Tueur a gage (Dreamzz)

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Michael traversa la rue transquillement. Il portait des vêtements dans la classe moyenne et avait pour seul bagage un étuit de guitard. Il avait tout d'un vagabn qui gagnait sa vie avec sa musique. Il monta les escalier des ruine d'un vieu batiment. L'Italie...un si beau coin de pays...et remplit de vielle batice condamné et en état de décrépitude.

Rendu au dernier étage il ouvrit son étuit a guitard et en sortit un sniper. Le dernier modèle. Le plus silencieux et précit sur le marché. Michael souleva son petit bijoux et l'accota contre un bord. Une voix se fit entendre dans son émetteur.
-Il va traverser la rue dans 1minute prépare toi.

Michael garda le silence et ajusta son zoom. Il était près. Les seconde s'écoulèrent lentement et ils le vue. Sa cible. Son objectif. Il tira un coup et fit mouche. L'homme s'écroula comme au ralentit dégageant une gerbe de sang.

Michael rembala son arme et descendit de l'immeuble. Il marcha dans plusieurs rue et embarqua dans une comionnette noir au vitre teinté.

Michael, un des meilleurs agent de sa section. Il était professionel, bon tireur, excélent stratège et passait inaperçu partout. Cheveux brun mi-long et yeux foncé, il était destiner pour se métier.

Rentré a son cartier générale d'Italie son suprérieur l'interpella.
-Michael...j'ai une mission pour toi.

Michael le suivit, toujours partant.

-Tu doit protégé cette personne coute que coute...

L'homme lui montra l'image d'une fille. Il n'en crut pas ses oreilles.

(décrit un peu ta fille genre son milieu and all...si tu trouves pas d'idée pour qu'on doivent la protégé j'en trouverai une)

(D'accord. ps: j'adore ton intro)

Sur cette photo, on pouvait voir une jeune fille d'environ 16 ans. Elle était assise sur un banc près d'un lac et souriait. Malgré ce visage souriant ses yeux bleu azuré paraissaient tristes et un peu de mélancolie se lisait sur son visage. Ses longs cheveux bruns étaient noués en une longue tresse et reposaient par-dessus son épaule. Juste avec ses vêtements, on pouvait aisément deviner qu'elle était riche. Extrêment riche. En effet, elle portait l'uniforme d'une école très prisée et dans son air, on distinguait une élégance certaine.

Elle tourna la tête en entendant son père l'appeler.

-Oui, père? demanda-t-elle.
-Sophie, approche.

Elle s'approcha de son père et celui-ci la toisa, un air glacial imprégné sur le visage. Mr. Davis n'avait jamais l'air heureux ou accueillant. C'était un homme dur et cruel.

-Je t'ai engagé un garde du corps. Désormais, il te suivra partout où tu iras.

Sophie fut tentée un instant de protester, mais elle se ravisa; ça ne servirait à rien puisque son père ne cédait jamais à rien.

-Bien père.
-Il devrait arriver d'un moment à l'autre. Assied-toi là en attendant son arrivée.

Il lui désigna un fauteuil et elle alla s'y asseoir. L'ennui était bien présent, surtout qu'elle n'avait rien à faire. Elle n'avait même pas un livre à lire ou de la musique à écouter. Elle retint un soupir sachant que son père ne tolèrerait pas cela d'elle. Elle leva les yeux au plafond et chercha un défaut pour passer le temps, bien que ça n'arriverait jamais, étant donné tout le mal qu'on se donnait pour garder à la maison une perfection irréprochable.

Un bruit de moto retentit a l'extérieur. Un magnifique modèle conçue pour la vitesse.

Michael arrêta sa moto près du garage ou il donna les clées au major d'homme. Lui qui venait d'un milieu défavorisé, tout se luxe lui donnait un peu la nosé. Il retira son casque et le passa une main dans les cheveux pour les replacers.

Il portait une veste en cuir et des pantalon dans le même matériaux. Il avait un sac avec lui qui contenait ses vêtements propre et son uniforme. Et oui, il devait se taper les même cours que le jeune fille pour la protéger.

Il marcha a la suite du major d'homme. Il avait un air distingué et éléguant malgrés ses cheveux en bataille et ses vêtements en cuir. Il se présenta devant le père et s'inclina légèrement.

-Je suis l'agent envoyer par l'agence. Mon nom est Michael Cortès.

Son nom de famille était inventé de toute pièce pour protégé ses arrière en tout temps.

Mr.Davis leva les yeux et observa le nouveau bodyguard de sa fille.

-Hm...

Il feuilleta encore quelques papiers un air indifférent sur le visage. En ayant fait appel à ces gens, il ne savait pas grand chose. Simplement, il avait voulu que sa fille soit protéger d'un garde du corps pour des raisons qu'il préférait lui voir ignorer.

-Sophie?
-Oui père?

Tout semblait si froid entre eux.

-Tu peux quitter. N'oublie pas qu'il doit te uivre partout et ne t'avise pas d'essayer de te soustraire à sa surveillance. Suis-je bien compris?
-Bien sûr père.

Comme si elle allait s'échapper. Avec cette famille il fallait se plier à la tête de la maison. Elle se leva et se dirigea vers la porte, ne vérifiant pas si Maichael la suivait.

-Bonne journée père.

Et elle quitta la pièce.

Michael la suivie en silence. Il avait l'air sérieux. Il était trop professionel pour parler sans en avoir le droit.

Il regardait devant lui, s'abtsenant de poser les yeux sur les murs richement décoré.

Sophie finit par tourner la tête. Son air sérieux la mettait mal à l'aise en plus du fait qu'elle n'était pas habituée de se faire suivre de la sorte. Elle avait envie d'aller passer quelque temps dans sa chambre, mais elle ne voulait pas non plus qu'il la voit. C'était l'endroit qui lui était le plus privé et uniquement réservé dans cette maison. Elle voyait un peu comme une intrusion dans son intimité l'ajout d'un garde du corps aux employés de la maison. C'était assez de la femme de chambre.

-Euh... Je m'appele Sophie...

Elle ne savait pas trop comment partir la conversation ou diminuer la lourdeur de l'atmosphère. Avait-elle seulement le droit de lui parler?

Michael baissa les yeux vers elle. Elle voulait faire du social maintenant?

-Tu connais déjà mon nom.

Il continua de la suivre. Chaque fois qu'il changeait de pays il devait s'habituer au changement de comportement des gens.

Il ne semblait pas vouloir engager la conversation. Elle baissa honteusement la tête; elle n'aurait jamais du rien dire. Elle retint un soupir et se dirigea vers les escaliers. Dès le départ, elle n'était pas très heureuse de devoir être escortée en tout temps, mais elle trouvait cela encore plus pénible. Pourtant, il devait être environ de son âge. Enfin, en tant que fille docile, elle s'y plierait sans rien dire, comme à son habitude.

Après unlong chemin, elle ouvrit une porte qui donnait sur une grande salle blanche. Il n'y avait qu'un piano à queue noir au milieu. Sans prêter attention à Michael, elle s'y installa et commença à jouer. C'était une mélodie nostalgique et lente. Sa préférée. Elle la jouait assez souvent. Elle adorait la sonate à la lune de Beethoven.

Michael la regarda, immobile. Elle était très belle comme ça. On pouvait voir son vrai visage. Son visage de fille en cage qui ne pouvait jamais rien faire.

Il avança de quelque pas et observa le piano. C'était l'un des modèle les plus cher au monde et le son qu'il produisait était magnifique.

Une fois emportée par la musique, plus rien ne pouvait la tracasser. Elle pouvait ainsi trouver un semblant de bonheur, quoiqu'elle ne sourisse ne toujours pas. Elle ne pouvait se rappeler la dernière fois qu'elle avait souri sincérèrement. Bien évidement, elle souriait sans cesse au courant de soirées organisées par ses parents où elle devait se montrer sous le jour de l'enfant prodigue et si parfaite. Rôle qu'elle tenait depuis tant d'années avec de plus en plus de difficultés. À chaque réunion, elle ne pouvait s'empêcher de regarder à la dérobée tous les hommes, se demandant lequel deviendrait son mari. Bien que les mariages arrangés par la famille ne soient plus très courants, il était évident que c'était ce qui allait lui arriver.

Elle terminait à peine sa pièce qu'une domestique entra et lui fit savoir qu'elle devait se préparer pour le souper que ses parents avaient organisé. Elle aquiesça et se leva. Elle suivit la femme âgée dans la trentaine après avoir caressé du regard son piano.

Michael la suivit en silence. Il trouvait ça barbant. Lui qui avait accepter de travailler pour l'agence pour vivre un peu d'action, il devait se coltiner toute les soirés, réunion, cours et il en passait.

Il tenait toujours son bagage qui contenait ses vêtements propres.

La servante se tourna vers lui.

-On vous a préparez une chambre attenante à celle de Mlle Davis. Vous pourrez y déposer vos affaires pendant que la jeune maîtresse s'ahbillera.

Sophie soupira discrètement. Elle détestait toutes ces marques de favoritisme envers elle. Elle n'était qu'une jeune fille. Pas différente des autres. Plus riche, peut-être, mais sinon, qu'avait-elle de plus. Certe, elle était très jolie, voir même une vraie beauté, mais elle ne se l'aurait jamais avouer.

Ils furent assez rapidement devant la porte de la chambre de la jeune fille.

-Vos appartements se situent derrière la prochaine porte à droite.

Sur ces mots, la servante entra dans la chambre de sa maîtresse pour l'habiller.

Michael hésita. Quel risque pouvait-elle courrir dans sa propre chambre après tout?

Il entra dans sa chambre et délaissa son costume en cuir pour son complet cravate. Il se mit du gel dans les cheveux et eu aussitôt l'air d'un jeune millionaire vif d'esprit et perspicace. Certains le surnomait le caméléon dans son agence tellement son talent était étonnant.

La soubrette avait laissé Sophie seule dans sa robe rouge sang. Ses parents lui faisait porter cette couleur car elle lui seyait bien et que l'image était primordiale. Pour eux en tout cas. Si elle pouvait choisir seulement une chose dans sa vie. Elle soupira pleinement. Elle ne savait pas trop si pour sortir, elle devait aller chercher son garde du corps ou si elle devait l'attendre là. Elle opta pour la deuxième option qui lui permettait d'être seule encore un moment et de réfléchir. Elle regarda son reflet dans le mirroir; ce maquillage et ces cheveux si bien coiffés, comme elle aimerait s'en débarasser. Être normale, pour une fois. Ce n'était pas la peine de rêver.

Michael cogna à la porte de Sophie.
-Mademoiselle...il faut y allez...

Il attendit devant la porte par politesse.

Sophie se leva et se présenta à la porte. Elle prit une grande respiration avant de sortir; c'était son dernier moment de liberté, bien qu'on ne puisse pas que c'était une vraie liberté que d'être isolée seule dans sa chambre, livrée à elle-même. Elle ouvrit la porte, la tête basse.

-Je suis prête depuis un moment déjà... Je vous montre le chemin.

Elle le dépassa et se dirigea vers les escaliers.

Michael la suivit. Elle était éblouissante. Dommage qu'elle ne soit pas normal. Il lui aurait probablement fais une invitation a sortit, aurait coucher avec et ne l'aurait plus jamais revue...en fet il était heureux qu'elle soit intouchable finalement. Comme on dit...ne pas mélanger boulot et loisir.

Il se contentait de fixer le derrière de la tête de Sophie en silence.

Elle sentait son regard, mais elle n'osait tourner la tête. De tout façon, il fesait sûrement uniquement son travail. Elle se retint de secouer la tête et poursuivit son chemin. Bientôt, ils furent à l'entrée de la salle de réception. Déjà, il y avait plein d'invités d'arrivé.

-Oh! Sophie! Ma fille! Approchez!

C'était sa mère. Elle lui ressemblait beaucoup et semblait vouloir lui présenter plusieurs présidents de compagnies importantes, comme toujours. Elle rejoignit sa mère qui se mit à blablater et à vanter sa fille outrageusement. Elle ne pouvait que garder la tête baissée et rougir.

Michael lui mit doucement une main sur l'épaule pour la rassurer et la retira. Son rôle était de veiller sur elle dans tous les domaines non? Il ne pouvait pas la laisser se morfondre seule ainsi devant tous ses gens.

Il restait a quelque pas a côté d'elle en silence. Les gens le regardait avec curiosité vue qu'il n'avait pas vraiment l'air d'un garde du corp.

Lui même n'aurait jamais cru se retrouver dans se genre de réception. Lui qui venait d'un milieu pauvre et remplit de délinquance. Tout ceci lui semblait atrocement faut.

Bientôt, on fut invité à passer à table. Sophie se rappelait la main de son garde du corps sur son épaule. Pourquoi ce geste compatissant? Pouvait-il l'avait percée à jour dans ses sentiments? Elle espérait que non. Elle mangeait sa soupe calmement et au moment du toast, Mr. Davis se leva. C'était son discours qui approchait, elle le sentait.

-Mesdames et messieurs, j'ai une importante et heureuse nouvelle à vous communiquer.

Il n'avait pas l'air très concerné ni très heureux. Que pouvait-il bien avoir à raconté?

-Les fiançailles de ma chère fille, Sophie, avec Mr.Evans ici présent. Le marriage sera pour les 18 ans de ma précieuse enfant et nous réunirons ainsi nos deux compagnies!

Quelques applaudissements se firent entendre. Sophie, elle, était abasourdie. Elle accueillait les félicitations avec indifférence. Qui était Mr.Evans? Le connaissait-elle? Était-il bien? Et puis, qu'est-ce que ça changeait? Elle ne voulait pas se marier. Pas tout de suite et surtout pas avec un inconnu...

Michael se serait étouffer si il avait eu quelque chose dans la bouche.

Un marriage arrangé?! C'était préhistorique comme technique!

Il fixa subtilement Sophie puis passa rapidement un coup d'oeil vers la foule.

Tous les gens réunis étaient heureux comme on pouvait l'être. Sophie, elle, ne l'était pas. Elle apperçut son fiancé. Assez grand, les cheveux blonds et les yeux bleus. L'air un peu fragile aussi. Il semblait gentil et il la regardait intensément. Elle baissa les yeux. Il avait au moins 24 ans. Ce n'était pas une si grande différence d'âge, à peine 8 ans. Mais dans deux ans, il aurait 26. Elle se leva et préteta un malaise pour sortir de table. Elle n'aurait rien pu avaler de plus. Elle sentit le regard de Mr Evans toujours posé sur elle et elle se dépêcha de quitter la pièce, sans se soucier de savoir si son garde du corps la suivait.

Michael la suivait à la trace. Il resta a un distance de un mètre d'elle.

-Excusez moi...

Il avait chuchoté pour être sur que personne d'autre qu'elle ne l'entende.

Elle se retourna quand il n'y avait plus personne pour les voir. Les larmes ne pouvaient que déborder de ses yeux. Elle avait voulu les contenir, mais c'était une tâche si difficile. Elle qui se targuait de toujours masquer ses émotions... Cette fois, ç'avait été trop.

-Je suis désolée.

Elle essuya ses larmes et se setint de renifler, ce qui aurait été inélégant.

Michael un sourire compatissant.

-Allez venez...

Il lui ouvrit les bras comme signe qu'elle pouvait venir s'y blotir.