Les froids de la guerre

Bientôt, nous nous installâmes tous pour manger. C'était étrange d'être tous réunis sans Ézheckiel.

La pluie avais enfin arrèter ...
Je sorti dehors predre l'air et regarda autour de moi ...
Ma mère dormais encore ... En fait ... elle ne dormais peutètre pas elle ne venais pas me voir ...

Je pass aune main dans mes cheveux

Après le dîner, le temps s'était remis au beau. Père et les garçons partirent, nous laissant seule, ma mère, mes soeurs et moi. Caroline et Sophie demandait beaucoup de temps à mamant et Isabelle, surtout que les hommes n'avaient pas emmenés petit James avec eux. Moi, j'Étais libre de faire ce qui me plaisait. On ne me demandait pas de m'occuper des plus jeunes. Comme je n'avais rien de mieux à faire, je sortis me promener.

Je devais marcher jusqua centre du village pour aller me chercher quelque chose a manger ...
D'habitude j'y allais avec mon frère ... Mias maintenant j'était pri tout seul pour y aller ...
En plus c'était très loin de chez moi et tout faire sa a pied c'était dur ...

Je m'arrèta en chemin ... Mon ventre gargouillais ...
Je soupira et espèrais bientôt arriver ...

Quand je sortis, mais mère me demanda si je ne pouvait pas aller lui acheter du sucre, nous n'en avions plus beaucoup. J'allai chercher l'argent dans la jare, puis sortis à nouveau.

Le marché n'était pas trop loin du prsbytaire, par chance, et j'arrivai assez rapidement.

J'arriva au marcher quelque minutes appret ...
Je regarda tout le nourriture devant moi et soupira ...
Je pri une peui de fruit mais je n'avias pas beaucoup d'argent alors je dût arrèter la ...

Je regarda autour de moi pour voir si il y avais une place pour m'assoir ...

Mais je n'en vit aucune de libre donc je resta debout

J'arrivai finalement et entrai dans le magasin général. Celui-ci était plutôt grand et on pouvait le voir de toute la place du marché.

-que puis-je pour vous mam'zelle.
-J'aurais besoin de dix livres de sucre s'il vous plaît.

Le tenancier alla lui chercher ses dix livres et elle le paya avant de sortir.

Je tourna la tête un moment et appersu la fille de tentôt avec qui j'ai marcher qui sortait du magasin général ...
Je fit un petit sourir et alla la voir ...
- Tien Salut !
Je me mit devant elle

Je sursautai, puis sourit.
-Bonjour. Je ne pensais pas que nos routes se croiseraient à nouveau aujourd'hui. Vous me voyez agréablement surprise.

Je fit un sourir c'était tellement drôle sa façon de parler ... Mais bon ...
- Oui moi aussi sa me surprend de te voir encore ...
Je recula un peu
- Tu est aller chercher du sucre ?
Heeeeeiiiinn !!! Pas pour vraiii !! Elle droit me prendre pour un idiot ... elle a la sac de sucre dans les main ... sa sert a quoi de poser la question ... >> Tsss

Je rougis et affirmai ma prise sur le sac qui commençait à glisser.
-Ah... euh... Oui. Nous n'en avions plus.
J'esquissai un faible sourire.

- Ahh d'accor ...
Je recula encore un peu ... Je n'avias pas vraiment rien a lui dire ... et je me demandais même pourquoi je luia avais parler ...
J'ai l'air cave ... vraiment en plus ...
Je soupira
- On fait un bout de chemin ensemble ?

Je lui souris doucement.
-Si le coeur vous en dit.

Je la regarda ... Elle était trop mignone ...
Hein ?? Pourquoi j'ai dit ça ?? OO
Je secoua al tête puis commenca a marcher a côté d'elle ...

Je faillis échapper mon sac, mais par chance, je réussi à le garder dans mes bras. C'était plutô lourd.

Je la regarda un moent puis pri sont Sac
- Tu veu que je te le porte ?
Je lui tendi mon petit sac de fruit avec un sourir
- Tien ça toi ... Ça va aller mieu

Nous échangeâmes nos paquets à mon grand soulagement.
-Merci.

- De rien ...
Je continua de marcher ...
- Ça fait bizzard sans de grand frère a la maison hein ?

-Un peu, oui. Heureusement que les jumeaux sont toujours là.
Je souris tristement.

- Moi aussi ça me fait étrange ... De penser que je viverais seuelemnt avec ma mère a partire d'aujourhdui me fait asser bizzard ...
Je ferma les yeux un moment ...
- Il auraient du me prendre ...

Je le regardai et soupirer.
-Aller là-bas doit être vraiment horrible. Ezhéckiel n'y est allé qu'à contrecoeur. Je n'aime pas le savoir là.
Je levai les yeux vers son visage.

Le le regarda a on tour
- Et moi jaimerais bien ètre la bas qu'ici ...

Je le regardai, me demandant qu'est-ce qui pouvait le pousser à désirer un espace de vie aussi horrible.

Je la regarda a mon tour ...
- Désoler ...

-Ce n'est pas grave. De toute façon, je ne pense pas pouvoir tout comprendre à tout ça...
Je marchai en fixant mes pieds.