort, ce qui m'encourageais. Mais il cria presque lorsque j'y allais plus profondément. j'eu un sourire rieur. Moi sa ne me gênait aucunement!

c'était si confortable, j'avais chaud partout, ses soupirs et ses gémissement devenant une douce musique à mon oreille. chaud, doux, je sentait ce plaisir grimper en moi. Je le pris alors par le dos, m'agenouillant et le mettant sur moi, sans jamais nous décoller. Je l'embrassait dans le cou, lui mordillant l'oreille, et caressant son dos, continuant plus rapide, plus fort.

Il sourit rieusement que cela me fis rougir. D’habitude je ne criais jamais, mais là c’était autre chose et ca m’avais un peu surpris que mon corps réagisse autant a tout ce qu’il me faisait. Ces alors qu’il me prit par le do et me mis sur lui. J’eus une petite grimace a cause du changement, mais m’y habitua vite fait. Je fis même quel que mouvement du basin pour accompagner les siens. Je blotti ma tête dans le creux de son cou en soupirant fortement en entourant mes bras autour de lui et en plantant mes ongles dans son dos a cause de l’effet qu’il me faisait. J’avais plus de drap a pogner, il fallait bien que je me trouve autre chose. Je gémis le nom a Cariel en l’implorant d’aller encore plus vite. Mon corps était brulant et en demandais toujours plus.

il disait mon nom, m'implorant d'aller plus vite. Juste par ces mots, j'y obéis avec entrain, m'agrippant à lui, et y allant plus rapidement, et profondément. Nos deux corps coller, suant, coller l'un à l'autre comme fusioner, la chaleur s'émanant de nous. Je l'embrassa sur lèvres, soupirant d'aise, de plaisir! Une vague de désir, de plaisir, envie, une vague chaude et caressante, vains me tordre les entrailles, mon corps s'en emplissant en entier. Je vains en lui, les mais dans son dos, agripper à lui, la respiration haletante.

Je serrai plus fort Cariel quand celui-ci commençant a donner des coups de bassins beaucoup plus rapidement suite a ma demande. Mes mains remontèrent vers sa nuque et emprisonnèrent quel que mèche de ses cheveux. je laissa échapper une plainte de pur plaisir, cela faisait un moment que j’avais arrêter de me retenir. Mon corps se tordait sous l’envie, le plaisir et la chaleur qu’il me procurait. Il m’embrasa que je lui rendis son baiser. Mon dos se cambra de plus en plus. Ma respiration était saccader et mon ventre se nouait. Je le sentis venir en moi que je jouis peu après, tachant nos deux corps de ma semence. Je ne m’en souciai guère et me colla contre le torse de Cariel essouffler.

Il vains entre nous, son corps cambré se laissant retomber, s'accrochant à moi. Je nous sentaient collant, de sueur de de ce liquide blanc qui constellait nos deux corps. Je me pencha l'embrassant sur l'épaule, caressant son dos. Je dus l'éloiger un peut, juste question de me retirer de lui, mais me recollant, le gardant tout contre moi.

c'est alors qu'une petite tâche attira mon attention, ramassait sur mon doigt, une goutte blanche qui étais sur ma cuisse, me mettant à jouer avec, entre mes deux doigts.

-Pas trop pire j'espère... Dis-je regardant le liquide collant, tout en lui flattant doucement le dos.

Je n'avais pas vraiment envi de le laisser partir....
même si je savait qu'on ne pourrais pas s'éterniser dans cet ... position assez osée.... mais j'étais bien! Terriblement bien!

Je me collai un peu plus après lui quand il se fut retiré de moi. J’attendais son cœur reprendre un rythme normal peu à peu. Quand je le fis jouer avec mon sperme j’eu un sourire.

-Pas trop pire j'espère...

Je le regardai et l’embrassa.

-c’était géniale…

Je regardai l’heure, il était presque que temps de manger, mais je ne voulais pas le quitter d’une semelle. En plus je savais que j’aurais un mal fou à marcher si je me levais. En plus on était tacher, alors il faudrait prendre une douche, ce que je trouvai excellente comme idée.

-on va dans la douche…

Je serrai mes mains autour de lui. Je n’étais pas en mesure de marcher, qu’il m’emmène. En plus, l’eau chaude me fera du bien, enfin je l’espère parce qu’en ce moment, mon cul est en feu…

-c’était géniale…
-on va dans la douche…

-D'accord!

Je me décolla, effectivement nous avions besoins d'une bonne douche, à risque que toute manière, tout ses servants devaient avoir entendu...Je le pris alors dans mes bras, sa devait être assez douloureux... alors autant ne pas l'obliger à marcher de lui même.

-Princesse ! Dis-je rieur.

Je marchais jusqu'à la sale de bain, l'assoyant sur la toilette, et regardant cet fois le bain.... moi qui venait de prendre une douche... Bon, il faut ce qu'il fait mais cet fois je ne me relave pas les cheveux!

Je pris un élastique, attachant mes cheveux en toque sur l'arrière de mon crâne, et ouvris l'au pour qu'elle sois plus chaude, mettant un bouchon dans le trou.

-Un bain te feras plus du bien qu'une douche, croix moi! Dis-je, un sourire flottant sur mes lèvres.

Je lui souris, au moins, il avais eut le bon sens de me prendre dans ses bras pour allé me porter dans la salle de bain. Il m'avait appeller princesse, mais je ne répliqua pas. J'aimais bien qu'il me taquine. Je retiens une grimace, même si je ne marchais pas, j'avais tout de même mal. Il me fis m'asseoir sur la toilette que j'entendis qu'il fasse couler l'eau du bain. Alors il se retourne et me dit "Un bain te feras plus du bien qu'une douche croix moi!" je le regarda et rit un peu. Ces qu'il se moquait de mon incapacité a me tenir debout lui!

- je ne vois pas du tout ce que tu incinu par la!

Je ris et une fois que le bain fus remplie je me glissais dedan. Ça faisait un bien fou! Je regardais cariel enttendant qu'il me rejoignent.

- je ne vois pas du
tout ce que tu incinu par la!

Il se glissa dans le bain que je suivie, me frayent une place.
L'eau étais chaude et confortable, sa détendais plus qu'une douche! Je lue ce qu'il y avait d'écrit sur les bouteille et pris le pain de savon.

-Ti...

Je pesais trop fort qu'il m'échapa, tombant entre mes jambes dans l'Eau!

Je fouilla dans l'eau cherchant le carré de savon blanc.... puisle trouvant enfin que je le sortie, le tendant vers Sora.

-... Tiens....

Vraiment... moi et ma mal adresse!...
Quand il le pris je m'accota sur le rebord, fermant les yeux, soupirant d'aise. En même temps je caressait son mollet, seule partie du corps que je pouvais toucher sans trop bouger.

J’attendis qu’il me donne le savon que je ris quand il l’échappa dans la baignoire. Il était maladroit dit donc. Je le pris et commença à me laver et a enlever une certaine substance de sur moi. Sa me faisait du bien d’être dans l’eau chaude. Après avoir fini je me collai contre lui fermant les yeux. J’étais bien, mais l’eau commençais à devenir froide, je soupirai me décollant. Je me levai et réussi je ne sais trop comment a sortir de la baignoire. Il faudrait que je m’habitue a cette douleur si je voulais avoir une chance d’avoir l’air normal pour aller souper. Je me mordis la lèvre en pensant au bruit que j’avais fait, ils avaient surement tous attendus…je soupirai, j’espérais juste que ce Vincent aurait la brillante idée de ne pas en parler a mon père au sinon, je suis mort ! Je m’essuyait et m’habilla, je m’était un peu habituer a la douleur, mais je marchais quand même bizarre.

Quand Sora sortie du bain, je crue bon de faire de même,m'habillant aussi. J'avais décider de garder mes cheveux attacher en cet énorme toque décoiffée sur mon crâne, les mèches qui me tombaient dans le visage et sur les épaules avaient un peut onduler à cause de l'humidité.

-Donc on vas diner!? Dis-je.

Je m'approchais de Sora, passant une mains sur son épaule, la caressant avec mon pouce, toujours souriant.

Je vis Cariel faire la même chose que moi que je le regardai s’habiller du quoi de l’œil. Se ne pris pas de temps pour qu’il vienne me rejoindre ensuite.

-Donc on va diner!? Dis-je.

Avant que j’aille eut le temps de répondre j’attendus cogner a la porte, c’étais surement Vincent.

-Sora veuillez descendre, le souper est servis…votre père est là, depuis un moment déjà, il voudrait discuter avec vous avant de passer a table…

A ces paroles, je ne sais pas pourquoi, mais je sentis tout le sang que je pouvais avoir dans le corps se glacer d’effrois. Peut-être parce que mon père est le pire des homophobe que je connaisse sur la planète. Je me mordis la lèvre en me disant que sa ne serait pas trop pire, mais en voyant la tête de Vincent, je me disais que je m’en allais direct me faire trancher la tête.

-il est au deuxième salon…

Il me jeta un regard des plus compatissants et me laissa passer. J’entrainai donc Cariel dans de nombreux couloirs avant de m’arrêter devant une porte. Je soupirai grandement et le regardais.

-reste ici peu importe ce que tu attends, je reviens…

Je tournai la poigner de porte avec lenteur, mon cœur battait à la chamade. Je me chicanais rarement avec mon père a cause de son absence et je ne voulais pour rien au monde que sa arrive. Il était terrifiant et il avait ce don de toujours fesser la ou ça fait mal. Il n’était le dirigeant d’une grosse compagnie pour rien. J’entrai donc dans le salon en prenant grand soin de fermer la porte derrière moi, je ne voulais aucunement que Cariel attende ce qui allait se passer dans cette pièce. Il était assis dans un fauteuil une coupe de cognac à la main. Sur son visage, il y avait un air méprisant, je déglutis légèrement et m’avança vers lui quand il me fit signe. Il posait son verre de cogna sur la table et se levai pour ensuite me faire face. Je vis sa main s’élancer et me donner la gifle du siècle. Je serrai les dents sous la douleur, il n’y avait pas été mollo.

-tu me déçois beaucoup Sora, je n’aurais jamais imaginé que mon propre fils pourrait être une tapette…

Je le regardai dans les yeux et déglutie. Son visage était sans expression, mais je pouvais voir le dégout dans ses yeux. Je le suivis des yeux jusqu'à temps qu’il sorte du salon. J’avais terriblement mal au cœur. Je sortie de ma mélancolie quand j’attendis la voix de mon père crier après Cariel.

-C’est toi le salop qui a osé corrompre mon fils ?! Qu’est-ce que tu fais encore ici ?!

Je me dirigeai en courant vers la porte l’ouvrant rapidement. Je me mis devant mon père pour qu’il ne touche pas a Cariel.

-Arrête papa ! Il n’a rien à voir avec ça !

Cela me donna droit à une autre gifle. Au moins j’avais les deux joues également maintenant. Je n’avais jamais autant aie mon père qu’a cet instant.

Vincent étais venue nous chercher... il semblait bien morose. Le manoir me semblait aussi tout d'un coup plus sombre encore, étais-ce à cause que je ne voyait plus le sourire de Sora égailler l'endroit?

Il m'emmena au travers des dédales de couloirs, que cet fois au lieux d'observer tout autour de moi, je me concentrais à essayer de comprendre la situation! Arriver devant un salon, Sora rentra, m'intimant de rester à l'extérieur et de l'attendre...

-tu me déçois beaucoup Sora, je n’aurais jamais imaginé que mon propre fils pourrait être une tapette… Entendis-je au travers de la porte.

Le ton étais criard, ce devais être le père de Sora... tendis que moi je n'avais qu'une envi : défoncer la porte pour lui dire de se l'a fermer!... Mais Sora ne serais pas très content..

c'est alors que au lieux d'aller les rejoindre, je ce fut lui, qui ouvris la porte.
Un homme, à peut près de ma grandeur, avec les cheveux brun, et les yeux presque noirs (désolée j'invente ^w^''), ne ressemblant aucunement à Sora, arriva devant moi, fou de rage.

-C’est toi le salop qui a osé corrompre mon fils ?! Qu’est-ce que tu fais encore ici ?!

Il leva la mains, que Sora arriva.

-Arrête papa ! Il n’a rien à voir avec ça !

Puis il abattue sa paume sur le visage de son fils déjà rougis.
C'est alors que je sentis la rage m'envahir. Je trouvait ce genre d'agissement comme un véritable affront! Qu'il ose encore y toucher...

et comme de fait, il releva la mains encore une fois que je lui pris le poignet, et le lui tordit.

-Je vous pris de m'excuser, Sir, de mon impolitesse, mais je vous conjure d'au moins apprendre à faire preuve de tolérance! Le genre salopard, il me semble bien que vous l'incarnez parfaitement! Susurrais-je à l'oreille de l'homme.

Je devais emporter Sora ailleurs...
ou?

dans mon monde? Maintenant.... devais-je détruire mon contrat en n'étant pas sur que Sora sois vraiment le fils du roi...? Il étais certain qu'il étais Opaliens... mais de la à être sur..... nous verrons bien....

Je fermai les yeux sous le coup qu’il s’apprêtait à me donner, mais il n’en fut rien. J’ouvris les yeux lentement et j’aperçus Cariel qui tenait tordais la main de mon père. Je grimaçais, ce n’était pas pour m’aider ce qu’il faisait la. Je fronçais les sourcils en voyant qu’il avait murmuré quel que chose dans son oreille. Je n’avais pas pu comprendre, peut être était-ce a cause de mon cœur qui battais trop fort et qui résonnait comme un tambour dans ma tête.

Je pris le bras de Cariel et le fis lâchai mon père.

-arrête, tu ne fais qu’empirer les choses…

Sans trop le vouloir je resserrais ma prise sur son bras. J’étais insécure et le fait de le sentir à coter de moi me faisait du bien, je ne voulais pas qu’il parte. J’aurais aimé lui dire de m’amener loin, mais avec mon père en avant de moi je ne pouvais pas. Après tout cela ne ferais qu’empirer les choses si je prenais la fuite maintenant, non ? Mon emprise sur son bras augmenta encore. Je ne savais plus quoi faire.

-arrête, tu ne fais qu’empirer les choses…

Sora me pris le bras, défaisant mon étreinte sur le bras de son père..
Je sentait ses doigts se serrer sur mon bras. Je passa une mains dans son dos, une mains que je voulais réconfortante.

-j'arrête...

Je leva mon regard, redevenue rouge à cause que je ne contrôlais plus le pouvoir qui me permettait d'avoir l'air d'avoir les yeux brun, le plantant mon regard dans celui de son père.

Je me pencha un peut, ne lâchant pas son père des yeux.

-On part? dis-je à Sora.

Je me sentis soulager quand il le lâcha. Ce n’était pas que je ne faisais pas confiance a Cariel, non, bien sur que non, mais je ne voulais pas que mon père le frappe. Avec son air menaçant sur le visage il aurait pu. Il se penchant vers moi, mais je n’y prêtai pas attention jusqu'à ce qu’il me parle.

-On part ?

Je regardais par terre n’osant pas voir les yeux de mon père. D’ailleurs si je les aurais levé, j’aurais vu qu’il était terrifier par Cariel a cause de ses yeux, mais je ne vis rien de tout sa. Je me contentai d’hocher la tête pour dire oui. Je ne voulais pas rester une seconde de plus ici. Tant que j’avais Cariel avec moi tout allait bien aller, du moins je l’espérais du plus profond de mon cœur.

il me fit signe que oui. Je fit un dernier regard à son père, terrifier. Un regard noirs qui semblait lui demander de ne SURTOUT pas nous suivre. Il me traiterais de démon probablement, mais je m'en foutait! Ce monde m'exaspère!

Je pris le bras de Sora,l'entrainant vers dehors. Avant de sortir nous rencontrions dans notre chemin, Vincent, son major d'homme qui semblait bien inquiet. Je ne lui avais encore jamais parler, mais j'imaginais que Sora serais peut-être un peut trop sensible pour sa.

-Je l'emporte avec moi.. Dis-je. Ne vous inquiétez pas.

Je voyait bien que Vincent étais presque plus paternel avec lui que son propre père.

Je le sentis m’amener avec lui. J’étais étonné que mon père ne nous suive pas. Mais je compris vite pourquoi quand je vis les yeux rouges de Cariel. Il devait le prendre pour un démon. Et a n’en voir sa mine bouche bée je me dis que j’avais raison. Je regardai Vincent, mes yeux étaient vide d’expression. J’étais blessé de l’intérieur.

-Je l'emporte avec moi. Ne vous inquiétez pas

Vincent me regarda avec tendresse et compassion. Il savait a quel point mon père pouvait être cruel parfois. Il s’avança vers moi et me donna ma carte qui me permettait d’accéder à mon conte. Bien sur mon père n’était pas au courant de se conte secondaire dans lequel je transférais tout mon argents de poche qu’il me donnait, comme ça il ne pourrait pas le geler sur un coup de tête. On dirait qu’il avait prévu le coup en allant la chercher pour me la donner, car je n’étais pas prêt de vouloir revenir dans cette maison. Il me prit dans ses bras et me serrais fort. J’ouvris grand les yeux étonné par son comportement. Je n’étais pas habituer de le voir si affectif comme ça. Il me relâcha après un moment et me sourit, je ne pus m’empêcher de lui sourire un peu a mon tours.

-faite attention a vous Sora…

-ne vous en faite pas Vincent, sa va bien aller…

Il me gratifia d’un autre sourire et se tourna vers Cariel.

-prenez grand soin de mon petit Sora s.v.p.… vous pouvez partir maintenant…

Je rougis légèrement a se surnom, mais cela ne paraissais pas, car mes joues étaient encore rouge et un peu enflé. Je me sentais plus léger maintenant.

-faite attention a vous Sora…

-ne vous en faite pas Vincent, sa va bien aller…

La scène étais touchante, on pouvait presque palpé l'amour que Vincent pouvais donner à Sora..

-prenez grand soin de mon petit Sora s.v.p.… vous pouvez partir maintenant…

Je lui sourie, lui faisant un petit signe de tête, et sortie, prenant la mains de Sora.
Dehors, j'attendis d'être vraiment sortie du terrain, que je pu me consentré pour ravoir l'illusion de mes yeux brun.

-Où allons nous?...

Je n'osais pas lui parler tout de suite de mon retour dans mon pay... mais je savait qu'un jour je devrais y retourner, avec ou sans lui..... et y pensant, j'avais comme un pincement...

Je n'osais pas lui parler tout de suite de mon retour dans mon pay... mais je savait qu'un jour je devrais y retourner, avec ou sans lui..... et y pensant, j'avais comme un pincement...

Je me laissai entrainer dehors. Je le regardai, ces yeux reprenais tranquillement une couleur brune. Je me sentis rassurer quand il pris ma main. Je lui souris doucement.

-Où allons nous?...

J’allai a ma voiture et rentra dedans puis j’attendis que Cariel monte dedans.

-souper, j’ai faim…

Bien quoi, c’était l’évidence même. En plus j’étais un estomac sur patte. Je mis la clé dans le contact et m’en alla a un restaurant. Le plus proche car j’avais vraiment faim. En route je me tournais vers Cariel et me mordis la lèvre.

-dit Cariel, tu vas devoir retourner là-bas non…tu pense qu’il y aurait une chance pour que je sois celui que tu chercher ?...

Je ne m’imaginais pas sans lui, j’y arriverais simplement pas s’il n’était pas la.

-souper, j’ai faim…

Nous allions à sa voiture, que je rentra dans l'énorme machin de fer.

-dit Cariel, tu vas devoir retourner là-bas non…tu pense qu’il y aurait une chance pour que je sois celui que tu chercher ?...

Je me retourna, lui fit un petit sourire.
Je ne répondis pas à sa question... Je ne savait pas quoi répondre! Il y avait de grande chances que ce sois lui! de très grande chances! j'en étais même presque sur, mais je ne pouvais me permettre de l'arracher à son monde sans être sur que ce serais le prince... sans avoir vue ses pouvoirs...

(sa serais drôle que tu fasse un autre ''prince Opalien'' XD qui serais un faux, sa donnerais du challenge à Sora! mais ce n'est qu'une proposition ^^'')