notre époque est détraquer (pv Tsu-tsuu ♥)

L'Homme est une prison où l'âme reste libre.
Victor Hugo


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Il lui proposait enfin une porte de sortie. le mi-chat lui sourit. Il n,avait pas encore usé de son pouvoir de félidé sur Meii simplement parce qu'il n,avait rien a lui demander et qu'il ne voulait tout simplement pas se faire aimer de lui, comme il ne voulait se faire aimer de personne. Mais maintenant, en pensant qu'il pourrait enfin se débarrasser du mi-chèvre avec peu de persuasion et de son charisme félin, lui redonnait presque un semblant de bonheur. Le changement fut radicale, il prit doucement la main de Meii l'entrainant hors de la salle bondée le tira près des portes en cerisier de l'école; l'entré principale. Il ficha son regard d'ambre dans celui de Meii, la froideur fut remplacer par un mélange d'ironie, de malice et d'une incroyable douceur. Il lâcha doucement la main de Meii laissant courir un doigt sur les siens avant de le lâcher pour de bon. Il releva les yeux qui avait suivit leur main, un sourire malicieux, confiant illumina son visage. Ses yeux était devenu un précipice vide pour l'âme, il n'y avait rien qui révélait ses émotions juste une pointe de désir amusé qui faisait rire ses prunelles. Une étincelle qui venait prendre l'âme qui vous poussait a chercher une réponse dans se regard qui ne voulait rien dire, qui renvoyait votre propre désir , désir de prendre, de voler, le désir de désirer l'indésirable.

-Je pourrais vous conduire au café pas loin de l'école, plusieurs prof y mange... et soyons franc le menu et nettement mieux que celui de l'école... et puis il y a aura surment les autres stagiaires... ça vous dit?

Il voulait s'en débarrasser, s'état simple il irait avec lui au café et s'éclipserai pour retourner tranquillement au collège... en ayant ainsi le restant de la journée a lui tout seul.


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-Euuum... je sais pas trop... ses quoi des frites?

L'enfant pencha la tête en signe de questionnement. ses grands yeux osèrent enfin retourner se plonger dans ceux de Kazuro. Même s l'humain était bien pessimiste et quelques peu froid, Louca savait déjà qu'il l'aimerait, il était comme tout ceux qu'il avait aimer, des gens trop haut pour se soucier de lui petit animal blessé, mais Lou s'était bien vite habitué aux regard hautain et à la douleur amère de la solitude qui emplit le coeur et démuni l'âme... il avait été habitué bien jeune avec un père absent et une mère désireuse de perfection qui regardait son fils avec le même air froid qu'elle avait en regardant les morveux qui trainait dans les ruelles de son Italie natale. Une Italie sans comptine, sans marelle et histoire ... une Italie froide qui avait bercé l'enfance de Louca dans l'amertume et le manque laissant ainsi l'enfant avec le désir d'être aimer de tout ceux qui ne voulait pas de lui, comme Kazuro ...

Le mi-chat remarqua bien au regard de Meii que son petit jeu ne fonctionnait pas trop, ou du moins Meii semblait en avoir compris les règles, mais bon il était trop tard pour abandonner et puis l avait eu se qu'il voulait alors a quoi bon bouder? Toujours avec le même sourire de malice, il entraina son nouveau stagiaire a l'extérieur du collège. Le vent glissa dans ses cheveux ébènes le soleil les frappants leur donnant une couleur nuit presque bleuté. Il soupira a la caresse du vent, nostalgique. Il indiqua a Meii a de le suivre et a peine le portail en fer de l'école franchit et quelques pas de fait il débouchèrent sur un petit jardin ou une maisonnette en brique les attendait les volets grands ouverts laissant passer les sons des voix qui rigolent, des assiettes que l'on déposent et de la vie qu'on y savourent.

-Voilà!... Je vous laisses ici vous serez capable de revenir... c'est pas trop loin et puis moi J,ai un cour de musique a préparer! Amusez-vous bien...

Une phrase fake, bien préparé sur laquelle dans un sourire plus faux que nature il tourna les talons près a prendre la sa fuite tant espérée.


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Louca, intimidé se fit tout petit près de Kazu, même qu'il se colla un peu contre lui. Il avait peur de voir tout ses humains le regarder avec mépris, il voulut prendre la main de son coloc quand un gars au bout de la file se moqua de lui, mais il s'en empêcha retirant timidement son geste et encaissant l'insulte sans broncher, il ne fit que rabaisser ses oreilles et baisser la tête espèrant disparaître.

-...oui j'aimerais surment ça...

-Mais mon cher! Vous avez bien besoins de manger, je vous payerais votre dîner, mon cher professeur.

Son plan était tombéa l,eau son moral aussi. Il voulut l'envoyer balader et partire par lui-même mais le geste de Meii le figea sur place. La peau douce de son stagiaire contre sa joue lui renvoya comme un miroir la douleur profonde qui s'égrisais dans sa chair depuis trop longtemps. Ça fessait combien de temps que personne ne l'avait touché comme ça? Avec autant de douceur? Combien de temps qu'il n,avait pas goûté a cette tendresse? Atteint par la douceur il suivit le geste, laissa la main contre sa joue voulut la garder contre lui. Les yeux clos, souffrant par en dedans, il n'osa même plus respirer comme si le temps avait figé avec lui. Il relevant un regard doré vers Meii qui avait perdu toute profondeur et laissait briller un véritable désir de rester près de lui... toute méfiance s'était envolé laissant place a une innocence souffrante. Il tendit sa main vers celle de Meii encore sur sa joue, voulant refermer les yeux encore pour ne plus qu'ils parlent pour lui, il ne voulait pas que le temps reparte sa course, il voulait rester avec lui pour toujours...

Les chats sont indépendant?

Ou

Se croient indépendant?

-SAKKI-CHAAAAAAAAAAN!

La douceur se brisa et dans l'espace d'une seconde tout son cors bascula vers l'arrière tranporter dans le même élan qu'un corps inconnu, il se reprit empoignant la petite chose par les aiselles, soulevant se qui se revelait ête la gamine du propriétaire. La petite mi-vache se débattit sans grande force faisant danser les pans de sa petite robe de servante.

-Sakki repose moiii! Baka baka baka!

Le sourire du professeur s'agrandie, une vrai lumière illumina ses prunelles féline pendant qu'ils 'amusait a agacer la petite qui rigolait.

-Lys-chan! <3

La gamine figea, les pieds ballants dans le vide. Sakki le redéposa doucement, intriguée du changement de caractère de l'enfant et sentant l'orage monté dans les prunelles emeraude de la petite M.A.

-Lysi-chan?

-BAKA! Moi c'est Dot et je suis très très loin de ressembler a Lys!

-...Dot...? Mais non voyons Lys cesse de te prendre pour ton petite frère surtout que dans cette robe tu es vraiment peu crédible coquine!

Il se mit a rire, un vrai rire franc, il essuya ses yeux attendrit par la petite fille qui lui donnait des petits coups avec ses petits points qui pouvait facilement rentrer dans ses grandes mains fines a lui. Mais la gamine ne démentait pas et dans une impulsion releva sa robe.

-T'as qu'a toucher si tu veux vérifier.

Sakki bondit vers L'arrière se tourna de dos a la gamine, qui, pas surprise du tout, garda sa robe relever. Le mi-chat oreille dressé vers L,arrière grogna sourdement, visiblement mal a l'aise et plutot intimidé.

-Stupide M.A! Je hais tout les M.A des campagnes vous êtes tous une bande de perves! Et vous le premier Meii-sama!

Il tourna les talons, mais pas en direction de l'école mais bien vers le café ou, Myo, le propriétaire l,attendait tout sourire, habitué des crises de l'homme. Le petit quand a lui, regarda longuement Meii, puis vint se coller contre lui, en relevant ses grand yeux vers lui et lui prenant la main.

-Vous êtes qui vous? Le petit ami de Sakki?

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Louca fut surprit quand Kazu prit sa défense et mille fosi plsu quand clui-ci balança son point dans la figure de l'autre con. Il voulut l,en empêcher, mais kazu étant plus fort avait facilement pu le repouser et encore tout ébahit Louca leva les yeux vers son coloc, un sourire malaise au visage.

-tu n'aurais pas du...et puis...

-LOUCA!Houhou! LOUCA-CHAN! <3

Le rouqin se tourna vers la source de bruit qui se révèla être en grand mi-loup qui s'agitait au milieu du brouhahah humain, ils était entouré de plein d'autre canide qui intrigué souriait a Louca. Une meute, prête a l'accueillir. l,emfant sentit son coeur bondire, enfin des êtres comme lui, que ne le jugerait pas, il ne releva plus les yeux vers Kazuro mumura tout doucement a son addresse en tournant déjà les talons pour quitter la file.

-Je suis qu'une plaie pour toi... *scusa... je vais te laisser avec les autres on se reverra se soir, *grazie ancora !

Rapidemnet il se faufila jusqu,a la petite bande, le grand gars le saisit par une épaule le collant contre lui, jouant d'une main nerveuse dans les petites oreilles du renard, en racontant dix milles trucs et se vantant de ses exploits a toutes sa meute. Lou releva un reegard triste vers Kazu. Il aurait bien aimer rester avec lui finalement.

(mais oui vas-y! :3 )

Le petit s'empressa de dire oui a la question de Mei, gardant sa petite main solidement ancrée a celle, beaucoup plus grande et forte, de Meii. D'un pas pressé il l'entraina a l'interieur, ses petits yeux froncées cherchèrent l'endroit idéal, il choisit une table près de la fenêtre. L'immense salle vide résonnait sous ses petits pas, une petite queue tachetée suivait ses mouvements. Il prencha délicatement sa tête vers Meii tout sourire, les joue légèrement rougit,

-Ici...ça vous va?

Il tira une chaise, passa une main affolée dans ses cheveux mi-blanc et noir.

-Oh j'allais oublier les menus! Je vais faire le service monsieur Meii puisque moi je suis un grand garçon et J,aide baba au trvail!

l'enfant devait avoir une douzaine d'année, se qui exliquait sa petite taille et sa voix plutot féminine.


Son baba, comme disais l'enfant, .étaient acoudé au comptoir face a sakki qui buvait un grand verre de lait, ses oreilles dressée de bonheur et pour la première fois, sa queue, une belle queue noire soyeuse au bout blanc se balancait derrière lui. Puisque le café était complètement vide, le chat s'était enfin mis a l'aise. Ça devait faire presque 8 ans qu'il savait que le proprio de ce café était marié a une M.A malgré le fat qu'il soit humain et Sakki avait vu grandire les deux petites vacahes qu'étaient Dot et Lys. Myo parlait sans cesse de sa femme, son trésor comme il'lappelait, qui dirigeait si bien leur ferme familial, et de leur merveilleux été sur une petite île du pacifiqu avec leur deux enfants et aussi de toute les choses merveuilleuse qu'il avait fait avec elle...

Sakki soupirant, faisant tourner son lait avec une paille. Lui aussi aurait voulu une famille aimer...

Il trouna un regad subtile vers Meii, pourquoi? Parce qu'il L,aimait peut-être bien...

Jamais Sakki, il n'y a que toi et moi et personne d'autre, promet le moi.
Promis!
Fait une croix sur ton coeur
Comment on fait ça?
Idiot... alors embrasse moi
...mais on est comme des frères, non?

Un long frisson le parcourut en entier, secouant son coeur, lui donnant presque envi de vomir.



Il se leva brusquement traversa le café alla s'enfermer dans les toilettes, vomit, trois fois.


Non on est plus que ça puisque l'on s'aime toi et moi.


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Lou regarda vers la file, puis vit que Kazu n'y était plus. Son regard chercha longtemps dans la cafétéria, il se leva même de sa chaise pour chercher et maintenant dénué de toute faim trop inquiet pour son nouvel ami quitta sa meute. Il marcha longtemps dans les grands couloirs de l'école, complètement perdu.

Et si le mec de tantôt avait fait du mal a Kazu?
Ou la gagne du gars?
Toute une gagne contre Kazuro...

Sa queue fouettait L,air sans relâche, ses oreilles dressé cherchait un bruit qui l'apaiserait pendant qu'il cherchait l'humain en vain. Et après une demi heure épuisé et affamé le petit finit par s'abandonner dans unne cage d'escalier, repliant ses jambes vers lui appuyant sa tête contre un mur.

-mama!

-Lys! T'es toute sale!

Dot croisa ses petits bras sur la poitrine qu'il n'avait pas, puis dans un sourire découragée retourna en cuisine chercher un linge avec lequel il essuya doucement les joues de sa soeur.

-Vilaine! Tu vas finit par te faire mal a faire plein de bétises comme ça!

Le petit déposa distraitement les menus tout en continuant de sermonner son ainée. Face a face on voyait bien que Dot était un plus petit et avait de petites tâches de rousseur sous les yeux, mais s,Était tout. S'était leur unique différence. L'enfant se tourna vers le mi-chèvre.

-je suis désolée pour Lys... elle est... spéciale!

Il ouvrit un des menus devant meii, s'assit face alui l,observant les yeux brillant. Le mi-chèvre l'impressionnait et faisait battre plus vite son petit coeur.

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Sakki passa longtemps ses mains sous l,eau, les glissa dans sa nuque brulante. Puis observa son propre reflet. Ses petites oreilles dressée a l'écoute du murmure du silence. ses grands yeux miels, vide, cherchant une émotions dans ce mirage. Il entendait encore la petite voix résonner ans sa tête, les seuls mots qu'il avait dit cette nuit la...comment avait-il pu oublier ça promesse faite a l'autre garçon... et pourquoi avoir regarder Meii avait-il déclencher se souvenir. ...


Ses yeux s'agrandirent brusquement, son reflet s'agita , il fut saisit d,une autre crampe. Il voulut vomir mais rien ne sortit... il regarda longtemps l'eau de la toilette, image fort peu attrayante, puis se ressaisit... ça ne pouvait pas être vrai.


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L'enfant finit par se relever, remonta ses manches de chemise, décider a retrouver enfin son chemin, puisque maintenant il avait une raison; il crevait de faim! Il tourna encore longtemps dans l,école avant de trouver l,aile de dortoir B, la sienne! Il courut jsuq'a la porte 304. L'ouvrit violement et se jetai sur Kazu près de la fenêtre, il l'enserra en posant sa tête dans son dos.

-T'es vivant!

-Pourquoi ze pourrais pas si je suis un garçon, on s'en fiche bien et puis l'amour n'a pas d'âge!

Il releva la tête fière de lui, quand il se mettait quelques choses en tête, il se butait pour y arriver. Il observa sa grande soeur, puis vint s,asseoir avec elle à table. Il baisa la voie pour comploter.

-On pourraient les suivre quand ils partiront.... et on pourrait rentrer dans le collège. T'imagines un collège de riche humain, sa doit être magnifique et bondé de jeune prince tous plus magnifique les uns que les autres, mais surement moins beau que monsieur Meii...

L'enfant accota son visage sur ses mains tout sourire, le regard encore rêveur.

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Meii posa délicatement sa main dans sa nuque, il dodelina de la tête en fermant les yeux, baissant sa garde, laissant retomber sa frange sur son oeil blessé. Malgré le trouble qui l'habitait il se sentit soulager que Meii ne sembla pas comprendre se qu'il avait voulu dire... ce n'était donc pas lui le mi-chèvre de son enfance...
Si ça avait été lui il se serait souvenu de la cicatrice... quoi que maintenat avec le temps elle avait guérie, s'était afffiné et puis il n'était plus l'enfant qu'il avait été, mais tous ça il le laissa a l'abysse, il ne voulait pas savoir.

Le pouce de Meii glissa sur sa peau faisant faire un zigzag a son coeur. il soupira, en se laissant faire... il laissa le professeur parler sans trop comprendre, la solitude avait eu raison de lui et se fichant bien d'être se qu'il était il posa doucement sa tête contre l'épaule du sosie de son enfance. Il était d'au moins une tête et même plus plus petit que Meii et ses avec toute cette grandeur qu'il put rester la, la tête collé contre la poitrine du M.A écoutant son coeur lui dicter tout ce qu'il voulait...

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Il dénoua ses mains, sans aucune gêne, fit un grand sourire a Kazuro

-Tu me feras goûter les frites! Je sais toujours pas ce que s'est!

Il se saisit des écouteurs qui trainaient encore au sol beuglant des paroles que Lou ne comprenait guère. Il colla son oreille a l'écouteur recula en jetant l'objet au sol, il se frotta l,oreille en g.misant.

-Aîîîîîî....

Les M.A avait l'ouiì particulièrement plus aiguisé que les huamis.

-C'est quoi ça.... tu veux rendre sourd qui avec ça!!! C'est pire que les siflets ou les détecteurs a ultra son des humains!

Les siflets et les ultra-son était reconnu comme étant de petits sons super strident que seul els M.A entendait. Le shuamins mettait certans dispositif d'ultra son ssur leur propriété ou dans leur magasin pour ainsi les faire fuir.

-Bwai.... ils doivent avoir une super cour là bas! Pourquoi pas!!! Tu tu ne pense vraiment qu'aux princes charmants....

-Mais c'est que c'est trop charmant les princes charmants! <3 T'es vraiment pas aux garçons toi!

Il pianota sur la table avec le bout de ces petits doigts, laissant un regard amusé a sa gardne soeur. Il n'était pas du tout agacer par le fait qu'elles soit plutôt garconne, d'ailleurs ça le rassurait, il avait ainsi le caractère de sa soeur pour réparer le sien plutôt enfantin, mais surtout féminin. L'enfant adorait tout ce qui était couleur pastel, était en forme de lapin ou de chat, qui avait des frousfrous et surtout, par dessus tout tout tout, aimait les garçons!

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Il laissa Meii le coller un peu, il en ferma même les yeux, complètement perdu ailleurs dans un non-sens qu'il n'avait pas besoin de nommer et qui ne cherchait tout simplement pas a comprendre. Il se fichait de tout, de l'eau qui goutait lentement dans le lavabo, comme celle sur ses joues, du frémissement de sa peau au contact de celle de Meii, il n'y pensais pas, analysais plus, il le vivait et c'était tout. C'était assez.

Quand Meii l'embrassa sur le front, il ne se dégagea pas au contraire il releva la tête plongeant son regard mielleux dans celui de l'homme, lui quêtant un peu d'affection. Pour la première fois il avait l'impression que ses souvenirs cicatrisait enfin, que la morsure de sa propre peur semblait moins prenantes, qu'il aurait même pu se risquer a dire qu'il était heureux, mais bien sûr homme ou M.A le bonheur ne perdure pas...

Il le savait...
Savait que la douleur reviendrait danser avec les ombres de son passé, le réveillerait surment encore en sursaut en appelant un nom qu'il ne connaissait plus... pusiqu'il n,avait jamais connue le nom du petit garçon. Ils avaient passé deux jours complets ensemble et jamais celui-ci ne lui avait dit... puis il avait déménagé et se fut finit.

-Sa va aller....

Il frissonna se décolla enfin, en douceur pour ne rien briser.

-Oui... je suis désolé je vous ai prit pour un ami que j,avais enfant...

Il retourna au reflet dans la glace qui lui renvoya sa faiblesse, se qui lui déplut en lui en faire perdre le sourire. il rdevint unn masque habité par la peur d'être encore brisé...

Il n'était pas un faible, le bonheur il ne le connaissait pas comme il ne connaissait pas la tristesse.

-Enfin bon! Je crois que je fais un peu de fièvre... mangez moi je vais ren...

Il ouvrit la porte, resta un long moment ébahit devant l'image que lu proposait les grandes fenêtres, il pleuvait, une averse d'été sans fin qui embrouillait le paysage au complet.

-... je vais peut-être attendre finalement...


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Il el suivit docilement jusqu'en cuisine sans dire u mot. Il s,était complètement refermé sur lui même, fâché contre ui d'avoir frustré Kazuro, il se detestait d'être ainsi et se détruisait de l'intérieur pendant que les salles de classe défilait. Il en était a se promettre une bonne correction quand une voix l'éveilla enfin de sa torture mentale. Il leva des yeux perdues vers la dame, puis sentit cette main amie lui caressait les oreilles et toute la colère retomba. Il dressa les oreilles continuant son ronronnement de tout a L,heure, les oreilles s,était le point sensible de presque tout les M.A, s'était si bon des caresse près des oreilles. Il ferma les yeux savourant la douceur....

-grazie signora ...Il mio nome è Loucas, perdona la mia ignoranza. Qual è la tua mamma bel nome ?

L'italien était sa langue natale, donc un réflexe de langage pour lui, mais vu les yeux que lui fire la dame il se reprit traduisant sa phrase avec la même doux accent chantant qu'avait l'italien sur ces lèvres.

- Merci madame... Il mio nome è Loucas ... pardonnez mon ignorance, mais qu'elle votre nom avoue, mama bella?

Les cuisinières s'étaient approché captivé par se petit nouveau aux manières délicieuses. Il avait effectivement une ruse dans ses grandes prunelles de miel, mais Loucas restait q'un enfant qui n'avait pas encore comprit que dans sa nature rusé il pouvait faire tombé n'importe qui et il parlait ainsi par affection pour les humains, parce qu'ils les trouvaient presque vénérable alors qu'ils étaient tout le contraire...

-Nahhhhh si j'me marie, le gars ou la fille devras être meilleur au ballon que moi!!! Et j'suis imbattable!!!

-Alors je vais te trouver le meilleur joueur de basket de toute l'école et on verra après si tu l'aime ou pas!

Il adorait els histoires de coeur, il volait d'ailleurs très souvent a sa maman des romans qui sentait bon la douceur, qui parlait d'homme qui aimait passionnément une femme fragile et délicate et pour qui il aurait donné n'importe quoi et souvent le gamin s'embarquait dans de long scénario ou le rôle féminin lui appartenait...

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-En attendant, Sakki, je vous paye un verre de lait à ma table!

Meii avait été trop loin pour sakki, il avait percé sa carapace sur un point qui le faisait trop souffrir. Comment avait-il lui même osé parler anisi, révèler ainsi sa vulnérabilité? Il reprit du recul, mais pusqu'il n'était qu'émotion, que protection et qu'avec se sentiment de perte, de faiblesse il prit peur. Sa tête s'enmella dans des craintes non fondé, il sentit la chaleur envahir son corps, pourtant frissonant. Il fixa le mi-chèvre et son air baveux, par impulsion le mi-chat se sentit attaqué et riposta aussi instinctivement que ses émotions. Il avait trop peur que le masque se fende encore, il ne pouvait plsu garder son role d'iceberg... alors sa solution fut la fuite. Il mit sa capuche et sans un aurevoir disparu sous la pluie battante. Aucun mot, rien juste la lourde pluie qui s'abattit sur sa douleur, désinfectant sa peur. Il courrut tout le chemin qui le séparait de l,école, ne se retournant jamais, ayant trop peur d'être suivit. En entrant il retira sa veste complètement mouillé. L,eau avait traversé jusqu,a sa chemise qui lui collait maintenant a la peau dessinant le tracer de son corps svelte et mince. Il se mit rapidement en marche vers les dortoirs puis décida de bifurquer vers les cuisines. Il poussa la porte sans cogner.

-Sakki vous êtes complètement mouillé! Gamin dites moi ou est-ce que vosu avez trainer sale petite peste!

Il haussa les épaules ignorants la question tout en se hissants ur un des comptoirs observants ses deux élèves déjà installé devant de sfrites. Il leur sourit avec douceur, puis revint a la jeune "femme" qui le grondait comme une mère l'aurait fait.

-J'ai faim!

-Essuyé vous petits bâtards de chaton tout mouillé!

Elle balança a Sakki un torchon en pleine figure. Il sourit amusé en essuyant la pointe de ses cheveux ruisselants.

-Et pis vous deux vous n,êtes pas censé être a la salle principale pour le discoure des enseignants!

Elle se tourna vers les deux gamins, mains sur les hanches, lèvres pincés. Une vrai mère poule, avec un surplus dans le pantalon. Le travesti essuya ses mains sur son tablier en lançant un regard désapprobateur a la tante de Kazuro.

Loucas surprit se saisit de la main de Kazu, les yeux rabaissés il inclina timidement sa petite tête.

-Pardonna me...

Il regarda les deux gamins patirent, puis se souvint brusquement que lui-même devait si rendre a cette rencontre, en temps que professeur responsable de l,aile B avec cette stupide pimbêche de Mizuki! Si il n'y allait pas bientôt celle-ci laisserait encore circuler des horreurs a son sujet, puisqu'en temps que deuxième professeure de chimie elle était cruellement jalouse de Sakki. Le prof se saisit rapidement du gobelet de lait que lui tendait la chose en tablier devant lui, puis partit a la course dans les couloirs de l'école. Il dépassa les gymnases en attente de leur écho habituelle de crie et de ballons, de la salle de musique qui résonnait de mélancolie sans le professeur Itami pour y faire revivre les beaux classqiues, mais Sakki laissa les classes vide pour traverser le long corridor qui parcourait l'aile de dortoir B. Il s'arrêta devant la 269, sortit maladroitement ses clés, débarra son unique demeure. L'endroit ou il vivait depuis 10 ans, collectant les colocataires. Il se débarrassa de sa chemise détrempé la jeta au sol, laissa glisser son pantalon le long de ses jambes minces et d'un geste souple le balança contre son mur. Il ouvrit le robinet d'eau chaude, finit de se déshabillier et si glissa en fermant les yeux. L,eau, contrairement a bien des chats, l,apaisait. Il leva la tête vers la pompe, laissant l'eau ruisseler sur son visage, il devai faire vite, mais son corps se refusait de bouger encore pétrifié dans sa faiblesse et sa douleur... pourquoi avait-il parlé? Il avait tellement bien entretenu son rôle depuis des années, pourquoi maintenant tout c'était brisé?


(Scuse je l,ai pas dit mais pour moi s'était évident que Sakki avait caché sa queue et ses oreilles! XD )


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-Hmmm... moui! <3

Il s'en reprit une sans toute fois, lâcher Kazuro. Il prenait un grand plaisir a garder sa petite main enfoui bien au chaud au creux de celle de son nouvel ami. Il lui caressa doucement la paume du bout de ses petits doigts glacés, tracant des zigzags sur cette peau toute douce et encore nouvelle pour ses sens. Il leva un regard d,innocence vers l'humain en souriant timidement.

-J'ai pas trop le goût d'y aller moi... mais bon on fait se que tu veux... mais les rencontre... je trouve sa..noioso... enfin je sais pas comment dire ça dans ta langue...mmmm ...

Il haussa les épaules, bredouille de réponse pour sa traduction.

-Enfin tu sais... c'est comme les gros bouquins de français trop long a lire...


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L'enfant resta longtemps scotché a la fenêtre regardant une ombre depuis longtemps partie sous cette violente pluie de septembre. Maussade il se tourna vers sa soeur un demi sourire aux lèvres.

-J'te zure Lys, lui, un jour je vais le marié avec l'homme que je serais bientôt! <3

Il avait entendu un drôle de son, comme un murmure derrière. Avait-il barré la porte finalement? Et ci c'était Mori? Un long frisson le traversa en entier, il chassa l'idée en augmentant le jet d'eau chaude, mais elle en le calmait plus, vu la présence qu'il sentait dans son dos. Il se tourna doucement vers la porte vitré de la douche, sursauta en y voyant une ombre au milieu du brouillard qu'avait créé la buée.

-MEI-SAMA! VOUS FOUTEZ QUOI ICI??????

Premier réflexe se tourner de dos, en maugréant. Ses cheveux mi-court noir lui collait au dos, la ou l,eau ruisselait doucement en suivant la fine silhouette du professeur, traversant une multitude de fine cicatrice et se terminant sur un drôle de dessin dans les bas de son dos. Marqué au fer rouge comme un animal indésirable, les loups lui avait enfoncé leur insigne dans le plus vif de sa chair. Puis juste avant ses petites fesses, se séparait du corps la queue de chat détrempée qui fouettait l'air, énervée. Il croisa ses mains devant lui, baissant la tête intimidé, par la vision qu'il avait encore de Meii. Son torse fort, cette cicatrice. Il ferma les yeux doucement... comme ce devait être bien de se coller contre lui. Ses oreilles se dressèrent immédiatement, sa queue battit plus vite pendant qu'il essayait de se débarrasser de l,image qu'il avait eu.

-...niaaaaarg dégagez! Restez pas là...

Sa voix fut faible, embarrassé.


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- Ennuyant, ennuyant, ennuyant! Ouki je l,ai mémorisé... maintenant les discour et les livres de français ses nuyant!

Il se tu observant les casiers défilé, dans les couloirs complètement vide. L,école sans son brouhahah d'élève humain et M.A n'était plus la même. Son regard se posait partout, analysais, saisissait l'image avec curiosité, mais finissait toujours par revenir vers Kazuro, pour lui sourire timidement ou pour simplement plongé ses yeux dans les siens si noirs.

-On va où...? Y'a pas un endroit que tu adores dans ton école? Moi quand j'étais encore en Italie mon endroit préféré s'était sur le dernier étage, il était désaffecté a cause d'un feux de poubelle et puisque l'école allait bientôt fermer pour manque d'élève personne ne prit le soin de réparer cet étage. j'y allais tout le temps, parce que je déteste les autres M.A... les canides sont tous des cons qui martyrisent plus faible qu'eux je les trouve dégueulasse... surtout depuis la Shoah des felides...

Un long frisson lui traversa l'échine pendant qu'il baissait les yeux honteux de sa propre race, qu'il jugeait faible et grotesque. Il repensa a son voisin, un mi-Lynx qu'ils avaient littéralement attaché a un arbre en attendant que le pauvre petit en crève presque de faim, a la fin l'enfant complètement épuisé les avait supplié et le chef de la gagne de Louca l'avait achevé a grand coup de batte se qui prit presque 1 heure et demi. Jamais il ne pourrait se pardonner d'avoir été aussi lâche... jamais... et jamais il ne pardonnerait le reste des choses qui hantait sont esprit.

-Je ne pense pas que j'aurais le temps d'attendre que vous ayez fini Sakki, pour prendre une douche moi même...

Ces mains sur ses hanches, cette voix dans son oreille et ses multitudes de frisson qui comme un frolement de papillons qui le firent vasciller. Il accota ses mains contre le mur, cherchant un support pour ces décharges électriques qui ce deversait dans tout son corps. Cela faisiat combien de temps? 2 ans qu'il n,avait été avec personne. Qu'il n'avait pas sentit cette proximité que pouvait avoir deux corps.

-...M-meii ququ-est-ce que vous f-faites...?

Sa voix tremblait doucement, incertaine elle-meme de vouloir conaître la réponse. Il posa sa tête contre le mur froid, sans se dégager de Mei, au contraire s'abandonnât a lui.

-...v-vous êst vraiment stupide... vous auriez...pu attendre votre tour quand même...

La douche était petite, forçant leur deux corps a se frôler par moment, renvoyant a Sakki de long frisson. A chaque fois, il détournait la tête, intimidé, par ce qu'il sentait dans son dos. Par cette peau a nu contre la sienne... et par se corps si imposant vis à vis du sien.

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-Alors... pourquoi tu te tiens avec eux..

- Parce que je suis l'un d'entres eux, les renards sont des canides... et que se monter dos a eux c'est se mettre un fusil sur la tempe...

Il releva un regard désolé vers lui, un regard plein de regrets et plein de haine pour se qu'il était. Il demandais pardon silencieusement, pour tout le mal qu'il avait fait, même si kazuro ne le savait pas... Il regarda leurs mains nouées, puis réalisa enfin que depuis la cafétéria Kazu ne l'avait pas lâchée.

-J't'écoeure pas?

Il laissa les mains de son stagiaire l'appartenir, les laissa s'emparer de lui, pendant qu'il fermait doucement les yeux. Il n'était plus qu'une impulsion, qu'un coeur qui demandait à être aimer et qu'un corps qui se mourrait sans les caresses.

-Mais c'est bien plus agréable ainsi non?

Cette voix chaude dans son oreille, cette voix qui vint couler jusque dans ses veines, qui le transperça avec douceur dans toute sa carpace le laissant affaiblie, vulnérable.

-... oui...

Sa voie n'était qu'un murmure étouffée au milieu de toute l'eau qui coulait et de se sang qui battait dans ses tempes. Meii promena ses lèvres sur sa peau blanche, il dodelina de la tête doucement, lui offrant ainsi sa nuque, sans méfiance complètement apprivoisé pour le moment.

-Repoussez moi si vous préférez professeur..

-...ne m'appelle pas comme ça...t'es pas m-mon élève Meii... et puis v-vous êtes plus vieux que moi...

Chaque mots avait peine a sortire tant sa gorge était sèche et ses sens affectée. Il parlait distant de tout, seulement conscient de cette douceur qui l'empoisonnait lentement réduisant son corps a la docilité.


~

il regarda longuement sa main, vide une moue déçue au visage qui fit rapidement place a son petit sourire timide., qui redisparu quand Kazu prit son ton méchant. Louca n,eut pas le temps de se défendre que devant lui s'ouvrait une porte et que comme dans un rêve une brise légère de fleur sauvage l'envahi complètement. Il se tourna vers la source de bonheur et ferma doucemnet les yeux.

-...waaah... mais on est ou?

Il n'osait pas trop s'avancé dans cette serre privée comme si ses pas pouvait tout détruire de cette beauté. Il effleura une fleur sauvage s'accroupie pour en caresser doucement les pétals en souriant.

-Magnolia... mais c'est merveilleux Kazu...!