notre époque est détraquer (pv Tsu-tsuu ♥)

Et ce moment déchira tout soupçon, toute envie de le détester. Cette impuissance dans son regard et puis cette détresse...
Alors lui aussi voulait oublier?
Il le vu trembler tout en cherchant quelques choses qu'il ne trouva pas, car les mains vides il s 'enfuit. Pendant un moment Sakki resta la, sur le seuil de sa peur, une main torturant le bas de sa chemise comme a son habitude, le regard vide figé sur un souvenir passé.


Il avançait péniblement, trainant derrière lui tout le poid d'une vie qui voulait en finir. Des chaines a ses peids, a ses poignets, en laisse comme un animal, il longeait dans toute la lanteur de son corps faible, un corridor froid ou le néon donnait une impression d'hôpital. Un doigts sanglant laissait sa trace sur le mur, derrière lui. Il fredonnait sans en avoir conscience. Une comptine enfantine pour le faire continuer d'avancer, la salle 5...
Il ne savait plus s'était laquelle mais son inconscient le savait et comme un petit automate il traversait l'enfer qu'il connaissait si bien.

Il poussa la porte, laissant sur celle-ci un peu de se qui coulait dans ses veines. Une grande pièce baignante d'une lumière jaunâtre, les grands rideaux tiré sur une fenêtre inexistante, un bureau de chêne dure et massif, derrière lui un homme en sarrau, impeccable, fort, un vrai loup. Face a cet homme une petite chaise en bois sombre ou un enfant attend, attacher. Sakki entre sans poser de quetsion habituer a se rituel, il réalise a se moment qu'il transporte entre ses mains un petit sac de papier contenant plusieurs cachets médicamenté. Il le déposa sur le bureau, se hissant sur la pointe de ses petits pieds. Il était minuscule, a 12 ans a peine il mesure pas plus que 4"5. L,homme l'observa souriant, il l'aimait bien se petit garçonnet. Contrairement au M,A enfermer ici il ne servait pas a la recherche scientifique du corps, non, Sakki était consacré a la recherche psychologique. Il voulait savoir jusqu'à quel point il pouvait torturer cet enfant sans que celui-ci ne veuille mettre fin a sa vie. Il testait son endurance a vouloir vivre. Par des moyens cruelles il vérifiait a quel point sa psychologie tiendrait le coup, il voulait le rendre fou. Pourtant le gamin résistait bien pour le moment, quoi que un peu massacré, son oeil droit était complètement caché par un large bandage encore sanglant,le sang dégoulinait sur ses chevilles et ses poignets pendant que son corps frêle était secoué d'un léger tremblement du aux manque de drogue.

-Sakki vient ici...

Il obeit, déconecté de son propre corps. L'homme le saisit par la taille, si fine qu'il eu peur de le briser. Il le souleva avec délicatesse et l,assit sur ses genoux lui faisant ainsi faire face a l'adolescent assit sur la chaise.

-Meii je te présentes Sakki... mon autre projet scientifique... Sakki, dit bonjour a Meii!

L'enfant regarda l'homme revient sur Meii, son cerveau ne semblait pas vouloir assimiler les données. Il se frotta l'oeil droit, malgré les bandages, cligna des yeux, puis secoua doucement la tête, faisant danser des reflets bleuté dans ses cheveux ébènes. Il ne comprenait plus rien, s'était trop pour la substance de drogue qu'on lui avait administré se matin, question qu'il reste sage dans sa cellule. L'homme pinça le bras de l'enfant question de le faire réagir un peu,celui-ci tremblota, avant de relever enfin une belle prunelle doré et mieleuse sur Meii. Un délicat sourire traversa ses lèvres roses.

-...mmm ... allo...?

c'est la première fois qu'il le voyait et malgré toute cette substance qui embrouillait sa tête, il l'aimait déjà beaucoup, malgré cette violence silencieuse qui brillait dans le regard de l'adolescent.


Il secoua la tête, non il ne pouvait pas l'abandonner. Il courut a se recherche, mais ses pas s'arrêtèrent pas très loin, sur sa propre porte de chambre ou Meii s'était affalé. Il 'agenouilla près de lui passant ses bras autour de la taille du mi-chève. Il glissa son nez dans son cou comme avant.

-Meii-sama...

Il prit la clé que meii a laissé tomber et débarra la porte.

-... désolé...je comprend il y a des choses que l'on veut tous oublier...


~

-Les canidé étaient de véritable tirant à ce moment....

-Mais tient tient enfin un propos interessant venant de vous... vous êtes pas très bavard vous savez!

La chaleur dansait dans toute sa voix, elle était franche, sans tenu, mais elle était tellement vrai et douce qu'on pouvais surement lui pardonnez cette franchise déplacé qui fessait d'elle une vrai lionne.

-... mais bon ne vous sentez pas concerné vous n'êtes pas de ses génrations et ses bien pour ça que je n'ai pas envi de vous en vouloir inutilement.


~

Il accueillit la langue du garçon sans broncher, surment plus habituez que Kazu. Sous le contact du graçon, un grand frisson L,emporta dans une sensation qu'il avait rarement eu. Le désir devint un peu plus fort, lui faisant perdre le contrôle de sa mentalité qui lui sonnait d 'arrêter. Sa main voulait aller plus loin, découvrir Kazu, toucher un peu de son âme. Il la glissa a son tour sous la chemsie, caressant sa peau chaude du bout de ses doigts. Il lui embrassa l'oreille, la nquue, descendit sur son épaule.

-Mes... pilules... je t'en pris.. Sakki...

Il suivit des yeux le doigts de Meii, ses pilules, il en prenait encore?
Il secoua la tête avec une once d'impuissance dans les yeux, pourquoi déjà? Il se saisit du flacon, alla chercher un verre d'eau, mais resta un certain temps immobile a regarder l'eau filer entre ses doigts, il ferma les yeux, il aurait voulu filer avec elle, être insaisissable, intouchable, mais il était encore ici debout prit entre la démence de ses souvenirs.

L'enfant docile a chaque mots de cet homme qu'il appelait maître obéit sans questionner. Il suivit le mi-chèvre derrière les rideaux, sans oser relever ses prunelles vers lui, encore trop effrayer. Il observa un document traînant sur la table, la fiche de la médicamentation que Meii devait suivre. Il ne savait pas lire cette langue, puisqu'il était anglais, mais lui et le professeur avait un code de couleur. Le vert: l'endorphine, le bleu la morphine, le rouge l'acétaminophène etc. Il mélangea soigneusement les doses mécaniquement, sans chercher a comprendre leur utilité, ni pourquoi s'était désormais a lui des administré. L'homme lui avait pourtant toujours dit qu'inutile comme il était il n'était bon que pour soigner ceux qu'on tuerait dans très peu de temps, alors l'enfant trainait comme un petit ange dans le bloc de phase terminale, aidant du mieux qu'il le pouvait ses enfants qu'il verrait mourir dans toute son impuissance et que le professeur lui reprocherais ensuite leur mort...

Il ne voulait pas s'occuper de Meii, il avait peur de le tuer lui aussi. Il fit glisser le cocktail médicamenteux dans une seringue qui a son tour glissa dans la poche de somnifère. Il jeta la seringue, s'assit sur une chaise près du lit, recommençant son jeu nerveux après sa chemise trop longue. Ses chaines s'agitais a chaques mouvements, ses poignets était couverts de sang cristalissé sur sa peau blanche. Il relut les notes qu'avait laissé Heiki, tiqua sur la dernière phrase, écrite al'encre noir. Il ne svait pas se qu'elle voulait dire...

-... euuuh... euuuh... es-est ce que t-tu pourrais me l-ilire ça s'il te plaiît...

Sa voix sans écho, si petite et faible dérangea a peine le silence de la pièce tant il avait murmuré. Il tremblait de plus en plus fort, craintif de la réponse, il garda la tête base tendant la feuille vers son nouveau protégé...


-s-s'il te plait..


Il lui tendit le verre d’eau, la main légèrement tremblante. Il aurait voulut le serrer fort contre lui, l,apaiser un peu, mais quelques chose le retenait. Le rejet, cette idée d’être repoussé , abandonné encore…
Il laissa ses yeux parler pour lui, mais osa malgré tout passer une main dans la chevelure souple du mi-chèvre, esquissant un faible sourire.

~

Elle laissa de côté la première phrase du loup, haussant les paules. Elle n,avait aps vraiment une opinion la desssus, le passé était au passé.

-Le programme...

Une lueur de rage froide et d'ironie glissa dans la noirceur de ses prunelles tandis qu'elle replaçait nonchalamment quelques mèches dorés.

-...je suis plutôt déçue d'être réduite a simple stagiaire personnellement surtout stagiaire de science... je N,aime pas cette matière et je ne mis connais pas... je me demande même s'il ne m'ont pas placé avec cette... cette ch-femme pour me faire échouer mon stage... parce qu'on le sait sans se stage plus moyen d'enseigner...

~

Encore tout destabilisé, ile se laisa entrainer dans le placard. Coincé entre le mur et kazu il était plutôt incofortable, mais son corps était tellement fébrile qu'il ne sentait même pas le mur contre lui. Il voulait seulement continuer a être contre Kazuro, il avait encore besoin de sa chaleur, de son coeur contre le sien...
Il L,enserra, glissant ses mains dans son dos, posant sa tête contre son torce. Il ne voulait plus que le temps tourne, la noirceur était trop douce, endormant toute la douleur. Il posa des lèvres timides dans le cou du garçon...

Il le sentit s'adocuir au contact de ses doigts, ça le tranquillisa lui-même de voir le mi-chèvre prendre soudain un air un peu plus humain. Sa voix rouée interrompit le bruit des machines derrières, puis le silence angoissant revint comme une ombre qui s'infiltre dans chaque recoin des murs, menaçante et enveloppante. Il voulut reculer quand Meii posa ses mains sur son visage, son corps eut le réflexe de se débatrre comme a son habitude, mais il n,en fit rien les yeux perdu dans ceux de L,autre cobaye, le coeur en chamaille, les joues vermeille il ne fit que baisser un peu plus bas les yeux, fixant ses pieds nues écorché. La chainette a son pieds cliqueta quand il voulut reculer en douceur, voulant a tout prit se défaire au plus vite des maisn de l'inconnu, par peur...

Peur qu'il ne s'approprie se qu'il était, qu'il aille trop loin, qu'il lui fasse mal, comme Heiki, comme se monstre qui lui murmurait chaques soir qu'il l'aimait un peu plus fort, qui le voulait pour toujours contre lui, que s'était pour ça qu'il lui faisait si mal pour pouvoir le garder a jamais...

Si seulement Sakki pouvait être docile, moins sauvage, s'il apprenais enfin a obéir sans broncher peut-être Heiki le frapeait-Il plus, mais L,enfant continuais de se résigner malgré les belles paroles du scientifique. JMais il ne serait comme les autres, jamais il ne s'abaisserait si bas... et pourtant...

-O-ouii me-merci ça va... donc vous êtes... une sorte d'expérience scientifique... comme les autres?

Meii n'était pas son premier patient, certe, mais il serait sans doute le premier que Sakki verrait vivre plus de 1 mois. Il finti par repousser la main de Meii, retournant s'assoir sur le dossier de la chaise, incapable de se ressoudre a s'asseoir sur le plat de la chaise comme tout le monde. Il fit danser ses pieds dans le vide faisant chanter les chainettes, ils 'amusa du son en fredonnant un air enfantin, toujours le même... Sa petite voix docue s,accordait aux notes aigu du métal qui s 'entrechoque. Des mots dans un accent étranges, de l,angalis meler au japonais... de la douceur mêler a la haine, une touche d'incompréhension et un beau regard vide d'enfant écorché des griffes de l'enfance. C'étaut Sakki, l'obsession d'HEiki, sa plus folle passion, le seul qui lui faisait perde toute rationalité, cet enfant qu,il avait sauvé d,une mort certaine, pour l'échouer ici comme un petit ange condmané a errer a tout jamais avec la mort.

~

Elle rit confiante, mais tout de même ébranlé par les beaux yeux de Shiro, son coeur fit un petit bond quand il avanca vers ele. Elle se recula en douceur, elle était provocante comme elle était prudente dans tout ses geste.

-... Hmmm vous êtes bien chou, mais dites, le stagiaire de tout à l'autre Meii je crois bien, vous semblez le conaitre non? Un ami.. ? Enfin il est plutôt beau...

Elle voulait changer de sujet a son tour, surprirse par un malaise.


~

Il voulait être son âme, il voulait que Kazu le serre fort pour ne plsu q u'il le relâche, il voulait être la proie de toute sa vie, se consumer en lui pour ne plus avoir a vivre. Ses lèvres cherchèrent encore les siennes, pendant que se mains détacahit habilement la chemise du garçon. Il la fit glisser ur ses épaules, s avourant s apeau tiède sous ses doigts brûlant d'envi. Ça faisiat si longtemps depuis qu'il était partit...

-Tu chantes bien...

Il sentit son petit corps tressaillir sur la chaise, mais il tint bon et continua sa mélodie pousser par se sourire si lumineux, tellement débordant d'un espoir nouveau qui naissait avecs douceur sur le visage de l'autre enfant, serrant les points sur ses genoux il continua poussant les notes un peu plus loin se laissant lui même guider par la mélodie qui se reveillait sur le bout de ses lèvres.

Il le vit bientôt tomber au sol, agenouillé comme un nouveau comdamné, désarmé de tout somnifère prisonnier et a la fois libérer. Il fut tellement ébranlé devant autant de courage et de folie qu'il perdit une seconde sa mélodie mais la voix implorante le força a la reprendre encore mieux, avec encore plus d 'émotion. Il l'aurait chanté mille fois pour lui, malgré la peur qu'il faisait naitre en lui, il aurait continué pour pouvoir le voir vivre encore un peu. Il avait tellement peur qu'il meurt, il voyait le sang couler tout doucement dans son dos la ou on l'avait branché . Sa voix se fut plus douce il recommença a fredonner l'air sans parole puisque cette partie de la chanson il ne l'avait jamais connu et il ne la connaitrait surement jamais... Lentement, sans perdre une note, il laissa son corps glisser en bas de la chaise, dans un geste félin ses pieds atteignirent le sol, la longue queue soyeuse suivant chaque mouvement, il s'abandonna près de l'enfant tendit délicatement ses mains vers lui, lui prenant la main sans trop réfléchir et la serrant fort au creux des siennes comme si elles étaient devenu se qu'il avait de plus précieux.

-Retournes te reposer... s'il te plaît...




L'air s'imposa a lui sans qu'il n'eut a y penser. Il la fredonna avec la même douceur qu'avant. Il prit soin de verser un verre d,eau froide avant de venir s'acroupir près de Meii, avec calme il lui tendit le verre et les cachets sans toute fois arrêter la mélodie qui murmurait sur ses lèvres. Il posa sa tête contre l'épaule de l'homme en souriant tristement, il avait donc tout oublié et puis s'était surement mieux ainisi...


~


Il avait changé si vite, l'atmosphère sembla lui tomber sur les épaules quand celui-si sortit brusquement de la pièce. Elle ne tenta rien complètement dépassé. Le silence tomba lourdement, mais fut de courte duré car déjà une ombre au pas menancant vint troubler sa vue, devant elle un Mori plein de sarcasme releva du bout des doigts ses lunettes. Il prit un ton mielleux qui sonnait si faux aux oreilles de la lionne.

-Ooh ma pauvre vous savez ses canide sont de vrai tyrans, une erreur de la nature, ma pauvre enfant, une belle féline avec un coeur fort et tendre comme le vôtre ne devrait pas se laisser froisser par cet être stupide et dépourvu d'humanité... les erreurs qui ont été comise coule encore dans ses veines... les gens ne changent pas vous savez ils ne font que porter des masques qui finisssent tous par se briser au grand jour... Oh ne me regarder pas ainsi petit scucre d'orge, je comprend bien votre désarroi, oui je sais il avait l'air si doux... qu'une triste illusion mademoiselle... vous allez tout de même pas croire a ses sornettes, non? Je croyais que vous étiez une jeune femme forte qui savait tenir tête aux illusions

Il déposa une main pleine de compassions sur les épaules de la féline, elle hocha lentement de la têtte complètement atteré. Il l'avait atteint dans toute sa vulnérabilité.


~

Il se retrouva au mur, le corps engourdi de désir, les mains tremblantes posées contre le corps du garçon. Il sentit la chemise de Kazu glisser a ses pieds tendit que celui-ci s'affairait sur ses pantalon, bientot il tombèrent a leur tour et un étrange frisson l'enveloppa entièrement, une douce chaleur le consuma lentement traversant chacune de ses veines de choc nerveux. Il perdit tout contrôle sans trop comprendre et pourtant il fut nullement affolé goutant le moment avec fébrilité. Son corps se cambra violemment pendant qu'il gémissait sans pouvoir contenir le son en lui-même.

-K-ka...Ka-k-azu... ro...

Il envoya le tête vers l,arrière agrippant ses mains aux épaules du garçon sentant toute retenu l,abandonner. Il se mordait les lèvres pour ne pas crier, il y avait tout de même le directeur dans le jardin...
L'envi était si forte, son corps si brûlant, ses cheveux collait a sa nuque humide.

-m-mourir...

Le mot eu l'effet d'une balle dans son imaginaire, comme si tout venait de voler en éclat autour de lui, il ne trouva plus la force de rester debout et s'affala doucement au sol, les mains plaqué sur ses oreilles, secouant violemment la tête, Meii venait de lui faire perde toute raison, le renvoyant a sa réalié, le remettant debout face a cette mort sournoise qui lui arrachait tout ce qu'il possédait. Il se mit a crier sans comprendre le sens de ses propres mots.


-Non, non, non, non, tu ne peux pas, tu ne peux pas mourir, je ne veux pas, tu ne peux pas, tu n'as pas le droit, pas toi aussi, je ne veux pas!Je ne veux plus être tout seul, plus tout seul avec Heiki, tu ne peux pas.... et puis je ne veux pas vivre, sa sert a rien vivre, vivre ici se n'est plus vivre...

Il reprit son souflle sans y parvenir, il haletait en sanglotant, ses yeux brillait d'un désespoir inimaginable, pendant que ses doigts lui déchirait les bras insenisble a sa propre douleur, n'essayant qu'une chose, la faire sortir enfin...


~


Il figea, se sentant soudain plutôt stupide. il se releva brusquement reculant même de quatre pas, faisant maintenant dos a Meii.

-Combien de fois je vais te le dire... Appelle moi SAKKI!

Il retourna a la cusine se servi un verre de lait, s'assit sur le comptoir comme a son habitude. Sa queue fouettait violemment l'air pendant qu'il remuait dans sa tête de plus en plus de chose horrible. De vieux souvenirs et cette honte froide perdu a la colère qui l'emplissait quand il pensait a l'attitude de Meii qui le mettait mal à l'aise.



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Il dut se mordre la lèvre inférieur pour ne pas hurler, pourtant rien de tout ceci n'était douloureux, mais son corps tremblait comme si une blessure insuportable l'habitait. Il avait chaud, sentait l'eau perler dans son dos, pendant que ses mains agrippaient encore plus sauvagement les épaules de l,adolescent, il y enfonçait même ses ongles sans le vouloir, trop absorber par la démence qui l'habitait. Il ne possèdait plus son corps, s'était Kazuro qui en était maitre maintenant. Il se cambra encore plus vers l'arrière en gémissant plus fort.

-K-kazu... j-je ne peux plus tenir...

-Alors... tu vivra vraiment....

Il s'appaisa soudain, frapper par ses simples mots. Il voulut parler, le contredire encore ou seulemet lui parler un peu pour se sentir moins seul, mais quelqu'un brisa son silence a sa place.

-On peut savoir se que tu fais ici! Sort d'ici espèce de vermine tu mériterais que je t'écrase de mes propres mains.

Une main forte, puissante s'abattit sur son collet pendant qu'elle le soulevait de terre et l'envoyait valser contre un mur. Sonner de sa chute l'enfant ne réagit pas au deuxième coups, qui le renvoya au milieu de la pièce avant que le mi-loup, sans pitié ne l'arrache encore du sol. Le chaton se débattit en criant de toute ses forces, appelant dans une langue étrangère, pendant que le scientifique l'engueulait a plein poumon, puis le silence revint quand la porte s'ouvrit sur Heiki.

-Miyagi, lâche le s'il te plaît...


Il fit son entrer suivit d'un autre gamin, de l'âge de Meii. Le jeune homme souriait malgré la maigreur de son corps chevalin, il avait de long cheveux couleur miel et érable ratacher en une couette qui glisssait sur son torce. Il était grand et devait avoir été fort avant toute les modification qu'avait subit son corps. De toute petite oreilles brune se dressait sur sa tête et une queue de la couleur de ses cheveux se balancait lentement derière lui, il était un mi-poulin, d'ou cette vivacité d'en ses yeux foncer presque noir. Heiki le prit par l'épaule avec une certaine fierté et l'entraina devant Meii.


-Meii, je te présente ton colocataire de chambre et aussi celui que tu devras surpasser dans tout les test que je vous ferez subir...


Le mi-cheval, adressa un sourire compatissant a Meii, avant de se laisser guider vers son lit. Le chaton encore tout étourdi, s'agrippa a la robe de scientifique d'Heikki, enfouissant son nez qui saignait abondamment. L'homme le saisit entre ses bras, essuyant les larmes de l'enfant avant de l'asseoir sur le même lit qu'Isuzu, le mi-cheval.

-Sakki se sera important que tu t'occupes d'eux tu comprends, leur vie est entre tes mains maintenant... Je vais venir te chercher se soir, d'accord?

-...mais....

Il était trop tard l'homme quittait la pièce suivit de son sulbalterne qui grognait a l'idée de laisser l'incapable chaton avec leurs deux expèrience les plus grandes.



~


-Maiis Sakki-sensei...

Il sentit le fureur remonter, il aurait voulu le bousculer, lui cracher au visage qu'il était tellement loin d 'être son maître... puisque s'était à lui qu'il devait sa vie, mais jamais il ne le dirait, puisque Meii semblait tellement loin de cette réalité. Alors confus et timide il finit par le bousculer un peu pour se dégager de ses bras. Il ne comprenait pas pourquoi il avait si peur que Meii s'empare de lui, peur d'être déchirer encore, d'être briser dans se qu'il avait réussis a reconstruire, briser dans sa carapace qui menaçait de faillir sous les beaux yeux du professeur.


-Dégager de là Meii-sama! J'espère que vous ne jouerez pas a se jeux toute l'année...

Il fronça les sourcils incapable de défier son regard charmeur. Il avait si peur, peur de tout perdre encore.... autant valait mieux ne jamais aimer, pour ne plus être brisé.


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Il se laissa porter, se laissa prendre, laissa Kazuro s'emparer de son corps. Il l'embrassa a son tour avec douceur, laissant ses mains moites parcourir le dos du jeune homme, lui murmurant dans son accent chantant qu'il ne lui faisait pas mal qu'il lui faisait confiance, parce qu'il était ainsi, il placait sa confiance en n'importe qui se laissant ainsi briser et berner par les plus malins
Son souffle haletant caressait la nuque de Kazu, ses prunelles fiévreuse cherchants son regard, ses lèvres caressant les siennes.

-Te amo...