Pv Prince-Kizu ;)

- Écoute moi, le gamin. T'es encore puceau ?

Hoquet de surprise.

- Qu...Quooii ?
- T'es tu vierge du trou d'cul bordel !?

Déglutition difficile.

- Nn... Noooo... Non. Non.
- Ouais, c'est ce que je pensais.

Un claquement de doigts. Deux colosses qui s'avancent. Des bruits de chaines traînant sur le plancher du sous-sol. Nouveau hoquetement, cette fois de terreur. Un cri, une gifle.
Des vêtements froissés qui s'entassent sur le sol. Des sanglots étouffés. Le bas ventre d'un mec cognant brutalement contre les fesses du gamin. Un long râle. Le corps qui retombe au sol. La porte qui se referme. Le noir total.

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Cet établissement est réputé pour son taux élevé de jeunes délinquants. Quoi de plus normal, il les recueille tous. Il y a en qui sont des vraies brutes, d'autres qui se sont ramassés ici pour vraiment rien. Certains on 16, 17 ans, d'autres y entrent à 14. L'établissement a pour but de tenir ces jeunes garçons à l'écart du reste de la population. Jusqu'ici, ça va, c'est une idée assez bonne puisque les gangs de rues sont ainsi moins fréquentes dans les rues de cette ville des USA. Mais là où ça se gâte, c'est qu'on paquet de déliquants ensemble, ça fait des problèmes. Même avec la surveillance stricte et pointilleuse, certaines choses échappent aux yeux du personnel. Comme l'habituel rituel d'initiation des nouveaux, qui se déroule dans le sous-sol du bâtiment, là où personne ne va jamais. Les nouveaux arrivants sont souvent si honteux et troublés par la suite que jamais ils n'ouvriront la bouche pour raconter leur agression. Ils restent enfermés dans leur chambre quelques jours, et ressortent lorsqu'ils arrivent à marcher normalement. Ils évitent leurs bourreaux comme la peste. Des groupes se sont rapidement formés parmis tout ce beau monde. Il y a les gamins, tous les plus jeunes, et souvent les plus tranquilles. Ils se tiennent très à l'écart et sont généralement plus surveillés que les autres, non pas parce qu'ils sont les pires, mais pour éviter qu'ils ne se fasse harceler. Car je ne vous ai raconté que le moins pire. Il vient ensuite les... entre les deux, je dirais. Ce groupe est formé de gens de tout âges. Ils ne sont pas forcément gentils, mais pas si pires non plus. Je crois qu'ils veulent juste parvenir à une cohabitation pas si mal, et faire leurs affaires tranquille dans un coin sans personne pour venir les déranger. Et enfin, il y a les grosses brutes. Ceux qui, dès que l'occasion se présente, en profitent pour traumatiser les autres de quelconques façons. Ce sont ceux qui font appliquer l'initiation.

À mon arrivée dans ce centre, j'ai dû passer le test. Moi aussi, on m'a bandé les yeux avec un morceau de tissu noir, on m'a attaché les mains et on m'a emmené je ne sais trop où. Rendu au fameux sous-sol, j'ai été détaché. Je n'avais pas peur d'eux. J'avais quinze ans à l'époque, c'était l'année dernière. Lors de la question, j'ai répondu négativement. D'un ton ferme, et sérieux. Bien sûr, ils ont voulu vérifier. Mais ce n'était pas du tout ma première fois, oh non. J'ai été violé par mon père de nombreuses fois dans ma jeunesse. Mais ça, je m'en fiche bien désormais. Maintenant qu'il est mort...
Ils l'ont bien vu, juste en baissant mon pantalon, que je disais vrai. Quand tu rentres facilement plusieurs doigts d'un coup presque sans forcer, c'est que... Ouain. Ils m'ont laissé partir. Et ils me traitent avec un certain respect. Mais je ne suis pas des leurs. Je ne fais partie d'aucun groupe, d'aucune catégorie. Je suis juste un mec de 16 ans qui vit sa vie, fait ce qu'il a a faire et se fiche bien des autres. J'ai ma chambre à moi seul, ce qui est sans doute un miracle, puisque normalement tout le monde est deux par deux ici. Alors j'en profite. J'y passe beaucoup de temps, seul et tranquille. Bien sûr, il m'arrive d'aller rejoindre les plus vieux. Quand on en a l'occasion, on se mate parfois un porno ou on échange des anecdotes sur notre passé. C'est assez bien, parce qu'ils me traitent comme un des leurs, quand je suis avec eux. Mais je n'aime pas m'identifier à ces gars, parce qu'ils ont tout dans les bras et dans le membre, et rien dans la cervelle. Moi, j'ai les trois à la fois. J'vous dis. Je les surpasse tous. J'ai ma propre catégorie, dont personne d'autre ne fais partie.


Mon réveil déréglé sonna à cinq heures du matin. J'ouvris lentement mes yeux bleus et poussai un soupir découragé en voyant l'heure. Pourtant, je me rappelais bien l'avoir réglé pour 7h15 pile. Alors pourquoi est-ce que.... ? Je compris en me rappelant qu'hier matin, je l'avais lancé au bout de mes bras à travers la pièce. Il ne s'était sans doute pas remis du choc. Génial. Le problème, maintenant, c'est que j'étais tout à fait réveiller. Pas moyen de me rendormir. Et je sortais d'un rêve particulièrement intense qui créait l'énervement de ma virilité masculine. Je me traînai hors du lit et enfilai un jogging avec une camisole blanche assez serrée, qui moulait bien mes muscles. Je sortis ainsi avec ma serviette sur l'épaule, en direction des douches communes, avec l'intention de me finir là-bas. Il n'y avait jamais personne, à cette heure-ci. En y entrant, je me dévêtis et laissai mes choses dans le vestiaire, avant de rentrer dans les douches. Pendant un instant, je laissai l'eau chaude couler sur mon corps, le rendant luisant, et mouiller mes cheveux blonds mi-longs. Ce n'est qu'à ce moment-là que je remarquai que je n'étais pas seul dans la douche. L'autre à côté ne faisait tellement pas de bruit que je n'avais même pas remarqué sa présence avant ça. Je l'observai du coin de l'oeil. Sa tête ne me disait rien, et je me demandai un moment s'Il était nouveau. Si c'était bien le cas, il avait été le premier à avoir de la cervelle: arriver tellement tôt que tout le monde dors encore, comme ça, petite chance d'éviter l'initiation. À moins que ce soit totalement involontaire et qu'il ne soit pas au courant des coutumes de ce cheeeeer établissement.
Tout en me branlant sans gêne, je continuai de le détailler assez attentivement.

L'univers, une immensité toujours irrésolue.
Qui a t-il après ''L'univers'', qu'est ce qui as créer cet imminence qui nous tiens en son ventre tel une mère soutiens son enfant durant sa grossesse. Elle garde en elle toutes ces planètes, toutes ces constellations, toutes ces étoiles, ces satellites. Nous sommes si minuscule à comparer à cet géante mère porteuse. Qu'est ce qu'elle en a à foutre de notre existence. Certain parlent de sa création comme un bigbang interstellaire, ou un amassis de planètes autour d'un points centrale, un trou noirs? D'autre croient en un dieux créateur de toute chose. Parfois je me pose la question... Mais qu'est ce que ce dieux en aurais à foutre de petits humain si ce serais vraiment un ''dieu'' qui aurais créer l'univers... ? Qu'est ce qui nous arriverais si cet univers se détériorerais? Nous serions probablement mort.

Le jours de mes 13 ans, mon univers à moi est mort.
J'ai briser les dernières parcelles de moi même en un millions de petit morceaux comme un miroir que l'on jette sur un mur. Mais au lieux de seulement sept années de malheur, peut-être que par chance, moi sa s,arrêteras quand je mourais? Ce serais bien amusant à savoir!

''AAAAAAAAAAAAAHHHH QU'EST CE QUE TU FOU!!! MONSTRE!!!!'' Hurlait-elle la voix sur aiguë.

Je me souviens de cet chaleur, des battements de mon cœur dans ma poitrine, mon cœur qui se débattait pour s'échapper de ma cage thoracique. J'étais devenue de pierre, ma vue étais floue, sois par fatigue ou à cause des larmes qui se nichait dans le creux de mes prunelles. mes lèvres avaient un goût de fer, j'avais du passé ma mains sur mon visage. Après cela tout devin flou. Je me retrouva rapidement dans un hôpital j'imagine, ne sentant plus le regard venimeux de ma mère dans mon dos. Mais pourquoi me haïssait-elle tant? J'avais fait cela pour elle...

J'avais 13 ans, et je ne comprenait absolument rien! On me laissa enfermer dans cet endroit durant des jours, dans cet chambre blanche, complètement blanche, avec pour seul fenêtre, l'endroit où ils me passaient ma nourriture. Peut importe, je voulais être seul. C'est après ces quelques jours qu'ils me transférèrent de chambre, pour une plus confortable. Je voyait d'autre gens, mais ne leurs parlaient pas... ils m'effrayaient tous! Quand ils hurlaient ou parlaient seul, sans raison... La seul personne à qui je parlait un peut c,étais ma psy, mademoiselle Marysson, qui m'appris que j'étais à Saint-Luc, une hôpital spécialisé dans les cas de folie extrême... Et pourtant je détonais, elle me disait souvent que j'étais le seul qui semblait saint d'esprit ici, et je prenait cela comme un compliment. J'y ai passé deux ans, où ma principale occupation étais de lire, à la bibliothèque seul. Je prenait des médicament, comme sa je ne voyait plus rien d'étrange autour de moi... La vie à l'hôpital étais simple, je ne détestait pas sa. Une fois j'ai reçut un téléphone de ma mère, pour noël, mais elle ne m'as pas souhaiter joyeux noël comme des parents normaux, elle m'avais juste demander si je voulais qu'elle m'envoie une carte de débit pour utiliser mon compte pour acheter mes médicament. Bien sur j'ai dit oui.
Il y a deux jours, on m'as diagnostiquer comme ''assez stable pour s'intégrer à la société''. J'étais si heureux! j'ai maintenant 15 ans, alors ils on décider de m'envoyer dans un centre de réadaptation pour jeunes délinquant ultra sécuriser. C'est le juge qui à décider cela. Mais au moins, je ne serais plus entre ces murs. Aujourd'hui j'ai fait mes bagages, prenant les quelques linges que j'avais, madame Marysson m'avait même acheter un peut d'autre linge, quelque jeans des pull. j'ai attacher mes longs cheveux blond très pâles dans mon dos. Depuis, que je suis rentré à l'hôpital, je ne les ai jamais couper, donc maintenant ils m'arrivent aux hanches, et sont un peut onduler, comme ceux de ma mère, à ce que je me souviens. Vue que je suis plus petit que la moyenne, et plus frêle, les vêtements de Marysson me sont un peut trop grand, mais je m'en fou.

Nous avions fait le trajet de nuit, je pouvais enfin voire la lune après 2 ans enfermer. Arriver, on m'as donner une chambre, des policier me surveillant de prêt, attendant les premier signe de folie, mais rien. Je suis rentré, mettant mes affaires sur le lit, et les intimant de partir gentiment. J'avais tant besoin d'une douche! Je trouvait mes cheveux sale et mon corps de même...
Je pense que je me suis perdu, car je ne trouvait pas les douche...? Qu'est ce que ce serais que de prendre une douche avec d'autre personnes... .... Je n'ai jamais vraiment été en contacte avec des gens ''normaux''.... La nuit il ne dois pas y avoir grand monde!

J'avais fini par trouver les douches.... mais je ne savait quand même pas comment je m'y étais rendu! .... Il y avait trop de couloir, cet école est un véritable labyrinthe! Je m'étais rapidement déshabiller, rentrant sous le jet de la douche et lavant mes cheveux, quand j'entendis quelqu'un rentré, puis se déshabiller et aller lui même sous la douche. Je tentais de rester le plus silencieux possible, ne parlant pas, fermant les yeux et profitant de l'eau...

''flap flap flap flap..''

hm.......... mais qu'est ce qu'il peut bien faire? Je retournait un peut mon regard, et tout ce que je vis c'est cet homme, ses cheveux mis longs blond, mouiller, lui tombant sur ses yeux, et son corps nue.. Il me regardait sans gêne, passant sa mains sur son membre. Quel dégoutant!!!!

-Voudriez vous bien vous abstenir de me regarder ainsi... Soupirais-je.

Dos à lui, l'essayait d'en faire abstraction, posant ma tête sur les dalles froide, et laissant l'eau couler sur mon corps. Quel satisfaction peut-on bien trouver à se toucher ainsi?.. Personnellement je préfère prendre une douche bien froide au lieux d'oser me toucher si grossièrement!

Je ris un peu. Il était drôle à voir aller, ce gars. Il avait ce petit air supérieur dans le regard, et cette drôle de pudeur stupide... Il me faisait quelque peu penser aux gamins de 12 ans qui ne supportaient pas de voir ce genre de chose non plus, et qui ne feraient pas de mal à une mouche. Je me demandais bien ce qu'il avait pu faire pour se ramasser ici. Sûrement moins que moi, sûrement moins que la plupart des gens ici en réalité.
Lorsqu'il ferma l'eau et mit une serviette autour de sa taille, j'esquissai un petit sourire en coin amusé.

- Tu n'as pas l'air trop traumatisé... Ah. Les brutes ne t'ont pas encore mis la main dessus.

Je fermai l'eau de mon côté aussi et m'étirai ensuite longuement, avant de prendre la direction du vestiaire, comme ça, sans serviette. Une fois rendu près de mes vêtements, je pris la serviette que j'avais emmenée et commençai à me sécher rapidement avec.

- Est-ce qu'il a un nom, le nouveau ? lançai-je ensuite tranquillement, mine de rien.

- Moi c'est Jared.

Jared... jolie nom! ... c'était la première fois que j'entendais sa, mais je n'avais pas vraiment fréquenter beaucoup de personnes, alors il étais tout à fait normale que j'ai du mal à replacer les nom normaux.
Mais bon... trop un beau nom pour un être aussi ............

- Les brutes, c'est le surnom qu'on donne aux plus vieux qui terrorisent tout l'établissement. Eux-même se surnomment comme ça.

Je pris mon gros pull noirs (même si nous étions en été) l'enfilant rapidement. Je n'aimait pas qu'on observe mon corps, et je le sentait me regarder... j'avais un peut peur qu'il prenne notes des petites cicatrices que j'avais un peut partout, sur tout celle su ma nuque, cacher par mes cheveux, cet scarification en forme de croix.

-Ce dois êtres que des con, sa ne me fait pas peur des mec qui se donnent des surnom aussi .... ringard?

Je releva la tête, soupirant comme agacé.
Puis je le regarda, mettant mes mains dans mes poches.

-Heu... dites... Jared.. Vous..Tu me dirais où est le couloir... heu... b-63 .... Je ne me souviens plus comment m'y rendre...

J'avais abandonner mon avis de l'énerver en le ''vouvoyant'', sa ne semblait plus aussi bien marcher...et en plus, j'avais besoin d'information, car malheureusement, mon sens de l'orientation étais terriblement pathétique!

Des coups furent soudain frappés contre la porte. Des coups bruyants, suivit de quelques rires. Moi, dans la chambre d'à côté, ça me fit relever la tête. Ah tiens, ils l'avaient déjà retrouvé ? Ils avaient eu vent rapidement de l'arrivée du nouveau...
Je me levai tranquillement et m'avançai à pas feutrés en direction de la porte de ma chambre. Je l'entrouvris un peu, juste un tout petit peu, de sorte que je pu voir un des grands idiots ouvrir la porte de la chambre de mon voisin sans même attendre qu'il ne leur ouvre. Je devinai qu'il s'avançait vers le lit pour aller chercher Michael, et j'avais d'ailleurs bien raison. Il revint en traînant sans mal sur son épaule le jeune homme, enroulé dans les couvertures du lit, immobilisé. Je fronçai quelques peu les sourcils en entendant les rires des garçons. Ils prirent la direction du sous-sol, et je sortis discrètement de ma chambre, car un surveillant arrivait au bout du corridor. Je suivis donc la trace des garçons, et une fois que le surveillant regarda ailleurs, je me glissai par la porte qui donnait sur les escaliers menant au sous-sol. J'avais beau descendre sur la pointe des pieds, l'une des marches craqua, ce qui attira l'attention de l'un des garçons, qui vint jeter un coup d'oeil. Il lâcha alors:

- Tiens tiens, si c'est pas Jared qui vient nous faire une visite !

Je sautai en bas des dernières marches et m'avançai dans le sous-sol, cognant mon poing contre celui de quelques gars, une expression indéchiffrable sur le visage. Je posai alors les yeux sur leur proie, au sol, sans défense devant cette bande de gars. Je m'accroupis à ses côtés en plantant mon regard dans les siens. Je murmurai alors, assez bas pour que seul lui puisse l'entendre:

- Je t'avais prévenu, pourtant.

Je me redressai et allai m'asseoir sur un divan dans le fond de la pièce, croisant les bras et attendant sans rien dire de voir le déroulement de la situation.

J'entendis des rire gras, et des coups sur ma porte. Je ferma les yeux, croyant à des illusions... jusqu'à ce que ma porte s'ouvrit à la voler, une bande de garçons tous à peut près de mon âge rentrant dans ma chambre. L'un deux ne se gêna pas pour me soulever de mon lit. Je me débattis lui tirant les cheveux, lui donnant des coups, mais il ne semblait rien sentir, riant. Je lâcha prise, voyant que sa n'avait aucun effet que les amuser. Je ne suis pas une bête de scène!! Et que me voulaient-ils?? Qu'on me laisse tranquille merde!!!

Ils m'emportèrent je ne sais où... sur tout car ils avaient bander mes yeux et mis un autre bandeau sur la bouche. Quand ils me découvris les yeux enfin, et les lèvres, je ne pouvais pas plus savoir où nous étions.. un sous sol peut-être!? vue les murs de béton et le manque de fenêtre?

- Tiens tiens, si c'est pas Jared qui vient nous faire une visite !

Je me retourna, voyant mon voisin de chambre... Il s'aprocha de moi, semblant être bien amis avec ces brutes.

- Je t'avais prévenu, pourtant. me dit-il.

Je releva un sourcil.. alors c'était de sa qu'il m'avais avertis... mais je n,avais rien fait pour que l'on me remarque!......
Je releva mon visage, dévisageant tout ceux autour.

-Quel jeux imbécile. lâchais-je.

L'un deux me claquais au visage si durement que j'entendis ma mâchoire craquer, puis il attacha mes chevilles. Ma gorge se serra, sa s'en venait... la peur grimpais en moi, la panique... Je senti des dents dans mon cou et un corps trop proche du miens.. puis quelque chose d'humide traverser mon dos. Un frisson d'horreur me traversa la colonne. J'étais impuissant... complètement désarmer! Je l'entendis cracher... puis la porte se mis à bouger...

Ils se mirent tous à paniquer, comme des bêtes effrayer courant à droite et à gauche, fuyant, me laissa coucher contre le sol les chevilles et les mains attacher... De la chance... peut-être? Peut-être pas...

J'aurais du disparaitre, ne plus vivre, me fusioner avec la Terre...
C'est alors que je sentis quelqu'un s'acharner sur mes baillons... mes pieds puis mes mains et me tirer. Qui? Un de ses salopard? ... impossible. Je me mis à courir, tirer par le gars.. Je leva le regard... C'était Jared... Pourquoi faisait-il sa? Surement pour se sauver son satané cul....?

arriver dans un autre couloir je continua à courir, courir... j'avais tellement froid. Je fini par trébucher, tombant sur les dalles froide, me relevant, continuant tout de même à courir. Il y avait quelques tâches de sang sur le plancher à cause de la petite coupure qu'il m'avais fait...

Je sentis la mains de jared me tier dans un petit endroit clos, un placard refermant la port,e et avant que je n'ai pu crier, il mis sa mains sur ma bouche. Que...

j'étais paniquer, mon cœur se débattais dans ma poitrine...
Je fini par me défaire de sa mains, le regardant..

-Que.. pourquoi tu as fait sa.. chuchotais-je devinant qu'il devais y avoir des gens dehors...