Les Irlandais de Bellefort

«-Madame O'Connell ?... Nous enfin... Nous avons le regret de vous informez que votre mari, David... est décédé, sur les champs de bataille...»
Est décédé sur les champs de bataille... Est décédé sur les champs de bataille... Est décédé sur les champs de bataille... Est décédé sur les champs de bataille...
-Maman ? MAMANNNN !!
Florence sursauta et regarda son aînée, Alexander. Son aîné qui n'avait que quatre ans...
-Maman, ça va ?
Elle renifla et essuya ses larmes.
-Oui... Oui.... Va habiller Marianne, Lex, s'il-te-plait.
-D'accord...
Le petit partit et Florence monta à l'étage.
Elle avait à peine 20 ans. Et elle avait quatre enfants... Bientôt cinq. Elle était enceinte de sept mois.
Il y avait Alexander, 4 ans. Puis, Marianne, la plus jeune, qui avait 1 ans et demi. Entre eux, il y avait les jumeaux, Jonas et Francis, qui auraient bientôt 3 ans.
Tous les garçons ressemblaient à leur père: même traits doux, même yeux verts, même visage. Marianne, elle, avec ses cheveux tout raides, au lieu de frisés comme les autres, avait des yeux marrons et ressemblait à sa mère. Tous ses enfants avait des cheveux cuivrés, comme son hollandais de mari...
Veuve, voilà. Elle était veuve...
Elle retint ses larmes et alla rejoindre les jumeaux.

Adam fessais les cent pas dans la petite pièce qui leur servais de dortoir, tandis que l’équipe de nuit s’occupais de ramasser les cadavres. Leur patrouille allait enfin être retiré des champs de batailles, aujourd’hui avais été leur dernière journée de guerre.

La situation s’étant calmé, les autorités avaient ordonnés que 3 des 8 équipes retourne en ville, ramasser et aider a la reconstruction de certains bâtiments. Adam fessais partie d’une des 3 équipes chanceuses…

Enfin, tout ce si aurais du le combler, il allait enfin retrouver sa famille, ses amis… mais au lieu de célébrer avec les autres, il refusait de parler a qui compte et s’était muer d’un silence pesant.

« David est mort » se répétait en boucle Adam. David, son meilleur ami depuis les 4 dernières années à combattre ici. Ils avaient juré de se protéger mutuellement, et de toute évidence il avait échoué à la tache. Il savait bien que ce n’était pas de sa faute, il ne pouvait tout de même pas prévoir qu’une bombe avait été lancée à cet endroit précis ou David avait mis le pied, mais la culpabilité le rongeait autant que la tristesse et le deuil accaparant. Quel coup de malchance, la dernière journée à combattre et son meilleur ami n’y avaient pas survécu.

Dans le noir, Adam eu une penser pour la famille de David qu’il laissait derrière lui. Sa femme dont il lui avait tant parlé, et ses 4 enfants qu’il n’avait à peine vu grandir vu les cours congés accordés qui lui avais quand même permis de procréé 2 autres petits se rappela-t-il en souriant très légèrement. David était tellement fier de sa famille qui cassais les oreilles de tous les membres de leur équipes avec les nouveaux exploits de tous et chacun, Adam avais presqu’eu l’impression de faire partie de cette famille tellement son meilleur ami lui racontait avec détail les premiers mots de sa plus jeune ou les premiers pas d’un autre de ses enfants. Il était persuadé qu’il les aimait de tout son cœur.

Il se promit de passer les voir, de leur offrir réconfort, car il savait qu’ils en auraient besoin.

Oui, il allait les aider et s’aider sois même a se sortir de cette tragédie.

Florence aida les jumeaux à s'habiller. Chemise puis veston et pantalon noir. Ils ne dirent rien du tout et se laissèrent faire, la tête basse. Quand ce fut fini, ils partirent attendre leur mère en bas.
Florence repartit vers la chambre de Lex et Mary, pour aider voir...
Quand ils sortirent de la chambre, le frère et la soeur, la petite applaudissait et semblait toute heureuse. Pour elle, le fait de se pomponner signifiait...
-Dada ! Dada !!!!
Florence pinça les lèvres, retenant une énième crise de larmes.
Alexander y alla doucement.
-On va voir papa, oui. Pour la dernière fois. On va le voir faire dodo...
-Heiinn???
La petite ne comprenait absolument pas mais ça allait... Pour le moment.
Ils montèrent tous dans la carriole du voisin et elle se dirigea vers l'église où avait lieu les funérailles de son mari.
Oh David... Mais qu'est-ce qui t'a pris de me laisser aussi ! Tu avais le choix ! Pourquoi tenais-tu donc tant à te battre ?... Pourquoi es-tu...
-Ça va aller Maman...
Alexander, une main sur le ventre de sa mère, la regardait avec tant de tendresse que Florence crut un instant que c'était David devant elle. Puis, elle se rendit compte que c'était à cause qu'elle avait les yeux plein d'eau.
-Je vais m'occuper de toi...
Dit par un enfant de 4 ans, Florence ne put s'empêcher d'être plus émue.
-Merci, Lex. Je t'aime, tu sais...
-Je t'aime aussi...

Le temps qu’Adam pris pour s’habiller lui paru interminable. Il essayais sans doute se retarder le moment ou il devrais affronter son meilleur amis seul, froid et mort dans un cercueil. Cette pensée n’allait pas du tout avec les souvenir qu’il avait de David. Autre fois un homme tellement... vivant.

Finalement près, Adam se mis en route vers l’église, préférant y aller en marchant, étant donner la proximité de sa demeure a celle-ci.

Il resta un moment a fixé l’église au bout de la rue et finalement, pris son courage a deux main et entra dans la chapelle.

Il fut d’abord submerger de ses anciens collègues, qui tous aujourd’hui pleurais la perte d’un être cher. Ils partagèrent certain souvenir, puis la cérémonie commença.

Adam écoutait le prête d’une oreille distraite, son attention plutôt porter sur le cercueil de David qui reposais a quelque mètre de lui seulement. Il observa la salle du regard, et fini par reconnaître tous les enfants de David, qu’il avait du voir 2 ou 3 fois. Ils avaient tellement grandis, mais certains restaient si jeunes. Trop jeune pour perdre leur père. Pour son regard se posa sur la femme qui accompagnait les enfants. Florence. Elle aussi il l’avait déjà rencontré 2 ou 3 fois, et malgré qu’il ne se connaissait pas beaucoup, Adam ressentais beaucoup de compatie pour la famille en deuil.

Quand ce fut l'heure du dernier salut, la petite Marianne se leva en trombe et se mit sur la pointe des pieds pour voir son père.
-Dada ! Daaadaaa !! Boo !!! Dada... DADA !!
Elle tappa du pied, frustrée.
-DADA DEDOUUUT !! LE MATINNNNN !!!
-Arrête, Mary... fit Alexander. Il ne se réveille pas.
-Ouuiiiii !!
La petite éclata en sanglot déchirant.
-MAMANNNNN !!! DADA DEDOUUUUT !!!
Florence était restée dans son banc, recroquevillée sur elle-même. Les cris de sa fille la déchirait en miettes.

Elle était allongée sur la plage. Elle sursauta quand quelque chose lui effleura le front.
-Oh, désolé, Mademoiselle. C'est que vos cheveux... ils sont si beau ! Je n'ai pu m'empêcher de les toucher... Pardonnez-moi encore...
C'était la première fois que Florence voyait un garçon parler avec un si adorable accent hollandais, posséder des cheveux si flamboyants et être si beau...
David...

Adam regardais la scène de son banc, ne sachant pas s’il devait se mêler a la discussion vu l’état de Florence.
Il s’approcha doucement sans rien dire, saluant les personne qu’il croissait sur sa route.

-MAMAAAAAAAN !!
-Arrête, Mary !! fit Alexander.
La foule était déchirée par les cris de l'enfant.
Les jumeaux s'approchèrent de leur soeur.
Florence, sur son banc, paraissait à des années lumières de là. Lentement, elle semblait bercer son énorme ventre.

Il recula vivement son visage.
-Je suis désolé ! Pardonnez-moi, je n'aurais pas dû, je ne sais pas ce qui m'arrive mais... Ma foi !
-Ne vous excusez pas, c'est ma faute... Je n'ai pas su vous retenir !!
-Oh mais Florence... Mes vacances ici ont été les plus belles de ma vie, et ce n'aurait pas été le cas sans vous... Lorsque je m'approche, mon coeur s'emballe, mes mains deviennent humides et... Votre sourire est un beaume à toutes mes blessures... Florence...
-Ouii ?
-Je crois... Je crois que...
-Moi aussi, David. Et je m'y perds... Mais je ne le crois pas, j'en suis sure. David je...
-Et je...
De nouveau, leurs lèvres se frolèrent, cette fois avec plus de passion que de pression.

Adam était déchirer face a la scène qui se déroulait devant ses yeux, lorsqu'il arriva près de la petite famille, il remarqua rapidement de Florence ce trouvais dans un autre monde, et s'acroupi près de la petite fille en pleur dont il avais souvenir d'elle que bébé.

La petite Marianne continuait à sangloter, les joues ruisselante. Le pauvre petit Alexander à côté ne semblait pas savoir quoi faire d'elle.
Les deux jumeaux s'étaient penchés sur le cadavre de leur père et le regardaient intensément.

-Monsieur Parry je... Pardonnez-moi ma gêne mais je...
Florence fronça les sourcils. Pourquoi David avait-il enlevé son chapeau ? Pourquoi paraissait-il aussi nerveux ? David O'Connell était un homme pourtant plein d'assurance et de volonté !
-Monsieur Parry, recommença-t-il, j'aimerais vous demander la main de votre fille, Florence...
Celle-ci étouffa un cri. Son père, John Parry, regarda David un instant.
-Elle t'est accordée avec joie, mon garçon. Je n'ai jamais vu une enfant aussi heureuse qu'elle lorsqu'elle est à tes côtés... Mais c'est à elle que tu dois le demander mon enfant...
Ils se tournèrent tous vers Florence.

Adam ne savais pas trop quoi faire, il n'avait pas d'enfants, il ne savais donc pas trop quoi leur dire pour les apaisser. il regarda Alexander, le seul donc il se souvenait du prénom. mais ne sachant pas quoi dire, il resta muet

Alexander le regarda un instant puis s'en fut trop. Il éclata en pleurs lui aussi. Il ne se souvenait pas beaucoup d'Adam, mais il savait que c'était un ami. Il le voyait dans ses yeux.
Avec sa petite soeur, il courut se réfugier contre le torse de l'homme.

-Florence...
David s'agenouilla devant elle. Elle dut se tenir contre la table pour ne pas tomber.
-Je crois que vous le savez autant que moi... Depuis la première fois où je vous ai vu, sur cette plage, mon coeur s'est épris de vous. J'ai bien peur qu'il ne puisse plus jamais se sauver de vos adorables filets. Je me plais à vos côtés et je vous demande aujourd'hui de rendre vos côtés miens, pour que je puisse toujours m'y plaire. Réciproquement, je vous offre les miens, je vous offre ma vie... Florence, voulez-vous m'épouser ??...

Adam fut surpris au départ, puis il les sera contre lui, tentant d'apaisser leurs sanglots.
- c'est finit maintenant leurs souflairent adam d'une voix réconfortante.

Ils le serrèrent contre eux très fort. Ils continuèrent de pleurer, cependant.

-Miss Florence Parry, acceptez-vous de prendre Monsieur David O'Connell comme époux, de le chéri et est décédé sur les champs de bataille, est décédé sur les champs de bataille, est décédé sur les champs de bataille.
-Nooonn... non non non...
Florence enfouit sa tête entre ses mains.
-Non non non non non...

Adam se retourna vers Florence, la voyant la tête entre les mains.
il aurais voulu craquer lui aussi, pleurer la mort de son meilleur ami, son confidant, mais il se devais d'être fort pour cette famille.

(min je re)

( Ok )

Elle n'en put plus. Elle craqua aussi et fondit en larmes. Caressant son ventre, elle pleura. On aurait dit un bébé qu'on arrache des bras de sa mère. La plupart des gens dans l'église la regardait, le coeur brisé, sans osé s'approcher de la veuve éplorée.

Adam était dérouté, ne sachant plus qui consoler.
il continuais de serer les enfants pour les appaiser, mais en se raprochant de Florence pour l'aider elle aussi.

-Maman...
Les deux petites têtes rousses des jumeaux apparurent. Ils regardèrent leur maman, les yeux plein d'eau.
Ça y est, pensa-t-elle. Il est vraiment mort...
-Mes bébés... fit-elle en ouvrant les bras.
Les petits s'y réfugièrent en vitesse pour pleurer aussi.
Elle se demanda ou était Marianne, mais elle devait être avec Alexander, donc elle n'avait pas peur..

( jdois y aller, jpars pour québec la la, mais jvais avoir internet dans l'hotel donc jvais pouvoir passer le soir et le matin , mais jrevient dans 3 jours anyways Razz

bye bye xoxox )

Adam arrivai près de Florence, toujours avec les eux enfants dans les bras.
il était toujours aussi pomer, ne sachant aucunement comment réagir.

Florence s'accrochait aux jumeaux comme à une bouée de sauvetage.
-Mamannn !!! fit la petite Marianne dans les bras de Adam.
Florence releva la tête vers eux et vit Adam. Elle savait qu'il était son meilleur ami.
-Onn...
Elle se leva et se glissa parmi les enfants pour s'appuyer aussi contre Adam.

Adam, surpris au départ, Resera son étreintre sur la petite famille, se contentant d'être simplement la pour eux.

Les gens le regardait d'un air heureux, contents de ne pas avoir à s'en occuper sans doute.
-A... Adam ... Da... David il... Il est...
Florence avait du mal à parler à travers ses larmes.