Les froids de la guerre

La vie d'autrefois semble être mille fois plus passionante que la notre. Quand j'entend ma grand-mère me raconter son passé, je sens des frissons m'envahir et des rêves impossibles défilent derrière mes paupières fermées. Ces histoires avec les patriotes. De quoi me créer un monde imaginaire incroyable. Tant de fois j'ai songé à ces destins fabuleux. Ce dont je ne me doutais absolument pas, c'est que si, une fois racontés, ces événements sont poétiques et romantiques, les vivre n'est pas toujours rose.

Quand mon enfer débuta, je ne le savais pas encore. Comme toutes les autres jeunes filles de mon âge, je trouvais l'idée de la guerre romantique. Bien sûr, toutes ces morts ne m'atteignaient pas. Ces gens qui mourraient, je ne les connaissaient et tout ça ne me parraissait qu'être un illusoire. Comme si ce n'était pas réel. J'étais stupide. C'était normal pour une fille de mon âge. On croit tout savoir déjà à 14 ans, mais en fait, on ne sait rien de rien. On n'a pas la moindre idée de ce qu'est le monde et il m'a pris beaucoup de temps avant que je m'en apperçoive. Trop peut-être.

Quand je me suis réveillée, enfin, il était trop tard. La guerre durait depuis 2 ans déjà, deux longues années interminable. Le coup le plus dur, ce fut quand mon grand frère, Ézheckiel partit rejoindre les rangs à son tour. Papa et maman lui refusaient de partir. Ils ne croyaient pas que la violence réglerait les choses et ne permettaient pas à mon frère de prendre les armes, même pour lutter pour la sauvegarde d'autres personnes. S'ils n'apprvouaient pas les actes d'Hitler envers les juifs, ils ne voulaient pas voir leurs enfants au front. Comment mon beau frère de 21 ans se retrouva engagé? C'est une histoire plutôt honteuse pour lui qui s'est toujours considéré comme un homme courageaux et fort. Il a reçu une plumme blanche. Il ne pouvait laisser passer cette insulte sans rien faire et il s'est donc engagé, contre le gré de nos parents.

C'est à ce moment que la dureté et la réalité de la guerre se montra à moi. Je venais à peine de quitter les bancs de l'école pour devenir institutrice. Et je songeai que cela n'annonçait rien de bon si tous nos gars devaient partir. J'avais encore 2 frères aînés à la maison. Petit James était encore trop jeune. Puis, pas de risque que mes 3 soeurs et moi partons. Maintenant qu'Ezhéckiel était parti, retenir Matthew et Walter ne serait pas facile. Je les adorais les jumeaux et je n'avais pas envie de les perdre. Ezhéckiel non plus. Isabelle avait tout compris depuis longtemps. Quant à Caroline et Sophie, elles étaient encore trop jeunes pour comprendre. Mon petit monde était déchiré.

Vint alors le jour que je redoutais tant; celui du départ de mon frère. Nous étions tous sur le quai, en attendant l'arrivée du train qui emmenerait au loin mon frère adoré. Je me retenais de pleurer. Je savais qu'il détestait les larmes.

-Allons Beth. Je vais bientôt revenir. Je te le promet.
-J'attendrai ton retour.

Je lui souris faiblement; après tout, il ne pouvait s'attendre à ce que je me réjouisse. Je n'entendrait plus personne m'appeler Beth avant un moment. Ça me manquerait. Les autres m'appelaient Lizzie. Je regardai sur le quai; il y avait beaucoup d'autres familles qui disaient adieu à leur homme. Je voyais bien que certains garçons de mon âge brûlaient de partir, mais ne semblaient pas pouvoir encore.

(À vous. max 1 personne, premier arrivé, premier servi, répondez sans demander)

Je ne voulais pas rester ici, Pourquoi je ne pouvais pas partire ? Parceque j'était trop petit ? Trop gros ? Pfff ... Nimporte quoi !
Je suis sur qu'il vont avoir besoin de moi la bas... c'est certain...
Mais ça ... Ils ne le savent pas encore ...
Je m'appelle Edward, et mon grand frère vien de partire à la guerre... Me laissant seul avec ma mère ... ma mère alcoolique ...
Je soupira un moment appret avoir regarder le train qui mennais les combattant loin de nous ... J'avais bien peur que sans moi ... il ne réeussirons rien ... pourtant ... je m'avais entrainer tout l'été ...
Il vont tout mourir sans moi ... franchement ... ya pas meilleure que moi ... Mais ... personne ne semble le remarquer ...

Je regarda a côter de moi les jeunes filles qui pleurais de voir partire l'homme de leur famille ... Moi je ne pouvais tout de même pas pleurer ... chui un gars ... et les gars ... ça pleure pas ...
C'est ce que je pense ...
Mais je remarqua un fille qui ne pleurais pas ... elle avais l'air triste ... mais ... elle ne pleurais pas ... drôle de fille ... pourtant les fille pleurent ...
Moi ma mère pleurent tout le soir ... appret savoir bien bourée ... elle s'enferme dans sa chambre et pleure ...

Je revien au départ des combattant, ... Il vont perdre sans moi ... c'est sur ...

Juste à côté de nous, un tout petit peu plus loin, il y avait deux garçons. Facile de voir qu'il n'y en avait qu'un qui partait. Les uniformes. Malgré l'horreur que la guerre représentait, nos gars avaient fière allure avec leurs habits d'officiers. Revenons donc à cette famille. C'était l'une de celle que nous ne connaissions pas vraiment. Presque tout le monde se connaissait dans notre village. Il faut dire qu'il était pas bien gros. C'était un petit patelin. Je me souviens que j'ai souvent voulu le quitter pour vivre de grandes aventures. Que j'étais folle...

Enfin, l'un des deux garçons attira mon attention, plus particulièrement, celui qui ne partait pas. Comme tous les autres, il avait sûrement envie d'aller se battre et peut-être rêvait-il même de grandeur. Je n'aurais pu savoir. Quelques secondes, je croisai son regard, mais je ne crois pas qu'il m'ait vu. Je détournai finalement la tête. Bientôt, mon cher Ézheckiel serait quelque part en Europe et je ne pourrais plus le voir avant la fin de cette horrible guerre. Je devais profiter du fait qu'il était encore là car qui savait s'il nous reviendrait...

Elle avais bien regarder dans ma direction ... et elle avais surement remarquer que je ne partait pas ...
C'est pas possible elle doit tellement me prendre pour un gros nul ...

Je continua de regarder la fille qui ne pleurais pas puis regarda le gars qui était proche d'elle
Il était habiller comme mon frère et comme plusieur autre hommes ici présent ... Il partait a la guerre lui aussi ... il en avais de la chance ... moi aussi je voudrais partire ...

Se qui m'énerve le plus c'est que je vais rester ici avec les filles et quelque autre gars poche qui ne vont pas combattre, comme moi. J'ai pas le gout ... vraiment pas ...

Je devais trouver un moyen d'entrer dans le train ... et rendu la bas il vont bien se rendre compte que je suis bon pour me battre et que c'est moi qui va leurs assurer la victoire !!

Matthew regardait le train avec envie lorsqu'il arriva. Walter, un peu moins pressé d'y aller lui donna un coup de coude dans les côtes. C'était le plus calme et le plus tempéré des deux. Je savais que s'il désirait partir, ce n'était que pour surveiller son impétueux de jumeau et parce qu'ils n'avaient jamais été séparés tous les deux. Ézheckiel recommença sa tournée alors que le départ n'était plus que pour dans quelques minutes. Mes frères lui promirent de venir le rejoindre bientôt pour lui donner un coup de main. Isabelle et moi ne goutâmes pas trop à la plaisanterie. Ce fut enfin mon tour. Il m'avait gardé pour la fin.

-Noublie pas ta promesse.
-Non.

Je souris faiblement et il me serra contre lui.

-Prend soin de toi Beth.
-Toi aussi.

Il s'éloigna et rejoignit le train d'un pas rapide. S'il ne se dépêchait, il serait oublier sur le quai.

Le train parti ...
Je le regarda partire un bon bout le temps puis soupira ...
J'aurais du embarquer ...
Je tourna les talon puis a la minutes même ou je commenca a marchertout les gens autour de moi ... qui el peuple qui c'était réeunie au quai commencèrent a partire eu aussi ... comme un gros troupeau de fourmi ...
Je soupira et esseilla de le faire un chemin pour sorti en premier ... je m'aime pas ètre dans eles grand foule comme sa ... On ne peu plsu rien voir ... et déja que je suis asser petite ... je ne vois encore moin rien ...

Avec toute cette foule qui voulait retourner chez elle, ce n'était pas facile de rester grouper et encore moins de ne pas se cogner sur quelqu'un d'autre. On ne semblait pas trop faire attention à ses voisins, ni à ceux qui nous entouraient. Enfin, il fallait s'y faire. Dire que j'avais rêvé pendant toute ma vie à ce qu'une pareille histoire m'arrive. Je devais être absolument folle. Folle à lier. Ou ignorante. Je préférais cette deuxième option. Mes parents avait fort à faire avec les plus jeunes, alors je me débrouillai par moi-même pour retourner à la cariole. Comme je me faisais plutôt ballottée dans tous les sens, je me rendis compte que j'étais déjà bien loin des miens. En voulant les rejoindre, je trébuchai sur le pied de quelqu'un.

-aie...

Heureusement, je ne m'étais rien cassé. En tout cas, je devais me relever pour ne pas me faire piétiner.

Je senti queqlue accrocher mon pied puis je vit une masse tomber devant moi ... main bon vu que tout le monde avencais j'ai eu du mal a m'arrèter de marcher pour ne pas éccraser la personne qui avais tomber devant moi ...
Il la regarda un moment ... c'était la fille qui ne pleurais pas ... de tentôt ...
- Regarde ou tu va ... Ya énormément de pied ici ...
Je lui tendi la mian pour l'aider a se relever ...

Je regardai la main qu'il me tendait. J'hésitais un peu à la prendre, mais l'idée de me faire piétiner me décida vite. J'acceptai l'aide qu'il me proposait et me relevai.

-Je suis vraiment désolée...

Elle baissa les yeux, gênée.

Je le regarda un moment ...
- POurquoi tu t'excuse ... Ta juste a faire attention ...

Voyon donc ... c'était comme si elle allais se mettre a pleurer ...
Je tourna les talon puis continua mon chemin a traver la foule ...

Pas question de rester avec elle plus long temps ... cette fille me suit partout ...

J'avais du l'ennuyé. Et je regrettai de m'être excusée. Je regardai autour, question de retrouver ma famille, mais elle était déjà hors de vue. Je soupirai doucement; c'était pas de chance.

Je réussis finalement à m'extirper de ce moton humain pour découvrir qu'ils étaient partis sans moi. Je soupirai à nouveau et secouai la tête. J'avais au moins un mile à marcher de la gare jusqu'à la maison.

( C'est fort oublier sa soeur a la garre xD )

Et merde !! Pourquoi tout le monde desside de partire en même temps ...
Je sorti enfin de cette tempête puis esseilla de retrouver mon chemin ... j,était venu ici a peied avec mon frère ... Donc je n'avais aps torp remarquer par quel chemin passer ...
De plus ... j'habitait asser loin de la gare ...

Mmmhh ... Et de tout facon ... je n'avais aps trop envi de revenir a la maison tout de suite ... retrouver ma mère c'est pas se quil y a des plus le fun dans le vie ...

Je m'assoya sur un banc et attendi que presque touit le monde parte ...

(ils pensaient qu'elle avait décidé de marcher xD)

La foule commençait à se disperser, heureusement. J'espérai qu'ils se soient simplement déplacés pour éviter que les chevaux s'emballent à cause de toute cette agitation. Je les cherchai encore un peu, mais je dus me rendre à l'évidence, ils m'avaient laissés derrière. Enfin, ce n'était pas si grave. On était trop pour la cariole. J'aurai été coincée entre les deux petits qui me baveraient dessus tout le long du voyage. Et puis, j'aimais bien la marche, alors... Je me demandai quelle heure il était. Près de la salle d'attente, en fait, la pièce voisine, il y avait le bureau du chef de gare. J'allai donc le voir. Il m'indiqua qu'il était près de 10h30. J'avais le temps de rentrer pour le dîner. Une chance. Je sortis du bâtiment, embêtée d'avoir été oubliée et de devoir marcher tout ce chemin.

-En route!

Je me tourna ver la fille qui avais tomber tout a l'heure ...
Elle s'emblais perdue et un peu troublée ...
Je me souvenais de l'avoir vue avec plein de gens tout a l'heure ...
Mais la, ils n'étaient pas la ...
Je fit un sourir en coin en réalisant qu'ils l'avaient oublier ici
- Haha !
Je me leva et alla voir la fille
- Tu tes fait oublier ?

Je sursautai et me retournai. C'était le garçon de tout à l'heure. Je rougis et baissai la tête. Finalement, je la relevai. J'étais un peu fière à l'époque et je n'aimais pas du tout qu'on se moque de moi.

-Du tout. J'ai décidé de rentrer à pied.

-Ha bon ...
Je la regarda puis remarqua qu'elle avais rougie
- Tu veuq ue je t'accompagne ?
Je pouvias bien ... c'es tun peu nul marcher seul de tout facon et j'allais dans le même chemin quelle

Quoi? Était-ce pour me narguer ou simplement pour être aimable. J'haussai les épaules.

- Si cela ne vous embête pas, ça ne m'ennuie pas non plus, répondis-je avec simplicité.

Je fit un petit sourir c'était drôle de voir ses drôle de tête et son air pasdu tout impressionnée ... Maintenant je comprend pourquoi elle ne pleurais pas tentôt ...
- Alors je marche avec toi !
De tout facon on va dans le même chemin !
Je commenca a marcher a côter d'elle, les main dans les poches ...

Enfin, je quittai la gare. J'étais fatiguée à cause de toute cette foule énervante et la voir disparue me faisait le plus grand bien. J'avais encore de la compagnie, mais au moins, celle-ci ne semblait pas vouloir envahir mes pensées, ce qui me convenait parfaitement. Je ne savais toujours pas qui était ce garçon, mais jamais je ne le demandrais. Je n'étais pas du genre à poser des questions. De toute manière, les réponses venaient à moi sans que je les demande.

Je la regarda ... elle ne me parlais pas beaucoup alors je me suis dit que je devais commencer la conversation
- C'était ton grand frère qui est parti combattre ?

J'hochai la tête.

-Le plus vieux de mes grands frères. Le tien aussi y va, non?

Je la regarda avec un petit sourir
- Ouais ... Et la j'me retrouve seul ... avec ma mère ...

Ma mère ... Pfff ...
Je passa ume main dans mes grand cheveux blond et soupira

Je le regardai curieusement.

-Ton père y est aussi? demandais-je simplement.

Pourquoi ce garçon semblait-il vouloir autant partir d'ici?

Je sursauta un peu
- Non ... Mon père c'est suicider .... c'était un lache ... Il voulais pas aller se battre ... et il en voulais pas non plus continuer de vivre avec ma mère ...

Je soupira ... sa servais a rien de déprimer a cause de sa ...

Que répondre à une telle déclaration? J'optai pour un simple désolée et n'ajoutai rien.

» Guerre et chemin-de-fer. ( Pour Loulou-Chan ^^ )