Pourquoi moi ? ( pv loupio )

je riai avant de l'embrassai doucement dans le cou
- on devrait profité de nos quelque jours restant dans la tranquillité..
je n,avait pas envi que nos parents reviennent.

- Tu as raison... Une semaine, c'est si peu...
Je l'embrassai langoureusement en passant mes bras autour de son cou. Dans une semaine, ce sera finit. Les parents seront de retour, et on devra se cacher pour nous coller et nous bécoter, sinon ils se rendront compte de tout... Pas marrant, ça.

je riai doucement, puis coller mon front contre le sien
- donc on fait quoi ? dis-je de nouveau en riant
nous avions sérieusement un problème a trouver quelque chose a faire, on dirait que lorsque j'était avec elle, rien d'autre ne m'inportait.

Je le regardai un instant dans les yeux, réfléchissant. Puis, je l'embrassai à nouveau en commençant à le tirer lentement vers le divan, sans détacher mes lèvres des siennes.

j'éclatai de rire en la soulevant, la reposant aussitôt sur le divan, sous moi.
- c'est une très bonne idée d'occupation dis-je avec un sourire en coin

- Évidemment... soufflai-je avec un sourire en attirant son visage au mien pour l'embrasser encore une fois, glissant ma langue dans sa bouche pour caresser la sienne.
Je passai en même temps ma main sur son torse.

je passai mes mains dans son dos en souriant
- faudrait pas que sa devienne ue habitude dis-je avec un sourire en coin, promenant toutefois ma bouche contre son visage, baissant vers son cou

- Ouuain... Mais pour cette fois, ça va!
Je souris en le laissant faire, penchant un peu la tête vers l'arrière alors qu'il déposait ses lèvres dans mon cou. J'attrapai les bords de son chandail et commençai à le lui retirer avec un sourire.

je l'aidai doucement en souriant, puis fit de même avec le siens.
je pris la place du dessous, ariane se trouvant maintenant assise sur mon torse, mes mains posé sur ses fesses

Je me collai contre lui en descendant l'embrasser sur le torse, tout en passant sensuellement mes mains dessus avec un sourire.

je souri avant d'emprisonai ses lèvres contre les mienne, mais mains désendant son bas de pijamas lentement.

Ma respiration s'accéléra et je fermai les yeux en le laissant faire, sans cesser de l'embrasser passionnément.

une fois retirer complètement, je m'attaquai à la ficèle de son sous vêtement, mes lèvres toujours coller contre les sienne, mon souffle se faisant déja plus rapide

Je baissai mes mains sur le torse du jeune homme, de plus en plus bas, jusqu'à atteindre son boxer. Je commençai à jouer un peu avec l'élastique, le caressant un peu par-dessus le vêtement.

je passai ma langue contre la sienne, puis déssendit mes baiser vers son cou, finissant de la déhabiller au complet. lorsque nos corp nu se touchèrent, je souflai lentement, reprenant place au dessus

J'envoyai son boxer au loin dans un coin de la pièce et passai mes bras autour de son cou. Mon coeur battait à toute allure, ma respiration était haletante et saccadée. Je regardai le jeune homme dans les yeux et l'embrassai doucement en collant mon bassin au sien.

je n'eu certainement pas besoin de plus de préliminaire, l'exitation étant a son comble.
c'est en douceur que je la pénêtrai, pour ensuite augmenter la vitesse de mes mouvement, ajustant mes mains sur son corps

Je poussai un profond soupir en rejetant la tête vers l'arrière, écartant les jambes pour lui donner plus d'espace et de facilité. Je commençai à gémir au rythme de ses coups de bassin, mes mains serrant fort ses épaules.

ma bouche vint trouver son cou alors que j'augmentai la vitesse une fois de plus.
une de mes mains me servir a tenir mon équilibre, alors que l'autre caressait doucement le corps d'ariane

Lorsqu'il augmenta la cadence, mes gémissements s'accentuèrent, plus forts et plus rapprochés. Mes mains glissèrent sur les avants-bras du jeune homme et je m'y accrochai fermement.

Alors que je me sentais atteindre l'orgasme, je raprochai nos corps, éliminant toute trace de distance et la sera contre moi
- je t'aime fis-je en un soufle avant de finalement me déversé en elle, poussant un gémisement de bien être

- Moi aussi... réussis-je à articuler entre deux gémissements.
J'accotai doucement ma tête sur son torse, l'enlaçai avec tendresse.

Mais le petit bruit faible que j'avais entendu à la fin de nos ébats, et auquel je n'avais pas porté attention en me disant qu'il était sans importante, était finalement plus important que je ne le croyais. Et j'aurais pu éviter bien des choses si je l'avais reconnu... Ou du moins, si j'y avais porté un minimum d'attention.
Un petit mur nous cachait de la porte d'entrée, mais ensuite une grande ouverture menait au salon, où nous nous trouvions en ce moment. C'est pourquoi, je ne vis d'ailleurs pas tout de suite que nous n'étions plus seuls. C'est seulement lorsqu'une voix famillière retentit que je me figeai:
- Ariane, Alex ? On est là !!
L'air horrifiée, je levai les yeux pour croiser le regard d'Alexandre. Mais qu'est-ce qu'ils faisaient déjà là !? C'était trop tôt, leur retour était prévu dans plusieurs jours... !!
Je n'eus même pas le temps de me précipiter vers mes vêtements qu'un cri retentit. La mère d'Alex venait de nous découvrir. Aouch...
Je me camouflai comme je le pouvais derrière le garçon, les bras croisés sur la poitrine et les yeux ronds comme des billes.

(xDDD Mwuahahahahahaha)

par chance je vit ma mère se cacher les yeux et profita du cours instant pour attraper la couverture sur le divan, nous en enveloppant rapidement.
- OH. MON. DIEU. cria ma mère
je restai sans mot, plutot préoccuper a nous cacher et a trouver une explication plausible
- euhhhhhh.
mais rien de vint évidament

Je me blottit contre Alexandre, cachée le mieux que je le pouvais par la couverture. Je ne savais pas plus quoi dire, aucune explication ne venait. C'était comprenable, dans la situation où nous nous trouvions...

Mon père, se demandant la cause de tout cet affolement, se précipita aux côtés de la mère d'Alex et étouffa un cri en nous voyons.
- Mais qu'est ce que... !?!

la situation me semblait tellement loufoque que j'était déchirer entre éclater de rire, ou leur crier de ficher le camp. c'est une bonne chose que je me sois controler.
ma mère semblait en état de choc et ne disait toujours rien, pas plus que moi d'ailleurs.