L'envolle (PV Tsuki chiwiie♥)

-Je ne veux pas que tu sois considérer comme une traitre. Tu risquerais de te faire arracher les ailles. Je t'ai promis de revenir te chercher, mais pour l'instant obéis, je reviendrais.

-...mais tu es une traître toi?... il vont t'arracher les a...

J'ai pas eu le courage de terminer, pas eu la force non plus je me suis seulement contenter de la serrer plus fort contre moi, de glisser mon nez dans son cou. Son odeur me rassura un peu et m'affola a la foi, on la blesserais, on lui ferait du mal, elle souffrirait? Non ça je ne pourrais pas l,accepter, qu'on me dise qu'elle est trahie, voir tué je m'en fiche, cette fille, cette ange, je l,aime... je veux la protéger de tout mon coeur, de tout mon corps.

(Sowy pour le retard prince...z'avais oubliée! ;___; <3 )

Je me réveillait doucement, j'étais bien, s'était doux sous moi comme par dessus moi, le soleil brillait derrière mes paupières, je le sentait, sentait sa douce chaleur contre les draps. Pourvue qu'il ne soit pas là, pourvu qu'il ne soit pas couché près de moi, je veux encore dormir je suis tannée de ses jeux, ces intentions, ses ordres...

Il faut se rendre a l'évidence si je ne me lève pas, son humeur sera pire. Un oeil puis l'autre et le monde se dévoile autre que celui dont je connais le moindre recoin par coeur. Une pièce d'un blanc perlé, un mur de vitre ou l'éclat du soleil en cache partiellement le ciel. Je suis étendu sur un lit blanc, le sol est blanc, mes ailes son blanches...

...s'est vrai je suis morte.

...Et Jézabel???

Je sursaute me lève chancèle et puis tombe... pourquoi je me sens si lourde, je jurerai que mes ailes ont du plomb et non des plumes...

...mais Jézabel?

Je me relève a genoux, tente de monter plus haut, mais rien y faire la force n'est plus. A genoux au sol je pleure et appelant son nom... il est surement trop tard, alors que mes ailes son pire qu'un boulet les siennes on été arraché...


...celle que j,ai aimer l'espace d'une seconde vient de disparaitre dans une autre éternité...

Le réveil fu difficile comme chaque année ou le temps me rappelait cruellement que mon espoir, qui avait duré qu'une nuitée, s'était envolé...

J'enfilai une robe légère, nouai mes cheveux du même ruban, celui que je porte depuis 7 ans. Une ballerine et puis L,autre et je m'élance dans les long corridor, les aile sont plus rapide, mais je me refuse a être un ange alors je cours. Ça fait 7 ans que me bat contre ça, 7 ans que je proteste et qu'on accepte, sauf pour aujourd'hui... j'ai perdue ma bataille et dois, malgré moi, retourner sur terre.

Le ciel la terre... mes enfers...

Celui du passé... celui de maintenant...

Je pousse la porte la librairie, pose les mains sur mes genoux, je cherche a respirer, je sais plus comment, j'ai perdue toute notion du temps et je reste ainsi, la même douleur que ce fatidique matin me reprend comme chaque année ou son nom, sa voie et son odeur me frappe, pire qu'une chaîne a votre âme, une cage a votre être, je sens ma force couler...

Jézabel... mon ange.

Il faut relever la tête, poser un pied et L,autre et avancer, avance Louna...
Un pas, elle ne reviendra pas...

Jézabel... mon espoir.

Les pas s'enchaîne, mon esprit s'emmêle, ne réfléchit plus Louna...
Respire, elle ne pense plus a toi...

Jézabel... mon erreur.

Poser mes yeux dans les siens, oublier le vide des miens, sourit Louna...
Sourit, n'y repense pas...

Jéza...

-Excusez...ça fait longtemps que vous m,attendez?

Un petit incendie criminelle, rien de plus? En m'avait complètement foutu dans un fourneau géant la vieille! Un fourneau géant qui étendait son pouvoir sur toute la bâtisse gouvernementale.
j'était atterrit dans un enfer humain ou de la chair encore pulsante de vie carbonisait entendu que par leur propre crie. Je sentit mon corps se soulever, je voulais recracher toute ces images immédiatement, mais l'instinct fut plus fort, je devais sauver et protéger.

Les cris d'un enfant percèrent la nuit.

Protéger cet enfant, parce que quoi que dises les hommes,l'enfer ou même le ciel, un enfant reste sacré d'ou qu'il viennent et de qui il soit, et moi Louna je ne veux jamais devoir laisser un cadavre d,enfant derrière mon passage aussi misérable qu'il soit.

Je M'élance dans les flammes sans sentirent leur morsure, je traverse les pièces en esprit retrouve le banbim braillant et morveux. 1 ans et dmi pas plus. U enfant dans une bâtisse politique? A qui? Pourquoi?
Je m'en fiche bien de qui il est, il doit vivre parce que moi je le veux. Je tend mes mains vers lui, le serre contre moi, sent sa chaleur jusque dans mon coeur, je lui murmure doucement de ma voix mélodieuse d'ange

-accroches toi a la vie...tout est finit maintenant je suis la mon petit, je serais toujours la pour toi, je serais ton ange, ton espoir... je te le promet, alors reste avec moi petit...

l'enfant avait cesser son vacarme et ses la que je prit conscience que se n'était pas le bébé qui était venu a moi, mais plutôt mon corps qui avait bougé pour le sien. Lui il ne bougeait pas, toujours a la même place et même si j'essayais de toute mes forces je ne pouvait pas le sauver des flammes brûlantes avec mon corps a moi...

Je devais emprunter un corps humain. Une femme près de moi,surement la mère du bambin, elle était déjà morte, mais j'ai toujours aimer les défis impossible.

j,ai prit toute ma force toute mon énergie pour posséder se corps déjà mort et lui arrachait queqlues minutes de plus. Alors je sentis enfin la morsure du feu, mais plus forte et convaincu que jamais je courut vers une fenêtre, je devais sauver cet enfant, peu importait de quel ministre il était la décendance, ce petit je le sauverais,, peu m'importait pourquoi l'enfer avait voulu le détruire...

Il vivrait!

Les jambes se rompirent au contact du sol m'arrachant un cri inhumain. Mon esprit se détacha de celle de l'humaine, élevez au dessus de l'humanité le pied presque au sol, entre l'enfer du ciel et celui de la terre je regardait le corps de la femme couchez par dessus l'enfant de sorte a le protéger, il vivrait, il vivrait...merci...merci!

C'est lorsque que je voulut bouger pour retrouver Cassiel que je vu le sang, tache immanquable sur la pureté de mes ailes, quelques plumes rougit par mon propre sang et noircie par la chaleur qui balayait l'atmosphère trainait a mes pieds. j,avais mal... j'avais été au bout de mon énergie jusqu'a en mutiler mon propre corps...

Tanpis... Cassiel serait quoi faire...

-CASSIEL!

Je courut vers l'endroit ou elle m'avait laisser puis me tut, je reculait d,un pas frapper par une image qui valait plus que mille mots pour moi.J'eu l'impression de tomber de quatre étages sauf que cette fois se ne fut pas mes chevilles qui me lâchèrent mais mon coeur.

-LÄCHEZ LA!

Je courrait a ma perte, a la notre, a la sienne mais tanpis je courrais comme une pauvre chérubine affolée et je me jetai sur l'être des enfer sans en calculer les conséquence, d'un geste vifs je sortis de sous ma robe mon propre couteau et le fichais contre sa peau.

Le mur happa mon corps et une levée de poussière et de débris m'accueillirent. La morsure du feu m'attrapa m'étouffant dans l'incompréhension, je n'était pas censé en ressentir la douleur sauf si mon corps d'ange étai trop faible pour la vaincre...

Je repoussais les roches avec force, relevai mon corps trop faible, chancelant et encore tellement emprisonner d'enfance. Mes yeux cherchèrent le ciel dans cette marée noir et orange. J'étais en enfer, perdu...


Jézabel protège moi....


Je la vu tourner les talons, vu l,arme briller près de moi. S'était comme une étoile a mes pieds, le feux dansait sur la lame faisant briller mes yeux d'une envi plus que meurtrière, jamais cette chose obscure ne ferait du mal a Cassiel. Alors oubliant ma propre vie je m'élançait vers l'arme, mes grandes bouclettes cerise et vermeille s'emmêlant sur mon passage.

Jézabel je t'aime...

Sa main grande, frêle se tendit vers L'objet, j'hurlais me jetais sur elle en oubliant l'arme, puisant dans tout ce qui me restait et le souffle coupé je frappait son corps froid malgré toute cette chaleur. Mon regard se plongea dans le sien, mes mots se mêlèrent a mon sang, les plumes tombèrent a mes pieds et le sol me laissa une place tout contre lui.

-Jéza...


Pardonne moi


~


Le sol se déroba sous ses pieds, elle chercha avec un regard d'enfant la femme qu,elle avait aimer, tandis une main vers la démone, puis laissa l'inconscience s'emparer d'elle, pendant que son corps se fondait au débrit, aux plumes et a son propre sang.

JÉZABEL, JEZABEL, JEZABEL...

Mais tais-toi, tais-toi, elle ne reviendra pas, Lucifer l'a eu, elle appartient au mal, elle ne pense plus a toi, qu'est ce qu'elle aurait a faire d'une pauvre chérubine comme toi?

Et pourtant, malgré cette voix torturante dans ma tête qui me brisais les entrailles et m'éventrer l'âme je continuais se cri déchiré, perpetuelle qui n'était au fond qu'un faible gémissement, mais dans toute ma douleur et dans mon coeur il portait la mention de cri. Parceqe je le pesnais si fort que sa me bûlait le fond de la gorge, j'étais perdue entre deux mondes. celui d,une inconscience douce et mielleuse qui dans tout son poison voulait m'attirer jusqu,au fond et cette réalitée frappante qui me ramenait brusquement a la vrai vie. Encore toute essouflé de mes gémissement d'enfant je me relevais péniblement sur un coude, l,appelant sans arrêt, complètement paniquer.

J'était sure d,avoir lu dans les yeux de la démone l'âme de ma Jezabel et puis leur apparence... identique, une vrai désillusion.

-Jezabel... jezabel... J-jeza...

Sa voix m'ébranla. Perdu dans mes supplication et dans la brume qui flottait derrière mes paupières je ne l'avais pas sentie s'approcher. Paniqué je levai vers elle un regard qui aurait voulu être menaçant qui ne fut guère plus puissant qu'un oscillement de prunelle désespéré. Elle m'avait vouvoyez, mais elle lui ressemblait tellement.

Elle ne t'a jamais aimé, pourquoi elle t'aurait aimé de toute façon, une journée, 10 heures a peine passé ensemble et tu crois vraiment que ça aurait suffit pour qu'elle veuille encore de toi, même après tout se temps? voyons stupide idiote, personne ne t,a aimé et personne ne t'aimera...

J'aurais voulu me frapper la tête sur un mur, m'arracher les ailes juste pour la faire taire cette voix sourde et brûlante qui me traversait les veines comme un poison, agonisant tout mes espoir.

Alors je restais la bouche entre-ouverte, la respiration sifflante, les cheveux en cascade étalé sur l,oreiller, a l'obsever elle dans toute sa beauté et sa grandeur, devant moi, si petite, si faible, dans toute mon innocence et ma stupidité.

-Qu-qu'es-quest ce... ce q-que... voulez... v-ous voulez!

J'étais même plus capable de faire une phrase sensé. Je me laissais retomber sur l'oreiller la tête en pagaille et la peur qui me mangeait le ventre. Pourvu qu'elle me tue maintenant, là, là... parce que seigneur...

Oh non s'il vous plaît non...

Non, non...

Mon Dieu, pitié mon Dieu, non


... je crois être amoureuse de Jezabel...


Tuez moi quelqu'un , abattez moi ici, avant que se soit l'amour qui me tu la première