Pv Prince-Kizu ;)

Je caressait son ventre, passant mes mains sur ses hanches...
Mon problème étais que là .... je me sentais brûler, délassant nos lèvre, mon souffle chaud se mêlant au siens.

-On es dehors... ce n'est peut-être pas une place pour sa.....

Je rougis, regardant celui ci dans les yeux.
Nous étions dehors... coller, comme sa... c'était peut-être un peut ... ou pas.... personne ne nous voyaient tout de même!

- Non, certes. Mais personne ne nous verra. Il est tard...

Il n'y avait personne, et il faisait nuit. Dans la pénombre, nous ne serions jamais remarqués. Je n'en avais aucun doutes, ce n'était pas ma première petite escapade à l'extérieur et je m'y étais même caché une fois pour éviter un surveillant qui ne m'avait jamais retrouvé, à cause qu'il faisait plutôt noir et j'étais bien dissimulé. Alors je ne m'inquiétais pas.
Je le tirai un peu plus vers moi pour le rembrasser un peu, souriant.

- T'inquiète pas...

Je rougis.

-Bon ... je te croix... Dis-je l'embrassant.

Je passais mes mains dans son dos, passant mes mains sous son jeans, agrippant ses fesses. Quoi j'en avais envi moi.... c'était bien amusant les lui agripper, ses fesses toutes forte, et pourtant juste un peut rebondies!

Je sentis ses mains, sur mes fesses. J'eus aussitôt un petit sourire coquin, hochant la tête en le regardant dans les yeux.

- Tu veux jouer à ça heiin... Alors on va jouer.

Je soulevai son chandail et le lui fit retirer. Toujours en sentant qu'il s'amusait à aggriper mon derrière, je descendis ma langue sur son torse, léchant les muscles et faisant le contour de ses pectoraux avec ma langue, le mordillant aussi un peu.

Durant qu'il retirais mon chandail et descendait, mes mains glissèrent de ses fesses à son dos, au fur et à mesure qu'il descendait. Je frissonnais sous les caresses de sa langue. Je continuait à tirer de chandail, l'obligeant ainsi à devoir le retirer s'il voulait continuer son ascension. Mais je ne voulais pas que sa bouche s'enfuit loin de la mienne, tel que je pris son visage entre mes mains, le tirant vers moi, et l'embrassant, infiltrant ma langue entre ses lèvres. Je m'agrippais à ses hanches, caressant cet jolie ligne en V juste sur ses hanche.

J'acceptai d'enlever mon chandail, le passant par-dessus ma tête et allant ensuite embrasser Michael. Il me tirait vers lui, mêlant nos langues dans un baiser profond, langoureux. Je le laissais en même temps me caresser, commençant à devenir un peu plus excité sous ses caresses. C'était bon de sentir ses doigts sur ma peau.

- Hmmm...

Je fis moi-même glisser mes doigts sous son pantalon avec douceur.

Je tremblais, sentant ses mains s'infiltrer dans mon pantalon. Je rentrais le ventre par réflexe comme pour lui donner plus de place. Je me sentais brûler, oubliant complètement que nous étions comme sa dehors, dans l'herbe. Pour l'instant tout ce qui complait étais ses mains sur ma peau, et son corps chaud contre le miens.

Je finis par détacher son pantalon et le baisser un peu pour me faire plus de place, car c'était un peu coincé même s'il rentrait le ventre. Je caressai alors son bas-ventre, par-dessus le boxer, passant mes doigts sur lui. Mes doigts s'infiltrèrent sous le sous-vêtement, caressèrent directement sa peau. Et enfin, je baissai son caleçon avec mes dents pour aller m'attaquer à son membre.

Je sentis ses mains sur mon caleçons que déjà je sentis une onde passer dans mon corps, brûlant mes nervure. Je passais mes mains dans ses cheveux, caressant son cou. Dès qu'il baissa mon boxeur de ses dents, je sentis la brise froide souffler sur cet partie de mon corps... c'était assez étrange... Mon coeur battais la chamade dans ma cage thoracique.

Je souris en le voyant, c'est vrai que ça devait faire une drôle de sensation avec le vent frais, et aussi carrément de faire ça en plein air... Mais bon moi j'aimais ça. C'était excitant. La sensation qu'on était là à la vue de quiconque qui passerait... Hum oui, bon. Penchants exhibisionnistes ? Peut-être bien... ^^"
Je commençai à passer doucement ma langue sur lui. D'abord sur son bas-ventre, puis je concentrai ensuite mes coups de langue sur son membre, y laissant des traces de salive et soufflant ensuite dessus. Ça devait être encore plus froid, avec la petite brise en plus.

Je sentis sa langue sur mon bas ventre, puis sur mon membre tendis qu'il soufflait dessus. c'était froid, et étrangement excitant. Agripper à ses cheveux, je poussais un peut sa nuque, hâtif.
Vraiment ce gars me ferais faire n'importe quoi! Moi qui étais vierge avant d'arriver ici... il m'as de un, dévierger, de deux, emmener dans une orgie, et là let's go on s'amuse dans les champs....bon les champs c'est relatif! C'ets plus dans l'herbe mais bon....

(Haha xDD "Et là let's go, on s'amuse dans les champs" xD)

- Je crois comprendre que tu veux que je me dépêche...

Je ris un peu et me penchai sur lui. Il appuyait sur ma nuque, et j'acceptai de lui procurer cette délivrance, le prenant finalement en bouche et m'appliquant à lui donner ce qu'il désirait. Mes mains enserraient ses cuisses, et je continuai ainsi jusqu'à ce que l'air me manque. Je le lâchai alors, reprenant mon souffle pendant que le vent, qui s'était un peu plus levé, venant lui causer de doux frissons. Passer de chaud à froid comme ça... Puis je retournai m'en occuper. Quand j'y repensais... Je lui avais vraiment fait faire des trucs inimaginables, à ce gars-là ! Et dire qu'il était puceau à son arrivée...

(c'est à ce moment qu'il faut chanter '' dans les boiiiisss oiiiaaaaaa y a tout s'qui faut pour être heureux!'' LMAO)

Dès que je sentis sa bouche enserrer mon membre, j'eu un gémissement, pesant sur sa tête...

-gnahh...

Je le sentait s'affaisser dessus, jusqu'à ce qu'il se relève, reprenant son souffle. Le vent froid qui s'était lever me donna un tel frisson...

-hey... mais....

Je n'eu pas le temps de finir de me plaindre qu'il recommença...

(XDD)

Je continuai ainsi quelques instants, puis arrêtai pour à la place utiliser ma main. Enfin, peu de temps après, je le lâchai complètement. Je défis alors la ceinture de mon pantalon, baissant celui-ci en même temps que mon boxer. Une fois le derrière à découvert, je tournai dos à Michael, à quattres pattes, lui jetant un coup d'oeil par-dessus mon épaule. Je n'avais pas besoin de dire quoi que ce soit. Ma position était des plus éloquentes, il devait bien comprendre ce que j'attendais de lui.

Le voyant faire j'eu un petit rire, toujours aussi expressif!
Je me levais, passant rapidement mes mains dans mon dos, pour balayer les brin d'herbes, puis je m'aprochais, passant ma mains sur ses fesses, pour suivre la courbe, l'infiltrant dans le pantalon, et caressant sa hanche et l'intérieur de sa cuisse. Je passais alors deux doigts en lui, tirant son chandail avec mes dents, pour poser des baiser partout le long de sa collone. J'allais toucher un peut ce points précis en lui, celui qui le faisait gémir.

Je me cambrai sous ses doigts qui s'étaient infiltrés en moi et allaient toucher ce point si sensible. Ce fut d'abord un soupir qui m'échappa. Ses lèvres se promenant dans mon dos me faisaient un bien fou aussi. C'était doux et chaud. J'adorais. Mais j'adorais plus spécialement le mouvement de ses doigts. Après quelques fois à titiller, taquiner ce point précis, ma respiration se fit plus rapide et je perdis rapidement tous mes moyens. Je me laissai aller à gémir, c'était trop bon, surtout là, juste là. Ouiii... Je contractais un peu, serrant les fesses sur ses doigts, les retenant un peu prisonniers en moi et gémissant plus fort.

Je le vis se cambré, gémir, resserrant ses muscles sur mes doigts. C'est alors que je les retira, un moment, les essuyant dans l'herbe. Je voulais le laisser langui encore un peut, passant mes mains sur son torse, pinçant gentilment ses mamelons. Après un court moment, je redescendit mes mains, pour lui agripper les hanches, et rentré en lui, lui mordant le muscle du cou par la même occasion, moi même un peut trop exciter.

Je m'agrippais au gazon, serrant des touffes d'herbe dans mes mains pour avoir un certain appuis. C'était trop bon. Trooop trop. Je ne pouvais me retenir de gémir et hurler, haletant. Mon souffle était rapide, saccadé. Trop tot, il retira ses doigts. Je m'agitai un peu, geignant, n'aimant pas sa décision. Je tentai de glisser mes doigts derrière moi, d'atteindre mes fesses. J'allais m'arranger avec mes propres doigts ! Sauf que des pincements sur mes mamelons me firent sursauter un peu avec des frissons énormes. Raaaaah oouiii !!

- Mich... Michaeeel...

Explosion de sensations !! Il venait de me prendre avec une certaine brutalité, et je n'avais pu retenir mon cri. Je ne me souvenais pas de la dernière fois que j'avais été aussi excité. C'était d'une puissance incroyable que je n'avais pas connue souvent. Et Michael avait réussit à me mener à un tel plaisir si aisément !

Je l'entendit gémis, mon corps brûlant contre lui. Je pris un moment avant de commencer des mouvement fort mais lent, continuant plus fort, plus rapide. Je m'accrochait à ses hanches, y allant du plus profond que je pouvais, embrassant son dos, caressant doucement sa peau, la griffant un peut.
C'était chaud, doux, animale, brûlant, j'avais l'impression de me brûler le corps au complet. De petit râles sortaient d'entre mes lèvres, des grognement sourd.

J'avais le corps entier complètement brûlant, totalement en contraste avec le léger vent frais de la nuit, qui venait chatouiller mon corps nu et m'occasionner quelques frissons. Je me cambrais à l'occasion sous ses coups de reins, j'essayais de l'attirer le plus profond possible en moi, je le voulais pour moi, tout en entier. Je gémissais, la voix rauque, manquant à parfois un peu de souffle ce qui créait de drôles de sons jouissifs. On sentait bien que j'aimais ça. Que j'adorais, même. Plus rien autour n'importait, je ne voyais plus rien, ne sentait plus rien excepté Michael en moi, et ses mains tantôt si douces, caressantes, tantôt griffant ma peau.

J'y allais de plus en plus vite, prenant ses cheveux, les tirant un peut, mordant la peau de son dos, la lichant. Je m'accrochais à ses cuisses, le vent froid passant entre nous sur nos peau. Je ne voulais que lui, me sentant tout en lui, faisant des mouvements rapides, dur, fort. J'avais du mal à me retenir, des râles et des grognements sortant d'entre mes lèvres. Son corps, sa peau légèrement basané douce sous mes doigts, ses gémissements, et les petits sons qu'il faisait quand il manquais d'air... Tout sa étais à moi, entre mes mains, contre moi.
Je sentis une vague de plaisir m'envahir, mon corps tremblant un peut, quand je fini par venir en lui, lâchant un dernier grognement sourd.

J'étais à lui, j'étais sa possession. Oui, il me possédait en entier, et je m'offrais à lui, m'abandonnant complètement au plaisir qu'il me procurait. Je n'arrivais plus à penser correctement, j'avais l'esprit embrumé, confus, un brouillard créé par le plaisir obstruait tout et me rendait seulement apte à grogner et me plaindre. Exprimer mon contentement de diverses façons, en mouvant les hanches en rythme avec lui, décuplant les sensations. Il était plus rapide, plus dur, c'était plus que ce que je pouvais endurer. Je n'allais pas tarder à venir, à ce rythme-là.
Lorsqu'il se vida en moi, je m'effondrai à moitié, me retenant avec mes avants-bras posés par terre, venant sur mon torse et dans le gazon. Haletant, je cherchai à reprendre mon souffle, m'affaissant dans l'herbe. Woooah !

Lorsqu'il affaissait dans le gazon, Je me couchais à côté de lui, passant mes bras autour de lui, le serrant contre moi. J'avais tellement chaud que l'air ne me faisait que du bien. J'halletait encore un peut, essouffler.

-Je t'aime... murmurais-je l'embrassant sur l'épaule.

Demains.. Demains je partirais.. et maintenant je voulais rester avec lui...

(si tu veux on peut faire un skip de temps!? )

Je fermai les yeux, savourant le contact de son corps contre le mien, le vent soufflant autour de nous, douce brise nocturne sur nos corps nus. Dire qu'on avait vraiment fait ça en plein air... ^^

- ... Je t'aime aussi.

(Ouaiis bien sûr ! Combien de temps ??)

(5 ans pourquoi pas XD 22 ans c'est une belle age!?)

J'ouvris les yeux, me levant un peut, lui souriant.

-Il faudrait peut-être y aller.. retourner à l'intérieur!

Je commençais maintenant à vraiment sentir la fraicheur de l'extérieur... après tout il faisait tellement frais! et je devais pacter mes affaires.. même si je n'en avais pas envi!