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 Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]

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Chibi
.:She who comes and goes:.
Chibi


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Passe-temps : Jeux vidéos (style Amnesia, Skyrim *O*, Left 4 dead), lire, dessiner, voir des amis (parce que Oui j'en ai (: ) et genre... ah ouais. Écrire aussi. Ça m'arrive quand je déserte pas
Manga préféré : Devil Devil, Fruits Baskets, Full Moon wo sagashite, Love Hina, Angel Sactuary
Ce qu'on pense de toi : Déserteuse obsedée de service, faut bien croire (:
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MessageSujet: Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]   Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh] Icon_minitimeLun 13 Juin 2011 - 19:11

    « T’es qu’un connard è.é Et puis d’abord, tu m’as mise enceinte! »


    Aucun sens, huh? Et bien, vous saurez, mon cher public, que pour comprendre ce qui se passait à l’instant, pour savoir pourquoi une jeune dame toisait un homme devant la porte d’une maison, ses valises à ses côtés, il fallait retourner 3 mois auparavant. 3 mois auparavant, dans une chambre d’appartement, notre personnage principale, Asami Yoshizawa, venait de tracer une fille ligne au crayon noir au dessus de ses yeux. Elle se redressa, observant son reflet dans le miroir : ses lèvres fines, couleur de pêche, son nez délicat, ses yeux noisettes encadrés de cils longs et foncés. Son visage d’ange était dépourvu d’imperfections, son corps tout entier aussi, d’ailleurs : sa peau, une peau matte, recouvrait tel un voile toute sa personne. Elle était magnifique, parfaite. Son visage était encadré de longs cheveux noirs et plats qui lui arrivaient jusque dans le bas du dos.

    Elle revêtit une robe courte rose pâle, légèrement décolleté. Notez ici que l’absence de courbes de cette pauvre demoiselle enlevait un peu d’attrait à ce magnifique habit, mais la beauté et la grâce émanant de la nippone avait tôt fait de cacher ce problème. Asami, du haut de ses 5 pieds et 2, enfila ses chaussures à talon haut avant de partir d’un pas joyeux vers l’extérieur de son appartement.

    « Je rentre tard ce soir Kyô [Si, si. Clin d’œil à Fruits Basket] », lança-t-elle joyeusement à l’adresse du chat roux qui était étendu sur le bras du canapé.

    Elle enfila une veste, prit ses clés de voiture et sortie de la maison en direction de la fête à laquelle elle avait été invitée.

    ***

    Comme elle l’avait promis à son matou bien-aimé, elle était rentrée à environ trois heures du matin… mais pas chez elle. Parce qu’elle, quand elle trouve quelqu’un mignon, son esprit de perverse prend toujours le dessus. En fait, c’était la première fois. Elle avait rencontré ce mec, ils allaient à la même fac depuis un moment déjà mais elle ne lui avait jamais proprement parlé, et puis bon, ils avaient fait connaissance… avec la bouche de l’autre. Asami se souvenait d’être entré en trombe chez cet homme avant de passer une nuit classée mature sur le canapé. Tout cela pour dire qu’elle avait fait des cochonneries avec un mec qu’elle connaissait à peine, la perverse. Ce n’était pas là son habitude, mais elle l’avait trouvé vraiment trop ultra canon qu’il lui avait fallut en profiter. Lire ici, elle avait décidé de coucher avec sans s’assurer que la capote utilisée soit de bonne qualité.

    Elle s’en voudrait plus tard.

    Enfin… plus où moins, mais nous verrons rendus là, parce qu’elle a tout un caractère notre petite Asami. Bref, il est important pour la suite des événements de savoir que cette nuit là, notre nippone n’était pas saoule et qu’elle avait couché avec cet homme de son plein gré. Monsieur aussi d’ailleurs, du moins, à ce que notre demoiselle savait. Bref, le lendemain, notre jeune femme s’était réveillée dans les bras de ce joli mec, dont elle ne se souvenait plus le nom d’ailleurs, complètement étendue par-dessus lui, la tête enfouie dans son épaule. Jusque là, je vois les fans de romans savons se dire « ohhh c’est trop mignon ». Et bien je vous arrête. Madame était nue, et son compagnon aussi.

    Dans un sursaut, monsieur s’était réveillé et avait balancé notre perverse de service en bas du divan. Elle ne lui avait jamais pardonné. Bref, elle avait ramassé ses vêtements et les avaient remis en faisant la gueule à ce crétin, et elle était partie enragée de sa maison. Parce qu’il l’avait jetée en bas du canapé. Pas parce qu’ils avaient couché ensemble, non, non. Parce qu’il l’avait foutue en bah d’un stupide fauteuil trois places. Quand je vous dis que les priorités d’Asami n’étaient pas les mêmes que celles de tout le monde : elle détestait se faire réveiller et elle lui tiendrait toujours rancune de l’avoir sortie si brutalement de sa léthargie matinale.

    3 mois plus tard, en juin pour être plus précise, à 7h34 de la soirée, le monde de notre asiatique a basculé. Elle était simplement allée à l’hôpital car elle était inquiète de ne pas avoir eu ses règles depuis tout ce temps et puis pouf! Le médecin lui avait annoncé, avec une mine toute joyeuse, qu’elle allait avoir un enfant. Félicitations au père de ma part, avait-il dit.

    « QUOOOOOUA? Mais, mais, mais… le dernier mec avec qui j’ai baisé c’est ce connard! Mais quel con è.é! En plus de me faire tomber du sofa, il achète des capotes de mauvaises qualité?! Oh l’idiot! Je suis pas d’accord du tout! Il avait qu’à contrôler ses… ses trucs de mec un peu non?! »


    Mais bon, un enfant… c’est tout chou non? Et puis, financièrement, elle pouvait se permettre. Elle avait toujours voulu être une bonne mère, alors pourquoi ne pas tenter l’expérience? Ça pourrait être une bonne chose dans sa vie, d’avoir une petite âme sur laquelle veiller. À 26 ans, elle pouvait le garder non?

    « Mais alors, j’vais avoir un fils… ou une fille? Il lui faut une chambre… et plein de peluches *O* »

    Elle était partie avec précipitation de l’hôpital, et était rentrée chez elle en chantonnant. Notre nippone avait malheureusement fait l’erreur de parler à la vieille harpie qui lui louait son appartement de sa nouvelle. La journée de son renouvellement de bail.

    « Quoi? S’était indignée la femme, vous êtes enceinte d’un homme que vous ne connaissez presque pas? Avant le mariage! Petite dévergondée! Quittez tout de suite ce logement, je ne veux pas de pécheresse chez moi! Faites vos valises et foutez le camp! »

    Et donc, sans se faire prier, Asami avait obéit et amassé ses affaires dans deux grosses valises, le chat dans sa cage sur le dessus de l’une d’elle, et s’était diriger vers le seul endroit où on serait forcé de l’accepter (car elle n’avait pas envie de retourner chez ses parents) : la maison du connard. Après une demi-heure de marche, notre nippone arriva au seuil de la porte de l’homme cogna quelques coups. Lorsqu’il ouvrit, elle avait sorti le matou de sa cage et le tenait dans ses bras : détail qui vous semble futile, mais vous comprendrez plus tard.

    « T’es qu’un connard è.é Et puis d’abord, tu m’as mise enceinte! »


    Ensuite, elle lui monta le chat dans la gueule et regarda l’intérieur de la maison, y remarque The canapé.

    « Ah tiens, c’est le canapé duquel tu m’as poussée, tu te souviens, pauvre tâche? Et bien moi et le chat on s’est fait virer de notre maison, alors tu nous accueilles aussi longtemps que je porterai le fruit de tes… de ton… enfin tu comprends, dans mon ventre. Enfin, utérus. Bref. Tu m’héberge parce que ça, c’est de ta faute. Prends tes responsabilités, crétin! Tu veux que ce bébé grandisse sans père peut-être? T’es trop cruel! »


    [Oui, je sais, je devais pas Rp avant un moment, mais bon je viens juste poster cette intro parce que j’imaginais trop la scène. Libre, mais j’aime les amis du dictionnaire. S’il y a trop de fautes, je me réserve le droit de laisser couler. ]
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MessageSujet: Re: Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]   Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh] Icon_minitimeMer 15 Juin 2011 - 23:14

( je suis en construction de réponse)Ha et , fis toi pas à mon 0 message, j'suis vraiment pas débutante XD )

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]   Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh] Icon_minitimeJeu 16 Juin 2011 - 12:42

Soyez honnête, qui d’entre vous n’a jamais fait d’erreurs impardonnables? Des erreurs que nous ne pouvons oublier même avec la plus grande volonté. Je me dis souvent que notre cerveau est tellement idiot; Ce que nous voulons nous rappeler, nous finissons toujours par l’oublier un jour, mais ce que nous voulons effacer reste à jamais graver dans notre mémoire. Bon je dois avouer que j’exagère un peu. Car ce que je voudrai s tellement oublier ne date que de trois mois. Je sais que cela semble tellement rien pour vous trois minuscule mois, mais pour moi, c’est énorme. Le pire dans tout ça c’est qu’avant aujourd’hui, j’avais presque oublié. Ma logique n’a donc aucun sens. Laissez-moi plutôt vous expliquer tout en reculant de trois mois.
***
-T’es pas game Vince…

C’est tellement la pire chose à dire à un garçon. Quel vrai mec pourrait dire ‘’Non t’as raison, j’le suis pas’’ ! Alors oui sans même avoir entendu la suite je l’étais déjà.
-…De te taper cette petite mignonne et de la ramener chez toi, avait dit un garçon de la gang en me tendant un condom.
Entre vous et moi, non je ne suis pas game. Mais essayer donc de l’expliquer à un groupe de gars saoul sans passer pour un ‘’fif’’. J’étais le seul qui n’avait pas bu une goutte d’alcool et déjà là, je passais presque pour un nul, je me devais de le faire. L’idée de lui faire du mal, de l’amener chez moi et de ne plus jamais la revoir par la suite. De plus, cette fille je la regardais depuis si longtemps. J’admirais tout d’elle des cheveux jusqu'aux orteils. Jamais je ne lui avais adressé mot car jamais je n’avais eu le courage. J’en voulais à mes amis de me donner un tel défi alors qu’ils savaient que je ne serais jamais capable de refuser et que en plus ils savaient que… Que j’étais…Que je ne l’avais jamais fais. À 17 ans de nos jours, il est rare de trouver un gars n’ayant toujours pas perdu sa virginité. Et bien trois mois plus tôt, je faisais parti de ces rares.

Je me suis approché d’elle et j’ai usé de mon charme. Je m’en voulais de lui faire ça, mais aussi de briser ma virginité pour un ‘’t’es pas game’’. Vous savez le reste de l’histoire, elle m’a suivit très facilement. J’aurais pourtant tellement aimé qu’elle refuse. Ce que j’ai essayé de vous expliquer tantôt c’est qu’il y a un moment que je la regarde, des mois et des mois même. J’en étais et j’en suis toujours amoureux.

Arrivé chez moi, je ne savais pas trop quoi faire. J’étais maladroit et timide. Il était pour moi hors de question de lui retirer ces vêtements. Elle a du remarquer mon malaise car elle c’est déshabillée elle-même en se dirigeant vers le sofa. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle et me trouvais dégueulasse d’avoir accepté un tel pari alors que je l’aimais tellement. J’étais fâché que notre première conversation se résume à : Veux tu venir chez moi et blablabla. Je ne n’étais pas le genre de gars pervers sautant sur tout ce qui bouge mais en la voyant si délicate, si belle si… nue, il n’a pas trop été difficile pour nous que tout se passe bien. Le plus dure pour moi à été de voir qu’elle ne faisait que baisé alors que moi, je faisais l’amour. Connaissez-vous la différence? Baiser, c’est faire du cul par plaisir et non pas par amour. Moi, je prenais la peine de la regarder dans les yeux, de la toucher d’une délicatesse incroyable sans jamais y aller brusquement. Pas une fois elle ne m’a regardé dans les yeux elle gardait toujours les yeux sur l’action, si vous voyez ce que je veux dire.

Lorsque tout fut fini, nous nous sommes endormis collé l’un à l’autre. Le lendemain matin, je me suis réveillé et elle n’était plus là. Je n’ai jamais remarqué le fait que dans mon sommeil je l’avais poussé. Qu’elle soit partit m’avais brisé le cœur. J’aurais aimé qu’elle reste, qu’elle apprenne à me connaître.
***
Si vous me le permettez, je vais revenir au moment présent. Je ne l’ai jamais oublié elle. Mais se soir là, j’avais fini par me pardonner en me disant que de toute façon, je ne la révérais probablement jamais. Mais j’avais tort. Nos erreurs finissent toujours pas nous rattraper.

Ce matin, alors que j’écoutais tranquillement la télévision, je me fis déranger par un cognement à la porte. Je me suis levé et j’ai répondu à la porte pour y découvrir ELLE. ELLE était là et avant même que je place un seul mot, elle m’apprend la pire nouvelle de ma vie. Je l’avais mise en ceinte. Je du cligner les yeux et me pincer plusieurs fois pour comprendre que je n’étais pas dans un affreux rêve mais plutôt dans la réalité.

C’étais impossible, je n’avais pas pu la mettre enceinte, il y avait… un condom !
Non impossible! Je ne pouvais pas être père à 17 ans. À ce moment, je ne devais pas être beau à voir à la dévisager la bouche ouverte. Je n’avais dans tout ce qu’elle avait dit comprit le terrible mot ‘’enceinte’’. Ce mot dont j’aurais aimé ne même pas connaître la signification. Ce mot qui allait gâcher ma vie. Ce mot que je n’aurais jamais aimé entendre de ma vie, moi qui déteste tellement les enfants.

-Impossible! , articulais-je faiblement.

Même le chat semblait me regarder avec des gros yeux, me traiter de looser. Cette affreuse boule de poil semblait elle aussi rire de moi, de mes erreurs. Je laissai la porte ouverte, comme pour la laisser entrer.

-Arrête, dis moi que c’est une mauvaise blague! Que rien de tout ça n’est arrivé ou dis moi au moins que je ne suis pas le père! Je ne peux pas l’être à 17 ans!

Savait-elle seulement mon âge lorsqu’elle à coucher avec moi ? Savait-elle qu’elle avait couché avec un mineur, un mineur qui n’aurait aimé que cette soirée n’est jamais existé. Un mineur qui était fou amoureux d’elle… Un mineur qui avait attendu si longtemps qu’elle revienne et que maintenant qu’elle était là, aurait souhaité ne jamais l’avoir revu.
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Chibi
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MessageSujet: Re: Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]   Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh] Icon_minitimeSam 18 Juin 2011 - 21:00

    Mais où donc allait la jeunesse? Ça a 17 ans et ça fait des paris de coucher avec des inconnues. Ohlala. Ils ne savent donc pas qu’ils pourraient tomber sur des femmes complètement -majeures- folles, dans le genre ultra rancunières et pas très sérieuse pour leur âge –mature-. Heureusement qu’Asami n’était pas comme ça. Non, non. Elle c’était une jeune dame de 26 ans tout à fait responsable. Ouais c’est ça, va le raconter à d’autres. Et puis d’abord, il faisait quoi dans une fête d’universitaires ce mec, à 17 ans? C’était un gamin surdoué, ou simplement un stalker fini qui avait trouvé notre nippone à son goût, et avait décidé de l’espionner durant des mois, si bien qu’elle croyait qu’il allait à la même fac. Et puis en même temps, il ne faisait pas son âge, non? M’enfin, notre chère asiatique pris quelques instants avant de réaliser l’ampleur de la situation.

    « 17 aaaaaaaaaaaaaaaans? O.O Quoi? Mais alors… Je suis une couguar? WHUT?! Mais, mais, mais… Tu réalises pas ce que ça veut dire?! J’vais devoir économiser pour une décapotable rouge! *O* »


    Toujours autant de bon sens dans ce petit bout de femme. Il ne faut pas trop en vouloir, elle ne vous en donnera pas une miette. Bref, la voilà, qui se faufila en sautillant dans l’appart, serrant son minet sur sa poitrine, comme tout terrifier de devoir dépenser son argent pour une voiture. Mais il fallait voir le bon côté des choses : comme elle allait parasiter ce pauvre crétin, elle allait économiser un loyer et l’épicerie, et donc, elle pourrait investir dans un moyen de transport flamboyant afin d’obtenir une bonne réputation de pédophile et de se trouver plein de petits mineurs avec des corps desquels elle pourrait abuser. À condition qu’ils soient aussi canons que lui.

    Et oui, elle s’assumait déjà dans son rôle de vieille obsédée, la perverse. Parce que bon, elle avait son consentement alors il n’allait pas la dénoncer pour détournement de mineur. Et puis, si elle était enceinte, c’était la faute à qui? Elle n’avait pas accepté un condom de n’importe qui elle. Et puis en même temps, d’habitude, elle connaissait les gens qu’elle se tapait. Et c’était au mec de fournir la capote, non? Parce qu’une fille qui sort un préservatif de ses poches, ça n’a rien de sexy. Pour un garçon, disons que ça s’accorde. Dans le genre de chaud et sensuel, ça marche. Sauf que dans leur nuit à eux, il n’y avait qu’Asami qui avait été effrénée. Pauvre petit mouton, ça devait être sa première fois, ce qui expliquait qu’elle avait dû presque tout faire elle-même. Ah! Voyez, elle était toute désignée pour le rôle de couguar.

    Il se demandait comment ça avait pu arriver, disait avoir mis un condom? Il était vraiment trop chou, dans son innocence. Serrant son minet contre sa poitrine peu volumineuse, notre nippone s’approcha de lui avec de grands yeux.

    « Tu vois, je vais te raconter l’histoire du magicien des capotes. ^_^ Il en a créées de bonne et de mauvaise qualité. Et quand on accepte ses trucs là de n’importe qui, et bah elles sont de mauvaise qualité. Et elles déchirent. La vie est mal faite. Mais c’est clair que tu sais pas choisir ce genre de truc, gamin é.è »


    C’était évident qu’il ne l’avait pas sélectionné avec soin, sinon elle ne serait pas là, notre petite demoiselle. Elle entra ses valises dans l’appartement, puis déposa le chat au sol, avant de reprendre le parole pour lui demander pour qu’elle raison avait-il été à cette fête, s’il était en âge d’être en secondaire cinq. Il savait pas que c’était dangereux? Qu’il y avait tout plein de veilles obsédées comme notre asiatique qui ne rêvaient que d’abuser de son petit corps si jeune, sexy et frais. Et puis, on se croirait dans Don’t talk to Strangers. En moins pire, mais tout de même. Notre nippone prit un instant avant de répondre au garçon, qui lui demandait d’infirmer la nouvelle.

    En même temps, elle n’était pas dénuée de cœur. Elle se sentait mal de faire subir tant de choses désagréables à ce gamin, et encore, elle n’était chez lui que depuis quelques minutes, il lui restait six mois à faire! Cependant, un coup d’œil vers The canapé, où Kyo était en train de fouiner, détermina notre jeune femme à continuer de lui faire la vie dure.

    « Tu as deux chambres, j’espère? Parce que sinon, tu vas dormir sur le divan, et je prends le lit. Parce que j’ai la mauvaise habitude de tomber en bas des fauteuils… La faute à qui hein?! èé Et comme tout ça c’est TA faute, et bien moi je dormirais confortablement »


    C’était une bien belle tirade qu’elle lui faisait, la tête relevée, le regardant droit dans les yeux avec une petite moue boudeuse, elle était toute mignonne. Surtout quand on considère qu’elle avait deux bonnes têtes de moins que lui, et donc, que pour l’effet de menace, on pouvait laisser tomber.
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MessageSujet: Re: Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh]   Parce que le sexe, c'est mal mes enfants [Libreuh] Icon_minitimeMer 22 Juin 2011 - 16:29

C’est dans ce genre de moment que l’on voit parfois que ce que nous croyions être de l’amour n’en est pas toujours. Son comportement, son ‘’non-rapport’’ à propos de la voiture alors qu’il y avait beaucoup plus urgent à régler, sa façon d’entrer comme si rien ne la dérangeait, sa façon de me regarder comme si je méritais ce qui m’arrivais, que tout était ma faute. Moi qui l’avais tant aimé pendant des mois et des mois, n’avais pas appris à la connaître. Maintenant que je l’avais devant moi, je n’étais plus du tout certain de mes sentiments. Je ne répondis pas à sa remarque sur la voiture, de peur de m’emporter en lui criant qu’elle n’avait pas les priorités aux bonnes places. Pour la question de l’université, facile, tous ces amis étaient plus vieux que lui et ceux-ci l’avaient invité comme à chaque fête. Pour toute réponse, je haussai les épaules, pourquoi aurais-je besoin de me justifier à elle. De toute façon, là n’étais pas le problème.

Je la regardai d’un air découragé, pourquoi ne paraissait-elle pas plus découragée ? Voulait-elle vraiment être mère ? Je ne pourrais jamais être un père adéquat, les bébés ne sont que des morveux braillard. Puis, même si je les aimais, à 17 ans, c’est beaucoup trop jeune pour être père.

Puis, croyait-elle vraiment qu’elle pourrait s’installer ici et vider son frigidaire ? Elle devra l’aidé si elle reste ici, à 17 ans, on à pas beaucoup d’argent et pas assez pour nourrir 2 bouches et encore moins 3. Asami commença à lui expliquer l’histoire des condoms. Comme si je ne savais pas déjà tout ce qu’elle racontait. Je n’étais pas idiot, je n’avais simplement pas encore fait le lien par rapport au condom qui m’avait été donné. Quoi lui dire ? Je n’allais quand même pas lui laisser de le plaisir de croire qu’elle m’avait appris quelque chose, je me tournai vers elle ;

-C’est bon hein, tu peux arrêter, je la connais déjà cette histoire!

J’inspirai fortement.Pourquoi n’étais-je pas heureux de sa venue ? Qu’aurais-je donné auparavant pour qu’elle vienne ici. Pourtant, plus elle parlait, plus je la trouvais détestable. Je n’avais pas envie qu’elle monopolise ma maison, pas envie du tout. Surtout, je n’avais pas envi d’avoir un enfant. Pour l’histoire du sofa, je n’écoutais que sur une oreille, bien trop préoccupé dans mes pensées pour l’écouter. Mais j’avais compris le message, elle voulait le lit. Pour ça, disons qu’il n’y avait pas de problèmes, j’avais bien d’autre choses à penser qu’un simple lit;

-Oui-oui, prend mon lit, j’dormirai sur le sofa.

Elle tentait d'être menacante mais elle ne faisait pas du tout peur, elle me donnait l'impression d'une sourie voulant attaquer le chat. Et comme à chaque fois lorsque quelque chose n'es pas important, je l'ignorai.

Je me devais de mettre les choses au clair avec elle, je ne pourrais pas m’occuper de tout ici niveau argent;

-On a besoin de parler, assied- toi ici dis-je en lui pointant la chaise de cuisine placé à coter de moi
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