Une vie pas comme les autres

Je me réveillai encore avec une douleur atroce dans tout mon corps. Je regardai autour de moi par habitude. Il y avait encore se même plafond blanc et ses quatre murs. Je n’étais pas prête de sortir de cet enfer. Je fermais les yeux avec lassitude en plongeant dans les souvenirs.

Je courais. Les bruits de mes pas nu résonnaient sur le plancher de bois. Mon père me courait après une ceinture dans la main. Il était furieux après moi. J’avais encore désobéit, j’allais me faire battre. Je trébuchai et tomba. Je me retournai et commença à reculer. Il s’approchait de plus en plus. Je fermai les yeux pour recevoir le coup qui ne vint jamais. J’ouvris les yeux tremblantes. Mon père était complètement figer dans un gros bloc de glace. Je me dépêchai de me lever et m’enfuis dans la forêt. Comment je pourrai-je expliquer sa maintenant. Se fichu pouvoir me pourrissais encore la vie, je n’arrivais pas a le contrôler. Je m’écroulai en pleurant et m’endormit sur l’herbe complètement épuiser.

Je me réveillais le lendemain matin encore épuisé. Le soleil perçais a travers les arbres, je me levai et commença à marcher. Je ne savais pas se que j’allais devenir. Quel que jour plus tard, j’étais dans les rues en train de voler de la nourriture, je survivais tant bien que mal. Pas une fois l’idée de retourner à la maison me vint à l’esprit. Vers la fin de la journée, j’allai m’accroupir dans un coin. S’était fatiguant de rester debout. Je sursautai, j’attendais des bruits de pas. Si j’avais su se qui allais venir après je me serais cacher a l’autre bout du monde. Mais a cet âge, une enfant comme moi ne pouvais pas savoir. Un homme s’approcha de moi. Je restais figer incapable de bouger. Il avait l’air gentil et me proposais de venir avec lui. Une vie remplit de belle chose et sans violence. Je le suivis.

Le trajet était agréable. L’homme était gentil avec moi. Il m’offrit de nouveau vêtement et de la nourriture. Chez lui s’étais très grand avec plein de couloirs blanc. D’autre personne habiller en blanc passai de temps à autre. Il m’emmena a ma chambre et me laissa dormir. Cette chambre était toute en blanc et n’étais pas très meubler, mais cela m’importais peu. J’avais un lit pour dormir et ces tout ce que je voulais. Le jour suivant, mon cauchemar commença. L’homme que j’avais crue si gentil au début s’étais avérer être un monstre. Il voulait contrôler mon pouvoir, se l’approprier. Il me fit faire plain de test tout les jours. Plus atroce les uns que les autres. Il me droguait pour que mon pouvoir soi inefficace. Il ne voulait pas mourir bêtement.

Je rouvris les yeux. Cela faisait combien de temps maintenant que j’étais ici ? Au moins 7 ans. Pourtant, ils n’étaient pas plus avancer. Ceux qui travaillent ici se frustré de plus en plus en s’apercevant que leurs test ne servent a rien. Pourtant ils n’abandonnent pas. Je soupirai en fermant les yeux. Tombant dans un sommeil remplit de cauchemar. J’aurais tout donné pour être libre.

Mon vœu fut exaucer, quel que jour plus tard une météorite s’écrasa sur l’institut détruisant presque tout. Ce jour la, je me trouvais au cachot pour avoir désobéit. Le choc de l’impact détruisit une partie du mur. Des morceaux du plafond tombaient un peu partout. J’ai réussi à me faufiler dans une craque et à m’échapper de cet endroit maudit. J’ai vagabondé plusieurs jours en me nourrissant seulement de quel que fruit et en buvant l’eau des ruisseaux. Mes forces revenaient peu à peu puisque je n’avais plus à supporter les tests des scientifiques. Après cela j’ai réussi à rejoindre la civilisation. On me prit dans un orphelinat et on s’occupa bien de moi. J’étais toujours dans mon coin à répugner la présence des autres. Cela allait prendre du temps avant que je recommence à être sociable. J’avais entre temps apprit en quel que sorte à contrôler mon pouvoirs. Il se manifestait que quand je le voulais. Bien sur, je le cachais a tout le monde au sinon il m’aurait renvoyé là-bas. Il m’avait mit dans un chambre seul a cause de ma personnalité. Je préférais être seule et ils le savaient.

Cela faisait maintenant un an que j’étais ici. J’avais tous justes 17 ans. J’avais des cheveux noir bouclée et des yeux bleus océan. Les gens qui m’avaient accueillit ne s’avaient pas quoi faire de moi. Je ne m’étais pas améliorer depuis que j’étais ici. Toujours dans mon coin, seule… ces alors que Sara entra dans ma chambre. Elle s’occupait de l’orphelinat. Elle m’apprit que j’aurais un compagnon de chambre. Elle était contre l’idée de me m’être avec un gars, mais s’était un nouvel arrivant et la seule place de libre était dans ma chambre. S’était que des foutaises, mais bon je ne pouvais pas me plaindre. Et puis qu’est-ce que sa allait changer ? Elle pensait peut-être bien faire en mettant quel qu’un dans ma chambre, mais je ne pensais pas que sa allais me rendre plus jovial. Plus tard dans la journée charle est venu installer un nouveau lit dans ma chambre ainsi qu’un rideau pour mettre entre les deux. Il repartie ensuite. La nuit était tombée quand j’attendis quel qu’un cogner à la porte. Surement mon nouveau colocataire. J’allai ouvrir d’un pas las.

(ouvert a tous, max 1, faite son coloc)

Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle pu voir un beau jeune homme qui ne devait pas avoir bien plus d'un an de plus vieux qu'elle. Il portait un pantalon noir avec un t-shirt blanc et une chemise noire elle aussi, par-dessus, et à moitié détachée. Il n'avait pour seul bagage qu'un simple sac à dos. En voyant la jeune fille, il se força pour lui adresser un sourire plus ou moins convaincant et n'attendit pas son approbation pour entrer. Après tout, c'était désormais sa chambre à lui aussi. Il se traîna les pieds jusqu'au deuxième lit de la pièce et s'assit dessus. Il promena ensuite lentement son regard autour de lui, les sourcils légèrement froncés, ce qui lui donnait un petit air concentré tout à fait craquant. Il avait de beaux yeux bleu clair, et des cheveux noirs, assez courts et légèrement ébouriffés. Bref, il avait un très joli look, c'était un garçon vraiment beau et, l'on pouvait assez facilement deviner qu'il était agréablement musclé.
Ça ne semblait pas vraiment faire son affaire de se retrouver ici, car il poussa un profond soupir d'un air un peu découragé et se laissa tomber sur le dos. Couché sur son lit, il s'absorba dans la contemplation du plafond sans prononcer un seul mot.

Je possa un regard vide sur lui. en tant que colocataire, il vallait bien que je lui dise bonjour, que je lui demande pourquoi il était la, du ton compatisant tout de meme et que je m'interesse un peu a lui vut qu'il allait passer un bout dans cette chambre avec moi. mais il n'en fut rien. je ferma tout somplement la porte et alla me rasseoir sur mon lit. j'aimais le silence, parler, je détestait sa. je répondais toujour avec un minimal de mot. il allait bien vite comprendre que je préférais rester dans mon coin. après tout je ne suis pas obliger de lui adresser la parole. je soupira me passant une main dans les cheveux. parfois je me dégoutais moi meme de ma propre personalité, mais cela faisait moi mal de ne pas tiser de lien avec une personne, comme sa, elle ne peut pas vous trahir par la suite.

Le garçon resta étendu immobile un très long moment, si bien qu'on aurait pu le croire mort, si ce n'était des légers mouvements de sa poitrine à chacune de ses respirations. Finalement, il tourna un peu la tête, posa ses yeux bleus sur la jeune fille et la regarda longuement. Tout ça sans dire un seul mot. Parfois, on aurait dit qu'il voulait parler, mais il se ravisait ensuite et gardait le silence. Cependant, au bout d'un autre moment interminable, il finit par dire doucement:
- Je m'appelle Sam. Toi ?

je me tourna vers lui quand il m'adressa la parole. il semblait etre gentil.

-moi ces Émily...

je m'en tenait a cela. si il voulait parler s'était a lui de faire la conversation, moi je n'en avait pas envie.

Il hocha un peu la tête en la regardant. On pu voir pendant quelques secondes l'esquisse d'un sourire au coin de ses lèvres, puis il retrouva un air impassible.
- Comment est-ce que tu t'es retrouvée ici toi...? Si tu veux pas en parler je comprendrais, hein, t'en fait pas...

S'était la deuxième question a laquel je m'entendait qu'il me posse. bien sur s'était évident, chaque personne que vous voyer ici veulent savoir d'ou vous venez et qu'est-ce que vous avez fait pour arriver ici. bizarement je sentit le besoin de lui répondre comparer aux autres. mais il allait me prendre pour une folle si je disait tout.

-hml...ces compliquer...mon père me battais...je me suis enfuit et je me suis retrouver ici...

s'était pas tout a fait faux. parler de cela me donnais la migraine. il y avait trop de mauvais souvenir. je réussi a dire d'une voix peu sur.

-et toi?...

- Ah, je suis désolé pour toi... souffla-t-il d'abord avant de prendre une profonde inspiration.
Il regarda dans le vide pendant un moment, sans rien dire, puis enfin il avoua:
- Mes parents sont morts dans... dans un accident de voiture...
Sa voix se brisa un peu à la fin de sa phrase mais il se racla la gorge et poursuivit:
- Je suis allé vivre chez ma grand-mère. Mais elle était atteinte du cancer et elle a pas fait long feu. Ça ne m'a pas vraiment dérangé... Je l'aimais pas. Elle était méchante. Comme on avait nulle part d'autre où me placer, Alors ben j'me suis ramassé ici.

je l'écoutais attentivement tout en ayant l'air de m'en foutre royalement. j'avais toujour indifférence face aux gens ou a leur histoire.

-je vois, jsuis désoler pour tes parents...

j'aurais bien aimer connaitre ma mère. elle était surement plus gentille que le monstre que j'avais eut comme père. s'était bien fait que je laille congeler. l'air dans la pièce se refroidit legerement. sa se produissait quand je repensais a mon passer. j'esperais qu'il ne remarquerais rien.

- Oh, c'est pas grave... Je... J'étais pas bien vieux de toute façon. Je me souviens plus tellement d'eux...
Il eut un léger frisson et se frotta un peu les bras en fronçant légèrement les sourcils, ce qui lui donna un air franchement mignon.
- Arff... Tu trouves pas qu'il fait frais ici tout à coup ?

Je le regarda un moment le temps de trouver une excuse. Je pointa ensuite la fenetre ouverte.

-courant d'air...

mon coeur s'était mit a battre plus vite. je ne voulais surrout pas qu'il sache a propo de mon "don". j'esperais qu'il goberait ce que j'avais dit.

- Ouain, ça se peut...
Il se leva lentement et alla fermer la fenêtre puis alla se recoucher sur son lit. Étendu sur le dos, il ferma les yeux en soupirant un peu. En fait, il s'inquiétait un peu. Pour son petit frère. Celui-ci s'était fait emmener ailleurs. Dans un autre orphelinat. Et je m'ennuyais de lui, j'espérais qu'il allait bien. C'était vraiment ennuyant comme endroits... Et j'espérais qu'il allait se faire des amis.
Ma coloc n'avait pas l'air si pire. Mais je ne me sentais pas prêt à m'attacher à qui que ce soit. Discuter un peu peut-être... Mais je ne voulais pas d'amis. Et j'avais mes raisons.

Dès qu'il eut fermer la fenetre il retourna sur son lit. il semblait peu bavard tout comme moi. cela faisait bien mon affaire. j'était loin de pouvoirs m'engager dans de grande conversation animer. j'était plonger dans mon livre que je venait d'ouvrir. s'était mon seul échapatoire ici. j'étais plutot calme et aucun incident du a mon " don" ne s'était encore produit. cela me rassurais, mais je ne savais pas si je saurais capable de me contenir si me maitrait en colère. de tout manière sa ne risquait pas d'arriver. si on parle presque pas ces dur de s'attirer des ennuie...

Il resta couché un long moment à s'ennuyer. Il n'y avait vraiment rien à faire ici, et aucune balle après laquelle courir... Eum... Ouain, oubliez-ça...
Il en eut finalement assez de contempler le plafond super fashion - non, en fait il était blanc, un peu jauni et un peu moisi... - et se leva. Il s'étira un peu et passa sa main dans ses cheveux pour les ébouriffer un peu.
- Ya quoi à faire ici ?

Je ne le regarda pas tout de suite. je finit ma phrase avant de me tourner vers lui pour lui adreser la parole. j'avais prit cet habitude de regarder dans les yeux les gens a laquel je parlais.

-heum...la mer est pas trop loin d'ici...ya une sentier qui permet de sy rendre derrière l'orphelinat...sinon tu peut toujour aller courir dans la foret...

- Courir ??
Un véritable sourire apparut sur mes lèvres et je la remerciai rapidement. Je me changeai ensuite devant elle sans aucune gêne, mettant un pantalon jogging et une camisole noire, avant de sortir de la chambre. Je sortis de l'orphelinat et partit en direction de la forêt. Rendu là, je me mis à courir pendant un moment, puis subitemnt, c'est un animal à quatre pattes et couvert de fourrure qui courait, à l'endroit où le garçon se trouvait quelques instants auparavant. Un lynx, plus précisément.