Il figea, la grosse patte l'étouffait mais il sourit doucement. Un sourire faible, un peu perdue entre la souffrance et la délivrance.
-merci...
Tout doucement le mot soufflé du bout des lèvres fit dispaaître la grosse arme e le jeune garcons ferma les yeux a bout de souffle. Sa respiration devint saccadé et quand il réouvrit les yeux la nuit a vait disparu pour laisser place au miel. Il posa ses mains sur la patte et soupira, ses main la caressèrent doucement, les yeux baissé les joues rouges.