Dans un futur pas si lointain.... [Pv Prince-Kizu]

Il y a quelque temps, le monde de la génétique n'était pas encore à l’apogée de son existence. Le clonage n'était pas encore fait sur les humains, le plus grand clonage qui avait été fait à ce jour, Dolly, une brebis qui fut le premier véritable pas pour cette science. Ensuite divers mammifère furent cloné, jusqu'à il y a quelque années, en 2008, les premières cellules humaines firent naître trois embryons. Une nouvelle découverte et qui ne tarda pas à évoluer, c'est en 2012 que le premier être humain fut cloné et aussi fait que la technologie pour cette science déboula sans perdre un instant et maintenant en 2020, plusieurs personnes célèbres possèdes leur clones. Néanmoins, la génétique reste un domaine encore peu exploré.

Dans la ville de Brunswick dans le Maine, un centre de recherche génétique est sur le point de faire l'une des plus grandes découvertes. Bien que le Japon eut cette idée depuis des générations, il semblerait qu'ils ne l'ont jamais poussé au résultat de la vie en soit. Dans un petit laboratoire exclu du reste du groupe de chercheur, ce trouve une jeune femme prêt de son but....

- Et merde! Ce n'est toujours pas ça...

Détournant mon regard azuré de mon microscope, je pousse un soupire de découragement, je commence à en avoir marre de cette fichu recherche qui n'avance à rien. Des jours, des mois, des années à travaillé sur une modification génétique qui n'aboutit sur rien. Pourtant c'est l'essence de ma vie, on pourra dire n'importe quoi à mon sujet, mais il en reste pas moins que je tiens à réaliser ce projet!!! Mes collègues m'ont toujours trouver folle et perverse à cette idée, mais si mon projet a été accepté, il doit forcément y avoir une raison pour cela. Je ne dois pas baisser les bras! Pour un second soupire, je reportes mon regard océanique sur la lentille qui me permet de voir ces toutes petites particules. J'augmente la vision de 10, puis 100 et finalement 1000, me pinçant la lèvre inférieur avec mes dents je cherche le meilleur moyen pour surpassé mon propre travail.

Tout d'un coup, c'est comme si un gigantesque éclair s'abattit sur moi, puis l'ampoule qui me sert de ce que l'on pourrait appeler cerveau s'allume. Je remarque dans mon échantillon une cellule, bien différente et que je discerne comme étant une cellule mâle. Un sourire enchanteur vient fendre mes lèvres charnels, eurêka j'ai enfin trouver. Ajustant mon sarrau sur mon corps filiforme, je m'en presse d'enregistré ma découverte d'aujourd'hui. Allumant la petite caméra qui se trouve sur mon ordinateur portable, j'ouvre un nouveau dossier et en moins de deux tapes sur le clavier la date et le nouveau de recherche, 21-06-2020 dossier 321. Ne prenant même pas soin de mon apparence négliger, chose qui généralement est plutôt rare, je regarde la caméra et lui parle comme si une personne se trouvait devant moi.

- Aujourd'hui le 21 juin 2020, j'ai trouver une cellule mâle dominante dans le sang du numéro 1055. La première cellule aussi développer qui daigne rester dans le corps de son hôte....

Je lui dis tout ce qui est tangible d'intéresser d'autre chercheur. Puis je me dirige vers l'animal numéro 1055 et la regarde. Une rate au pelage blanc qui me regarde avec de ses yeux rouges. Je prends une bonne respiration et glissant ma main dans la poche droite de mon sarrau en ressort une paire de gants en plastique. Je m'empresse de mettre les gants, puis avec délicatesse j'ouvre la porte de la cage. Le cobaye ne bouge pas et ma main baguée vient l'agripper par la peau du cou. Je la soulève sans vraiment faire attention à mes geste et une fois devant moi, je lui regarde sans gêne ses organes génitaux. Avec stupéfaction, je remarque une petite bosse juste devant son vagin. De ma main libre je viens tâté cette chair et avec étonnement je vois un petit bout rose faire surface. Ne pouvant contenir ma joie, je pousse un cri de fierté tout en échappant la rate au sol. On pourrait croire que ce n'est pas ma journée. Je la regarde filé à toute jambe sous les bureaux. Plissant le nez, je pousse un long soupire et me mets à quatre pattes à la recherche du cobaye prouvant mon travail.

Je passe près d'une heure à le chercher en vain. Je suis certaine qu'il n'a pas quitter le labo, mais où peut-elle se caché?

- Petit, petit, petit...

Là y'en a marre! Je me redresse replaçant une mèche bourgogne derrière mon oreille. Avec un peu de rage, j'envoi mon pied s'abattre sur la patte du bureau près de moi. Un bruit sourd se fait entendre dans la salle et je vois la bête qui sort en courant pour ce chercher une autre cachette. En moins de temps qui n'en faut pour dire «génétique» je lui saute dessus et l'attrape. L'empoignant par le cou, je la soulève et de mon index je la pointe du doigts, les sourcils froncés.

- Ne me refais jamais le coup, vilaine.

Ne m'y attendant pas, la rate montre des signes d'agressivité et me mord le doigts perçant mon gants et faisant apparaître une goutte de sang. Je mets l'animal dans sa cage et je finis par porté mon doigts blessé à mes lèvres. Doucement j'aspire ce liquide amère au léger goût de métal. C'est alors que j'entend une voix s'adressant à nul autre que moi, et doucement je fais volte face pour regarder mon interlocuteur tout en suçant ma blessure.

Un jeune garçon qui semble plus jeune que moi me regarde et s'approche de moi. Je l'observe tout en arquant un sourcil. Il me semblait un peu jeune pour travaillé dans ce centre, à moins qu'il soit stagiaire ou encore qu'il est une apparence qui ne montre pas son véritable âge. Enfin bref, peu importe, il empoigne ma main blesser avec délicatesse et se mets à observer mon infime blessure tout en me demandant ce qui s'était passer. Allais-je lui dire qu'une rate apeurée par mes geste m'avait mordu? Je crois que mon orgueil en prendrait tout un coup, bien que généralement je n'écoute pas mon orgueil car sinon je ne serais pas ici à faire une recherche sur le changement génétique. Je finis par lui adresser un sourire timide tout en reprenant ma main. Je retire avec soin le gants qui aurait du me protégé et le jette dans la corbeille près de moi avec son jumeaux. Je prends la direction de mon bureau, faisant ainsi dos au jeune homme.

- Et bien j'ai tout simplement mal agis et j'ai fait peur à mon cobaye et elle m'a mordu, dis-je en riant timidement tout en ouvrant un tiroir.

Je cherches avec frénésie un passement à me mettre sur mon doigts, farfouillant dans mon tiroir, je finis par trouver ce que je cherches, dévoilant un sourire satisfait. Je me tournes et regarde le garçon tout en mettant mon passement sur ma légère plaie.

- N'est vous pas un peu jeune pour travaillé dans ce centre de recherche?

Je lui adresse un large sourire, après tout c'est la seule personne que j'ai croisé depuis des lustre si je ne comptes pas mes rats. Doucement je défait mon chignon et laisse retomber mes cheveux rougeâtre dans le creux de mon dos. Si j'étais pour avoir de la visite d'un compère, je n'allais certes pas me montré sur mon pire jour. Je refais donc ma coiffure, mais cette fois j'opte pour une queue de cheval haute, puis je replace mes lunettes sur mon nez.

Tout en l'écoutant parler, je me dirige vers un banc où je m’assois tout en prenant soin de tiré sur le rebord de ma jupe pour cacher le plus possible mes cuisses, mais en vain. De ma main gauche je tapote le banc près de moi faisant signe à mon visiteur qu'il peut venir prendre place près de moi. Une fois assis à coté de moi je l'observe et tout en lui souriant, je lui demande avec une pointe d'humour.

- Tu t'es perdu ou tu désirais rencontré la jeune femme dont mes collègues se méfies?

Je souris, je sais parfaitement comment me surnomme mes collègues, mais je n'y porte pas tellement attention.

Je l'écoutes parler et je ne peux m'empêcher de sourire en voyant sa réaction suite à ma dernière question. Sûrement qu'il ne se doutait pas être devant la dite personne de mes propres propos. Je me suis toujours amusée de voir la réaction des gens qui apprennent qui je suis ou ce que je fais. Car qui irait faire des recherches sur la modification génétique. Il est vrai cependant que je n'ai jamais approfondit mes propos sur mes recherches, sauf peut-être pour mon plan de recherche que j'ai présenté à un conseil gouvernementale qui me donnerait assez d'argent pour accomplir mes rêves.

Cette idée quelque peu saugrenu qui m'était venu dans ma jeunesse lorsque j'étais tomber sur des manga hentaï de mon frère aîné. Je m'étais toujours demander ce que l'on pouvait ressentir lorsqu'on était équipé d'un pénis comme les hommes. Et voilà que je recherchais une façon d'accédé à ceci. Et par miracle je venais de trouver.

Je sortis de mes pensés en entendant la question du jeune homme. Je sentis mes joues rougir un tant soit peu et pour caché ma gêne je glissais ma main dans mes cheveux, accrochant par mégarde mes lunettes, mais elles restèrent sur mon nez.

- On peut dire que je consacre ma vie à mes recherches, tellement que je n'ai pas une si bonne réputation que cela au près de mes collègues et tu dois avoir entendu parler de moi, une femme un peu folle sur les bord et perverse.

Je lui souris amuser de ma réponse. J’appréhende sa réaction, mais avant de le laisser parler, je me décides de rajouter quelque petites suggestions.

- Et bien si tu veux on peut passé Noël ensemble, puisque tout comme moi tu semble pris ici. Je peux faire un bon café et je crois qu'il me reste du cognac quelque part, dis-je avec un large sourire.

L'utilité d'être isolé c'est que mon bureau regorge de chose, comme une cafetière, une bibliothèque que je m'assure de bien verrouillé lorsque je suis absente. Certaines choses qui sont à l'intérieurs pourraient choqué autrui. J'ai même mon propre lit près de mes cobayes. Enfin c'est en quelque sorte mon chez moi.

Aussitôt ma proposition accepté, je me lèves et me dirige vers ma cafetière ou je commence à préparé tout en allant chercher le cognac dans la bibliothèque, je prends cependant bien soins qu'il ne remarque pas la pile de manga futanari. Je l'écoutes parler tout en remplissant les tasses au tierce de chacune d'elle avec le cognac. Pour fêter vaut toujours mieux ne pas ménager. J'attends un instant encore le café, puis le verse à son tour dans chacune des tasses. J'éclates de rire, amuser par les dires du blondinet. Avec un petit bâtonnet je mélanges le café et cognac.

- Non non je ne suis pas mariée, peut-être un jour, mais pas pour l'instant. Je crois qu'ils n'approuvent pas vraiment mes recherches.

Je me tournes tout en apportant l'une des tasses à mon "invité". Je lui tendis celle-ci avec précautions, car elle est remplis jusqu'au rebord. Je prends place devant lui, tout en faisant attention encore une fois à ma jupe qui commence sérieusement à me gêner. Lorsqu'il eut fini de parles, j'affichais désormais un air plus sérieux. Devais-je lui parler de mes recherches? Celle-ci causait toujours un froid après que j'en parle....

- Et bien, je m'intéresse surtout à la modification génétique. Depuis mon adolescence j'ai développer une curiosité sur un sujet que j'ai trouvé dans un manga que mon frère possédait. Depuis, j'essai sans relâche de réussir ce changement génétique. Je pris une gorger de café. Et je crois bien avoir réussis aujourd'hui même, dis-je en lui souriant, puis m'approchant un peu du garçon, je lui susurrais. J'ai trouvé le moyen de faire pousser un pénis au femme.

Je souris, puis m'éloigna du garçon. Une seconde gorgée de café aromatiser au cognac. Mes propos semblaient étranges quand je me les redisait dans ma tête.

- En fait, je ne l'ai pas tester sur des humains, mais le cobaye 1055 a effectué une mutation génétique, la première à rester en vie plus de 12 heures depuis le commencement de mes recherches.

Je lui souris, montrant ma fierté. Puis je portais mon regard clair sur la cage du cobaye en question.

Je joues à pianoté ma tasse entre mes doigts, sa chaleur me réconfortait et son goût me rendait toute chose. J'observais de ce fait même les réactions du jeune homme. Et je voyais divers expressions passé sur son visage, ne pouvant pas vraiment les identifier avec certitude, car après tout je ne le connaissais pas vraiment.

- En faite, elle ne devient pas un mâle, elle est pourvu d'un organe mâle et femelle. Elle produira sûrement du sperme une fois excité par des phéromones femelles ou mâles, mais elle pourra très bien tomber enceinte si un mâle s'accouple avec elle. Enfin je l'espère, je n'ai pas encore eu le temps de tenter l'expérience.

Je pris une gorgée de café, sentant la chaleur s'écoulant dans ma gorge, puis je la ressentais dans mon ventre. Une penser me vint tout bonnement en tête.

- Au fait comment te nommes-tu?

Je lui adressais un large sourire tout en continuant de jouer avec ma tasse.

Je dépose ma tasse, puis regarde le blondinet se lever et me prendre la main, je lui souris et ne peut contenir un léger rire à ses paroles. Donc ce garçon se prénommais Jordan et il avait seulement cinq ans de moins que moi. Je l'aurais cru un peu plus jeune, je ne sais pas pourquoi...! Je ne peux m'empêcher de rougir lorsque ses lèvres touchent le dos de ma main, il y avait un moment qu'un homme ne m'avait pas toucher, restant cloîtré entre ses quatre mûrs. J'avais eu mes années d'expérimentations au lycée et à l'université, n'aillant pas peur de l'inconnu, j'avais essayer plus d'une chose.

- Enchanté de faire ta connaissance Jordan. Pour ma part tu peux très bien m'appeler la folle perverse, ce surnom semble très apprécier ici. Mais sinon je me nomme Karsyn Matthew.

Je ris de ma petite plaisanterie, bien que je ne serais pas offusqué s'il m'appelait tout de même la folle perverse. Avec le temps je m'y suis fait. Je reprends ma tasse et décide de caler le restant du breuvage alcoolisé, laissant paraître une rougeur sur mon visage clair. Je retire mes lunettes ovales à la bordure noir et va les glisser dans une poche de mon sarrau. La tasse vide se retrouve sur mon semblant de bureau et je me lève pour aller chercher la bouteille à moitié pleine de cognac dans ma bibliothèque. Je ne prends même pas le temps de refermé les portes exhibant son contenu et me dirigeant vers ma tasse que je remplis sans aucune gêne, puis je regardes celle de mon invité et je rajoutes du cognac à flot.

- À notre rencontre et Joyeux Noël!

L'observant boire à même la bouteille, durant que je me contentais de boire à ma tasse. Je lui fis un signe de négation lorsqu'il me demanda si j'étais dédaigneuse. Je finis ma tasse tout en la déposant sur le bureau près de moi. L'alcool commençait à se faire sentir, mais je n'étais pas encore saoul peut-être un peu pompette, mais rien de plus. Je le regardais se lever et venir voir moi avant de défaire mes cheveux qui retombèrent en cascade sur mes épaules et dans mon dos. Lorsqu'il m'affirma être plus belle ainsi, je sentit mes joues rougir, ne sachant pas si c'était l'alcool ou la gêne. Je n'avais pas eu depuis un moment des compliments comme celui-là. Je le regardais se diriger vers ma bibliothèque et je fis de même, arrivant dans son dos. Je fis glissé ma main sur son bras, allant jusqu'à sa main pour ensuite effleuré le livre du bout des doigts.

- C'est ces livres qui m'ont guider dans ma recherche, lui dis-je avant d'approcher mes lèvres de son oreille la plus proche. Tu comprends maintenant pourquoi on dit de moi que je suis une perverse.

Je finis mes paroles en lui soufflant délicatement sur son oreille, puis je m'éloignai de quelque pas. Allant chercher la bouteille que nous avions délaissé et que je soupçonnais de vider durant cette nuit. Je bus aussi au goulot, sentant de plus en plus mes joues devenir roses. M'approchant du jeune homme, je lui tendis la bouteille. Après tout pourquoi ne pas laisser cours à mes pulsions, il était mignon et ça faisait un bail que je n'avais rien fait sauf me masturber quelque fois pour assouvir mes désir sexuels. Mais qu'un homme me touche et me pénètre, ce n'était pas arrivé depuis mon entré dans ce centre de recherche. Je retirai mon sarrau le laissant tomber au sol, dévoilant mes épaules dénudés. Je pris le livre qu'il tenais et le remis dans la bibliothèque.

- Tu ne vas pas t'occuper de ces livres au lieu de moi?

Je me laissais faire, sentant ses mains qui frôlaient le tissus qui séparait nos peaux. La chaleur qu'il dégageait me faisait vibré. La chaleur d'un homme est tel que je ne peux même pas la décrire. Soupirant en le voyant reculé. Je répondit à sa demande en allant me pencher pour atteindre la dernière tablette de ma bibliothèque. J'en ressortis deux bouteilles, une autre de cognac et une de rhums brun cubain. Je lui souris amuser tout d'un coup.

- Je crois que ça pourra faire un certains temps! Sinon je sais que le superviseur cache quelques bouteilles de whisky dans son bureau. Tu préfères qu'on s'approvisionne avant où on voit où cela nous mènera?

Je ris, avant de lui voler la bouteille et de finir ce qui restait dans cette dernière.

La bouteille de rhum disparut de mes mains. Je le regardais avalant le liquide brun, m'approchant de mes désirs purement sexuels. Soit que l'alcool commençait à me faire de l'effet ou sinon c'était seulement dut au manque de chair que j'avais subit c'est dernière années... En fait, je crois plutôt que c'est un peu des deux. Je le regardes se débarrasser de son sarrau et je dois dire que je commences à sentir que ma culotte est de plus en plus humide. Je me croirais presque dans ces hentaï que j'ai si souvent épluché. Je sens son souffle sur mon visage, ses lèvres se rapprochant des miennes. Sa langue qui me taquine la peau. Je me doit de reprendre mes esprits. Et puis quand je m'écoutes! J'agrippe son chandail et le tire avec moi vers ce qui est mon lit. Je ne quittes que très peu mon laboratoire et quand j'en sors j'en profite généralement pour faire des provisions. D'où les bouteilles d'alcool. On s'ennui parfois tout seul et je ne vois que très peu de visage qui passe le porche de mon labo. J'ai finis par m'y faire, mais je me suis créer en quelque sorte des amis, alcool et majeur.

Une fois rendu sur le lit, je le regarde aux dessus de moi et avec délicatesse je passes mes bras autour de son cou. Je sais pertinemment comment sa risque de finir, mais je m'en fou. Qu'il me baise comme une pute ou avec tendresse, pour l'instant c'est le dernier de mes soucis. Car je le veux. Je crois que l'alcool n'a pas un si bon effet sur moi quand j'ai de la compagnie... Je fais glisser mes mains dans sa nuque, puis les promènent sur son dos. Je fais mes mouvement à l'inverse et viens les passer dans ses cheveux bouclés. Je le regarde avec envi, retirant mes mains de sa tête, je les guides jusqu'au pantalon du garçon, entreprenant de lui retiré sa ceinture et de dé-zipper son pantalon. Glissant mes mains, dans son boxer, j'allais exploré ses fesses sans gêne.

Je ressentais chacun de ses mouvements, nos langues s'entrecroisant, dans un baiser doux et désireux. Ses mains se baladant sur mes cuisses, remontant. À son simple toucher, je savais comment il pourrait me traiter et je ne pus m'empêcher de faire un semblant de sourire. Mes mains continuaient d'exploré son fessier. Les empoignant par moment avec plus de fermeté. Lorsqu'il me toucha les hanches je tressaillis, frôlant une de mes cuisses à l'une des siennes. Il rompit notre baiser et je le regardais, retenant mes halètements. Ses paroles me firent sourire et en simple réponse je lui retirait son chandail, dévoilant son torse nu. Mes mains s'amusèrent à parcourir son dos, durant que mes lèvres se perdaient dans son cou. Je l'embrassais des fois lentement, d'autre fois je ne faisais qu'effleuré sa peau. Par moment, j'allais même lui mordiller délicatement.

Mes doigts glissant sur sa colonne vertébrale, s'arrêtant sur ses reins. Je m'amusai un instant à lui dessiné des formes incongrus avec mes ongles effleurant sa peau. Puis je continuais ma route, passant sur ses flans et me dirigeant vers l'antre. Ma main gauche glissait sur son ventre, durant que sa jumelle, s'introduisit dans son caleçon et effleura du bout des doigts son membre.

Les caresses qu'il proliférait sur mon corps, m'attendrissait, sa façon de me toucher me rendait toute chose. Je laissais place à mes pulsions, glissant ma main sur son frein, effleurant sa peau un peu piquante. Mes doigts glissaient avec lenteur sur son membre veiné. Mes doigts s'amusaient à dessiner chacune des veines qu'ils croisèrent. Parcourant le chemin qui les conduisirent au gland. Je m'arrêtais un instant, observant son corps dénuder. J'étirais mon cou, portant mes lèvres à son oreille, mes dents s'attaquant à son lobe, je le mordillais avec plaisir et envie. Puis je laissais échappé un souffle qui divulgua mes pensées, mes paroles, mes désirs.

- Belle bête.

Je continuais de mordiller son lobe, durant que ses mains exploraient ma poitrine. Le plaisir qui émanait de mon corps faisait durcir mes mamelons. Pendant un instant je me demandais quel sous-vêtement je portais. Quelle question! Je n'avais jamais rien acheter de banale. Puis je me rappelais que je portais une brassière en dentelle blanche. Je me demandais ce qu'il pourrait bien faire avec ma poitrine voluptueuse, puis je reportais mon attention sur son membre qui durcissait. Mes doigts parcoururent son gland lisse jusqu'à l'urètre. Je fis quelque dessins autour de l'infime petit trou.

De ma main qui avait exploré ses abdos, je la dirigeais vers mes cuisses. Remontant jusqu'à la glisser sous ma jupe, où je le fis entré sous ma culotte brésilienne agencé à ma brassière. Mes doigts parcourraient mon pubis rasé. Je n'ai jamais aimé les poils pubien et c'est l'une des choses que j'entretenais le plus. Je guidais mes doigts jusqu'à mon clitoris, je passais juste au dessus de celui-ci et pour la première fois de ma vie j'eus un orgasme en si peu de temps. Poussant un cri de pure plaisir qui déchira l'air. Je sentais mes joues rougir et je me cambrais vers l'arrière, déversant ma cyprine dans ma culotte. Haletante, je regardais l'homme se trouvant au dessus de moi et me mordit la lèvre inférieur tout en commençant de douce rotation sur mon clitoris effleurant par moment l'une des boules de mon hood. Petite folie de jeunesse.

Je sentais ses lèvres sur mon ventre plat, effleurant ma peau. Ma main glissait sur son ventre et alla se déposer sur son épaule. Je ressentais chacun de ses baiser, ma culotte glissant sur mes cuisses, laissant s'échapper ma cyprine sur mes draps. Je sentis une brise qui parcourut ma peau et la fraîcheur de celle contrastant avec mon corps bouillant me fit pousser un râle de plaisir. Je fermais un instant mes yeux, mordant presque au sang ma lèvre inférieur. J'enfouissais mes mains dans sa chevelure, jouant avec ses cheveux au hasard, agrippant par moment ceux-ci avec plus de fermeté. Son jeu de langue était bien meilleur que mes doigts où cette boule d'acier qui se frottait contre mon clitoris à longueur de journée. Je ne désirais pas être la seule à faire quelque chose. Je voulais lui donner autant de plaisir qu'il m'en donnait. C'est a contre coeur que j'appuyais sur sa tête essayant de l'arrêter dans ses mouvement linguale. Je lui soufflais dans une voix désireuse des mots qui je l'espère, il comprendrait.

- Donne la moi...

Je le regardais le regard remplis d'envie, me redressant avec peine et misère. Avec les paumes de mes mains je le repoussais faisant bien attention pour ne pas qu'il se cogne. Se serait moins plaisant avec un mec évanouit. Lorsqu'il fut sur le dos, je le regardais, puis avec l'aide de mes mains, je descendais son pantalon ainsi que son boxer. Mes doigts effleurèrent son membre qui avait durcit. Doucement j'embarquais à califourchon sur son ventre, mes doigts parcourant une fois de plusses veines. Je me fis glisser, redressant mon derrière devant son visage, mes seins touchant sa peau, mes mains caressant sa verge. J'allais apposée mes lèvres sur son gland, l'embrassant avant de le taquiner avec ma langue. Le bout de celle-ci faisant le tour de son urètre, avant que je ne commences à le gober. Une main tenait sa verge durant que sa soeur allait jouer avec ses bourses.

Je laissais court à mes pulsions, mon corps agissant presque par automatisme. Ma langue s'enroulait autour de son gland, puis parcourrait son frein durant que son gland se faisait un chemin dans ma gorge. Je jouais avec lui, tout comme il jouait avec moi. Il avait repris ses activités, sa langue chatouillant ma chair. Je m'arrêtais par moment pour prendre quelque respirations. Poussant même parfois des soupires de plaisir. Un plaisir réel. Ce mec entre mes jambes était adroit et savait donner du plaisir à autrui. Je remerciais presque le ciel, qu'il soit rentré dans mon labo! Quel idée folle! Penser à cela durant une baise, j'étais tomber bien bas... Lorsque ses doigts me pénétrèrent, j'emprisonnais son membre avec fermer d'une main. Retirant ma bouche pour haleter, c'était tout simplement incroyable. Je me demandais si ce n'étais pas l'alcool qui travaillait ma libido ce soir. J'avalais une fois de plus sa verge, me donnant cette fois encore plus, ma main qui s'occupait de ses bourses les quittèrent parcourant celles-ci jusqu'à se qu'elle atteigne une cavité. Je fis quelque fois le tour de son anus, puis je portais mon doigts à ma bouche le léchant avant d'aller l'introduire dans sa voie rectale. Une phalange, puis la seconde et finalement mon doigts en entier. J'atteignis à mon tour son point G tout en léchant son pré-sperme qui commençait à sortir. J'étais sur le point d'atteindre le second orgasme et lui ne tarderait sûrement pas à jouir. J'étais prête à l’accueillir dans ma bouche. La seule idée de goûter son sperme me fit presque orgasmer.