Le Vampire de Londre [Libre] (Cette histoire ne parle pas de vampires ^^;;;)

Londre 1845, dans les rues de Mayfair la peur fait rage dans ce quartier haute en richesse. On ne sait pourquoi, mais plusieurs enfants sont porter disparu depuis plus d'un an. Le niveau social des famille ne semble pas importer, ni même la pigmentation de leur peau. Aucun trace d'eux, ils se volatilisent de plus en plus fréquemment. La police a dut mettre un couvre feu pour tout les enfants. Cherchant qui pouvait bien les retenir ou sinon où pouvait bien se trouver leur corps.

Attablé dans ma salle à manger, je regarde d'un regard vide la chaise inoccupé qui se trouve devant moi. Les flammes des chandelles vacillent devant mes yeux verts, je ne porte aucun regard sur l'assiette devant moi, la pièce de viande saignante gis entre légumes cuits et pomme de terre au beurre. L'odeur de ses aliments me fait salivé, de mes doigts osseux j'agrippe la coupe de vin rouge qui se trouve devant moi. La cuisine est une passion pour moi et je me fait un tel plaisir de préparé un bon repas. Glissant le rebord du verre sous mon nez, j'hume le parfum suave du raison, je regard sa robe d'un oeil connaisseur, puis je goûtes de mes lèvres cendrés. Un goût fort et légèrement sucré qui s'harmonise parfaitement avec la viande que j'ai choisis. Tout peut porter à croire que ceci est un filet de porc enroulé dans du bacon juteux, cuit a point, mais je dois dire que mes goûts en qualité de viandes est beaucoup plus distingué. Je pique donc les dents de ma fourchette dans la viande et avec l'aide de mon couteau je me coupe de fine lamelle que je viens porter à ma bouche accompagné de navet, parfois de cèleris ou de carotte. Une fois terminé, je m'empresse de dé servir la table et de faire la vaisselle.

Étant un jeune homme de la haute société, mais vivant seul, j'ai appris à me débrouillé. Ma famille a toujours été contre le fait que je n'ai pas prit femme. Mais je dois l'avouer, je ne me languit pas tellement du sexe opposé. Et puis, je trouve le corps adulte tout ce qu'il y a de plus dépriment. 21 ans et toujours seul, enfin presque toujours. Une fois, la vaisselle lavé, je monte à ma chambre au second étage. Je passe devant un miroir et mis arrête. Mes yeux vert s'examine, puis regarde le reste de mon visage, une mâchoire carré rasé de très près. À l'aide de mon pouce et de mon index, je retires une mixture blanchâtre sur ma joue qui me sert à atténuer le sang lorsque je me coupe en me rasant. Mes lèvres cendrés sont entrouverte comme à leur habitude et les cernes sous mes yeux se refuse à s'évaporé. Je glisse ma main gauche dans ma chevelure sombre que je noue en une queue de cheval longue, quelque mèches rebelles retombent devant mon visage. Satisfait de mon apparence, je continus ma route jusqu'à ma chambre.

Je m'empresse de changer de vêtement, des habits plus distingué pour ma sortie quotidienne en ville. J'opte pour un pantalon brun tout ce qui a de plus banale, une chemise blanche caché en grande partie par un débardeur à motif de losange brun et caramel. Une cravate simple à mon cou et me voilà fin près. Je prends sur le bord de ma porte ma canne fétiche et descend les marches jusqu'à ma porte d'entré, sur une petite table se trouve un bol rempli de diverse sucrerie, j'en prends une poignée que j'engouffre dans la poche de mon veston long. Sur ma patère gis un chapeau melon noir que je viens poser sur ma tête comme touche de finition. Enfin près, avec une apparence des plus soignés, j'ouvre la porte sur l'extérieur et la lumière du soleil d'après-midi s'offre à moi. Un rictus amuser prends place sur mes lèvres et je mets finalement un pieds dehors.

Je prends la direction de Green Park, regardant les enfants jouant tout autour de moi.

Durant ma marche quotidienne, je pris le temps de regarder chaque passant. Mes yeux se portait surtout sur les femmes qui croisaient mon regard émeraude. Je leur souriais sans vraiment le vouloir puisque je regardais encore plus profondément que leur iris au diverse couleur. J'ai toujours eu de la facilité avec la gente féminine, mais après un certain temps en ma compagnie, plusieurs de mes conquêtes mon trouver étrange, troublé et psychologiquement atteint. Je ne m'en suis jamais plein, puisque je sais que je suis bien au dessus d'eux. J'ai toujours compris des choses que pour eux semblait d'infime importance. Je me suis même élevé au dessus de tout ce qui me semblait inférieur. La femme est un objet qui ne sert à rien d'autre qu'enfanté, leur corps charnelle n'est que le fruit d'une idée idéaliste du désir et de la sensualité. Pour ma part pour que je sois excité, il me faut un corps filiforme pré-pubère. Qu'il soit de sexe féminin ou masculin, mais je dois tout de même avouer que les petits garçons m'excite bien plus facilement, ne me dérange généralement pas.

Je croise par moment des familles, un ou plusieurs enfants en compagnie de leur parents, je ne les regarde que du coin de l'oeil à cause de ses racontar sur les disparitions d'enfants. Je ne tiens pas à éveillé des soupçons sur moi. Je passe mon chemin et arrive finalement au parc. M'arrêtant pour observer les alentours, ma canne encré dans le sol terreux. De mes un mètre quatre-vingt, je sais je suis très grand pour mon temps, je ne m’aperçois pas des enfants qui courent dans ma direction, portant mon regard vers l'horizon. Sentant quelque chose percuté mes longues jambes, je porte mon regard vers un garçonnet. Mes yeux le détail sans scrupule, un coté de moi qui fait fuir très souvent les gens qui m'entoure. Je le regard abaissé son regard si innocent vers ses pieds. Un rictus quelque peu terrifiant apparu sur mes lèvres avant de disparaître instantanément, laissant place à un semblant de demi sourire. Je regardes l'autre gamin qui cours dans notre direction et sans perdre un instant je sens mon corps vibré. Je déglutis d'envi et de plaisir. Bien qu'un peu plus vieux que celui qui m'avait percuter par inadvertance, il en restait bien plus grassouillet. J'entrepris de contrôler mes envies en m'abaissant vers le gamin à mes pieds. M'accroupissant en petit bonhomme devant lui, je posais un genoux au sol et plongeais mon regard dans les ses iris azurés. Un sourire charmant apparut sur mon visage blafard à l'intention du gamin.

- Est-ce que ça va ? Tu ne t'es pas fait mal?

Je constates alors que son genou est éraflé et pinçant le tissus de son short je le remonte pour ainsi mieux voir les dégâts. Sans m'en rendre conte je fais claqué ma langue sur mon palet, tique qui par moment refait surface. Redressant mon visage pour observer le détenteur de cette blessure, je remarque derrière lui, l'autre gamin qui a arrêté sa course et nous observes un peu à l'écart. Je me souviendrai de ton visage, me dis-je intérieurement.

- Ton genoux te fait-il mal? Car si tu veux, je n'habites pas tellement loin et je pourrais soigné cette vilaine blessure.

Je le regardais, le voyant incertain je lui souris pour le rassuré. Je me redresse dépliant mon corps osseux et bien trop longs par moment. Je replace une mèche rebelle derrière mon oreille droite et tend sa jumelle au garçonnet. J'attends qu'il la prenne après un moment d'hésitation, je vois sa petite menotte agrippé mes doigts longs et maigres.

- Et si j'allais te reconduire à ta mère? Montre moi simplement le chemin.

J'attendis qu'il se mette en route, passant près de l'autre enfant je l'étudiais du regard et satisfait de mon propre choix j'attendais déjà le soir. Le garçon fort en rondeur, s'écarta lorsque nous passions près de lui, je pus évaluer son niveau social et en déduire dans quel coin de Mayfair il devait habiter. Cette nuit j'irai faire mon tour.

- Cela fait longtemps qu'il s'acharne sur toi?

Tout en marchant je pris un instant le temps de poser mes yeux sur le gamin près de moi. Curieux d'en savoir plus sur l'enfant. Ma canne s'enfonçait à chaque pas que je faisais en direction que le bambin me montrait. Puis sans savoir pourquoi je repensais au sucrerie que j'avais prit avant de partir. Je m'arrêtais dans ma marche et fouilla dans la poche de ma veste et m'accroupis une nouvelle près du garçonnet et lui tendis une poignée de caramel.

- Mon père m'a toujours dit que lorsqu'on a mal, il n'y rien de mieux que les petits plaisir de la vie pour oublier notre souffrance et je crois bien que pour un enfant comme toi, ces sucreries font parties de ces plaisir. Est-ce que je me trompes?

Je lui souris attendant de voir sa réaction.

Je l'observais avec ses gestes délicats. Il n'existe rien de plus beau qu'un enfant et rien ne peut me faire désiré autre chose. Je vois sa petite menotte prendre un caramel et le manger. Je suis en quelque sorte heureux qu'il ne se gêne pas pour en prendre un. Il me remercie et je lui réponds par un simple sourire. Sa petite main revient se tendre en direction des caramels et me demandant s'il peut en prendre encore un, je fais mine de réfléchir.

- Bien sur, prends en autant que tu le désirs.

Lorsqu'il prend le second, je porte mon regard sur les caramels, peut-être que j'en avais pas pris assez. Tout en les gardant dans le creux de ma main, je sors ma montre et observe l'heure. Le couvre feu serait pour bientôt. Je ne sors jamais très longtemps, d'où ma peau très pâle, car le soleil n'a jamais le temps de vraiment couvrir ma peau et puisque je sors lorsqu'il va bientôt faire sombre je n'ai pas le temps de grillé. Mais pour l'instant, je me dois de reconduire cette enfant à sa mère, car en le rencontrant j'ai su ce que j'allais faire ce soir. C'est à ce moment que j'entends, une voix féminine quelque peu aiguë pour mes oreilles. Elle cri un nom et je regardes l'enfant qui tiens toujours ma main.

- Est-ce ta mère qui t'appels?

En effet la femme ne perdit pas un instant et se dirigea vers nous. Je donnais le reste des caramels au garçonnet et libérais ma main qui le tenais. La femme s'approcha de nous, mais ne me regarda pas, préférant observer son enfant, puis elle finit par réaliser que je me tenais près d'eux.

- Votre fils s'était simplement perdu et je me suis chargé de vous le ramener.

Elle me regarda septique et je fis mine de rester de marbre. Puis elle me remercia et me proposa un dédommagement, mais je m'empressais de refuser. Sachant que tôt ou tard, je me servirais peut-être. Je laissais donc l'enfant avec sa mère et me mis en quête du garçon que j'avais vu poursuivre le gamin que je venais de quitter. Il ne me fut pas tellement ardu pour le retrouver, brutalisant un autre gamin sans aucune raison. Je me tapis près d'un arbre l'observant dans la plus grande discrétion.

Quelque minutes passèrent et je me mis à le suivre lorsqu'il rejoignit ses parents et se dirigea vers chez lui. Les observant du coin de la rue, je les regardais rentré chez eux. Sachant maintenant où il habitait, je me promis de revenir plus tard dans la soirée. Je retournais donc chez moi les mains bredouille, mais avec la merveilleuse idée que pour très bientôt j'aurais un merveilleux repas dans mon assiette. Une fois rendu chez moi, je me mijotais un merveilleux ragoût avec quelque restant de viande qui me restait. Accompagner d'oignons, de carottes, de navets et de céleris. Je m'attablais sans perdre un instant et mangeais avec faim. Je me complimentais pour mon repas, puis lorsque je l'eut finis. Je me préparais à re-sortir, direction la maison du gamin grassouillet.

Arrivé non loin de la maison que je convoitais, je m'arrêtais pour regarder celle-ci. Les lumières étaient toutes éteintes sauf une. Dehors se trouvait le gamin, le genre d'enfant qui a mes yeux ne doit pas tellement obéir à ses parents. Je ne me posais pas plus de question et m'approchais de lui. Je lui offrit des bonbons qu'il ne tarda pas à venir prendre. Je l’appâtais ainsi jusque chez moi. Une fois à l'intérieur, je déposais sur un mouchoir de satin un peu de chloroforme et m'empresser de le poser sur le nez ainsi que la bouche du gamin. Cela ne prit qu'un instant pour que ce dernier perde connaissance. Je regardais son corps étendu sur le sol, puis je posais mon regard verdâtre sur la petite bouteille remplis de chloroforme. Je remerciais mes quelques années d'études en médecine en France où j'avais la rencontre d'Eugène Soubeiran, un pharmacien qui avait fait la découverte de ce solvant. Puis je conduisis le gamin dans une chambre au second étage, j'attendis assis sur une chaise qu'il reprenne connaissance.

Lorsque je remarquais enfin ses yeux s'ouvrir, j'entrepris de retiré mes vêtements, après tout je ne désirais pas qu'il soit tâché. Les pliant soigneusement et les déposant un à un sur la commode, en une pile bien propre. L'enfant me regardais moi, l'homme qui venait de l'enlever et qui se dévêtissait devant lui. Aussitôt prêt, je le regardais durant un petit moment, observant son visage ruisselant de larme. Frottant mes doigts sur ma ceinture que j'avais garder entre mes mains, j'entrepris de commencer à le fouetter. Le sang parsemait ses jambes et commençait à venir s'éparpiller sur moi en infime gouttelettes. Je sentais le plaisir m'envahir, une érection montrait le bout de son nez, mais je devais me contrôler, car gâcher de la viande ainsi n'est pas la meilleur des idées.

Lorsque ses jambes furent assez meurtrient pour qu'il ne puisse plus bouger, je m'approchais de lui et tâtait celles-ci avec appétit. Je le laissais finalement là en plan, durant que je descendais à la cuisine prendre un couteau et remontait pour préparé la viande. Je commençais par découper ses oreilles et son nez, je vois son regard apeuré m'observer. Ne me préoccupant pas le moindre instant de la souffrance qu'il devait ressentir, j’agrandissais sa bouche avec l'aide de la lame jusqu'à ses oreilles, lui donnant un sourire prédominant. Le sang coulait à flot sur son corps venant glisser sur mes mains. Déposant le couteau au sol, entreprit de lui arracher les yeux avec mes doigts. J'ai toujours aimé la chair et pouvoir la travaillé de mes mains accroissais mon plaisir. Tout en dépeçant ma viande avec plaisir, je me mouvais avec grâce et délicatesse, trouvant que ce que je faisais était l'un des plus beaux arts qui soit. Ensuite j'enfonçais mon couteau dans son ventre et je plaçais ma bouche sur l'ouverture pour y boire le sang qui s'en échappait, me donnant ainsi une confiance en moi et de la vitalité.

Pour le reste je m'amusais à le démembré, coupant son tronc juste au-dessus de son nombril, puis les jambes à environs cinq centimètres de ses fesses grasses. Finalement j'ai tranché la tête, les pieds, les bras et les jambes au-dessus du genou. Je disposait la viande sur le plancher et l'emballais dans du papier pour la garder bien fraîche. Je gardais tout de même quelque morceaux que je mis tout ensemble, son sexe, ses rognons et son derrière appétissant. Ce qui restait de son corps, je l'amenais à mes chiens pour qu'ils se régalent à leur tour. Mais avant cela, je combla mon plaisir qui commençait à me faire souffrir en me masturbant, éjaculant sur le sol, mélangeant mon sperme avec le sang frais toujours humides sur le plancher de bois. J'allais me lavé en vitesse et me rhabilla.

Le lendemain, après un bon repas, je sortis dehors, allant une nouvelle fois me promener au Green Park. J'avais amener avec moi un livre, et je pris place sur un banc lisant un roman que l'on m'avait conseil, mais qui ne m'intéressait pas plus que ça. J'observait tout de même les enfants jouant près de moi. Mon regard caché par mon chapeau haut-de-forme, ma canne appuyer sur le banc près de moi. Il va s'en dire que je ne ferai certes pas mon épicerie tout de suite, mais j'ai toujours aimé repéré ma proie bien à l'avance.

Mes yeux observait l'enfant mâchouiller le caramel avec l'aide de ses petites dents. Je l'observais un instant puis portait mon regard sur ce qu'il faisait avant mon arrivé. Je voyais le carré définis par des bordure de terre et les meuble former grossièrement par des touffes d'herbes et de terre. Les enfants avaient tellement une imagination sans limite. Je semblais si différent de lui, car durant mon enfance je n'avais jamais jouer dehors avec l'herbe fraîche. Mes parents m'obligeais à lire des ouvrages de grands écrivains Anglais et Français. Je savais merveilleusement jouer de diverse instruments de musique, plus précisément du piano. J'avais appris à peindre, je savais dessiner et bien d'autre chose de la haute société.

- Tu t'amuses à quoi?

La même voix de la veille se fait entendre et je me redresse pour faire face à la jeune mère et une autre femme. Toute deux me regarde et je remarques la seconde rougir en me voyant. Je caches les caramels dans ma poche et avant que je ne puis me présenté la jeune femme s'adresse à moi.

- Ne seriez-vous pas l'homme qui à aidé mon fils hier?
- En effet, madame.

Elle se tourna pour regarder la femme derrière elle. Je me doutais qu'elles devaient se parler avec seulement leur regard. Beaucoup de femmes ont cette manie. Elle revient à moi après un un certain temps.

- Puis-je vous ré-offrir un dédommagement pour hier?
- Je ne tiens pas à vous importuner madame.
- Mais non voyons. Et si je vous invitais à venir manger ce soir à la maison? Qu'en diriez-vous?
- Et bien si je ne vous déranges pas, j'acceptes volontiers votre invitation.

Je lui souris et durant qu'elle se mit à marcher en direction de chez elle tenant la main de son fils. Je me retrouvais à discuter avec l'autre femme. Je lui parlais tout en cachant mon ennui.

J'écoutais, tout en marchant, la femme parler de chose et d'autre de la vie commune des Anglaises. Ma vie n'avait rien de banale contrairement à elle et je m'en réjouissais, car à l'entendre parlé, sa vie rebondissait d'imprévu, ce que je trouvais tout au contraire platonique et terriblement ennuyant. Une vois aiguë parvint à mes oreilles endoloris par la voix de la jeune femme. Je tournais mon regard vers le gamin qui essayait sans nul doute d'attiré mon attention. Je l'écoutais parler, je savais très bien de qui il parlait pour l'avoir déguster pour déjeuner.

Nous arrivâmes vers 16 heures à la demeure du garçonnet. Sa mère m'offrit le thé que je ne pus refuser, car après tout le thé fait partie de la culture anglaise. Elle partie préparé le thé durant que je m’assoyais sur une chaise dans le salon. Je regardais l'enfant et lui sourit.

- Comment t'appels-tu?

Quel mal polis j'étais, ne pas savoir son nom... Bien que pour tout dire je m'en préoccupais que très peu.

Il sembla ravie de me dire son nom accompagné de son âge. Je lui souris et lorsqu'il partit se laver, je m'étonnais que sa présence me manque. C'était peut-être dut au fait que tout près de moi ce trouvait cette femme avide de me connaitre, mais que je trouvais platonique et ennuyeuse. D'ailleurs elle ne tarda pas à me parler et je l'écoutais d'une oreille tout en pensant que j'aimerais mettre fin à ses jours pour respiré le silence qu'elle produirait en mourant. Bien que je savais pertinemment que si je levais les doigts sur elle, ses yeux se rempliraient de peur et dès ce moment j'en éprouverais une jouissance incroyable. Rabattant ma jambe gauche sur ma droite, je crispais mes doigts pour contenir mes envie de meurtre. Je m'étais toujours dit que bien que je sois presser, je me devais toujours d'attendre un tant soit peu, ainsi je prenais le temps d'évaluer ce qui m'entourait et au finale je pourrais ainsi mieux tuer. Bien que je me disais souvent cela, au bout du compte je ne le respectais aucunement. J'allais finalement poser mes mains sur son cou long et décoré de multiple bijoux, lorsque le dit Noah arriva dans la pièce seulement vêtu d'un caleçon. Je restais sans voix, non pas parce qu'il était peu vêtu, mais plutôt parce qu'il était trop vêtu. Je me serais attendu à le voir entière nu, s'il avait déboulé dans la pièce. Étrangement, je ne pu m'empêcher au finale de sourire bêtement. Je le regardais courir en direction d'où ce trouvait sa mère et tout près de moi j'entendis la femme, ricané en me disant qu'elle le trouvait adorable et qu'elle avait hâte d'avoir le sien. Je déposais alors mon menton rasé dans le creux de ma main, tout en jouant des doigts, montrant mon impatience, sur le bras du fauteuil où j'avais pris place.

La femme finit par revenir tenant un plateau dans ses mains. Sur celui-ci ce trouvait une théière en porcelaine blanche peinte avec adresse et grâce. Elle posa le plateau sur une table basse et servit le thé dans chacune des trois tasses. Elle me proposa lait et sucre, mais je refusais préférant de loin le boire nature sans fla-fla. Je pris la tasse tout en la remerciant et entreprit de la boire silencieusement durant que les deux femmes discutaient entre elles. Je regardais du coin de l'oeil le jeune Noah. Je commençais à penser qu'il serait des plus agréable à voir se faire pervertir. L'idée saugrenu d'en faire un genre de disciple me traversa l'esprit, peu avant que sa mère daigne enfin me demander mon nom. Je déposais la petite tasse dans la secoupe et lui souris.

- Je me vois désolé de mon impolitesse, mesdames. Le duc Garren Cordell.

Un nom inventé, je ne disais jamais mon véritable nom. On ne sait jamais ce qui pourrait arrivé, je gardais ainsi Walter Lawford secret. Elles s'émerveillèrent d'apprendre que j'étais duc. Pour ma part mon rang social ne m'importait peu, car je le blâmais d'être la cause qui m'avait conduit à être moi.

Une fois le thé finis, je pris en compte mon idée de prendre Noah sous mon aile. Quel idée à bien y penser. Je crois que son affection pour moi et son petit corps altéraient mes pensées. Lorsque la mère de celui-ci retourna en cuisine, j’exauçais mes voeux en appuyant sans ménagement sur le cou de la jeune femme près de moi. Je pris bien soin d'étouffer ses cris avec ma main gauche. Je vis la peur, la réticence, l'abandon à la dernière seconde, puis le néant. Son regard était maintenant vide et je laissais son corps reposer sur le sofa. Je pris la direction de la cuisine et dérobant un couteau je tranchets la gorge de la femme qui possédait le bien que je désirais. Puis je me mis à chercher l'enfant que je trouvais avec facilité. Il ne semblait pas avoir remarqué la mort qui planait dans la maison. Je lui offrais des caramels tout en lui affirmant que sa mère voulait bien qu'il vienne jouer chez moi.

- Ne t'inquiètes pas, tu reviendras ce soir. Tu sais j'habites une très grande maison rempli de sucrerie, mais je ne pourrais pas les manger tout seul.

J'attendis de voir sa réaction, car de gré ou de force je l'amènerais chez moi...

Prenant la main du garçonnet, je sortis de chez lui, tout en faisant bien attention à ce qu'il ne voit pas sa mère et l'autre femme. Je pris la direction la plus courte pour aller jusque chez moi. Quelque passant croisaient notre chemin, mais je ne leur portais aucun regard, mon chapeau haut-de-forme enfoncé jusqu'à mes sourcils. Quelque barouches passaient aussi près de nous, et je finis par monter dans l'une d'elle sachant que l'enfant ne pourrait certainement pas marcher autant. Avant d'entré j'indiquais au cocher l'adresse où il devait se rendre et une fois à l'intérieur je donnais deux petits coups sur le toit pour lui faire comprendre que nous étions prêt à partir. Les chevaux se mirent en marche et suivant le chemin de pierre, nous nous dirigeâmes vers ma demeure.

- Alors Noah aimes-tu les chevaux?

Je lui posais durant tout le trajet des questions banales tel que: Aimait-il les chiens? Quel bonbon il préférait? Enfin des questions, qui à mon humble avis pourrait l'intéresser. Le cocher arrêta son véhicule devant ma porte et je fis sortir le garçonnet en premier, avant de payer l'homme pour le trajet.

Durant que la barouche s'éloignait, je me tournais vers ma demeure. Une immense maison reculer des autres, il n'y avait pas vraiment de voisin dans les parages. Une grille bloquait l'entré et je la poussais pour ainsi pouvoir entré dans ma demeure. Un chemin de galet clair nous conduisait jusqu'à l'entré où nous dûmes gravir quelque marche pour arrivé jusqu'à la porte principale. Bien que ma maison soit grande je n'avais pas vraiment d'employé se qui décourageais au plus haut point mon père. Il ne cessait de me répété que cette maison finirait par tomber en ruine, ce qui n'était pas tout à fait le cas. J'ouvris la porte de bois massif et offrit la vu de ma maison au garçon. Un hall couvert de tapisserie dans les teintes de bleu sombre s'offrait à nous. Près de l'entré, ce trouvait un bol remplis de diverse sucrerie et je me penchais prenant les épaules du garçon entre mes mains large et je lui susurrais à l'oreille.

- Regard, ils sont pour toi!

Durant qu'il s'attablait sur le bol, je retirais mon chapeau, déposait ma canne et je pris la direction de la cuisine pour nous concocté un succulent dîner.

Je sortais d'une étagère un gros livre à la reliure de cuir. Son poids était proportionnel à sa grosseur et je le déposais avec force sur le comptoir de ma cuisine. Ayant un invité, j'allais faire un merveilleux dîner. Je tournais les pages du livre, cherchant une recette qui m'en mettrait l'eau à la bouche. Une fois, trouvé je me tournais pour me diriger vers la chambre froide qui se trouvait au sous-sol. Mon regard se posa sur le gamin qui se trouvait derrière moi, tenant sa peluche fermement. Je lui souris et m'approcha de lui, m'accroupissant pour être à la même hauteur que lui.

- Qu'est-ce qu'il y a? Tu as déjà manger tout les bonbons?

Je lui souris tout en passant ma large main dans ses cheveux blond.

Entendant ses paroles, je ne pus que sourire. Je me redressais, glissant index et pouce entre mes lèvres, je sifflais. Deux gros molosses arrivèrent en courant, jappant avec joie. Ils s'arrêtèrent à mes pieds, battant de la queue. Je déposais mes mains sur le dessus de leur tête, glissant mes longs doigts entre leur oreilles. Mes yeux vert regardèrent le petit.

- Voici Oscar et Edwin. Se sont mes chiens et ils sont très gentils, ils resteront avec toi pendant que je préparerai le dîner. Tu dois avoir faim, à moins que tu n'es trop manger de sucrerie.

Ma voix avait sonné quelque peu moqueuse, mais je restais souriant. Les deux danois se mirent à sentir le gamin et j'eus un rictus satisfait.

- Je dois m'absenter un instant, je descends au sous-sol chercher ce qu'il me faut pour le goûter. Tu peux rester ici avec les chiens?

J'attendis qu'il me répond, avant de partir en direction de ma cave. Je ne pris pas beaucoup de temps et remontait les mains chargé de viande et de légumes, pommes de terre, carottes et oignons. Je retournais à la cuisine, ne portant aucun regard à l'enfant. J'étais entré dans une genre de transe, apprêter la nourriture était pour moi un véritable plaisir. Je pris la viande, un superbe fessier récolté la veille, que je coupais en deux l'enroulant de bacon et je déposais dans un chaudron. Je versais un demi litre d'eau pour le jus de la sauce, j'y rajoutais des oignons et mis le tout sur le feu. À intervalles réguliers, j'arrosais de jus son derrière avec une cuillère en bois afin que la viande soit juteuse. Pendant ce temps je préparais les autres légumes et une fois prêt, je pris le tout et le mis dans un plateau à service.

- Voilà le dîner est prêt.

Je me tournais pour regarder l'enfant et je luis fis signe de s'approcher. Une fois à coté de moi, je le soulevais et fis couler de l'eau.

- Avant de manger, il faut bien laver tes mains.

Aussitôt lavés, je le déposais au sol et lui montrait où se trouvait la salle à manger. Je le suivis les bras chargés d'assiettes que j'allais porter à la table. J'en déposais une devant l'enfant avec ses couverts et une autre où je prendrai place. Je repartis en cuisine chercher le rôti et une fois déposé à la table, j'entrepris de découper la viande tendre et juteuse.

- Tu as une grande faim?

Je découpais la viande et remplis l'assiette du gamin de deux tranches de viande. Je fis couler la sauce sur celle-ci et lui servis des pommes de terre ainsi que des carottes cuites. J'apportais l'assiette devant lui.

- Tu désirs boire quelque chose? Et si tu en veux d'autres tu pourras te resservir.

Je lui souris et alla chercher ce qu'il désirait boire. Je remplis son verre à moitié et laissa la bouteille près de lui. Je me servis à mon tour, puis fit couler dans mon verre un cabernet sauvignon. Sa robe rouge coulait avec fluidité dans ma coupe. J'humais son parfum et le goûtais du bout des lèvres. Je souhaitais bon appétit au garçonnet et entreprit de manger ce qu'il y avait dans mon assiette. Je me régalais de ce plat. La viande du fessier était bien tendre. Je trouvais que mon plat était bien réussis.

- Tu aimes?

Je lui souris dévoilant mes dents, un sourire impeccable pour l'époque.