Drag to hell (pv loupio)

Le monde, l'univers, cet imminente création tirer du mana de gaïa, diviser en plusieurs parties. Plusieurs univers se convergeant, pris autour d'un seul et même orbite tout comme le système solaire! Autour de la terre gravite plusieurs mondes, certain un peut connues, mais très peut! Les humains ne peuvent habituellement pas s'y rendre à moins de quitter leurs enveloppes charnelles! Nous avons neuf étages au dessus du ciel, et neuf sous sol à l'intérieur de la Terre! Ceci dit d'une vue bien rhétorique.

Mais au travers de toute cet chamaille autour de ce monde, existe aussi une dimension complètement neutre appeler les Abyss, ou Purgatoire. au même titre que la terre, les deux puissances s'arrachent ce territoire qui est en quelque sorte l'ombre de la Terre, la facette inverse, le monde sans logique! Mais depuis peut, ce sont les démons qui en on pris possession, même que certain des chef des pécher capitaux y on pris logis.

Du moins c'est ce que maitre Sakuma m'eus raconter lorsque je fut plus jeune.
Moi, je suis un Doppelgënger, ou tout simplement une ombre, habitant dans cet Abyss. Je suis arriver ici quand je n'avais que 7 ans, alors mon autre vie, je ne m'en souviens plus vraiment.

Et pour l'instant je suis bien préoccuper par une mission que mon maitre m'as donner. Je devais vider l'Hôpital abandonner de tout ces monstres! Ce monde est envahis par des restant d'âmes humaines qui n'ont pas eu la force de rentrer ici,et qui durant leurs chemin, se sont transformer peut à peut en sorte de corps putréfier vivant, cherchant à manger de la chair humaine.

Tout sa causer par cet petite brèche, toute petite, produite au travers des miroirs, qui relie les Abyss à ce drôle de monde trop droit que l'on appelle ''Terre''... C'est de là d'où viennent les humains!

Je marchais, sur mes énormes talons argenté, avec mes longues bottes de vinyle, regardant autour à l'afut du premier gémissement de ces sales insectes! Le sol craquais sous mes pas, les planches gémissaient. Je donna un coup de coude dans la porte d'une des nombreuses sales d'isolement. Au moins trois de ces sales corps vivants se trainaient par terre, un grand miroir accrocher au mur! Je tendis mes deux poignards. Il manquais le bras de l'un et l'autre n'avais pas de yeux, tendis que le troisième étais une petite fille au visage brûler, et aux longs cheveux d'un roux cuivré.

-Salopard... j'vais vous les arracher vos têtes, moi!

- Tu n'en feras rien.

La voix provenait d'en arrière, mais semblait résonner un peu partout, créant un effet assez lugubre. Quelques grincements suivirent, sous mes pas, alors que je marchais, lentement mais avec détermination. Mes traits, jusqu'alors dans l'ombre, ne furent visibles que lorsque je pénétrai dans la pièce, passant aux côtés de cette ombre avec ses poignards, sans même lui jeter un seul regard. J'étais... comment dire, véritablement beau comme un dieu, sans en être un pour autant. Dès le premier regard, je dégageais un charme exceptionnel, mais aussi une supériorité flagrante. Je m'avançai jusqu'au milieu de la pièce et passai ma main dans les cheveux roux de la petite fille avec un sourire tout sauf rassurant, qui disparu en une fraction de seconde. Tirant brutalement sur les cheveux pour redresser la tête de la fillette, je déclarai en posant sur... ce gars... un regard rouge sang.

- Pourquoi tant de gâchis ? N'est-elle pas mignonne ?

J'évitai habilement les dents de la créature qui avait tenté de s'attaquer à ma main. D'un geste brusque, je lui tirai si fort la tête en arrière qu'un craquement sinistre se fit entendre et le corps inerte s'effondra par terre.

- ... Non. Pas assez mignonne.

Je me détournai et fis encore quelques pas. Mes cheveux assez courts étaient d'un brun très foncé, presque noir. Ma peau, agréablement bronzée, presque sans imperfections. Mon regard envoûtant et terrorisant à la fois. Mon sourire à en faire fondre plus d'un... Et cette lueur démente au fond de mes yeux. C'que je suis sexy. C'est un fait, ne discutez pas.
Je savais que ce gamin incompétent avait un maître. C'était clair qu'il était ici pour faire le sale boulot, entre autres débarrasser le plancher de ces jolis corps se décomposant tranquillement. Mais il avait eu la malchance de tomber sur moi. Pauvre lui. Je le plains tellement... Je pourrais peut-être m'amuser juste un peu avant de... Non. Concentration. Je n'étais pas ici pour m'amuser.

- Toi. Oui, c'est à toi que je parle, petite ombre sans défense. Qui est ton maître ?

C'est parfois difficile de contrôler tout ce qui se passe sur le territoire des Abysses. Tous les démons ne le savent que trop bien. Je les vois chaque jours si frustrés, perdant le contrôle à droite à et gauche... Aucun véritable système n'a été mis en place pour contrôler les âmes, les créatures, tout ce qui vit ici sous n'importe quelle forme. C'est un beau gâchis. En attendant qu'ils s'organisent, il se passe à peu près n'importe quoi. Moi, je suis entre les deux. Entres les âmes errantes et les démons. Je suis ce qu'on pourrait peut-être appeler hybride ou... créature non-identifiée ? Mon père était démon. Il a eu une aventure avec une humaine qui est morte à l'accouchement en m'emportant dans la mort avec elle. C'est bien connu que les femmes humaines ne peuvent porter de bébé démons. Celles qui y arrivent, qui survivent ou du moins gardent le bébé en vie, sont rares. Je n'ai pas fait exception à la règle. Mon père n'a jamais cherché à me voir, après tout ça. Je ne l'ai jamais connu, et suis venu directement ici. Dès mon plus jeune âge, mon maître m'a recueillit et élevé. Et me voilà aujourd'hui. Je n'ai aucun regrets, je me fiche de ne pas avoir connu mes parents. L'important, c'est que je sois tel que je suis. Musclé à la perfection, assez large d'épaules et pourtant plutôt mince, quand même. Une créature assez puissante, je dois le dire. Et ce que j'aime par-dessus tout ? Faire régner MA loi.
Sur n'importe quoi. Même les démons. Un jour, je serai tous leur supérieur. Et cet endroit sera à MOI !

(N'importe quoi... ^^)

(LOLE mais quel arrogant XDDDDD hahaha)

Je me retourna, entendant des pas dans le couloir principale. Un homme rentra... un homme? Non il n'étais aucunement humain, et j'étais sur de ne jamais l'avoir vue. Il ne devais pas trainer beaucoup autour de l'aille ouest, là ou mon maitre réside. Grand, cheveux courts brun noirs, l'air de se prendre pour le maitre du monde! Je préféra ne pas bouger, observant plutôt ce qu'il allais faire. Il se dirrigeais tout de suite vers la petite fille, prenant ses cheveux et les tirant assez fort pour lui briser son petit coup.

- Toi. Oui, c'est à toi que je parle, petite ombre sans défense. Qui est ton maître ?

Je ne dit rien pour l'instant, voyant la femme à côté de lui, presque se jetter sur lui, que je leva mes dagues, et les envoya directement entre leurs deux yeux. A elle et à l'autre qui s'aprétais à essayer de m'utiliser en tant que prochain repas!

Bien au contraire de lui, je n'avais rien d'un démon. J'étais petit, debout sur mes hautes bottes plates formes, au vynil noir me montant aux cuisses. Je portais juste un mini short dans la même matière que le reste de mes habit, et une sorte de chandail qui laissait voire tout mon ventre et mes pectoraux, mais qui recouvrait entièrement mes mains et mon cou. Sur mon ventre je portais en tout six perçages, sur mes tétons, mes côtes et mes hanches, siz grosses anneaux de fer. J'avais aussi le bandeau que mon maitre m'avais donner lorsque j'étais arriver, que je portais toujours sur mes yeux. Mais il ne fallais aucunement se détromper, je n'étais pas aveugle, je voyait parfaitement au travers, simplement que je ne pouvais pas voire mon reflet, jamais.

-Mon maitre.. Je dois finir, je n'ai pas de temps à accorder à vos âneries. Dis-je me retournant, allant vers la porte.

Je passais une mains dans mes cheveux blanc qui descendaient sur mes épaules, coulant en une chevelure bien calme, sans une seule vague, parfaitement lisse.

(En effet... xDDD)

Je ne bronchai aucunement, le regardant tuer d'un coup les deux autres créatures. Ouuuuh. Vas-y, tu m'impressionnes... Je le vis ensuite faire demi-tour, déclarant qu'il n'avait pas de temps à perdre. Alors il ne voulait pas me répondre ? Bien, très bien... Brusquement, je le rattrapai et le plaquai contre le mur, mon bras contre sa gorge. Il était vraiment petit, je le dépassais d'au moins une bonne tête sinon plus, et il avait des talons. Donnant une petite pichenotte sur l'un de ses piercings, je soufflai, d'une voix beaucoup trop douce qui laisse présager quelque chose de mauvais:

- Pas de temps pour mes... comment tu as dit ça déjà... âneries ? Je vais t'en trouver, moi, du temps...

Je le jetai brusquement au sol et me plaçai debout, au-dessus de lui, le dominant de toute ma hauteur. Les bras croisés, je me penchai légèrement, et répétai lentement ma question, comme si je parlais à un attardé mental.

- Quiiiii est ton maîtreeee ?

Je sentis une mains me prendre, puis me plaquer sur le mur, un bras s'acôtant sur ma gorge. Je regarda en haut, voyant le visage de l'homme devant moi.

-Pas de temps pour mes... comment tu as dit ça déjà... âneries ? Je vais t'en trouver, moi, du temps...

Il dit cela avant de me jeter brusquement sur le sol, se mettant devant moi, et se penchant pour me parler comme si je n,étais qu'une de ses êtres humains sans pensées,désarticuler que je devais tuer.

- Quiiiii est ton maîtreeee ?

J'eu un petit rire, juste un petit rire, bien sarcastique. Installer ainsi il étais juste dans la bonne position. Je releva ma botte à la semelle d'argent, lui frappant l'entre jambe d'un bon coup de pied bien placer, avant de faire un tour sur moi même, relevant mon corps d'un saut par en arrière. debout, à quelque mètre de l'homme, j'ouvris les mains, faisant apparaitre mes dagues en un petit tourbillons noirs.

-En quoi sa te regarde ? Je-t'ai-diiiit-que-je-n'ai-PAS-de-temps-pour-toi! Dis-je immitant son ton de voix.

Si je prenais encore trop de temps à tuer ces saletés, mon maitre me punirais surement... Je devais vite le tasser de mon chemin!

Une sorte de grognement étouffé s'échappa de ma gorge sous le choc. Je pliai vers l'avant, mes genoux heurtèrent le sol. Pendant un instant, je ne bougeai plus. Je me demande vraiment ce qui a eu le plus mal dans ce petit instant. Mon entrejambe, ou mon orgueil ?
Lentement, je me remis debout. La douleur passait assez rapidement, je ne suis pas un humain faible et sans défense. Ah. Le petit con avait ses dagues, maintenant. C'est fou comme il avait l'air menaçant - notez ici le sarcasme ! Et il se croyait tout permis, en me parlant à MOI comme à un idiot ? Mmm...

-D'accord, je comprends... La question comporte, quoi, quatre mots ? J'aurais dû y penser, que ce serait trop difficile pour toi. Et où tu comptes aller comme ça ? Tuer des monstres ? Naan, désolé, tu t'es trompé d'endroit. La maternelle, c'est pas ici. Retourne bouffer tes crayons de couleur et laisse les vrais pros s'occuper du boulot plus difficile.

Je lui jetai un coup d'oeil, l'expression de mon visage soudainement indéchiffrable. Dans ma main apparu un long sabre, le manche noir incrusté de rubis, la lame argentée à l'air si bien aiguisée. Je tournai lentement le dos au garçon, pas effrayé du tout de recevoir une de ses dagues dans le dos, je m'avançai vers une autre pièce, bien décidé à régler moi-même le problème des créatures sortant des miroirs dans cet endroit.

-D'accord, je comprends... La question comporte, quoi, quatre
mots ? J'aurais dû y penser, que ce serait trop difficile pour toi. Et
où tu comptes aller comme ça ? Tuer des monstres ? Naan, désolé, tu t'es
trompé d'endroit. La maternelle, c'est pas ici. Retourne bouffer tes
crayons de couleur et laisse les vrais pros s'occuper du boulot plus
difficile. Dit-il.

Il fit apparaitre alors un long sabre entre ses mains, un sabre qui semblais assez puissant. Mais je n'avais pas peur des démons, j'en côtoyais tout les jours, et ses petites insultes non plus, ne semblaient pas plus m'attendre, restant de glace. Tendis qu'il sortait, je brisa le miroir à côté de moi, de mon poing. Ces restant d'âmes humaines rentraient sur tout ici, dans l'hôpital...

Je regarda les morceaux sur le sol, que je vis une mains qui essayait d'en sortir. Je l'écrasa avec ma lourde chaussure, qu'un cris s'échappa de l'objet avant d'être fracasser en des tas de petites parcelles brillantes sur le sol tâcher.

Je sortie de la chambre regardant de chaque côtés, voyant l'homme traverser le couloir à grandes enjamber.

-Alors, si tu veux vraiment tous les exterminer, ce n'est pas un bouleau facile seul. Les étages du dessus sont moins actives, au sous sol sa s'empilles en dizaines les un par dessus les autres. Je te propose un marcher,ou plutôt un paris. Si j'en extermine plus que toi, tu fou le camp de la partie ouest car mon maitre déteste les gêneurs, et si tu en extermine plus que moi, je te dit ou fait ce que tu veux, comme un bon chien.

Je croisa les bras.
s'il en tuait plus d'une centaine, sa m'en auterais des bras.
Mais je connaissait déjà le terrain de fond en comble, chaque parcelles de cet place! Et il étais impossible de vraiment tous les tuer... on ne pouvais les exterminer que pour quelques temps, vue que chaque fois qu'un humains mourais, il tentais de venir ici.

- Marché conclu.

Il dit cela, ne se retournant même pas et se dirigeant directe vers le sous sol.
Dans ma mains droite, ma dague se mis à luire d'une petite lumière violette avant de se transformer en un petit fusil style 4-44 légèrement modifier pour être parfaitement silencieux rapide et efficace!

Je pris alors les escaliers qui menaient vers la sale de radio, qui prenaient un peut plus de temps à se rendre au sous sol, mais au moins ils avaient l'avantage d'aller dans la sale de radio, ou il y avait un énorme miroir. Je rentra dans la sale, il y en avais déjà trois que je tua rapidement, D'une balle entre les deux yeux.

Puis je glissa rapidement vers le sous sol, me cachant dèrrière un meuble. J'entendais des grognement, des grincement et des craquements, bruits assez désagréables que ces être a demi-morts produisaient. Je regarda, il y en avais au moins 6, je dégaina mon fusil, les tirants un par un. Mais je n'avais pas vue celui qui étais sur le bureau. Celui ci me tomba dessus, essayant de me bouffer tirant mes cheveux, ses ongles agripper à ma peau, et ses yeux exorbités ballotant dans le vide rattacher que par de petites membranes. Cette fois j'utilisa mon couteau que je lui rentra dans le plexus solaire.

Je débarquai dans la pièce en marchant sans prendre la peine d'être silencieux. De toute façon, ces créatures, il fallait qu'elles se montrent si je voulais les tuer. Je ne savais pas vraiment où était parti l'autre, ni ce qu'il faisait. Mais je n'attendis même pas de le voir débarquer dans le sous-sol. Je m'appliquai à trancher des têtes. C'était facile, quand même. Ils arrivaient parfois par dizaine, mais je n'avais pas trop de mal à faire un habile tour sur moi-même, les tranchant net avec mon sabre. L'un d'eux s'accrocha à mon poignet, brutalement je l'écrasai contre un petit miroir dans la pièce où je me trouvais. Assomé, il tomba au sol et je l'achevai sans problèmes. Je ne les comptais même pas. Je devais en avoir peut-être tué vingt déjà. Et je commençais à me demander ce qu'il se passait du côté de ce garçon... Avouez que c'est intriguant !

Je me débarrassa du corps, le jetant à côté de moi. j'avais ;.habitude des attaques! Et je détestait être sale... j'en aurais des corps à brûler après tout cela! Mon maitre déteste la saleté, je ferais tout pour lui.

Je transforma alors mon autre couteau en un deuxième fusil, pareille au premier. J'entandait l'homme faire tant de bruit que les monstre sortaient trop vite de leurs cachettes... Mais quel idiot!! Je veux bien croire qu'il peut être fort! Mais ce qui est de la discrétion et du raffinement dans sa manière d'attaque.... ZÉRO!

Au moins sa avait pour avantage de les faire sortir.
J'en entendais dans les étages au dessus qui descendait pour voire ce qui arrive!
Bon nouvelle stratégie, il sera mon appât, en même temps de faire le bouleau pour moi. Et même s'il gagne, au pire il me demandera de faire je ne sais trop quoi, je m'en fou!

J'en tua facilement une dizaine d'une balle dans le crâne, bougeant au travers des ombres de la pièce, silencieux. C'est à ce moment qu'un de ces monstre arriva dèrrière moi, m'ayant vue, le monstre agripa mes poignets, me jetant au sol tel que mes fusils glissèrent un peut plus loin. Celui ci sauta sur moi, essayant de mordre ma mains, mais je lui donna un coup en plein sur le nez que je brisa. Mais ces bêtes ne sentent pas la douleurs. Je m'étira voulant reprendre mes armes.

Et soudain, le monstre qui s'accrochait au dos du jeune homme se retrouva embroché sur la lame tranchante de mon sabre. Je le repoussai plus loin et donnai un petit coup de pied dans les armes pour les envoyer glisser sous un meuble plus loin. Hors de portée.
Je me plaçai au-dessus de son corps, un pied de chaque côté, de façon à le protéger des attaques des dizaines de créatures qui fonçaient vers nous. J'avais sur le visage un petit air concentré vraiment sexy. Mes coups étaient précis, adroits, et tuaient à chaque fois. Je ne ratais jamais mon coup. Et je délimitais un cercle, un espace dans lequel les créatures n'osaient pas s'aventurer seules. Elles se jetaient sur nous nombreuses à la fois, mais très peu avaient le temps de nous atteindre avant de mourir. J'étais efficace, ça c'était certain.

- Tu vois... Ça. ÇA c'est du talent, déclarai-je, un peu haletant.

Il embrocha la bête sur mon dos, qu'il donna un coup sur mes armes, les envoyant valser encore plus loin..... sous un meuble! Le salop!!
Un pied de chaque côtés de moi, il faisait danser sa lame dans l'air comme si c'était une partie intégrante de son corps. Vivante, avec lui. Un ballais magnifique, macabre, le sang revollant venant tâcher son visage concentré. Les expressions des gens m'étonnaient toujours. Leurs visages, ils étaient si expressif!


- Tu vois... Ça. ÇA c'est du talent, Dit-il.

Je me releva, le trouvant plutôt impertinent et imbus de lui même. J'ouvris mes mains, mes armes sortant de sous le meuble dans une trainer de noirs, pour se reconstituer dans ma mains.

-Je te dirais plus que tu viens d'accomplir mon travaille à ma place. merci, dis-je.

Qui a dit que les chiens ne pouvaient penser?
Il ne restait qu'un cadavre, qui bougeait encore un peut, à côté de moi. Je releva mon pied pour lui exploser le crâne avec ma botte.

-Et avec un peut de triche on as toujours du talent! Dis-je croisant mes bras. Maintenant que veux tu que j'en finisse et que je puisse retourner chez mon maitre?

- ...Je veux que tu m'appartiennes.

Surpris par cet étrange demande, je recula.
Je ne pouvais pas! Un chien n'avait qu'un seul et unique maitre! j'étais fidèle à mon maitre, totalement fidèle...

-Non, sa c'est hors de mes limites! T'aurais pu me demander n'importe quoi mais pas sa! J'ai déjà un maitre.

Je me sentais coincer..
Une parole est une parole... mais c'était au dessus de mes forces. J'avais été éllever par mon maitre comme son fidèle serviteur, son chien bien aimer... J'étais son objet à lui...

- Et bien maintenant... Tu en as un nouveau. Allez. Toi et moi,
on sera comme les deux doigts de la main. Moi le maître, toi le bon
toutou obéissant. Mais on se complètera mutuellement. Lorsque tu seras
bien dressé, je pourrai me permettre de te laisser quelques libertés de
plus. dit-il me tendant la mains.

Si on avais pu voire mon regard, j'aurais eu les yeux aussi rond que des vingt-cinq sous! Mais j'y étais obliger...Une entante étais une entante...
À contre cœur, et totallement dégouter, je pris sa mains avec dédains.

-Bien... Mais si mon maitre le sais il en feras de la bouillis de ta tête enfler!

Je rageais!
Dresser! DRESSER!!!! Il n'y avais que mon maitre a qui j'obéissais... et je n'en voulais pas d'autre! Les chiens peuvent avoir des canines de loups, et moi je lui enfoncerais bien dans sa chair tendre pour lui arracher la gorge!!

-Justement, je dois aller le voire pour un rapport.

- Oui, oui bien entendu... ton dernier rappport. Je t'accompagne.

Après avoir brièvement serré sa main, ma poigne ferme et solide sans pourtant être trop dure, j'essuyai mon sabre sur le tissu d'un rideau accroché à une fenêtre depuis longtemps brisée. Une fois bien propre et remit dans son fourreau, je fis signe au garçon de sortir d'un signe de tête et entreprit de le suivre.

- Au fait, quel est ton nom ?

- Au fait, quel est ton nom ?Me demanda t-il.

Je marchais vers l'extérieur., les bras croiser, l'air renfrogner.

-Inu, sa veux dire ''Chien''. dis-je simplement. Toi?

Je n'avais pas trop envi d,engager une longue conversation, pensant plus tôt à la réaction de mon maitre! J'allais lui dire quoi? Et Envy... Je ne pouvais pas la laisser seule.. Elle avais toujours si peur quand je la laissais seule...

- Inu... J'aime.

Il me demandait mon nom. Comment si je pouvais m'abaisser à lui donner mon nom tout de suite, comme ça. Je souris en coin et secouai négativement la tête, seule façon de lui dire que, d'une manière ou d'une autre, il ne le saurait pas tout de suite.

- Tu n'aurais qu'à dire "Maître".

Contrairement à ce qu'on pouvait penser, j'étais étonnament calme et posé. Ma belle voix, grave et un peu envoutante, ne prenait aucun accents colériques, ni même vantards. Le tout restait neutre, et pourtant faisait vibrer quelque chose à l'intérieur des gens. Jamais ennuyant à écouter. Et l'expression de mon visage, si calme, un peu concentrée, un léger froncement des sourcils sexy...

- Inu... J'aime.

Et moi je n'aimais pas qu'il aime mon nom ainsi...
Le nom que mon maitre m'avais donner lorsque j'étais arriver ici.

- Tu n'aurais qu'à dire "Maître". Répondit-il.

Je soupira.

-Je pourrais aussi t'appeler l'imbécile. grognais-je.

Je ne voulais pas le regarder, son air neutre, dénuder d'émotion m'énervait. Cet aura de ''je suis un tombeur née'' me dégoutais! C'étais exactement le genre que je déteste... ou plutôt la première personne que je détestais de ma vie, habituellement j'étais plus neutre, mais lui, tout ce que j'avais pu voire à date, je le détestais! Peut-être étais-ce son odeur... il avais l'odeur d'un démon, et d'autre chose........

Je marchais rapidement, arrivant dans la rue principale de la ville ''fantôme'' de la partie ouest de l'Abyss. L'endroit étais diviser en 7 parties différentes; Sois sept cartier appartenant à chaque un des démons des pécher capitaux. Ici nous étions dans la partie Ouest, mais aussi le cartier de Warth, la colère.

Arrivant devant une vieille édifice en angle de rue, avec une pancarte où il y étais écris : ''Red Dream Hotel''. Je m'arrêta devant l'entré de la vieille hôtel aux murs détruits, au milieux de cet rue déserte et brumeuse.

-Libre à toi de venir, mais je te conseille de rester ici.

Je dit cela face à lui, une mains ganté sur ma hanche nue.

- Serais-ce de la provocation ?

Je ricanai et avançai jusqu'à lui. Je frôlai son épaule du bout du doigt, puis appuyai mon dos contre le mur extérieur de l'hôtel, croisant mes bras contre mon torse.

- Dépêche-toi, Inu... Je te donne cinq minutes. Ne crois pas que tu pourras t'en sauver, je viendrai te chercher moi-même si tu tardes trop.

Je ne connaissais que trop bien ce coin, cette ville... La partie Ouest. J'y étais venu assez souvent. Ce qui m'avantageais était bien que, étant à moitié démon, j'obtenais un minimum de respect. Même si parfois l'on me regardait avec un air bizarre... Mais bon, de toute façon, tout le monde dévisage tout le monde, la vie est ainsi faite. C'est stupide, mais c'est comme ça. Même quand tu es beau, riche, parfait, avec toutes les plus belles qualités du monde, y'aurait toujours quelqu'un pour te regarder croche.

- Dépêche-toi, Inu... Je te donne cinq minutes. Ne crois pas
que tu pourras t'en sauver, je viendrai te chercher moi-même si tu
tardes trop.

Je me retourna... c'était certain que sa allais prendre plus que cinq minutes...
Je rentra dans l'hôtel, tirailler de l'intérieur... L'ombre qui gardais l'entré leva sa mains, pour me saluer.

-Il est en haut, si tu l'cherche. Me dit-il assis confortablement dèrrière son bureau, regardant probablement une des caméra cacher dans une chambre, à observer des gens copuler.

Mon maitre étais probablement dans sa chambre, au deuxième...
Je monta les escalier, le cœur battant. Qu'allais-je lui dire? j'arrivais à l'étage, ravalant ma salive, allant jusqu'au bout du couloir au papier peint déchirer, tâcher, et à la carpette rapper par les pas. Il y avait plusieurs occupants qui marchaient dans le couloirs. Quelques Ombres, quelques démons de niveaux inférieur, et autre bêtes et mi-humains, succubes, vampires, et tout ce que vous pouvez bien imaginer...

Arrivant devant la chambre numéro 13 je stoppa, regardant la porte rouge. Je posa ma mains sur la pogner, l'ouvrant lentement. La chambre toute peinte de noirs semblais toujours la même. Mon maitre lisait assis dans un énorme fauteuil de soie rouge juste à côté de son lit.

-Inu, tu as fini ta mission.

Il releva ses yeux au dessus de ses petites lunettes dorées. Lucifer, l'ex archange parfait, ayant été le centre de la première guerre angélique, maintenant devenue le démon parfait, étais assis dans cet énorme fauteuil, ses longs cheveux rouges lui arrivant aux hanches attacher sur son crâne. Ses yeux dorées, brillants, entourer de noirs me regardaient, son sourire s'élargissant. Je m'agenouillai immédiatement, baissant la tête. Il se leva, ses grosses bottes de cuirs noirs claquant sur le parquet et son manteau de cuir flottant autour de lui. Il passa une mains dans mes cheveux.

-Raconte moi donc sa, mon beau inu... tu tremble inu.

-Je.. j'ai été aider par un homme maitre.. nous avions fait un paris.. et j'ai perdu....

Je sentis sa mains se serrer dans mes cheveux, les tirant.

-continue.

-... En échange de cela... j'ai du me donner à lui...

Il tira sur mes cheveux, me sur élevant, jusqu'à ce que je sois complètement debout.

-À LUI?! Tu est à moi Inu! Tu es mon objet!

De son autre mains il me pris par la gorge, me plaquant durement sur le mur.
J'étouffais, je sentais les larmes sous mon bandeau, envahir mes yeux.

J'avais d'abord entendu quelques chuchotements. En fait, ils parlaient à voix haute, mais je ne percevais pas clairement ce qu'il se disait. Ce n'est que lorsque le ton monta que je décidai de monter. Je me rendis directement à l'étage, suivant le bruit, et arrivai jusqu'à la chambre, dont j'ouvris la porte à la volée, d'un coup de pied, avec beaucoup de style.

- C'est le mien désormais.

J'avais le don de toujours débarquer au moment le plus - ou le moins ? - approprié. Cette fois, je ne pris pas le temps de niaiser et m'approcher directement de Lucifer. Je lui assenai un coup de coude derrière la nuque, le faisant momentanément lâcher Inu, de sorte que je pu l'attraper par le bras et le tirer vers moi.

- Il a parié, il a perdu. Il me revient, et je ne partirai pas sans lui.

Sur ces mots, j'installai sans véritable difficulté le jeune homme sur mon épaule, en sac de patate, et ne pris pas plus de temps pour m'esquiver par la porte. Je dévalai les escaliers quatre par quatre, passant directement sous le nez de l'ombre, à l'entrée, sans m'arrêter ni même ralentir.

l'autre con étais débarquer dans la chambre, quand mon maitre allais me punir...
Il lui donna même un coup sur la nuque.

- Il a parié, il a perdu. Il me revient, et je ne partirai pas sans lui.

Je me sentis soulever, puis pris sur son épaule, il s'enfuit avec moi sur son épaule. Je lui asséna des coups dans le dos, me débattant comme un forcené, envoyant mes poings partout dans son dos, et mes chaussures compensées partout dans les airs.

-CONNARD!!! lâche moi sale démon! lâcheeee moi!!!!!

Les larmes coulaient maintenant sous mon bandeau de cuir, mon cœur débattant dans ma cage thoracique... j'avais peur, terriblement peur... j'étais maintenant arracher à mon maitre! Mon maitre... ma raison de vivre ... et de ne pas me laisser mourir une deuxième fois..