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Japon… Cinq ans suivant la Troisième Guerre Mondiale

La troisième division…L’événement le plus marquant de l’histoire de mon pays, le plus dévastateur aussi. Le Japon d’autre fois n’existe plus, toute valeur morale, allégresse, réduite en poussière. Mon pays, n’est plus un pays, il n’est que terrain de jeu, désormais divisé en deux, grouillant de criminels, de meurtres, de soif de pouvoir et d’argent. Un lieu de délire dans lequel il nous y somme prisonnier, dans lequel nous devons nous battre, nous entretuer pour survire. Un cauchemar… Dont nous ne pouvons pas se réveiller… Dont la fuite est impossible…

Je n’ai pas choisi d’être ici, ni de devenir ce que je suis, c’est le destin qui en a décidé ainsi. J’ai quitté mon pays lors de la guerre, convaincu d’y retourner un jour, de revivre en ces lieux, l’endroit de mes si chères racines. Mais les nouvelles diffusés furent des plus mauvaises, que je voyais l’état du Japon dépérir de jour en jour, jusqu’à devenir le pire des scénarios que mon imagination n’ait pu créer. Les problèmes se succédèrent, la situation devant de plus en plus incontrôlable pour les dirigeants du pays. Puis, plus jamais nous eûmes entendu parler du Japon.

Du moins, tel était le cas jusqu’à ce que je reçoive ce mystérieux appel. Un numéro privé, une voix qui m’était peu familière, demandant à me rencontrer le plus tôt possible. Cette mauvaise impression… J’aurais dû lui porter plus attention. Mais j’avais accepté, dans toute mon innocence et curiosité du moment. Cette réunion se résuma à une sorte embuscade, tendu par un groupe qui m’était inconnu, dont leur but était d’éliminer l’être à la tête de cette industrie, de ce jeu dont j’ignorais l’existence ce jour-là. Ils étaient à la recherche de personnes ayant le meilleur potentiel pour effectuer cette tâche, passer à travers le jeu et réussir le combat ultime, ayant tous cet espoir de revoir le Japon d’autre fois, en commençant par éliminer le dirigeant. Bien entendu, pour moi, il était hors de question d’y aller, tout ceci me semblais infaisable et particulièrement suicidaire. Moi qui n’avait jamais rien tué, et qui refusait de le faire, comment ferait-je pour survivre? Autant m’envoyer à la boucherie! Et puis qu’avais-je de si spécial pour qu’ils me prennent moi ?

J’eu tôt fait d’avoir ma réponse, ceux-ci me mettant sous le nez les faits intéressant qu’ils avaient découvert à mon sujet. Sois un nombre, qu’ils jugèrent impressionnant, de tournois de discipline gagnée. Sans oublier ma maîtrise parfaite de l’arme japonaise; le sabre. À ma grande surprise, j’eu appris qu’ils avaient passé un certain temps à m’observer, et que cette attaque nocturne d’il y a quelques jours, lors de mon retour tardif de collège, n’était nul autre que leur œuvre, qu’un test que j’avais réussi à merveille semblait-il.

Et me voici aujourd’hui, prit dans cette galère depuis presque un an, toujours à la recherche des pièces manquantes, des plaques qui offre gloire et argent, à celui qui réussira à battre le dirigeant de ce jeu. Évidemment, je ne suis plus le même qu’autrefois, ayant perdu toute innocence, compassion, toute culpabilité envers mes crimes, mon cœur s’étant durcis au fil des meurtres commis. Ce jeu m’avait complètement changé.

Mais désormais, les choses devinrent un peu plus difficile, une nouvelle règle désormais instauré. Il n’était plus question de combat seul, mais bien de combat en équipe. Chaque joueur aurait désormais un persocom ultra intelligent et informatisé en sa compagnie, soit le combattant lors des duels. Peut-être cela vous semble-il simple, voir même, moins dangereux. Après tout, les participants humains n’ont plus besoin de se battre mais seulement d’assister et de diriger n’est-ce pas? Cependant détrompez-vous, car derrière cette règle se cache une calamité. Car il se trouve que nous, humains, sommes ceux qui subissons les dégâts de nos robots, eut, ne faisant que combattre sans rien ressentir, sans subir les blessures physiques.

Cette règle ne me plait gère, puisque j’ai pu constater au cours des derniers temps, un nombre un peu plus accru de morts suite à ce changement dans le jeu. Et je sus que c’était exactement les vouloir du grand dirigeant. Heureusement ces statistiques ne me touchèrent point. Du moins pour le moment. Car je ne vous le cacherais pas, ces robots me donne plus de fils à retordre que les humains. Ils sont plus dur à battre, à tuer mais je vois tout ceci un peu plus positivement, comme un nouveau défi, comme de nouveaux adversaires plus coriace! Car non, cette histoire de persocoms ne me concernait pas tout à fait. Certes, un m’en fut attribué mais rien ne m’obligea à le garder en vie. Ce n’était marqué nulle part que nous ne pouvions pas s’en débarasser, et qu’il nous était interdit de combattre sans. Et puis, cet engin m’était plus un handicap qu’une aide. Peut-être étaient-ils mignons avec leur oreilles spéciales mais, il semblait bien que j’étais tombé sur le plus mauvais d’entre eux! Car celui-ci m’avait causé le plus de mal que de bien. Il me fut donc bien aisé de le détruire en mille morceaux. Lui, et tous ceux contre lesquels je m’étais battu. Moi qui ne les appréciait pas particulièrement, je ne pouvais m’empêcher d’avoir cet air si satisfait à la fin de mes combats contre le persocom ennemi.

Mais il semblait bien qu’aujourd’hui, j’aurais à faire à un robot autre que rival. Sauf que je l’ignorais. Pour l’instant, j’étais tapi dans un coin sombre et tranquille, ne cherchant qu’un peu de repos suite à mon dernier combat. Un peu décoiffé par la bataille, je pris le soin d’enlever les deux baguettes qui retenait ma longue chevelure sombre, les ramassant et les coiffant en un simple chignon, remettant les bâtons en place. À peine venais-je de terminer que le vent m’apporta le son lointain du combat. Aussitôt ce bruit familier parcourant mes pavillons, je m’emparai de mes cher sabres et partit en la direction de la bataille. Je ne manquais presque jamais une occasion d’assister à ces spectacles divertissants, parfois la chance me souriant et les deux combattants mourants. Il était bien de ramasser des pièces gratuites de temps à temps, sans avoir besoin de se battre et tuer l’autre pour!

Spoiler:

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Rien de toute cet guerre ne toucha des êtres tel que j'étais, où du mois, je ne me souvenait guerre de tout cela, de ces souvenirs disparues au creux de mon cortex. Tout me semblait floue, intouchable, j'avais beau tendre la mains, pas une seule image, ni une seule mélodie du passé, avait laisser mes doigts en capturer les souvenirs. Qui étais-je, qu'étais-je exactement. Étais-je seulement cet machine créer, destiner à être éternellement soumis à la race humaine, devant être considérer que comme une simple arme de combat? Tel la rapière du mousquetaire, l'épée du chevalier, le fusil du soldat...
La réponse à ma question ne me fut peut-être pas des plus joyeuse...

Dès le premier jour où j'ouvris les yeux, dès l'instant où je pris cet première respiration, hors de cet énorme bassins, je sue que je serais à jamais soumis à leurs règles.

Cet journée là, je me réveilla, ouvrant lentement les yeux, un liquide d'un vert turquoise délaver, m'entourant. J'étais nue, j'étouffait. Je sentait des aiguilles rentré dans ma peau, des tuyaux connectant mon corps à une sorte de machine, par d'étrange prises ressortant de ma peau. ''Qui suis-je...'' Je sentais la panique m'envahir, frappant frénétiquement la vitre jusqu'à ce qu'un homme en sarrau blanc vienne ouvrir la valve de ce qui aurais pus être mon tombeau de verre. Je m'écroulait, sentant les aiguilles sortir lentement et douloureusement de ma chair, nue, assis sur le sol tendis que l'homme ouvrait ma porte.

Les premiers jour j'eu bien du mal à suivre, me laissant mourir, ne voulant rien avaler, vomissant aux premières bouchée de leurs nourritures sécher, sans goût... Je ne voulait ni marcher, ni parler, ni même respirer, que cet question revenant sans cesse dans ma tête ''Qui suis-je''... Cet question étouffait mon désir de vivre, tel qu'il m'eu presque jeter comme les autre raté! Enfin... jusqu'à ce que je me décide à trouver la réponse à cet question! C'est à ce moment, voyant que je me levait enfin que l'on commença mon entrainement au combat! Tout les jours, sur 80% de mes journées, je m’entraînait à me battre, puis j'apprenait la physique, l'astronomie, les mathématique, toutes les langues écrites et parler, et tout cela simplement en me connectant directement à un ordinateur centrale. Les informations défilaient dans mon cerveau mais jamais la réponse à ma question... jamais!

Je fini par simplement conclure que je n'étais qu'une machine, finissant pas ne plus être qu'une machine inconnue, un raté qui avait essayer de se démarquer, maintenant j'étais le numéro 13.
J'étais devenue rapidement l'un des meilleurs, un combattant de première ligne grâce à ma vitesse et à mon agiliter! Doter d'un corps maigres, a la grâce féline, cela me donnait une facilité au combat! Mais cela n'était rien de bin important pour moi, je n'avais aucun but, étant toujours qu'un robot, un tout simple persocom qui serrais attribuer à un humains...

Mais jamais je ne crue que ma vie prendrais cet tournure!
Cet journée où je rencontra Karoku, un ancien combattant de ce qu'ils appelaient la troisième guerre mondiale. Cet homme devins mon ''maitre'', mon protéger. Et dès le premier regard je sue qu'il me serais plus qu'un simple combattant! Mon devoirs était de le protéger, de le sauver de ce monde terrible. Il était mon monde, il était ma vie... Karoku, je lui donnait tout! Absolument tout...

Cela faisait déjà au moins un ans que nous combation ensemble, eschainant les victoires les unes après les autre. Cet fois, l'autre combattant semblait bien plus fort que les autre, le Persocom étant un grand baraquer, habiller d'une sorte de semi armure. Je pensais facilement l'avoir, j'avais l'habitude des grand fort qui ne pensent qu'avec leurs muscles et non pas leurs cerveau.

''Son points faible! Prend le par ses genoux, détruit luis les os, pour l'empêcher de bouger''

Ce qui était bien d'être en duo avec un humain était le fait que tu pouvait te connecter a son circuit neurologique, et ainsi pouvoir parler avec lui par ce que l'on aurait pu appelé ''télépathie''.

Je m'exécuta, fonçant, sautant en roulade tendis que le géant essaya de m'attraper, ouvrant mes mains et attrapant deux couteau à ma ceinture pour les planter dans ses genoux. Ce qui était si violent était le fait que le persocom ne sentait aucune douleurs seulement lors du combat! quand le dôme était créer autour d'eux, mais que tout les coups, l'humains recevait les domages comme s'il les vivaient lui même! Son humains s'écroulait sous le coup, hurlant. Le géant s'écroulant aussi mais ne sentant pas la douleurs. Je grimpait alors sur son dos, sortant deux fils qui étaient enrouler dans une crevasse dans ma peau, que j'ouvris, un compartiment dans mon corps, utilisant le fil pour l'étouffer! On se débâtis quelques secondes ainsi, avant que le géant ne me lance sur le sol, tendis qu'il me donnait un coup dans le ventre, m'écrasant la cage thoracyque. Je me relevait tout de même aisément, bien que maganer... Je lançait un regard vers Karoku qui semblait bien amocher, crachant du sang... Puis je relevais la tête tendis que je sentis une lame traverser mon ventre. Je stoppa un instant, ressentant une étrange sensation dans tous mon corps, mais je ne perdis pas plus ma concentration! même si l'énorme poignard me traversait de bord en bord, je m'en défit, et ouvris ces sortes de laser qui avait été intégrer dans ma mains, le pointant sur le front de l'androïde, et lui explosant la tête, celle si n'étant alors plus qu'un tas de fils, de puces électroniques, et de métal, briser.... mon arme d'urgence...

J'avais gagner!! J'eu alors un grand sourire, ma peau se régénérant à une vitesse accrue!
Mais quand je me retourna, je sentis comme une sorte de seau d'eau glacer tomber sur moi... En fait ce fut bien pire... mon monde venait de s'écrouler...

-KAROKU!!!!! M'écriais-je.

Je sautait sur le corps inerte de l'ancien soldat, sentant une étrange chose envahir mes yeux. Quelque chose qui ne devais pas y être... J'enfouis mon visage dans son cou, me retenant à son chandail, l'eau coulant de mes yeux. Il ne pouvais partir, il ne pouvais disparaître... son corps étais recouverts de tout ce rouge, tâchant mes vêtements de ce liquide visqueux... Son ventre était ouvert... un Androïde comme moi ne mourait que si son ordinateur principale, sois sa tête, était briser entièrement... Mais un humains... c'était si fragile...

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Je n’arrivai point trop tard, heureusement juste au bon moment, la bataille ayant toujours lieu. Je m’arrangeai pour ne pas me faire repérer, me plaçant en hauteur, sur un petit toit délabré. J’observais le combat de loin un air totalement divertir d’accrocher sur mon visage. Je devais me l’avouer que je n’avais pas vue un duel aussi divertissant depuis quelques temps. Deux parfait contraire qui se battait; un grand colosse et un maigrelet. Je ne me fiais point à ces apparences, me contentant seulement d’observer la bataille, sans plus. Après tout, il n’y avait pas que cela qui m’intéressait! Mais bien ce pourquoi ces deux hommes se combattait; les pièces. Nous étions tous ici pour cette même raison n’est-ce pas? Alors oui, ce petit objet à l’apparence bien inutile occupait souvent nos esprits.

Pour l’instant, c’est sur cette petit chose que mes pensées se concentrèrent mais à peine quelques minutes plus tard, j’eu tôt fait de remarquer que les choses se corsait pour le duel. Peut-être aurais-je de la chance aujourd’hui? Enfin, laisser-moi vous dire que je ne pensais plus du tout à ces dog tags, désormais concentré sur le spectacle, bien plus attentivement. Je ne bougeais pas d’un poil, seul mes iris passaient d’un endroit à un autre, suivant les mouvements des persocoms. Le plus maigre eut réussi un bien joli coup, je devais me l’avouer, je me surpris moi-même à trouver que celui-ci semblait bien savoir se battre! Moi qui ne les aimais pas particulièrement… Penser un compliment à leur égard était des plus rares. Je crois même que c’était bien la première fois que mes songes osaient penser une chose pareille! Mais malheureusement, j’eu tôt fait de retirer tout compliment à son égard, voyant la ridicule erreur qu’il venait de faire…

Règle numéro un, ne JAMAIS dériver son attention de son adversaire. Ne serait-ce qu’une fraction de seconde. Car cette simple fraction, pourrait vous couter la vie, ou vous blesser grièvement. Et j’en avais la magnifique preuve sous mes yeux! Lui, le robot, ne l’avait pas vu. Du moins pas maintenant. Mais ce détournement d’attention venait de couter la vie à son cher maître. Décidément, il semblait bien que ce robot était tout aussi stupide que celui m’avait été attribué. Le voilà tout sourire… Face à sa dite victoire. Peut-être avait-il gagné, mais il avait tout aussi bien perdu. Perdu l’être qui lui semblait si cher.

Enfin non, j’en étais persuadé maintenant, entendant ce cri emplis de désespoir, le persocom se ruant sur le corps mort de son maître. Je portai une attention toute particulière aux alentours, ne détectant aucune présence humaine autre que moi. Je n’hésitai point avant de sortir de ma cachette, atterrissant en douceur au sol, marchant tranquillement vers le lieu de du combat terminé. J’observai le premier corps, dont la mort semblait provenir de sa tête, son cerveau ayant explosé, quelques morceaux ressortant par ses oreilles. Toujours sans me préoccuper du pleurnichard, car oui c’est ainsi que ma tête s’amusa à le qualifier, je m’emparai de son sabre, l’utilisant pour récupérer les pièces tous attachés par un collier improvisé. Je ne pris point la peine de les regarder, de voir si ma cueillette était bonne. Je me dirigeais plutôt vers l’androïde, lui accordant désormais un peu plus d’attention. Mon esprit s’amusa à s’imaginer quel sort le destin préservait pour cet objet né pour servir l’espèce humaine. Peut-être allait-il être récupéré? Ou bien tout simplement tué? Peu importe le cas, mon aversion pour les persocoms ne put s’empêcher d’avoir un bref rire face à cette scène. Je n’aurais jamais cru qu’un robot avait des sentiments…. Ce n’était pas plutôt le contraire? L’humain qui s’attachait désespérément à sa machine? Définitivement ce n’était peut-être pas un persocom si ordinaire… Mais tout de même, je n’allais pas montrer une quelconque compassion pour celui-ci!

-C’est entièrement de ta faute s’il est mort…

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Épris de ma folie, de mon indignation, de ma terreur, toutes ces étranges pensées qui affluaient en mon cerveau pour une raison quelconque, une raison que j'ignorait! Je passait lentement mes dogts sur ses yeux. Je n'avais plus rien, plus de raison de me battre ou de rester dans cet enfer... Plus de question à trouver, rien à m’accrocher, quand j'entendis une voix... une phrase qui eu le don de m'irriter!

-C’est entièrement de ta faute s’il est mort…

Je relevais lentement mes yeux, tremblant, le sang de mon maître tâchant mon visage, un sourire un peut fou s'étirant sur mes lèvres.

-TA GUEULE CRÉTIN!!! hurlais-je.

Je levais la mains, ouvrant encore l'espèce de laser que j'avais au creux de ma paume, tirant une de mes munitions vers celui ci, mais l'autre esquivant (et je continue a faire jouer ton perso! car j'imagine que cool comme il est il aurais esquiver) de manière fluide. Je me levais, allant vers lui rapidement, le regardant dans les yeux, sortant mes couteaux.

-Donne moi mes avoirs! Sale voleur! C'est pas en volant les Tag sur les cadavres que tu réussiras de façon digne le tournois!!!

N'ayant plus de raison de vivre, je me foutait complètement de mourir, ou de vivre... Je me foutait de tuer, ou de tout ce qu'il y avait autour! J'avais simplement besoins de me battre, me défouler... sortir toute cet rage qui grondait en moi!!!! Vomir la haine qui bouillait en mon sang, faisait palpiter les fonctions de mon disque dur! Si ce n'était que sa, peut-être ferais-je comme les autre machine, et je surchaufferais, m'écroulerais à force de trop penser, mourais à force d'être user... ?

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Pourquoi riais-je de manière si amusé à son hurlement? Et bien parce que je trouvais ça drôle c’est tout. De voir cet androïde dans un état aussi troublé, emplis de fureur, de tristesse, etc… Il faut bien croire que ce petit corps contenait à lui seul toute les émotions les plus négatives, et les vivaient tous en ce même instant. C’était plutôt incroyable. La plus part des persocom que j’avais eu le plaisir de tuer n’avait jamais démontré autant d’affection pour leur maître, autant d’attachement tout court en fait. S’en était presque pathétique.

Mais mes pensées furent coupées court par cette main se tendant en ma direction. Bien entendu, je l’esquivai sans grande difficulté! Ce coup était bien prévisible ma foie. Tout comme son prochain mouvement, celui-ci aveuglé par la rage et fonçant droit sur moi. Encore une fois, aucune chance de m’attraper mon petit bonhomme. Car j’effectuai un magnifique saut périlleux, celui-ci avançant vers le vide tandis que j’avais désormais son dos à la vue. Était-ce mon pied qui venait tout juste d’atterrir sur son derrière? Et bien oui! Et je ne me gênai pas pour y donner assez de force dans celui-ci pour qu’il en tombe ou du moins en perdre l’équilibre. Ce qui me fit rire d’autant plus! Cela devait être tout de même bien humiliant pour lui j’ose imaginé!

-Oh allez calme-toi… Ce n’est pas comme si tu en avais de besoin… Je te rappel qu’il faut être un humain pour le combat ultime. Alors je ne vois pas en quoi ces Tags te seraient utile… Tu ne vivras certainement plus encore longtemps de toute façon…

Surtout s’il continuait à se battre aussi aveuglément… Sans tactique, ni rien d’autre que la colère pour le guider, il n’avait aucune chance contre moi. Règle numéro deux, si il y avait bien une chose que nous ne devions pas avoir ici, c’était bien des émotions. Elles nous troublent, nous font manquer de concentration, de tactiques. Lorsque nous ressentons la colère ou la vengeance nous ne passons pas à la meilleur manière de nous y prendre et seulement de tuer notre adversaire peu importe la manière. Ce qui expliqua ce pourquoi j’adorais provoquer mes opposant. C’était génial de les voir si colérique, qu’ils ne se rendaient même pas compte de leur vulnérabilité lorsqu’il finissait par être aveuglé par leur frustration! Que de divertissement!

Probablement que lors de ma créations, lors de l'enregistrement de son disque dur, les chercheurs par mégardes avaient un peut trop remplis sa partie émotionnel, celle qu'il mettaient juste assez remplis pour faire croire à son humains, que son androïde lui était assez réceptif pour qu'il s'y attache! La belle arnaque... Mais je connaissaient assez mon système pour savoir que j'était plus le genre aveugle, sans tactique, à foncé au lieux de penser en premier... j'aurais presque pu dire ''guider par mon instinct'' ... si je n'avais pas été créer que de boulons et de semblant de chair humaine...

Je le vis exécuter son saut, que je douta presque de s'il était humains n'ayant vue que des humains donner des ordres sans jamais vraiment se battre! Mais Karoku aussi savait faire ce genre de choses... Mais je le perdit de vue.... soudainement sentant un pied me faire tomber sur le sol que j'agitait les bras en rond, avant de tomber face première au sol, les fesses dans les air..... LA HONTE!!

Je m'assis rapidement sur le sol, les joues rougies par la colère, la peine, et la honte, gonflant un peut les joues, grognant. Mes drôles d'oreilles bougeant un peut comme les oreilles d'un chats.

-CE N'EST PAS CAR J'SUIS PAS HUMAINS QUE JE NE PEUT PAS GAGNER!!!

Je me levais rapidement, mes cheveux d'un bleu électrique mi long ébouriffer, volaient un peut au vent. Je vais peut-être finir par me décrire physiquement! Après tout, sans un visuel c'est un peut dur de tout s'imaginer! Dans mes cheveux de leurs couleurs bien peut naturelle, j'avais deux mèches plus longes à l'avent, et un petit toupet au dessus de mes yeux d'un violet brillant. J'avais qui ressortaient de sur ma tête, des sortes d'oreilles de chat électriques. J'avais ce genre d'uniformes que les perso comportaient, ces habits informatiser pour pouvoir améliorer nos compétences.

J'avençait, frustré vers l'humains.

-JE PEUT GAGNER CE TOURNOIS!!! MÊME SANS HUMAINS!!! JE NE MOURAIS QU'APRÈS!!

C'était du véritable courage aveugle! De la témérité mal placer. Je n'avais pas calculer la force de mon adversaire, ni même rien prévue, habituer qu'à obéir sans réfléchir...

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Oh mais quelle jolie chute! Non vraiment magnifique. Face première et derrière dans les airs… Comment aurait-je pu retenir mon rire si amusé? Cela me semblait bien impossible alors je ne me gênai pas pour rire! Effectivement, c’était très humiliant. Juste à voir son air, son visage si rouge. S’il avait été un humaine, je pari qu’il aurait eu cette petit veine de sortit sur son front! Mais malgré cette expression si colérique, je me surpris moi-même à le trouver… Mignon! C’est vrai quoi, je vous l’avais bien dit que je trouvais ces petites oreilles adorables, sauf que ce persocom avait le don de bien les utiliser pour les rendre encore plus mignonne.

Enfin… Vous aurez deviné qu’il ne me faisait pas peur du tout. Et qu’il ne me semblait en aucun cas crédible avec ses crises, à crier. Et le revoilà partit, marchant comme une petite femme frustré en ma direction. Ben oui, c’était la comparaison qui m’était venu en tête, et qui me fit d’ailleurs bien sourire.

Mais trêve de plaisanterie, car je devais m’occuper d’un robot enragé, qui semblait bien ne pas vouloir comprendre qu’il n’avait aucune chance d’arriver à la fin du tournois. Et surtout, qu’il refusait d’entendre le fait qu’il ne pourrait pas se battre contre l’homme à la tête du jeu, que ce combat se faisait d’humain à humain, sans l’aide de rien, aucun robot quelconque. Et c’était parfait ainsi. Enfin… Je pouvais toujours le laisser croire ce qu’il voulait bien, de toute manière, je continuais de penser que sa vie ne durerais pas jusqu’à la fin du tournois. Et certainement allai-je m’occuper personnellement de son cas. Car celui-ci semblait bien vouloir s’occuper du mien, et récupéré ces les Tags que je lui avais sois disant volé.

Je n’eus d’autre choix que de sortir mes bébés adorés, soit mes sabres, les sortant de leurs étuis dans mon dos. J’observai l’androïde venir en ma direction, à travers mes yeux sombres, en forme d’amande. Puis, j’eus un air de défi, que je disparu de nouveau, effectuant un nouveau saut, rapide, tout juste avant que le robot ne m’ai atteint. Mes sabres me furent grandement utiles, car aussitôt je les plaçai sous la gorge de mon opposant, sachant bien que je n’avais qu’à effectuer un seul coup pour lui couper la tête, et donc, le détruire. Mais je ne le fis point me contentant de le coincer sans plus. J’eus un mouvement de tête, ce désir de déplacer de sur mes yeux, mes mèches folles déposé sur mon visage fin. Puis un nouveau sourire vint aparaître sur le coin de mes lèvres.

-Tu peux gagner ce tournoi…Tu vois bien que tu dis absolument n’importe quoi. Je ne te donne même pas 24 heures…

Puis je le lâchai, n'ayant voulu que prouver qu'il ne tiendrait pas longtemps dans ce jeu, que je rangeai mes sabres. Je cherchai dans mes poches les Tags que je venais de prendre avant le les balancer au pied du persocom, l’air impassible. Certes, c’était une belle perte mais, je sentais que je n’aurais pas la paix tant que je ne lui aurais pas donné ce qu’il voulait. Et puis, je ne tenais pas à tuer tant que cela un robot tout aussi inoffensif et trop émotif. Un autre défectueux peut-être?

Enfin… Il pouvait bien garder ces pièces, si cela pouvait le rendre heureux. De toute manière, il n’y avait pas ce que je cherchai. Que des Tags permettant de les échanger contre quelque chose à boire ou à manger. J’en avais des tonnes alors pas de quoi me battre pour.

-Et maintenant? Que comptes-tu faire hein? Continuer à te battre comme une fille? À foncer dans tout sans réfléchir?

Ben oui, je le bavais, et j’aimais ça! C’est normal, c’est tout à fait mon genre de provoquer après tout!

Un instant je le vis sortir ses sabres, entendant le bruit du métal frotter sur ses fourreaux de cuirs, et l'instant d'après il disparue de mon champs de visions. Je regarda tout autour, n'ayant pas le même champs de détection que les autre persocom. Étant l'un des premier on m'avait dit que je n'était pas aussi bien que les autre, un autre déchet, une invention raté. Karoku m'avait presque ait croire que j'aurais du potentiel... mais non, je n'avais même pas de senser pour détecter ce qui se passait autour de moi, comme les autre androïdes. Le cherchant de tout les côtés, je ne me rendit compte qu'il était dèrière moi qu'au moment où je sentis les lames de ses sabres contre mon cou.

-Tu peux gagner ce tournoi…Tu vois bien que tu dis absolument n’importe quoi. Je ne te donne même pas 24 heures…

Je sentis son souffle contre ma joue, figeant...
Il pouvait me tuer en cet instant... Me tuer! Si je mourais... je disparaîtrais complètement!! Mais... je n'avais plus de raison de vivre, plus de raison d'exister!........

Jene bougeait plus, figer, le sentant se défaire de moi, et entendant le cliquetis des tag sur le sol, leurs musiques se répercutant à mon oreille... Tout semblait vide de sens... qu'est ce que j'était... pourquoi étais-je ici... pourquoi? Pourquoi cet information n'était pas graver dans mon disque dur... Pourquoi je ne trouvait pas... Pourquoi... Devais-je mourir...

-Et maintenant? Que comptes-tu faire hein? Continuer à te battre comme une fille? À foncer dans tout sans réfléchir?

Je relevais lentement mes yeux... Ce n'était pas tant le sarcasme dans sa voix, ou l'ironie de sa phrase qui me rendit tant en colère! Une sorte d'envi folle de tuer me pris, une rage étrange, enivrante. Tout mon corps était envahis par ce sentiment intense, pénétrant, fou! Les pupilles de mes yeux violets se resserraient, tendis que je levait mon regard remplis de détermination.

Je levais le bras, rapidement, actionnant mes cannons, tirant un coup vers lui à la droite de sorte qu'il évite vers la gauche, avant de sauter dans les air. J'étais vif, rapide, attaquant tout de suite d'un coup de talon derrière sa nuque avant d'exécuter une roulade sur le sol pour me rattraper. Je revins rapidement vers lui, lui donnant un coup de poing au dos, avant de sortir de mon autre mains un de mes petit poignard que je gardait attacher à ma cuisse et le pointant vers son dos, appuyant doucement ma lame contre lui.

-Exactement.... Je vais me battre comme une fillette aveugle, et réussir ce combat, coûte que coûte. Dis-je d'une voix presque menaçante...

J'avais du mal à me reconnaître... Moi qui manquait de technique, était si lourdeau... sans Karoku je n'arrivait à rien, pourquoi cet fois y arrivais-je?

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Règle numéro trois…. Ne rien prendre pour acquis. Règle que je venais malheureusement d’oublier d’appliquer… Et me voilà en payant le prix. Dans ma tête, j’avais un robot défectueux et trop émotif devant moi et que donc, je n’avais rien à craindre de lui! J’eus tôt fait de regretter de ne pas lui avoir tranché la tête, voyant ce regard si déterminé…. Et ce coup de canon si rapidement lancé en ma direction! Heureusement, je gardai mes réflexes! Car je pu l’éviter, n’en restant pas moins surpris.

Je m’apprêtai à ressortir mes bébés lorsqu’un coup de talon bien visé vint atterrir sur ma nuque. Je n’eus pas le temps de réagir qu’un poing vint faire craquer ma colonne vertébrale. Bon d’accord, je retire ce que j’ai dit, il n’est peut-être pas aussi faible que je l’eus pensé! À dire vrai, j’avais l’impression d’avoir un tout autre persocom devant moi. Était-ce possible? Un robot doté d’un dédoublement de personnalité peut-être? Définitivement… Les humains ne savent plus quoi inventer!

Je ressenti une lame se poser contre la douleur encore un peu vive dans mon dos, la pointe de l’arme transperçant que bien légèrement ma chair. Mais je ne semblai pas être paniqué plus qu’il le fallait. Je savais contrôler mes émotions et garder mon calme. Ce qui expliqua mon air dénudé de trouble. Je n’allais certainement pas rester là à ne rien faire cependant. Je ne pouvais sortir mes sabres, trop grand mouvement et je risquai de recevoir un coup de poignard. Il me fallait une solution rapide et vive. Un petit déclique ce fit entendre, mon plan B. Deux lames sortirent de mes poignets, vous savez comme à la Assassin’s Creed, que je me retournai la seconde suivante, les plantant dans le cou de mon adversaires. Je lui infligeai un coup de pied pour l’éloigner de moi, en moins de deux. Je préférai faire de même, me reculant, alerte, face à mon adversaire. Je pus alors sortir mes sabres, prêt à combattre.

-Et dans quel but comptes-tu te battre? Tu n’as plus rien à défendre, plus rien à te battre pour, plus rien à gagner. Tu as perdu ton maître, accepte-le. Tu es inutile désormais. Qu’un tas de ferraille ambulant et convaincu qu’il peut gagner ce tournoi alors que c’est faux. Il faut être un humain pour y participer, chose que toi tu n’es pas. Tu n’es qu’une arme. Rien de plus. Et même si tu réussissais à contourner les règles, à participer à cette bataille ultime… Et la gagner. Que ferais-tu? Avec cet argent, avec ce pouvoir? Tu crois vraiment que les humains laisseraient le sort du jeu entre les mains d’un robot? Ouvre-toi les yeux bonhomme…

Bon d’accord j’avais dit qu’il était inutile mais ce n’était pas tout à fait vrai. J’avais eu droit de voir que ce persocom avait du potentiel. Il m’était rare de voir autant de motivation dans le regard d’un androïde. C’était la toute première fois en fait. Et puis, je me rendais compte qu’il pouvait très bien se battre dans être contrôler par un quelconque humain… Il était agile et rapide et peut-être que s’il était pris en charge par une certaine personne….. Hum… Pour mieux se battre et apprendre les bonnes règles de combats, sois éviter les erreurs qu’il avait commises au court de son dernier combat, il pourrait fortement devenir une arme redoutable… Était-ce vraiment moi qui venais de penser cela?!? Mon craquement de colonne à du me causer une bulle d’air dans le cerveau…

Je vis les lames sortir de ses poignets que je fut juste assez rapide pour me reculer, celles si m'effleurant le cou, que je pris entre mes mains, la peau se régénérant sous mes doigts, mais sans que je n'ai eu le temps de rien faire, je sentis un pied s'écraser contre mon thorax venant me faire reculer, presque tomber mais je me rattrapait... J'écoutait tout de même ce qu'il avait à dire, m'énervant plus à chaque mots, serrant les poings.

-Et dans quel but comptes-tu te battre? Tu n’as plus rien à défendre, plus rien à te battre pour, plus rien à gagner. Tu as perdu ton maître, accepte-le. Tu es inutile désormais. Qu’un tas de ferraille ambulant et convaincu qu’il peut gagner ce tournoi alors que c’est faux. Il faut être un humain pour y participer, chose que toi tu n’es pas. Tu n’es qu’une arme. Rien de plus. Et même si tu réussissais à contourner les règles, à participer à cette bataille ultime… Et la gagner. Que ferais-tu? Avec cet argent, avec ce pouvoir? Tu crois vraiment que les humains laisseraient le sort du jeu entre les mains d’un robot? Ouvre-toi les yeux bonhomme…

Je respirait, fermant les yeux un instant pour rattraper cet vague de colère qui me transperçait. Puis j'ouvris les yeux lentement le regardant droit dans ses yeux d'humain.

-Mes yeux sont bel et bien ouvert... Moi ce que je ferais! J'en ai rien à foutre de l'argent, et du pouvoir! Je veux seulement arrêter ce massacre, est ce trop demander!? Vous satanez hommes, passé votre temps à essayer d'être meilleurs les un que les autre, et personne ne ses jamais poser la question, combien de vie ont été sacrifier pour un jeux? Combien de familles démolis... Je suis un robots, et pourtant parfois je me demande si les humains ont vraiment ce que vous appelez ''émotions''

Je rangeait mes couteaux dans mes poches, me mettant devant lui.

-Et tu sais... je pense que tu as autant de chance que moi seul. Un humains seul, même avec quelques modifications corporelles, ne peut atteindre le niveau d'un persocom bien entraîner!! Toi aussi c'est vouer à l'échec...

Je baissa les yeux, un petit sourire sur les lèvres, avant de remonter mon regard violet, à la pupille verticale, haussant un sourcil.

-Et toi, quel est ta raison de t’accrocher à ce rêve chimérique? L'argent?

Invité

Je ne vous le cacherais pas, je fus étonné de cette réponse. Et moi qui croyais que ces robots étaient peu souciant du monde qui les entourait, se foutant bien de toute la misère, du cauchemar que l’on vivait. En voilà un qui avait complètement conscience du massacre de ces lieux. De la soif de pouvoir et d’argent qui l’habitait, des meurtres s’additionnant un peu plus chaque jour. Peut-être avais-je trouvé un persocom un peu plus humain, qui se trouvait cette même idée que moi derrière la tête, sois arrêter ce jeu. Mais certainement pas pour les mêmes raisons par contre.

Je l’observai ranger ses armes, que je fis de même, toujours en soutenant aussi intensément son regard. Je ne dis toujours pas un mot, l’écoutant attentivement, le laissant s’approcher de moi tout en ayant un air autre que prêt à combattre. L’intrigue se lisant dans mes yeux, la compréhension tout aussi bien. Je ne fus point vexé de ses mots, sachant bien qu’au fond de moi-même, je finirais bien par rencontrer un mur. Il se trouvait que j’avais droit à des adversaires bien coriaces, et que les combat se faisait plus ardus et long. Certes, j’étais fort, mais je ne pouvais pas toujours battre la technologie humaine. Ces foutus robots avait été conçu pour surpasser la force humaine. C’était bien pour cette raison que je les détestais tant, ne les voyant que comme des envahisseurs. Je détestais plus particulièrement cette toute dernière règle d’ailleurs, qui les avait intégrés au jeu. Mais je n’y pouvais rien. La seule chose que je pouvais faire était de continuer à m’entrainer pour devenir plus fort, plus résistant face à ces êtres nuisibles.

J’eus un rire à sa question, rien de bien moqueur, juste simple. Mes raisons avaient changé au court de mon séjour ici. Au début, je n’avais aucun rêve, aucune raison de vouloir gagner ce tournoi. Puis plus les jours passèrent, plus je vis toute l’horreur qui y habitait. En tant que japonais, je me refusais de laisser mon pays dans un aussi mauvais état pour toujours, le laisser entre d’horrible main d’un dirigeant qui m’était inconnu. Je voulais défendre mes racines, et mettre fin à tout ceci. Certainement ne verrai-je pas mon pays remis sur pied de sitôt. Je savais que le Japon resterait marqué par ces événements. Mais j’osai espérer que tranquillement mais certainement, la vie reprendrait dans ces lieux…

-Non. Ni l’argent, ni le pouvoir ne sont ma priorité. Je ne souhaite que revoir mon pays dans de meilleurs termes…Qu’il ne soit plus qu’un simple terrain de jeux grouillant de meurtres, de soif de pouvoir et d’argent, sans aucune valeur morale. Je veux que la vie revienne en ces lieux… Que mon pays… Redevienne un vrai pays… Le revoir comme il était avant... Peut-être penseras-tu que je rêve en couleur mais…. Je refuse ne rien faire… De me battre pour le bien de mon pays… Même si je dois y laisser la vie. Tu n’es pas le seul à vouloir cesser ce carnage…

Puis je souris, l’air bien moins menaçant, aucune mauvaise intention se lisant dans mon regard. Seule une petite idée. Que je le veuille ou non, il fallait bien qu’un jour, je m’associe à l’une de ses machines. À une arme dont seul ma tête pouvait contrôler. Je garderais ma haine mais mettrait mon orgueil de côté. Même si cela ne me plaisait gère, je devais trouver un moyen de parvenir à trouver mes pièces manquantes, et de survivre plus longtemps. Espérer réussir à me rendre au tournoi ultime… Peut-être avais-je la solution tout juste devant moi… Je passai d’ailleurs mes doigts contre sa mâchoire en un frôlement, finissant par poser une doigt sous son menton avant de me prononcer.

-Puisque nous avons le même but… Et que tous les deux sommes seuls… Pourquoi ne pas faire équipe? Ainsi… Nous aurions plus de chance de réussir… Mais la question reste que… Accepteras-tu d’avoir un nouveau maître? Dis-je toujours en gardant mon sourire.

Peut-être le destin nous avait-il fait croiser pour que nous menions ensemble ma mission à réussite? Que ce jeu cesse, pour nous permettre de se réveiller de ce cauchemar réel…. J’étais prêt à coopérer, à travailler avec l’espèce dont j’avais ce don si spécial de détester. Si je devais travailler main dans la main avec un persocom pour gagner, je le ferais. Pour le bien de mon pays…

Je baissait un peut ma garde, osant même aussi un petit sourire, trouvant qu'il avait l'air moin menaçant ainsi. Je baissait un peut ma garde, amadouer par ses paroles, me rendant compte que je n'était pas le seul à penser ainsi, avec Karoku... Lui qui m'avait tout montré de la paix, tout montré de l'amour humain, du monde qui vivait en paix avant que le carnage s'instale! Peut-être que lui aussi avait connue cet paix divine.. Moi j'était bien trop jeune pour l'avoir vécue, mon disque dur était tout de même trop récent pour celà!! Les ordinateurs humanoides n'existaient pas à ce moment.

-Puisque nous avons le même but… Et que tous les deux sommes seuls… Pourquoi ne pas faire équipe? Ainsi… Nous aurions plus de chance de réussir… Mais la question reste que… Accepteras-tu d’avoir un nouveau maître?

-QUOI? non.. c'est .. non..

Je regardait son sourire, baissant un peut la tête sur le côté comme un petit chat ignare, reculant d'un pas.
Je ne savait pas si c'était possible... Si c'était même une bonne idée! Habituellement un persocom seul, mourait, tout simplement! Il était inutile sans maitre, sant personne pour faifre fonctioner la machine de guerre... Mais sur tout... Voulais-je trahir Karoku? Cet humains qui avait été tout pour moi. Il m'avais donne rune raison d'être! Mais si je voulait accomplir ce à quoi il s'attendait de moi, ce n'était pas une mauvaise idée... Je ne pouvais me battre seul, et puis ils n'accepteraient jamais un persocom comme gagant! Un objet sans âme ne pourais devenir le nouveau maitre du jeux et gaganer tout l'argent... Alors là jamais! Tout le monde se révolterais.

Je passais une mains sur mon visage, pris dans mes réflexions, finissant par trouver une entente...
Je m'aprochait de celui ci, posant un doigts sur son torse, en le regardant, un sourcil relever, le fixant.

-Tu ne seras pas mon maitre... mais coéquipier!? Sa te vas? Je n'aurais jamais d'autre maitre que Karoku! Mais je dois bien me rendre compte qu'il me faut un humains de mon côté aux mêmes idéaux que moi pour atteindre mon but.

Invité

Mon sourire se fana bien tranquillement, que je le vit se reculer, refuser mon offre. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait. Nous avions les mêmes idées non? Les mêmes sortes de buts et convictions… Mais non, il semblait bien qu’il ne voulait rien savoir de cette collaboration. Je ne comptai pas insister plus, cette simple proposition ayant déjà assez affecté mon orgueil. Et non, je n’allais pas le supplier à genoux! Je ne retrouvai que mon air fort impassible, retrouvant mon air un peu plus froid et dur. Disons que je n’appréciai gère le refus… Je soupirai alors, laissant mon bras retomber, avec cette intention de ne pas rester plus longtemps.

Puis je senti ce doigt, se déposer contre mon torse, se regard venir revisiter mes iris, et cette espace de nouveau franchit. Était-il en train de changer d’idée? Ou tout simplement préparer une prochaine attaque…On ne sait jamais avec ces choses… Elles ne sont pas si faciles à déchiffrer après tout. Mais heureusement je n’avais pas à m’en faire, car ce persocom me proposa une autre entente. Qui eut le don de m’arracher une petite mimique un peu moqueuse.

Il voulait que je le traite comme un égal… Il se prenait pour un humain peut-être… Non. Le mot coéquipier ne me plaisait gère. Et son entêtement non plus. Je ne pu faire autrement que de lever mes yeux aux cieux, lorsque j’entendis cette simple phrase, comme quoi il n’aurait jamais d’autre maître que le corps mort qui se trouvait en ces lieux. Ah misère… Manquait plus qu’à espérer qui ne l’amène pas partout avec lui hein! Ça finirait par sentir quoi… Enfin… Je finirais bien par trouver le moyen de lui faire oublier cette dépendance effective qu’il avait à l’égard de ce Karoku… Mais peu importe, il n’en restait pas moins que je serais son nouveau maître qu’il le veuille ou non. Car après tout, je serais celui qui le contrôle! Hors de question que je le laisse se battre à sa guise! Alors là jamais…

Pour l’instant, je pourrais toujours lui laisser croire que je serais son…coéquipier… Hum. Tout comme cette conviction que j’allais l’aider à atteindre son but… Si cela pouvait lui faire plaisir… Enfin.

-Hum… Ça me va…. Pour l’instant…

Ben quoi, rien ne m’empêchait de finir par le laisser tomber si jamais il ne faisait pas l’affaire! Ce pourquoi je prononçai ce « Pour l’instant…». Je sortis alors de nouveau mon sabre, me décidant à ramasser les Tags trainant sans me soucier du robot. Cette fois-ci, il ne tenterait pas de me sauter à la gorge parce que je les prenais. Enfin je l’espère bien! Parce que nous faisons… équipe… désormais. Seigneur je déteste ce mot….

Il ne sembla pas plus heureux de ma nouvelle entente mais il accepta tout de même! ''Pour l'instant''!! Ce ''pour l'instant'' me suffisait grandement, je pouvais au moins compter être dans le jeux et me battre encore pour réussir! De plus je savait bien que jamais je ne trouverais un autre avec les mêmes idéaux que je chérissait. Il partis brusquement, que je du courir un peut pour le suivre. Un sourire s'était dessiner sur mon visage, je n'était pas le genre à se laisser abattre.. Enfin je ne voulait plus l'être. Une partie de moi venait de mourir, il manquait quelque chose en moi, j'avais cet impression de douleur... Mais je gardait le sourire. Parfois je n'y comprenait rien. Ma puce qui s'occupait de gérer mes sentiments devait être défectueuse...

-Sa parrait que tu n'as jamais eu de persocom!! Dis-je arrivant à côté.

Je mis mes bras derrière ma tête, relevant un sourcil, et le regardant.

-Tu savais que tant que tu ne seras pas connecter à moi, je ne peut pas obéir à tes... demandes?! Je ne peut pas plus parler avec toi par la pensée tant que tu n'es pas connecter! C'est très utile pour ne pas que l'ennemie sache ta stratégie.

J'avais un petit air arrogant sur le visage, en sachant plus sur les relations entre un persocom et son maître! En quelque part j'avais peur que si je me connectait à lui, au flux neuronale de son cerveau, ce serais un peut comme trahir Karoku! Non... non... Je ne le trahissait pas! Pas tant que je ne me soumettrais pas à lui.

Invité

Je ne compris pas cette réplique, le regardant d’un drôle d’air lorsqu’il arriva à mes côtés. Mais que voulait-il dire? Qu’est-ce qui pouvait bien paraitre tant chez moi pour qu’il devine aussi facilement que je n’étais pas un grand connaisseur en matière de persocom… Outre le fait que je n’en avais pas un avec moi! Mais j’eu tôt fait d’avoir ma réponse apprenant un détail…

J’arrêtai de marcher d’un coup bien sec, cette envie terrible de me cogner la tête contre le mur… Alors il fallait se connecter à son persocom? Pour pouvoir le contrôler, lui donner des ordres mentaux… Et moi qui croyait que j’avais reçu le robot le plus stupide et incompétent, au tout début… Peut-être avais-je la raison du pourquoi il m’avait semblé être aussi nul! Et non, ce détail de connexion m’était totalement inconnu… Ben quoi, comme si j’allais vraiment perdre mon temps à lire une vingtaine de page sur le fonctionnement de cette foutu machine! J’avais autre chose à faire moi bon! Mais je ne changeai pas cette idée de trouver mon tout premier androïde si peu intelligent! Il aurait dû me le dire qu’il fallait nous brancher… Ou un truc du genre! Peut-être aurait-il alors évité de mourir aussi vite! Mais bon, il était bien trop tard malheureusement.

Mais bon, veux, veux pas, je n’avais pas vraiment le choix d’avouer à ce tas de ferraille que non, je n’y connaissais rien en persocom. Car certainement que si je lui aurais dit : « Mais non. Je savais très bien ce détail! » Et bien je serais pris pour le faire alors… Et bien mon cher orgueil, tu devras te mettre de côté pour une deuxième fois aujourd’hui!

-Hum… Non. Je vais être franc avec toi. Je n’y connais rien en matière de robot et etc… Moi j’aime mieux y aller à la façon… traditionnelle si je puis dire ainsi. Homme à homme quoi, avec des armes non électroniques. C’est bien pour cette raison que je n’ai pas de robot avec moi… Comme tu as pu le constater. Mais désormais je n’ai pas vraiment le choix d’avoir une certaine aide… Si je veux passer à travers ce tournoi… Enfin. Tout ça pour dire que tu devras me montrer et m’expliquer comment faire pour… Se connecter? Parce que je n’ai aucune espèce d’idée de comment faire…

Mais quel humains stupide et incompétent! Il ne savait même pas comment se connecter, ni qu'il était primordiale de se connecter, si non comment voulait-il me contrôler, sans sa jamais je ne serais en quelque sorte son arme. Je me mis à rire de lui, sachant que cela allait le frustré. Je riait fort, sans retenue, m'arrêtant plutôt sec, mais avec un grand sourire non retenue sur les lèvres, toujours pour bien le ridiculiser.

-Aller, je te montre, humain. Dit moi seulement.. quel est ton nom?

Je regardait autour, ''scannant'' la rue pour voire s'il y avait de la vie autour.
Je ne pouvait me connecter à découvert car lorsque j'établissait la conection à ses vaisseaux neuronaux, je restait hors service un moment et lui aussi, le temps que la connections s'établissait entièrement, que toutes les informations sois télécharger et enregistré.

-Et... il y a un endroit proche où nous pourrions être seul et en sécurité?

Invité

Ah… Mais tien donc… D’où me venait cette envie meurtrière si subite? Cette espèce de robot… Non vraiment, il faisait tout pour que je veuille le réduire en mille morceaux! Franchement il n’avait aucune manière! Un manque total d’éducation! Rire ainsi, sans aucune retenue, se moquant ouvertement de moi parce que j’ignorai un détail… J’aurais peut-être dû lui mentir… Ou peut-être pas? Car certainement aurai-je eu l’air encore plus ridicule… Je me sentais bien humilié tout d’un coup. Mais heureusement pour moi, personne ne se trouvait dans les parages. Bon c’était décidé, si je parvins à me rendre jusqu’au tournoi ultime, je le tuerais après! Du moins tel était ma pensée du moment.

Je le laissai rire à sa guise, regardant droit devant moi, le regard emplis de haine, les traits de mon visage des plus froids et durs. Je préférai ignorer la question simple, me contenta de marcher, sourcils froncés, poings serrés. Sauf que je pris la peine de répondre à la deuxième, ne me gênant pas pour bien lui démontrer que j’étai peu heureux, à travers mon ton de voix.

-Oui, il y en a un. Aller, je te montre… Tas de ferraille…

Il y avait bel et bien un endroit, à quelques mètres d’ici, là où j’étais presque certain que personne ne s’y trouverait. C’était mon coin bien à moi, pas grand monde n’osant s’y approcher, mis à part les nouveaux qui se croyait supérieur à tout le monde… Les plus forts… Les plus faciles à tuer quoi! Mais bon, ils le méritaient bien à être aussi arrogant…

Enfin bref, nous parvînmes à l’endroit après un moment de marche, soit devant une vielle école en bien mauvais état, vous l’aurez devinez. J’avais réussi à me créer un nom, une belle réputation, assez puissante pour faire de ce grand édifice mon territoire si je puis dire ainsi. Les compétiteurs s’en approchant savaient dans quel danger ils s’embarquaient en venant ici! Mais comme je l’ai dit, c’était souvent des nouveaux, ou encore de vieux rivaux qui voulaient leur revanchent. Car non, je ne les tuais pas tous. Pour ce qui était des autres, de ceux qui étaient saint d’esprits et qui voulaient avoir plus de chance de rester en vie, et bien il ne s’en approchait tout simplement pas!

-C’est ici…

Je le suivis, toujours rieur, sachant que j'avais tapé droit dans son orgueil d'humains, et j'en était plutôt fière, grognant tout de même quand il m'appela tas de ferraille! Je présentait que cet association serais des plus... explosive! Déjà on se piquait un peut pour rien.
Face à l'école, je regardait autour, tout était saccager. Il restait peut de fenêtre, mais il en restait encore quelques une tout de même, la porte d'entrée probablement fermer... Et non! Elle était ouverte! Je pénétrait en ce moment dans l'entre de la bête, enfin de cet humains plutôt bête... mais quel jeux de mot horrible!!!! enfin tout sa pour dire que je rentrait en ce moment dans son territoire, observant autour.

Ce serait parfait, tranquille.
Je me mis alors face à celui ci.

-Bon, sa risque d'être étrange, sa fait aussi un peut mal de que qu'on m'as dit, j'espaire que tu est assez fort pour supporter la douleur! Dis-je en riant un peut, sachant que ce n'était pas si horrible.

Je du me rapprocher de lui, réduisant l'espace qui nous séparaient, le regardant dans les yeux, avant de passé ma mains sur ma nuque.

-Et le câble est plutôt petit.

Je sortie alors de ma nuque, pris dans une petite trappe invisible où mon chiffre était écris, le fil entre mes doigts.

-Ton nom? J'en ai vraiment besoin... pour établir la connections.

Invité

Je l’observai oser faire son premier pas sur… Ouais mon territoire. Pourquoi ai-je toujours une image d’un chien levant sa patte pour uriner partout à ce mot? -_- Enfin c’était juste dans ma tête ça… Et pas important du tout! Là maintenant je devais me concentrer sur le persocom et cette histoire de connexion. Alors je rentrai à mon tour, allant le rejoindre dans le coin le plus tranquille de l’espace.

J’eus un grand manque de réaction à cette nouvelle, ne riant pas le moins du monde. Comme si j’allais paniquer à l’idée de ressentir un peu de douleur… On se calme! J’étais passé par bien des douleurs en venant ici, alors oui, je serais certainement apte à endurer celle qui s’en venait hein… Toujours bien silencieux, je l’observai encore s’approcher de moi, ne pouvant contrôler cet aura que j’avais, lorsqu’il passa sa main sur sa nuque, mettant tous mes sens en garde. On ne sait jamais quel bidule ou machin il pourrait sortir de la hein? Et si ce n’était qu’une attrape pour me tuer? Je ne cesserais d’être sur la défense que lorsque nous serons enfin… Hum… Connecté. Et non, je ne faisais confiance à personne mais à la chose la plus inoffensive qui soit. Ça c’est une autre de mes règles, ne faire confiance à rien, aucun être humain, aucun être électrique… Nada de nada!

Bref, finalement, ce n’était qu’un fil qui sortit, plutôt court je vous l’accorde. Un fil… Hum… Et il comptait le brancher où ce truc? C’est que moi voyez-vous et bien….JE N’AI AUCUNE PRISE SUR MOI! Ah misère… J’adore mon ignorance… Non vraiment… Je n’aimais pas cette idée de fil. Je croyais qu’il allait me scanner ou un truc du genre. Vous voyez un rayon-x… Pas un fil qui allait se brancher je ne sais où sur moi! Mais dans quoi est-ce que je m’étais embarqué…

J’eus un soupir, déposant un ou deux doigts contre ceux du robot, les autres touchant le fil. Je restai un moment à l’observer avant de me décider. Moi qui aurais cru que par le simple fait de montrer mon endroit bien à moi, il aurait su qui j’étais… Enfin. Peut-être que la cloche allait allumer lorsqu’il entendrait mon nom! Et il comprendrait désormais que je n’étais pas n’importe qui, pas qu’un vulgaire participant!

-Daisuke…

Je stoppa un instant, entendant son nom... Je pense l'avoir déjà entendu, mais ces souvenirs avaient du se perdre dans ma mémoire. C'était surement une information bien peut importante, le nom d'un simple pilleur. Il m'arrivait parfois d'oublier, où peut-être que mes fichier se classaient mal en mon cerveau, et cela était encore une information qui avait fini par se perdre. Une autre tare de mon fonctionnement, que les autre persocom n'avaient pas... s'il se rendait compte que j'était plein de défaut, il me tueras probablement, alors autant ne pas en parler. Il n'y avait que Karoku qui m'acceptait aussi nul je puis être.

Je passait alors mes doigts sur ses yeux pour qu'il les fermes, fermant à mon tour mes yeux. Je posait alors le fil sur sa nuque, de petites aiguilles en sortant, et vinrent se planter dans sa nuque. c'est alors que le l'échange de données commençait à se donner.Il y avait une sorte de passe, en fait avant de rentré dans le cerveau humains, nous devions absolument dire son nom : ''Daisuke'' dis-je dans sa tête.

Les informations passaient alors, entre lui et moi, défilant devant mes yeux, emplissant mon être en entier. Il y avait certaines choses que je ne pouvait toucher, telque quelques si brèves images, que je n'osait m'en approcher. Si j'allais dans ses souvenirs il m'en voudrait probablement terriblement, autant éviter de me faire pété la gueule par un humains à bout.. qui de plus peut de contrôler à sa guise! Celà utilisait de ma propre énergie, tel que une fois que j'eu fini de nous connecter, reprenant le fil, je reculait, tombant sur mes genoux. Une autre de mes tares, mon énergie ne se gardait pas aussi longtemps que les nouveaux persocom.

Je relevais alors mes yeux vers lui, à genoux devant celui ci.

''Nous voilà alors connecter, Daisuke... Maintenant c'est en ton pouvoir de me renommer selon tes désirs''

Invité

J’eus tôt fait de comprendre le message en le voyant approcher ses doigts contre mon visage, plus particulièrement vers mes paupières. Je les fermais bien tranquillement, un peu hésitant. C’est que je ne savais toujours pas où il allait mettre ce maudit fil! Sauf que celui-ci se dirigea vers ma nuque, que j’en fronçai des sourcils, totalement emplis d’incompréhension. Du moins jusqu’à ce que je sens les aguilles rentrer dans ma peau bien entendu. J’eus d’ailleurs un petit choc à se contacte, n’appréciant pas plus qu’il ne le fallait de me faire rentrer des petits bouts piquants dans le cou. Bah… Au pire ça ne faisait pas vraiment mal, c’était juste un peu inconfortable.

Mais ce petit agacement ne me fut gère bien important. Désormais, ma tête fut bien occupée, tout juste après avoir entendu la voix du robot résonner dans ma boîte crânienne, prononçant mon nom. C’est fou la tonne de chose étrange qui se passèrent suivant cet instant. Je revoyais quelque souvenir par-ci et par-là, mon cerveau ayant décidé de raviver mes anciennes mémoires. Mais rien de trop personnel, que quelques images me paraissant plus ou moins importante. Heureusement, il n’alla pas fouiller dans mes événements marquant! Car je ne pense pas que j’aurais vraiment apprécié de revivre les moments de ma vie que j’aurais tant aimé oublier…

Enfin. L’échange se termina plus vite que je ne l’aurais cru, ressentant les aiguilles sortir de ma chair, ma nuque désormais libre. J’ouvrais les yeux l’instant suivant, constatant que j’avais un persocom à moitié mort devant moi. Grand connaisseur que j’étais en matière de robot… Il était évident que je savais que son grand manque d’énergie était un défaut!.... Mais non voyons, je dis n’importe quoi. Je n’y connais rien moi, alors j’ignorais que j’avais un engin défectueux devant moi. Peut-être finirais-je par le découvrir un jour…

Bref, bref, bref, je le vis tomber si subitement sur ses genoux, relevant ses iris vers moi. Je me trouvai à aimer cette pose, lui, à genoux devant moi. Oui! Soumet toi à ton nouveau maître! Mwahahaha. Hum… Pardon… Mon amusement mental fut coupé un peu court, lorsque j’entendis la voix résonner encore une fois dans ma tête, à ma grande surprise, me demandant le nouveau nom que je désirais lui donner. Ben oui, j’ignorais ce détail… Comme le fait que l’on pouvait renommer le personcom à sa guise une fois connecté à celui-ci. C’est que voyez-vous, j’aurais bien aimé savoir ce petit détail avant… Juste pour laisser le temps à mon imagination de trouver quelque chose qui sonnait bien… Mais pour l’instant… Rien de bien intelligent ne sortait dans ma tête.

''Hum… Suis-je obligé de te renommer? Comment t’appelais ton ancien maître dit-moi?''

Il pourrait toujours garder son nom que Karoku lui avait donné, s’il avait du goût et que cela sonnait bien, pourquoi ne pas le reprendre? Oh! Et je dois vous avouez que je trouver génial se moyen de communication. Si je n’avais pas de contrôle sur moi-même, je vous dirais que là, maintenant, je serais certainement en train de sourire un peu trop largement… C’était bien ma première expérience de télépathie et j’adorais! Mais ça, je le gardais bien pour moi.

Je le regardait, ne comprenant pas pourquoi il me demandait cela... Je me relevait, les joues un peut rouges comme si j'avais courue énormément, retournant sur mes deux pieds. Je regardait celui ci l'air intriguer.

-Je ... il m’appelait Kiryu, c'était le nom de son enfant... Mais au départ je m’appelait Treize.. Dis-je reprenant ma véritable voix.

Je me retournait, dos à celui ci, ma queux électronique bougeant lentement dans mon dos... (car oui subitement j'ai décider de lui donner une queux de chat en plus de ses oreilles! ) Je m'éloignait observant l'établissement autour de moi, avant de me retourner vers celui ci :

-Heu... dit... sa t'arrive de fait un peut de ménage ici! C'est que sa chlingue!!! Sincèrement dégoûtant.

L’androïde se retourna, finissant par s'asseoir en indien à quelques mètres de l'homme, posant ses coudes sur ses genoux puis sa tête sur ses poings, gonflant adorablement les joues.

-Alors... tu te décide! j'ai pas toute la vie pour avoir un nouveau nom tu voix... si tu ne te décide pas, je ne pourrais ''t'appartenir'' .... et je resterais sans nom Daisuke..

Invité

Treize… Décidément les créateurs de persocom avaient de l’imagination pour nommer leur engin! Et moi qui croyait que je n’avais pas beaucoup d’imagination, et bien je venais d’apprendre qu’il existait pire! Mais heureusement, l’androïde n’aurait pas à subir ma mauvaise imagination, mes mauvaises idées, car il se trouva que ce nom, Kiryu, lui allait bien. Même si cela était bien sentimental et n’allait peut-être pas l’aider à oublier se Karoku, je comptais bien le lui laisser.

Et c’est en plein ce que je m’en allais lui dire, lorsque le chat robotique se plaignait de l’état des lieux. De quoi me faire lever les yeux aux cieux. Non mais vraiment, depuis quand est-ce que ce truc chiale hein? Franchement, je trouvai facilement une raison de plus de penser que ce robot manquait d’intelligence, ou du moins n’était-il pas très réaliste.

-Tu es au courant que l’on vit dans un pays chaotique? Tu ne risques pas de trouver le moindre édifice en bon état ici, et propre encore moins! On vit dans les débris, la poussière, le sang, dans de la pure merde quoi. Accepte-le. Et si ça te dérange tant que cela tu n’as qu’à faire le ménage…

Et oui il avait réussi à me vexer par ses mots. Juger mon endroit aussi vulgairement avait eu le don ne me piquer. Je ne pouvais pas faire de miracle! Ce n’est pas comme si l’on pouvait trouver du Monsieur Net ici hein… Ni rien pour améliorer l’endroit où l’on vivait. Non, que l’essentiel pour survivre. Et non le ménage et la propreté de l’environnement n’en faisait pas vraiment partie.

Mais voilà que ce cher persocom trouva le moyen de me pomper un peu plus, tout à fait impatient et me bousculant pour que je le nomme, agissant de manière tout à fait exécrable. Je l’observais d’un regard dur, un reflet colérique présent dans mon regard.

-Tu garderas ton nom. Kiryu…

Puis je me détournai m’éloignant de cette chose bien énervante. Le toit m’attendait, cet endroit que j’appréciais le plus, qui me permettait d’avoir un panorama tout de même assez vaste sur une partie des environs. Je pris place sur le rebord de l’édifice, n’ayant pas peur des hauteurs. J’avais cet air penseur, accompagné de mes traits froncis par l’agacement. Moi qui étais du genre solitaire, j’en vins à me demander comment j’allais faire pour coopérer avec cette chose… Nous étions bien mal partie pour nous apprécier… Tout d’abord car je détestais naturellement ces robots, puis celui-ci n’aidant pas sa cause avec son attitude un peu trop émotionnelle, presque trop humaine, sans oublier que j’étais tombé sur un androïde qui semblait adorer me piquer, me rendre dans un état ou j’avais envie de le réduire en pièce. Ben non, la patience, je ne connaissais pas cela.

Je savait bien que nous étions dans un monde où la propreté et ce genre de choses n'étaient pas des plus importante, je puis l'avouer! Mais tant qu'à tenir un endroit à sois, ce serais bien pour justement réussis à garder tout en places, armes et bon... Il y avait aussi que quand je me sentait mal alaise, l'androïde avait l'habitude de dire tout à fait n'importe quoi... Une mauvaise manie! Mais bon j'était ainsi..

-Alors vas pour Kiryu... Dis-je croisant les bras, boudant dans mon coins.

Je l'entendis monter des escalier, fixant le mur...
Je passait une mains sur ma poitrine.. J'aurais préférer qu'il me trouve un nouveau nom! En moi je devais effacer le souvenir de la voix de Karoku qui murmurait mon nom, l'oubliant pour graver plutôt la voix désagréable de Daisuke au creux de la carte mémoriel...
Je serrait la mains contre ma poitrine, fronçant les sourcils, me sentant comme envahis par la douleur de son souvenir...

Je devais me laver... j'étais encore imaculer de son sang, du sang de Karoku...
Certain nouveau modèle prenaient une sorte d'huile spéciale pour les laver, question de ne pas abîmer leurs mécanisme, mais étant plus vieux, j'avais été conçut pour aller sous l'eau..

Après un moment je me décida, montant les escalier, ouvrant lentement la porte qui menait au toit... Je regardait à l'extérieur, voyant l'humain assez, l'air plus calme que tout à l'heure, comme essayant de calmer sa rage. J'hésitait à y aller, où non...

Invité

Ce moment de solitude me fut bien coupé après un moment, que je n’eus aucune mal à cerner une nouvelle présence dans les parages. Heureusement pour Kiryu, ce temps me fut assez pour calmer un peu ma rage, sans pour autant la faire disparaître totalement, cependant. Mes traits restèrent les même, mais devinrent un peu plus paisible au fil du temps. Je n’avais aucunement l’intention de lui accorder le moindre regard, ni la moindre attention. Je ne faisais que regarder droit devant sans but précis, le regard un peu dans le vide.

Enfin… J’étais toujours en train de digérer cette petite boule de rage aux creux de mon estomac, préférant rester bien tranquille sans dire le moindre mot. Et pour dire quoi après tout? Certainement que peu importe ce que je dirais, ce tas de ferraille trouverait le moyen de faire remontrer ma colère. C’est vrai quoi, depuis le début de notre rencontre surprise, nous n’avons fait que se piquer mutuellement… Maiiis bon. C’est la vie, on ne peut pas bien s’entendre avec tout objet électrique! Hahaha et non je ne comptai pas dire tout le monde…! Du moins pas dans ce cas-ci!

Un coup de vent plutôt fort vint faire bouger mes mèches folles, amenant avec lui cette odeur de sang séché. La source se trouvait bien près que je devinai qu’elle provenait certainement d’un certain persocom fraîchement sortit du champ de bataille… Ce n’est pas que cette odeur me déplaisait mais je n’étais pas obliger de l’endurer non plus… Alors je tournai enfin ma tête vers l’être hésitant non loin, un peu caché par la porte. Mon air désormais dénudé de rage l’observait que je me souvins ce pourquoi ce sang était resté contre sa peau, lorsqu’il se fut penché sur Karoku… Je retournai alors mon attention devant moi, ne lui accordant pas plus longtemps mon attention.

-Même si ce sang est significatif pour toi, il serait peut-être plus sage et préférable que tu t’en débarrasse… Tu attires l’attention avec cette odeur…

C’était bien connu ici, cette senteur. Elle attirait les concurrents, parfois provenant d’un humain vulnérable, blessé et donc plus facile à tuer et parfois simplement d’un combat terminé. Mais peu importe les cas, il restait toujours préférable de ne pas trainer cette odeur avec sois, le vent pouvant facilement nous trahir, nous amener des beaux ennuis…

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