Pourquoi moi ? ( pv loupio )

Soudain, Timine (lol le nom du chat à mon amie xD) sauta de mes bras et s'approcha d'Alexandre. Il miaula un peu, le sentit puis sentit une à une toutes ses affaires. Je le laissai faire sans rien dire, un mince sourire aux lèvres. Tout ce qui pourrait embêter le jeune homme faisait mon bonheur.

je regardai le chat un moment, puis le tassai un peu, mais voyant qu'il insistait je le tassai de nouveau
- dégage salle bête.
mais qu'est-ce que c'était idiot un chat.

- Traite pas Timine de sale bête! m'exclamai-je.
Le chat, visiblement insulté, revint à nouveau se placer au milieu des choses d'Alexandre et le défia du regard en miaulant un peu.

- non mais tu ne comprend vraiment rien stupide animal. ici, j,ai le pouvoir, si je le veux, je peut te jetter par la fenêtre, te noyer dans le bain ou plus gentillement t'expulser de la chambre. alors on ne joue pas au plus malin avec moi. idiot de chat.
non mais il y avait des limitte au ridicule, comme s'il se laisserais marcher sur les pied par un felin.

Cette fois, je me levai pour aller récupérer mon chat. Je le pris doucement et jetai un regard noir à Alexandre.
- Tu touches à un simple poil de mon chat et je vais te le faire regretter amèrement !

- ce que j'ai peur de toi.
je fit un sourire sarcastique avant de me relevai

Je levai les yeux au ciel, complètement découragée. Je me couchai ensuite sur le dos, sur mon lit, et posai mon chaton sur mon ventre. Il regarda un peu autour de lui puis s'assit et me contempla de ses beaux grands yeux. Je ne portai plus attention à Alexandre, me faisant la promesse de ne plus lui adresser la parole sauf quand c'était vraiment, vraiment nécessaire.

une fois mes affaires instalée. enfin le mieux que je pouvait dans une chambre de fille avec aucun espace pour moi je me dirigeai vers la terrasse pour trouver ma mère et mon nouveau "beau père"
je fut secretement heureux du fait qu'il était beaucoup plus supportable que sa fille. je discutai avec eux un bon moment, ne voulant pas vraiment retourner a la chambre

Lorsqu'Alexandre fut partit, je lâchai mon chat qui, semblant trouver la chose amusante, alla à nouveau fouiller dans ses affaires. Je ne fis rien pour l'en empêcher et prit simplement mon iPod pour écouter un peu de musique sans me faire déranger par ce gars énervant.

Ma mère proposa une sortie au restaurant en "famille" et bien que le terme famille me paru ridicule je ne pu lui refuser ce plaisir
- va prévenir Ariane.. me demanda ma mère
Ah non, pourquoi moi ?!
je me trainai les pieds jusqu'a la chambre, puis sans frapper lui arracha les écouteurs des oreilles
- on sort souper, et jimagine qu'on t'amène avec nous. oublie pas ta laisse

Sa remarque me frustra évidemment, mais mon expression ne changea pas. Je gardai un air totalement calme et indifférent, et reprit mes écouteurs. Je me levai sans lui adresser un mot ni même un regard et allai rejoindre les deux adultes. Cette fois, ce fut mon père qui m'arracha mes écouteurs.
- Tu laisses ton iPod ici, Ariane.
Je n'osai pas protester. Mettant mes mains dans les poches de mon jeans serré, j'haussai un peu les épaules et marmonnai:
- On y va, là ?
Autant passer au plus vite ce mauvais moment.

je fit mon sourire le plus hypocrite a son égard puis suivi ma mère dans la voiture. Ah oui c'est vrai, fini ma place du côté passager, j,était maintenant confiner a la banquète arrière au côté de cette.. fille.

Je m'assis dans la voiture avec un léger soupire et accotai ma tête contre la fenêtre. Mon père démarra et je m'absorbai dans la contemplation du paysage qui défilait devant mes yeux. Si Alexandre essayait de me faire fâcher, je garderais mon air serein. Je ne lui ferai plus le plaisir de pogner les nerfs à chaque fois.

je fixai l'extérieur durant tout le trajet, mon ipod dans les oreille, et lorsque je tournai le regard vers elle je réalisai que nous faisions exactement la même chose.. comme presque tous les adolescent en voiture finalement.
je ne parlai pas durant tout le trajet, n'ayant rien a dire de toute façon

Mon père m'ayant interdit d'emmener mon iPod, je dû écouter la musique ennuyante de la radio, que mon père avait mise pas trop fort, et le blabla continue de la mère d'Alexandre, qui parlait de sujets totalement inintéressants. Je fus donc totalement ravie lorsqu'on arriva au restaurant, et que je pu sortir de la voiture.

je sorti a mon tour de la voiture, me tenant le plus loin possible d'ariane.
j'entrai dans le restaurant en premier, tenant la porte a tous. sauf elle.

Si je n'avais pas réagit juste à temps pour rattraper la porter, je l'aurais reçue dans le front. Je foudroyai Alexandre du regard et suivit mon père qui était déjà partit vers une table.

l'idée de manger a la même table était insuportable. c'était parti pour un des pire souper de ma vie.
j'insoectai le menu longuement, restant dans le silence total

Malheureusement, je m'étais ramassée assise à côté du jeune homme, mon père voulant bien entendu s'installer à côté de la mère de celui-ci. Ils ne cessaient de se faire les yeux doux ces deux-là, ça me tapait vraiment sur les nerfs. Personne ne pensait à moi, à l'enfer que je devais endurer désormais... Les yeux rivés sur le menu, je choisis ce que je voulais, puis lorsque la serveuse revint prendre nos commandes, j'ouvris la bouche pour la première fois depuis un bon moment.

une fois les plats commander, ma mère gaigna de m'accorder un peu d'attention.
- Ça va Alex ?
- Oui maman.
c'est pas parce que elle me donnais de l'attention que je me devait de l'accepter.
- Et toi Ariane ?

- Heiin?
Je tournai la tête vers elle, l'air plutôt surprise qu'elle m'adresse la parole. Puis, je répondis en feignant l'enthousiasme, exagérément:
- Oh, mais oouuii, tout va suuuuper bien!
Je reportai aussitôt mon attention sur ma fourchette.

j'appercut nos parents s'échanger un regard puis ma mère repris la parole
- On dois vous dire quelque chose..
je lui lancai un regard mauvais
- on s'en va en voyage..rien que tout les deux, donc Alex, Ariane, vous aller être responsable de la maison..on part samedi et on reste que 2 semaines, mais peut-être que sa va vous aider a faire connaisance..

Je crois que j'aurais poussé un cri si on n'avait pas été dans un restaurant. Au lieu de ça, j'entrouvris cependant la bouche en les dévisageant, refusant de croire qu'ils puissent faire ça, qu'ils osent me laisser seule pendant deux semaines avec Alexandre. Moi qui croyait que je vivais déjà l'enfer, c'était maintenant encore pire !
- Attendez... C'est une blague là ??

si c'était pas ma mère je vous jure que je l'aurais frapper.
- Non, je suis sérieuse. répondit ma mère calmement

- Génial... Deux semaines palpitantes en perspective... lançai-je d'un ton sarcastique.
Je ne m'étais pas gênée pour le dire tout haut, et mon père me jeta un regard meurtrier.
- Arie, voyons!
- Quoi, tu pensais que j'allais sauter de joie peut-être?
Je soupirai. Mon père comprit que ça ne servait à rien de continuer à se chicaner ainsi et ne rajouta rien.