La nuit noire (pv loupio)

C'était il y a très longtemps. Je vivais avec mes parents dans ces temps-là. J'étais jeune soit 4 ans et je m'amusais à faire des boucles dans mes cheveux, me mettre du maquillage et essayer les robes de ma mère. C'était à quoi s'attendait mon enfance. Mon père me faisait faire des tours de cheval sur son dos dans le salon de notre maison en bois à l'orée du bois. Nous habitions juste à côté de la forêt que les villageois surnommaient la forêt maléfique à cause des vampires et des loup-garou qui y habitaient. Mais c'était des sornettes. Du moins ce que nous pensions. À l'époque je ne savais pas tout cela. C'est qu'on me l'a raconté. Je me la suis raconté plutôt.

À l'heure du coucher, ma mère me chantait une berceuse assise sur mon lit et me caressait les mains alors que je la regardais. Je l'admirais. Ce qu'Elle était belle. Mon rêve à ce temps-là était d'être, plus vieille, comme ma mère et de me trouver un prince charmant comme elle et surtout que mes parents puissent un jour admirer mon mariage. Mais cela ne se passera jamais. Ce soir-là. je fus réveillée par un bruit énorme. Une armoire était tombé avec toutes la vaiselle en bas. Ma mère me prenait dans ses bras alors que mon père l'embrassait un fusil à la main avant de descendre en bas. J'étais serrée contre ma maternelle qui chantait à mon oreille assise sur le lit. Elle avait barrée la porte et nous entendions le tourment d'en bas. Un coup de feu. Plus rien. Puis, des pas montant l'escalier. Quelqu'un quiessaye d'ouvrir la porte. On la défonça et c'Est alors que j'aperçus malgré ma mère qui me cachait l'horreur. Un vampire qui souriait la bouche en sang.


Je ne revis plus jamais mes parents, car après ce jour-là j'étais condamné à boire le sang humain jusqu'à la fin de mes jours pour me nourrir.

Ce que je suis devenue: Un vampire errant dans les bois de la forêt maléfique, buvant le sang de qui conque osait entrer dans les bois.

(T'as le choix: vampire, loup-garou ou un homme ^^ elle a 24 ans)

Tout était sombre autour. Sombre et mélancolique. Les arbres crochus entouré de plantes grimpantes criaient à l'aide. La maladie les rongeait peu à peu. Le sol était humide et je marchais nu pied dans la terre qui ressemblait bientôt à un marais. Je sentais une présence qui s'Approchait. Mais je ne savais pas qu'Elle était cette présence.

Je riai et dis:
-Désolé de gâcher ta joie.
Je me replaçai un peu et passai une main dans mes cheveux avant de m'approcher de lui pour lui taponer le visage :
-T'as faim?

-Tania Kams. Toi?
Je partis m'Asseoir sur un rocher en replaçant ma robe rouge.

Je le regardai un peu et baissai le regard vers le sol.
-Enchantée.
Je soupirai et dis:
-Tu habites où?

Je souris et partis à la recherche de sa maison pendant qu'il allait chasser.

Je m'étais infiltré chez lui et m'étais installé dans le lit du garçon pour dormir. Je sommeillais profondément. j'étais allé chez lui, car j'était morte de fatigue.

Je me réveillai et fronçai les sourcils:
-Non mais pour qu'il se prendre lui...
JE me levai et partit me coucher à côté.

Je souris en coin en le voyant frustré et déboussolée ainsi et passai une main sur son bras:
_Frustré le bonhomme?

Je me mis à rire et pris un air piteux en jouant la comédie:
_Parce que sinon je me m'orfondrais dehors seule au modne dans le froid que je ne resens plus. PArce que je n'aurais pas un bon lit et parce que tu me fais rire sans le vouloir!

Je souriai de nouveau et lui ébouriffait les cheveux:
-C'est bien. Je m'en fou aussi d'être ton problème. Alors on est sur la même ligne.
Je me retournai dos à lui et m'installai pour dormir confortablement. J'étais plutôt du genre à pognerl es nerfs si c'était nécéssaire. Je perdaisdu tmeps ici et puis après. Il ne se passait trop rien dans ma vie de toute façon.

Tania s'endormit peu après.

Lendemain?

Je me réveillai par le bruit de l'eau de la douche. Je regardai d'Abord autour de moi et m'étirai lentement en baillant. Je me levai par la suite et partis fouiller dans ses commodes en chantonnant. Il ne m'Avait pas encore mis à la porte. c'était son problème après tout, c'est à dire moi.