~With Love (À qui se sent oki pour mes conneries! xD)

(Je peux ?? =D)

(oui =)

24h. Le jeune homme fut brutalement réveillé par la sonnette de la porte d'entrée, qui résonna longuement dans le silence de la maison. Se résignant à se lever pour aller voir qui ce pouvait bien être, il enfila un pantalon et se frottant un peu les yeux avant de se diriger vers l'entrée. Il espérait qu'on ne l'ait pas dérangé pour rien, comme ça, au bout milieu de la nuit ! Il posa la main sur la poignée, ouvrit la porte. En premier lieu, les beaux yeux verts du jeune homme se promenèrent autour, cherchant quelqu'un. À première vue, personne. Il soupira et allait refermer la porte quand il remarqua un corps au sol. Un corps nu, à peine caché par des rubans de la même couleur que les cheveux de la demoiselle. Et quel corps! Ça, ce n'était pas rien. Se faire réveiller en pleine nuit avec une aussi jolie jeune femme nue devant sa porte, il en prendrait souvent! Elle semblait endormie. Lentement, après avoir jeté un nouveau regard autour de lui, il se pencha et prit la carte glissée entre les magnifiques seins. Deux mots à l'intérieur. "With love". Aucune signature. Puis, les doigts glissèrent sur le ruban, semblèrent hésiter un instant entre tirer dessus ou le laisser en place. Commençant à avoir plutôt froid, torse nu à l'extérieur, il préféra prendre la jeune femme dans ses bras et la rentrer à l'intérieur.

Elle ouvrit paisiblement ses grands yeux roses. Ils semblaient éveillés depuis longtemps. Comme si, le contact avec les bras de l'homme l'avait éveillée. Elle sourit maladroitement, mais sourit tout de même. Enfin bref, pendant un instant qui semble durer des heures elle passa son regard sur le garçon, détaillant d'abord le visage de se dernière pour regarder son torse avec une certain envie. Étant des les bras du garçon, elle pouvait sentir le contact des mains de l'inconnu sur sa peau majoritairement dénudée. Elle sourit à nouveau et passa un doigt fin et léger sur le torse nu du garçon en affichant un regard... disons dérangeant. Elle se redressa, le dos droit, les rubans tenant encore étonnement en place, pour pousser ses lèvres rosées et délicates sur la joue du garçon avant de lui murmurer a à l'oreille.
- Bonne Saint-Valentin, mon maître.
Dans son petit esprit tout était clair, cet homme qui l'avait réveillé était son maître, elle lui appartenait il était libre de faire ce qu'il voulait d'elle. Elle devait oéir à tous les ordres du garçon. Enfin, elle avait toujours une main sur le torse du garçn alors que l'autre c'était posée sur la joue de se dernier.

Il s'était figé et la dévisageais un peu bizarrement. Son visage exprimait surtout de l'incompréhension.
- Eum... Maître?
Ah tiens, c'est vrai, c'est la St-Valentin aujourd'hui... Ça devait être une mauvaise blague, un de ses potes qui lui jouait un tour. Mais qu'elle fille aurait accepté de se dénuder ainsi pour jouer une blague à un mec, hum? Cependant, il ne pouvait pas nier que la situation commençait à l'exciter. Il croisa les bras sur son torse musclé et pencha un peu la tête sur le côté sans la lâcher du regard.
- Qui es-tu ?

Elle fronça les sourcil alors qu'il exprimait ouvertement son incompréhension. C'était pourtant très claire non? Elle s'avança d'un pas vers lui, le regard moqueur ou alors plein de promesses... Elle avait bien il "maître" il n'était pas au courant.
- Oui... maître, je suis à votre service.
Elle souriait désormais à nouveau malicieusement, elle s'approcha de lui et reposa sa main sur le torse du jeune homme avec envie, elle devait et pouvait réaliser le moindre de ses désirs, c'était là la mission qu'on lui avait confier. Alors qu'il lui demandait son identité elle pencha la tête de côté, comme surprise de la question.
- Ça n'a pas d'importance, je peux être tout ce que vous voulez... Mais j'ai un nom, Alicia.
Elle sourit à nouveau, comme satisfaite de sa réponse.

- Attends... Attends, tu as vraiment dit que tu es à mon service?
Un sourire plutôt coquin se dessina sur ses lèvres et il fit glisser ses doigts sur le bras de la jeune fille.
- D'accord, Alicia... Moi c'est Jake. J'imagine que c'est toujours bon de le savoir, mais si tu veux continuer à m'appeler maître c'est comme tu veux. Mais dis-moi, qui t'envoit exactement?
La surprise avait passée rapidement, il semblait maintenant curieux et mattait son corps sans se gêner.

Elle le toisa d'un regard interrogateur avant de sourire à nouveau. Elle avait des airs de chaton. Vous savez, les regards naïfs qui ne connaissent rien de la vie? Mais, seulement par moments, car elle avait aussi des airs bien plus matures, bien plus... sexy. Elle releva la tête.
- oui, à votre service. Vous n'étiez pas au courant? Je me dois de faire tout ce que vous voulez. Je suis un cadeau.
Son dos droit, elle devait avoir une tête de moins que le garçon et pourtant, elle avait quelque chose de puissant qui émanait d'elle. Elle le regardait alors qu'il la regardait avec envie, et sourit malicieusement. Puis, son sourire s'éteint et une expression plutôt curieuse lui fit place, comment pouvait-elle changer d'état si rapidement? Mystère.
- Qui m'envoie..? Vous ne le savez pas? Moi je n'en ai aucune idée en tout cas, mais ce n'est pas important. Et puis, c'est à vous de me dire comment vous voulez que je vous appelle, c'est vous le maître.

- Bon...
Il haussa les épaules en s'avançant un peu pour mettre ses mains sur sa taille avec un sourire à la limite du pervers.
- Très bien, Alicia. Appelle-moi Jake.
Puisqu'elle était là pour satisfaire mes moindres désirs, aussi bien en profiter. Je mis une main sur sa joue, levai son menton et plaquai presque brutalement mes lèvres sur les siennes.

- D'accord, Jake.
Alors qu'il l'embrassait, il fallut une fraction de seconde à la jeune fille pour fouiller la tête du jeune homme. Il était là le pouvoir de notre chère Alicia, elle pour fureter dans l'esprit des autres, lire leurs pensées, dans ce cas ci pour assouvir les envies de son maître. Enfin, elle se retrouva au milieu d'image confuse et fini par comprendre. Elle passa ses bras autour du jeune homme en lui rendant ces baisers.

Jake ne savait peut-être pas de qui venait ce "cadeau" ni pourquoi on lui offrait ça, mais il remerciait la personne, qui que ce soit. Il sentait déjà qu'il allait passer la plus belle nuit de sa vie. Ses bras se refermèrent autour de la taille d'Alicia, et il la souleva sans lâcher ses lèvres, reculant lentement vers sa chambre. Une bosse commençait déjà à déformer son pantalon.

Un cadeau mon chéri..? Non, Alicia, c'est plus du genre la pomme empoissonnée. Enfin bon, quant elle senti la bosse dans le pantalon du garçon -elle était assez collé à lui pour ça- Elle recula d'un pas vif et, d'un petit être concentré, écarquilla les yeux.
- WAH!! Mon maître est un hentei!!! criait-elle en courant dans la maison, un obsédé, vous dis-je!
Voilà, le vrai problème avec la jeune fille d'environ 16 ans: Imprévisible, et puis les voeux 18 ans et plus, elle ne les réalisaient pas.

- Bordel mais qu'est-ce...?
Il se leva en soupirant et lui courut après pour la rattraper, lui plaquant violemment une main sur la bouche.
- Ta gueule, tu vas réveiller tout le voisinage!
Il l'avait complètement immobilisée contre son torse, lui tenant les mains dans le dos. Et il avait une solide poigne.

Elle se détendit et redevint normal.
- J'fais rien de 18 ans et plus sans mon consentement. fit-elle
Elle souriait à nouveau et se dégagea du jeune homme pour s'assoire sur le lit.

- Génial... marmonna le garçon en se traînant les pieds jusqu'au lit pour s'y laisser tomber.
Étendu sur le dos, il croisa ses bras derrière sa tête et fixa la bosse dans son pantalon, essayant de se calmer un peu. Tu parles d'un cadeau, ouais. Lui qui voulait s'amuser, il se retrouvait prit avec une gamine à ses ordres qui se mettait à hurler quand il faisait un petit truc trop osé pour elle.
- T'es à mon service pour le restant de mes jours?
Qui sait, peut-être qu'elle pourrait dire oui avant que j'ai 50 ans... Bon, j'exagérais oui, mais bon.

Elle s'assit à côté de lui, son regard toujours moqueur.
- J'suis pas une gamine! Et puis c'est pas mon problème si toi tu es trop pervers.
Elle réfléchis un instant et sourit.
- Tu veux une preuve que j'suis pas une gamine?!
Elle s'appretait à défaire le noeud sur son épaule.

Il se redressa un peu et la regarda avec un large sourire.
- Ok. Si t'es pas une gamine, prouve-moi le.
Il s'appuya sur un coude, le regard rivé sur son épaule, observant le noeud du ruban qu'elle était sur le point de détacher.

Elle sourit en le voyant se redresser et détacha le noeud, les rubans tombèrent au sol.
- J'ai pas un corps de gamine en tout cas,

- Oh ça non...
Il avait le regard rivé dessus, bavait presque d'admiration devant ce corps magnifique, tout à fait sublime, aux courbes attiraients et tout simplement parfaites. Il lui aurait bien sauté dessus mais il ne voulait pas prendre le risque qu'elle reparte à courir et hurler comme une folle. Il resta simplement immobile à la contempler sans oser avancer la main pour ne serais-ce que la frôler.

Elle s'étira... et s'assit sur le lit en riant, elle se faufila sous les draps.
- Moi j'suis fatiguée alors, j'Vais dormir.
Elle avait l'aire étrange disons, nue dans le lit d'un parfait inconnu.

Il hocha la tête et enleva son pantalon, se glissant à côté d'elle sous les couvertures.
- Moi aussi. Après tout, on m'a réveillé au beau milieu de la nuit pour m'offrir une gamine terrorisée par les gros sexes des hommes.
Il sourit d'un air un peu moqueur et ajouta en se tournant dos à elle:
- Je t'interdis de t'enfuir, de hurler et de courir partout. C'est clair ?

Elle se releva d'un air de défi, en oubliant sa poitrine dénudée.
- J'suis pas terrorisé, je suis juste pas du genre à coucher avec le premier venu.
Puis, comme si elle ne se rappelait pas qu'elle l'appelait maître plus tôt elle ajouta.
- Surtout quand il a ta tronche.
Et se recoucha.

- Pardon ... !?
Il se redressa et se tourna vers elle, la regardant en fronçant les sourcils. Puis il l'empoigna au cou et la plaqua contre le matelas avec une force inhumaine.
- Ne me dit plus jaaamais ça, dit-il d'un ton menaçant.

Elle recula comme itimidée et ouvrit la bouche comme pour répondre mais la referma et fit une moue piteuse.
- Désolé...