Pv Prince-Kizu ;)

Je sentis des bras m'emprisonner, puis me tirer de l'autre côté!

- Hé ! Pas par là. Surtout qu'en plus, là-bas, y a les surveillants.

Je cligna des yeux...
hoooo merde...

-Ha.. heu... désolé..

Je baissa la tête, embarrasser.. définitivement j'avais un sens de l'oreientation vraiment nulle...

Je rentra dans la chambre, allant directement vers mes bagages.

- Tu vois, ce que les gars veulent, c'est te
dépuceler. Mais si t'es pas puceau, ils se fichent de toi. Tu comprends ?
Donc, je peux sans doute t'aider.

Je me retourna, ouvrant grand les yeux...
Son sourire... on aurais dit ..... non... on aurais pas dit, C'EST UN SALE SOURIRE SUR UN SALE PERVERS.

Je me releva indigner, reculant, l'air courousser.

-Quoi?????? je... je ... je veux pas.. NON!!

J'étais maintenant rouge comme une Tomate, ou serai-ce peut-être plus une pivoine? et puis quoi..... je ne me serais jamais attendu à sa moi!

Ses mains se refermèrent sur mes poignets en un étaux.
Une drôle de sensation me traversa le corps quand je sentis sa langue toucher brièvement ce que j'avais entre les jambes. Je ferma les yeux, les joues rouges cramoisis, et mon cœur battant de plus en plus rapidement.

J'ouvris un peut les yeux, le voyant se déshabiller.. Étrangement je n'arrivais plus à en détacher mon regard. Son corps étais magnifique... c'était une vue différente de celle dans la douche...

-Sale agace, dis-je tournant finalement mon regard quand il défit son pantalon.

Je souris en coin et plaquai ma bouche sur la sienne pour le faire taire. Doucement, j'attrapai une de ses lèvres entre les miennes, la mordillai tout en faisant courir mes doigts sur le bas ventre du garçon, sans toucher cependant à son membre. C'était une technique que j'aimais bien. Rendre ma victime si excitée, si impatiente qu'elle me supplie elle-même de la toucher, d'apaiser son désir... C'était excitant. De voir mes proies gémir mon nom en se tortillant, leur corps parcouru de soubresauts, le membre gonflé à bloc, presque douloureux...
Je balançai mon pantalon par terre dans un coin de la pièce. Il ne me restait plus que mon boxer, mais je ne fis aucun mouvement pour l'enlever, et continuai mes simples caresses, si près de son entrejambe et pourtant toujours en l'évitant...

Il m'embrassa mordillant ma lèvre inférieur, ses mains parcourant mon bas ventre sans jamais me toucher entre mes cuisses..... Je sentais maintenant tout mon corps se consumer lentement dans un feux trop brûlant. Il tenais encore mon poignet, tel que je ne pouvais plus cacher mon visage rougis, mes yeux légèrement embuer...

j'étais avec un homme, dans un lit, et il me touchait ainsi...
mais le pire c'était mon corps qui réagissait trop favorablement... Ne pouvait-il pas se dépêcher, rapidement en finir...?

Je planta alors mon regard dans le siens, le corps vibrant..

-Merde... tu ne peut .. pas te .. dépêcher... s'il te plaie...

mes joues rougis, mon corps brûlant, mes mains tremblantes, et son regard qui me parcourais, m'intimidait...
Je ne pu me contrôler, je m'approcha, passant ma tête dans la jonction entre son cou et son épaule, mordant fiévreusement ce muscle, puis lichant son cou jusqu'à son oreille.

-j'te hai.. murmurais-je avec difficulté.

Il plaqua sa bouche contre la mienne, après m'avoir dit d'un ton presque sarcastique à mon oreille ''je t'aime moi aussi'' ... j'aurais voulu le mordre mais avant il alla s'attaquer à mon bas ventre, de pincement, et de suçon... je sentis même son doigt faire toute la longueur de mon membre.
J'osais espérer qu'il en finisse, mais au lieux de cela il me coucha sur le ventre, pesant sur moi, écrasant mon entre jambe sur le matelas tel que la douleur me parcourue de corps... je ne détestait guerre cet douleur mais mon orgueil prenait le dessus... sur tout quand un très petit gémissement sortis d'entre mes lèvres, et que je ne pu le rattraper!

- Me dépêcher, tu dis ? N'est-ce pas plus amusant, au contraire, de prendre son temps... ?

-son temps!?

Je respirais fort, écrasant ma tête dans l'oreiller.

-Je.. je ne t'ai pas demander de prendre ton temps...

Mon cerveau dérapais, mon cœur battais si fort, mon sang bouillonnais.. Je ne voulais pas me soumettre ainsi..
Malgré que je n'étais pas le plus fort, je me défit de sa poigne, me retournant, le regardant maintenant dans les yeux. Je m'approchais passant ma mains sur son torse, descendant de son cou, en passant par ses abdos, jusqu'à son bas ventre, puis passant à mon tour, mon doigts sur son membre bien gonflé dans son boxeur.

-Si non ce jeux sa se joue a deux.

Je passais mes mains sur l'intérieur de ses cuisses, les griffant légèrement, passant ma langue sur mes lèvres.
Je n'avais pas grand chances de gagner à ce jeux, mais je m'essayais tout de même... je ne voulais pas être une petite proie facile! Alors là NON.

Il semblait bien surpris de mon attitude, et malgré la partie de mon esprit logique qui me disait que ce que je faisait étais mal, j'avais toujours cet petite partie qui appréciait sa surprise et qui avait envie de le surprendre plus encore. Même que quand il rejeta la tête en arrière, l'esquisse d'un sourire m'échappa...
Je ne savait pas d'où me venait cet fièvre, cet envi, et sur tout ces idées saugrenue.. Je me pencha allant poser un baiser sur sa hanche, glissant ma langue sous l'élastique de son boxeur, et lichant jusqu'à l'autre hanche que je mordit. Mes mains toujours occuper a caresser ses cuisses.

Je posai les yeux sur mon tatoo à la limite de mon boxer. Il avait passé sa langue dessus, il me mordillait, et c'était franchement bon. Mais je ne voulais pas me l'avouer, en fait. Alors bien vite, je grimaçai un peu et le repoussai, le plaquant contre le matelas pour me retrouver sur lui.

- Bon sa suffit maintenant. C'est à mon tour de jouer.

Je le retournai sur le ventre, comme la fois précédente, sauf que je lui gardai le derrière relevé dans les airs. Question de le préparer un peu, j'entrai d'abord un doigt humidifié de salive, puis un deuxième, avec lenteur. C'était serré, ça allait lui faire mal...

- Bon sa suffit maintenant. C'est à mon tour de jouer.

Je fut surpris car en une fraction de seconde je me retrouva dos à lui, les fesses relever... Bon j'avais théoriquement gagner, il avait craquer avant moi.... mais.... avais-je vraiment envi de ce ''prix''? Ma tête me disait que non, mais .... mon érection tant qu'à elle semblait d'un tout autre avis!

Je sentis un doigt s'infiltre en moi... puis un deuxième... Je grimaça, mordant ma joue, et gémissant un peut, de douleur.. Je n'avais jamais rien fait ainsi... Étais-ce normale? out le monde avaient-ils mal?
La peur me pris le ventre, surpassant mon besoin corporel.

-At.. attend! gémis-je.

- Attend ? Tu me provoques, tu me chauffes jusqu'à ce que je bande comme un cheval et tu me dis ensuite "d'attendre" !?!
- Dis-toi au moins qu'avec moi, t'auras un minimum de préparation.

Je serra les draps entre mes doigts. Je ne voyait pas vraiment ce qu'il faisait, mais sa faisait déjà assez mal... Je commençais à regretter d'avoir accepter sa proposition... Je me sentais si sale, la peau s'étirait douloureusement. Je planta mes ongles dans la peau de mon bras. Et malgré tout, il touchait quelque chose en moi, quelque chose que je ne connaissait pas, qui m'empêchait de m'enfuir en courant...

-alors.. t'as cra.. craquer en premier.. murmurais-je dans l'oreiller serrant de plus en plus mes ongles sur mon bras.

- Oui bon, j'ai assez vite démontré que tu me faisais du bien. Maintenant, tu peux en revenir ?

Je soupirai; il était agaçant. Craquer en premier, craquer en premier... Moi, je faisais exprêt de le faire languir. Il aurait craqué bien lui vite que moi si j'avais touché son membre, si je l'avais caressé aussi bien que je sais le faire...
Mais bon. Maintenant, on allait s'amuser pour vrai. Je l'empoignai par les hanches après avoir retiré mes doigts. Il avait l'air de déjà souffrir, il se plantait les ongles dans la chair. Pauvre petit. Vraiment.

Jugeant qu'il allait être correct, je commençai alors à pousser pour entrer en lui. Au début, c'était difficile. Mais je savais qu'une fois rentré une première fois, ça passerait mieux ensuite.

j'entendis à peine ce qu'il dit, portant plus attentions à ce qu'il s'aprétais à faire... Il empoigna mes hanches, retirant ses doigts... j'avais une vague idée de ce qui allais se passé.... et la peur me pris au ventre, tel que chaque muscles de mon corps se raidis dès qu'il rentra en moi. J'eu alors l'impression de me faire déchirer en deux, ne pouvant réprimer un gémissement de douleur. Je respira profondément, essayant d'en faire abstraction. Et malgré tout en même temps j'avais sentis un tout petit quelque chose, en moi, s'exciter, une fois que la douleur s'atténuait, peur à peut, mon corps s'habituant à cet étrange intrusion.