~ I Scream ~

Kamélia, après avoir expliquer la situation a son père et de l'avoir convaincu de laisser Frantz rester, alla en haut chercher des couvertures et un oreillé. Elle les instala dans le plus grand du divan et les placa de manière a ce qu'il n'ai pas froid et qu'il soit confortable.

Elle lui prit la main et le guide vers le grand divant. Elle l'observait, toujours rouge. Il était si mignon. au moin en étant muette elle ne pouvait pas dire de chose qui la ferait paraitre stupide.

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Le salon était peint dans des couleurs chaleureuse. Probablement l'oeuvre de sa mère qui aimait l'ordre et la propreter. Biensûr elle ne pouvait rien pour les écart de régime de son mari pendant la nuit et devat faire le menage tous les matins. Mais ça ne l'embêtait pas.

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Kamélia s'assit sur un petit divan a côté, observant Frantz de ses grand yeux bleu. Il était si adorable...

Une limonade. Elle ne m'avait pas offert de limonade. J'aime le lit. Il est confortable. Ici Giselle ne pourrait me trouver. Il y a du mouvement dans la pièce adjacente. Des bottes sur le plancher. Ce sont les policiers. Je les vois quand j'entrouve les yeux. Ils m'interrogeront demain. Je veux dormir.

Une robe jaune... ces mains moites... du lait... mon pyjama à rayures... la femme du dépanneur... je veux quelque chose. Je ne sais pas trop quoi. Mais je veux quelque chose. J'ai mal. Je me tiens le ventre.

Kamélia l'observait en silence, timidement. Elle ne pouvait détacher ses yeux de lui. Elle prit son courage a des mains et s'approcha de lui silencieusement.

Elle se mit a genoux près de Frantz. Il était si beau. Un chance que son frère dormait parce qu'il n'aurait pas approuver sa conduite dangereuse et les regards qu'elle jetait au jeune homme sur son divan.

Ses cheveux semblait si soyeux et son visage si tourmenté. Elle voulait les touchers...Mais ce n'était pas un comportement correcte...Et si il n'apréciait pas. Elle allait trop vite sans doute...

Elle se mordit la lèvre timidement. Il l'avait embrasser sur la joue. Cette sensation avait été si étrange. Bon ce n'était peu être pas un vrai baisé...mais il y avait ses lèvres sur sa joue non?...Ça voulait dire qu'ils étaient proche maintenant?

Elle tendit sa main timidement puis caressa doucement les cheveux de frantz, elle était prette a toute reaction de sa part...Enfin presque toute...elle ne voulait pas qu'il parte. Pas déjà.

Il y avait ma mère. Elle marchait sur la pointe des pieds. C'était un Noël au matin. Elle voulait réveiller mon petit frère dans un sommeil profond avec un cadeau dans ses mains. J'étais témoin de la scène. Ma mère avait un beau sourire à cette époque. J'avais neuf ans.

Elle soufflait sur son visage pour l'éveiller. Et lui, il se tordait dans tous les sens pour échapper au réveil. Mais lorsqu'il y consentit, il s'éveilla brusquement et s'écria, tout heureux : « C'est Noël, maman ! Je t'aime ! » Il ouvrit son cadeau et mangea un cookie.

Il avait reçu un coffret en bois contenant de la peinture acrylique. C'était sans doute un futur peintre depuis toujours. Il embrassa notre mère et me regarda ensuite.
« Qu'as-tu eu, toi ? »
Je ne répondis pas. Cette question me blessa. Je n'avais rien eu, bien sûr. Moi, j'étais la morosité incarnée, la perte de la famille. Le crétin. Mon frère avait de l'avenir et mes parents l'avaient toujours su. C'est pourquoi ils avaient toujours misé sur mon frère pour faire un nom à la famille et non sur moi. Alors à quoi bon m'accorder la moindre attention ?

J'aurais aimé que ce souffle doux et maternel effleure ma peau... au moins une fois dans ma vie. Et que mes yeux s'ouvrent et que je puisse constater sous mes yeux l'attention d'un cadeau. Un cadeau. Qu'est-ce qu'un cadeau ?

Je pouvais presque sentir le souffle de ma mère qui effleurait les pores de mon visage. Elle caressa ma main doucement pour me réveiller. C'était le matin de Noël. Je souris.

J'ouvris les yeux. Je vis le visage de la petite fille à la robe jaune. Comment s'appelait-elle, déjà ? Kamélia.

À ma triste surprise, ce souvenir douloureux qui m'était rapparu en rêve me laissa complètement au dépourvu. Et toujours aucun cadeau sous mes yeux à mon réveil... Pas de cadeau sous mes yeux.

Je me retournai en tirai la couverture sur mon corps froid.

Elle recula sa main brusquement en voyant qu'il c'était réveillé et se sentit mal à l'aise. Il semblait triste de la voir elle.

Elle mit les main devant sa bouche qui ne pouvait émettre un son et partit dans sa chambre au deuxième étage. Elle referma la porte derrière elle et essuya ses larmes salées.

Pourquoi il ne lui souriait pas? Peut-être qu'elle ne méritait pas qu'on lui sourit. Elle était un mosntre après tout. Une créature andicapé qui rebutait le gens. Pourtant tout le monde lui souriait habituellement. Elle préférait ignorer les commentaire des gens qui confondait mutisme avec surdité. Au moin ses proches ne disait jamais rien a propos de son andicape...ou enfin il se retenait de le dire devant elle.

Sa mère disait qu'elle était belle comme un ange.
Son père disait qu'elle était pur comme un colombe.
Son frère disait qu'elle était innocente comme une enfant.

Des mots si doux mais qui cachait tant de mensonge.

Elle se regarda dans le miroir et eu un choc. Son visage parcemer de tache de sang et ses cheveux blond figé a cause du sang et du lait. Ses vêtements aussi était rouge. Elle n'avait rien de beau, de pure, ou d'innocent. Elle ressemblait a une tueuse en série comme ça. Pas étonnant que le garçon ai l,air triste en la voyant.

Elle essuya de nouveau ses larme puis alla dans la salle de bain pour prendre une douche. Elle ne pouvait tout simplement pas rester comme ça.

J'espère qu'elle me laissera tranquille. Je veux me retrouver seul. Ce n'est pas dans ma nature d'être entouré de gens trop longtemps. Je crois que dès que le soleil se sera levé, sans bruit, je rentrerai chez moi. Les policiers me retrouveront s'ils souhaitent m'interroger. Je pense déjà à ce putain d'interrogatoire et je sais d'avance que ce sera compliqué. Je n'en ai pas la moindre envie.

Bon. Que personne ne me dérange plus. Je plonge dans un sommeil sans bruits. Quoique les bruits me reviennent quand même en rêve. Ma mémoire subsconsciente, étrangement, ne s'est jamais débarassée des bruits. Mon sommeil est bruyant. Je n'aime pas dormir.

Je veux rentrer chez moi...

Après sa douche Kamélia alla se coucher dans son lit. Elle reverrait le garçon au matin.

Vers les 5 heures du matin la mère de Kamélia se lève. Son premier réflexe fut d'allez regarder le garçon sur le sofa. Kate ne pu réprimer un doux sourir en voyant son air troubler enfantin. Il était si adorable comme ça. Elle prépare du café et commence a couper des fruits et a préparer des repas a base d'oeuf et de viande pour son mari et son fils. Elle prépara également des crèpes pour le déjeuné. Elle était matinal et très organisé. D'apparence soigé elle semblait avoir dans la vingtaine alors qu'elle atégnait les 35ans. Cheveux aussi blond que ceux de sa fille mais ayant des yeux vert pale.

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Michael se leva en deuxième et descendit. Il avait le même age que Frantz, soit 19ans. Ces cheveux était noir et ses yeux vert pale était cacher par une frange qui le rendait très séduisant. Il était doué dans tous les domaines scolaires et avait également beaucoup d'ami. Le genre de gars qui réussi dans tout. Ses parents et sa soeur en était si fier. Il avait des cours de tir a l'arc ce matin là alors il devait se lever tôt. Il remarqua le garçon dans le divan.

-Maman...J'ai manqué quelque chose?

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Kamélia fut sortit du sommeil par l'odeur d'oeuf cuisant. Il ne mangeait jamais de bacon dans la maison. Tout était santé chez elle sauf pour l'étagère a son père. son seul défaut était de trop manger et de boire de la bière.

Elle se leva de son lit en s'étirant. Elle avait un autre pijama cette fois. C'était une camisole avec des pantalons ample. Le tout était quand même bleu.

Je devais m'en aller. J'allais leur dire merci et je repartirais. Je suis tanné.

Kate s'éloigne de ses fourneaux et s'approche du divan. Elle remarque que Frantz est réveiller et lui sourrit en lui indiquant la table. Elle s'éloigna pour allez chercher un papier et un cryon tout en parlant a son fils.

-Michael, tu ne t'ai pas réveiller hier? Kamélia a bravement défendu ce jeune homme en frappant un violeur avec un bouteille de lait, je suis si fier d'elle.

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Michael ouvrit de grand yeux. Sa soeur avait été en danger a cause de cet imbécile qui était dans le divan?! Il lui jeta un regard noir tout en allant vers la table.

-Kamélia va bien au moin?

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La mère donna le papier au garçon, ayant écrit un message dessus.

«vous feriez nous l'honneur de rester a déjeuné? Ma fille serait heureuse»

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Kamélia arriva dans le salon et se rappella en voyant Frantz qu'il était chez elle. Elle deveint rouge tomate. Comment avait-elle pu oublier?! Et maintenant elle se tenait maladroitement devant lui. Ces cheveux était ébourrifer et ses joue rouge. On pouvait voir la cicatrice de la veille sur sa joue. Personne n'ayant remarqué sa présence elle écouta la conversation en silence tout en remontant discrètement les escaliers.

« Je ne déjeune jamais. J'aimerais prendre une douche, si vous tenez à ce que je reste. Merci beaucoup. Quel âge a votre fille ? J'aime sa robe jaune soleil. »

Frantz s'assied sur le coin de la table. En relevant la tête, cet imbécile dans le coin le dévisageait toujours. Frantz lui fit un discret doigt d'honneur sans même se retourner. Il n'aimait pas se faire fixer de la sorte. Cela le tourmentait.

« J'aimerais aussi des ciseaux. Pour me couper les cheveux. Avez-vous de la limonade ? »

Elle se figea en rougissant. Non...elle ne pouvait pas avoir bien entendu. Il l'aimait?! Bon il avait dit qu'il aimait sa robe jaune mais il l'aimai elle aussi par intermédiaire. Elle monta l'escalier 4 à 4 et se dépècha de s'abiller. Elle mit une autre robe, orangé cette fois et se brossa les cheveux.

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La mère écrivit la réponse en même temps que le petit fesait un doigt d'honneur a son fils. Elle n'eu donc pas le loisir de le voir.

«Elle a 16ans, sinon il est hors de question que je te laisse te couper toi même les cheveux, c'est bien trop dangereux. Sinon pour la douche tu n'as qu'à suivre Michael. C'est le frère de Kamélia.»

Elle se tourna alors vers son fils qui jettait des regard noir a Frantz.
-Conduit-le à la salle de mon trésor.

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Michael n'eu pas le choix d'obéir. Il se leva et marcha nonchalament jusqu'à l'escalier.

Frantz suivit le garçon qui lui montra la douche. Il lui adressa de nombreux regards noirs, puis lui remit une serviette de bain.

Frantz allait fermer la porte, quand ce garçon étrange se retourna face contre lui et rouvrit la porte avec un air menaçant. Il s'approcha à quelques centimètres de son visage et souffla des mots qu'il ne comprit pas, dans sa figure...

« Si jamais tu fais du mal à ma soeur, je te jure, je te tue. »

Pourtant, cela avait l'air menaçant, selon Frantz. Il ne dit rien, comme à son habitude. Il resta figé sur place et prit le risque de regarder le garçon dans les yeux. Il lui rendit son doigt d'honneur puis referma la porte.



Je ne trouve pas les ciseaux. J'en ai assez d'avoir les cheveux qui me tombent dans la figure. J'attendrai.

Je pue. Je dois vraiment me laver. Après je rentre chez moi. Je n'aime pas ces inconnus.

(tu peux pas controler mon perso banane! XD)

ahh merde !! Fuck j'men suis pas rendue compte ! J'étais bien partie en plusse pour arrêter de faire ca !! XD dsl !! on fait kwa ?

(ben on enlève les menace et les insulte de mon perso et on continue XD)

Michael le conduisit à la salle de bain avec une attitude froide et peu chaleureuse. A cause de ce gars la sa soeur avait faillit être attaquer. Ok c'était pas intentionnelle mais quand même...

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Kamélia descendit avec une robe jaune avec de la dentelle. Elle avait aranger ses cheveux avec une brosse. Elle prit une crèpe et la recouvrit de fraise et de banane puis de sirop d'érable mais ne mangea pas beaucoup. elle était pensive.

Frantz était dans la douche...dans la douche...la douche...douche...A quoi pouvait-t-il ressembler?

Elle se mit a rougir en s,immaginant.

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Michael arriva en bas et aussa un sourcil en voyant l'air bea de sa soeur.

-J'te le dit maman...On peut pas faire confiance a ce gars-là!

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Kamélia se retourna vivement et pour donner a son frère l'ordre de se la fermer elle lui lança un fraise.

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Michael l'attrapa au vol avec sa bouche au grand mécontentement de sa petite soeur qui avait croiser les bras.

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Sa mère soupira en les regardant.
-Au contraire Michael...Méli a besoin de rencontrer de nouvele personne pour grandir et je crois que ce jeune homme saura la mettre en sécurité avec le monde extérieur.

L'eau bouillante coulait sur mon visage. Je n'aimais pas particulièrement le grondement de vibrations que l'eau faisait contre mon visage... mais bon... je devais endurer. Au moins je relaxais.

Quelque chose se produisit. Quelque chose qui ne m'était jamais arrivé auparavant. Je pensai à quelqu'un. Cette fille. De l'autre côté de la porte et qui m'avait regardé dormir toute la nuit ou presque. Elle doit vraiment être dérangée pour faire une choses pareille. Je me demande... je me demande ce que ce serait que d'avoir une famille. Si j'étais dans CETTE famille. Les matins, ils prépareraient des crêpes, des croissants, le déjeuner. Ils m'offriraient un lit, de l'attention. Je ne comprends pas vraiment ce que c'est... je me demande... je me demande pourquoi je refuse toute cette attention. Pourquoi je les repousse. Pourquoi je n'agirais pas contre ma nature pour une fois ? Pourquoi ne dirais-je pas merci ? Pourquoi ne donnerais-je pas un peu du reste de mon âme et de mon humanité à ceux qui ne demandent qu'à être aimables avec moi... ?

Je crois que je devrais arrêter ça là. C'est ridicule. Personne ne m'a jamais aimé. Personne ne m'a jamais pris dans ses bras, ou dit quelque chose de gentil. Je suis comme une huître fermée et désapointante. JE NE VEUX PAS ÊTRE COMME CES GENS. JE N'AI RIEN À OFFRIR.

Mais cette fille semble croire le contraire... elle doit croire que je suis un garçon aimable. Mais j'agis seulement selon mes instincts. Et à cause d'elle... on dirait... on dirait que j'agis selon mes meilleurs instincts... et pourtant... je ne fais pas grand chose.

Je me demande... si jamais je pourrais retoucher sa peau, regarder encore une fois ses yeux. Peut-être qu'elle changerait quelque chose à ma vie... elle semble tant le vouloir.

Mais non. Je ne suis rien. Je ne suis personne. Il est temps que je sorte de la douche, que je sorte à l'extérieur et que je retourne chez moi. Je m'ennuis de ma maison.

Frantz sortir de la douche et enroula sa serviette autour de ses hanches. Il passa dans la cuisine, tout mouillé, pour se prendre un croissant, le regard vide comme toujours, sans rien dire ni regarder personne, puis alla chercher ses vêtements et sortit dehors sur le perron sous la stupéfaction de toute la famille.