Infiltrés. [PV Pr.Kappa]

Le soleil venait à peine de se lever et ses pâles rayons encore froid d'une nuit intense remontèrent le long du haut immeuble, pour entrer sans hésitation par une fenêtre ouverte.
Dans la pièce que dévoilait cette fenêtre restait ouverte, ce trouvait quatre homme, à la gueule enfarinée par l'alcool, jouant au poker. Quatre hommes vêtue de costars, blanc, noir, rose et un gris. L'homme au costard gris avait la quarantaine, son visage se voulait être le plus neutre possible, c'était un joueur de poker invétéré. L'homme au costar blanc était un fringuant don juan italian d'une trentaine d'année. Par moment il envoyaient quelque regard sensuelle, un baisé fuguasse, aux femmes restées non loin. Il se désintéressé du jeu, ne regardant que les cuisse des femme, qu'elles dévoilaient entre un deux plis de robe, pour le déconcentrer ou le séduire.
Celui au costard rose semblait paniquer devant ses cartes, visage tellement transparent, que ça en était navrant. Il n'avait qu'une vingtaine d'année, avait une apparence négligée, mais pas pour autant dénuée de sensualité, un côté sauvageons qui ne laissait pas indifférent.
La main devait tombé, beaucoup d'argent était sur la table. Le moment de dévoiler son jeux était venu : Un pair de cinq pour le costard gris, le costard blanc s'était couché il y a longtemps. Le gris pensait avoir gagné sur le rose, vu son visage nerveux. Vint le moment de poser les cartes pour lui aussi... Avec un sourire vainqueur en coin, il dévoila un carré de dame. Pour lui s'était la victoire, il avait réussit à cacher son jeux avec brio, poussant les joueurs à leur maximum, poussant la mise au plus haut.Avec un large sourire, il commença à avancer le bras pour prendre son du, sous les yeux rageurs du gris.
Quant une main le stoppa dans son geste. Un dernier joueur restait. Le noir. Sa main. Une quinte flush. Le noir ramassa la mise, sous la stupéfaction générale, puis s'en alla du jeu, assez joué, et surtout assez gagné. En sortant de la pièce, il alluma une cigarette, une black stones. C'est une marque japonaise, qu'on ne trouve pas dans le commerce. Enfaite c'est un cigarillos, ça a un gout plus fort que le cigarette normale...Enfin bref tout le monde s'en fous de ça.
Agé d'une vingtaine d'années à peut-près comme le rose, le noir, de son vrais nom Tolomeo Gamberrini, fils d'Ezio Gamberrini. C'était un homme d'une stature tout en muscle, imposante et intimidante, il se tenait droit comme un "I" suite à ses quelques années passé a l'armé. Sa peu était bronzée, parsemé de cicatrice. La plus grand balafre qu'il avait ( malgrés lui) était celle sur son oeil gauche, une grand entaille le coupé en deux, en passant par son oeil qui avait prit une teinte rougeâtre depuis. Pourtant il voyait encore, et c'était une chance. Il avait des oeil fin,et son autre oeil était d'un vert serpent magnifique. Ses cheveux indompté d'un brun aussi foncé que le bois d’ébène, tombé souvent sur son visage en mèches fines.
Tolomeo se dirigea vers son bureau, situé à l'autre bout du couloir. Il prit ainsi le temps de compter l'argent qu'il venait de gagner. Une belle petite fortune. Une fois à son bureau, il découvrit un dossier sur le meuble en bois massif. L'ouvrant pour en prendre connaissance, il y découvrit les nouvelles du jour... Le mort de Lebeck. Zut, un précieux informateur, pensant-il. Mais si il est mort, c'est qu'il n'était pas aussi doué qu'il le prétendait.
Tolomeo laissa tomber le dossier dans la poubelle à coté, et se tourna vers la fenêtre pour observer la ville au pied de l'immeuble imposant.
-"Il faudra que je trouve un nouvelle informateur... Encore du boulot en plus pour ce week end".
Le monde de la pègre était dure, mais pour lui qui était né dedans, ce n'était qu'un jeux d'enfant. Et jouissant d'une notoriété important, et d'une couverture auprès de la police, les Gamberrini était quasiment intouchable.

Une jeune femme se présenta à la réception de l'immeuble. Selon la rumeur, elle voulait vendre des info sur la mafia russe. Une belle secrétaire à l'allure tirait à quatre épingles, blonde au yeux bleu et au lèvres teinte d'un rouge sublime la prit en charge.
-"Bonjour je m’appelle Ellena, suivez moi s'il vous plait."
Elle se leva est se dirigea vers l’ascenseur, sans prendre la peine de vérifier que la femme la suive... Elle la suivra forcement, sinon elle ne serait pas venu ici.

Tolomeo s'était levé, avait enlevé sa veste noir et sa cravate, gardant juste sa chemise blanche, déboutonné en haut, et son pantalon noir. Il resta debout, un cigarillos à la bouche, dégageant l'odeur presque sucré des black stones. Observant la route, il regardait les gens passer... Misérable petit pion sur l’échiquier de la vie. Il suffisait de bouger un cavalier, déplacer une tour, avancer un pion, pour prendre la roi adverse. Mais sur l’échiquier que Tolomeo avait fait, le pion qu'il devait prendre pour faire échec et mat, c'était la reine, le roi il l'avait déjà.
Il s'installa sur une chaise, en face de lui, l’échiquier. Sur cette échiquier, des pion étaient bougé. Et la place des pions n'était pas au bonne endroit. Dans les noirs, le fou était à la place de la reine, et la reine, il n'y en avait pas. Sur les blanc, la reine était à la place du roi, et le roi était couché. Cela pourrait ressembler a une négligence, mais s'était fait exprès. Les plans, était sur la table, dans le jeu.
Tolomeo avança la main et déplaça d'une case en avant la reine.

Ellena était encore dans l'ascenseur, mais ne tardera pas à finir son ascension. Sans un mot, elle avait appuyé sur l'avant dernier bouton. Cella corresepondé au trente-neuvième étage, légendé comme " le fils du boss.

Tolomeo se bougea pas un cil quant les porte de l'ascenseur s’ouvrir. Les porte donné directement sur le bureau de Tolomeo, c'était le seul moyen de rentrer dans cette pièce.
Ellena avança de quelque pas, et se pencha vers Tolomeo, lui chuchotant quelque chose à l'oreille. Il sourit, et avança de nouveaux le bras, pour déplacer la reine blanche d'une case en diagonale sur la gauche, et déplaça le fou pour le placer face à la reine.
Il releva la tête quant Ellena repartit, regardant la jeune femme d'une regard calme et sans émotion. Puis il écrasa son reste de cigarillos dans le cendrier à côté et en ralluma un autre. Laissant sa main tenant le paquet en suspend, il reconsidéra la femme.
-"Vous en voulais un ?"
Il avait un voix grave et suaves, et l'on pouvait y sentir un accent italien, qui donner presque du charme à se balafré sans charisme.
Le jeune femme semblait bien toilettée... Un peu trop pour une femme qui chercher désespérément de l'argent au point de trahir sa mafia.

Il rangea son paquet dans la poche gauche d son pantalon et se leva. Il observa à nouveau ce petit bout de femme. Elle attisé sa curiosité. Mais une chose lui déplaise chez elle.
-"Pas la peine d'être aussi formelle."
Elle était la avec sa petite mallette, ses cheveux tiré en arrière sans un seule qui ne part dans l'autre sens que les autre, son maquillage parfait, sa tenue tiré et repassé. Ce genre de chose, l'apparence parfaite, ça l'énervé. Lui il avait les cheveux en bataille la chemise pas repassée ouverte en haut, le pantalon qui penche d'un côté mais la flemme de le remettre droit.
Enfin bref.
Il s'installa à son bureau, posant un coude sur la table, prenant un stylo dans l'autre, fit un geste pour indiqué à la jeune femme de s'assoir sur le fauteuil en osier en face. Puis avec le stylo il griffonna quelque chose sur son papier, et commença l'interrogatoire :
-"Bon, pour les formalité, nom, prénom et tout et tout. Formalité de base quoi, donnez toutes les indications... Lebeck à du vous les transmettre."
A la fin de sa phrase il regarda sans leva la tête son interlocutrice, avec un léger sourire en coin.

-"Bon... Numéro auquel ont peut vous joindre, habitation, famille... Ah oauis, c'était ça le problème si je me souviens, un truc avec votre famille, et y vous faut de l'oseille c'est ça ?!"

Un peu avant qu'elle n'arrive, quelqu'un lui avait remit un dossier sur ça demande, sur les rumeurs de cette Elena Kus..Kuzne...

-"Vous l'écrivait comment votre nom de famille ?!"

Non mais sérieux les Russe quoi... Y sont vraiment des nom bizarre et super compliqué à écrire. Sur la feuille, il avait essayer plusieurs orthographe amis avait tout rayé.

Ben revenons au jeu. Il appuya su un bouton, et un petit "friiiz" se fit entendre. Puis en pas longtemps, la porte de l’ascenseur s’ouvrit, laissant place à un homme en tenue de barman avec ou espèce de petit frigo à roulette et deux verres. Tolomeo demanda un Limencello, liqueur de citron devenu fierté nationale des italien. Le citron qu'il utilisé pour faire cette liqueur était, ici, directement importé de Capri vers Naples que se trouvent les meilleur citron, au parfum entêtant et a la peau épaisse.
-"Prenez ce que vous voulez... Ne me faite pas l'affront de refuser un verre, offert de bon coeur."
Il ne la dragué pas, même si le petit sourire pouvait le faire croire.

-Kuznekova K-U-Z-N-E-K-O-V-A. mon numéro est le 300 876 409. J'habite dans le 4eme avenue rue Browntown le 56. Ma famille a été perquisitionné pour cause de dettes et a été expatriée en Ukraine, et je ne peux pas me permettre de dépenser plus que ce que je gagne pour l'instant, les autorités ukrainiennes tomberaient sur mes comptes sinon. J'ai donc en effet besoin de cet argent pour ma famille.

Son regard demeurait impassible, même lorsqu'il laissa échapper une sourire quelque peu dragueur. Ça devait faire partie de son caractère, sans même qu'il s'en aperçoive Elle n'y fit pas attention mais accepta le verre pour ne pas le contrarié. Elle avait entendu parler de ces italiens et de leurs valeurs, ou fierté, tout ça. Par contre, elle préférait attendre de le voir boire lui-même son propre verre avant d'avaler la moindre goutte, question de sécurité.

(Même moi je dois vérifier à chaque fois que j'écris ce nom de famille XD Et j'ai dit un peu n'importe quoi pour les rues et tout mais je ne sais pas exactement comment sont les rues a Nex York ou aux USA en général faut me pardonner XD)

( parceque tu croit que je remarque si t'a fait une faute dans les rues XD En plus je te comprend moi pour écrire le nom de famille de Tolomeo je doit regarder aussi plein de fois XD)

Il remarque qu'elle ne buvait pas son verre... Elle était professionnelle et tout aussi craintif. Elle semblait ne pas lui faire confiance, bon normale mais quant on est en possession d'information qui peuvent servir, on n'ai pas méfiant, amis arrogant.

-"Allons buvez votre verre. Après tout rien ne me sert de vous tuer maintenant."

Il dit ça avec un sourire radieux, presque heureux. Enfaite il l'était, elle était intrigante mais marrante cette fille quant on regardé plus près.
Bon c'est pas tout, mais il fait soif. Pour redonner confiance à Elena, il descendit cul-sec son verre. Et en redemanda un, pour pas finir comme ça, il était déjà bien partit... Depuis la veille enfaite, pot de départ de Lebcekc, ils ont fêtaient ça !

-"Bon, là j'ai l'impression de faire un monologue ou pire... De parler a un robot"

Ca l’ennuyé ces conversations monotones et monocordes. Pour ça Lebeck était pas mal, il racontait un peu sa vie c'est vrais, mais était moins stricte... Il avait l'impression de parler a une ficelle de string là, au moindre truc elle lâche !
Il se gratta l’arrière de la tête avec le stylo, la regardant avec une moue embêtée.

-"Bon ben si on peut pas parler, dites moi ce que vous avez a me vendre."

Elle commençait à l'ennuyer, Et si elle l'ennuit, il l'expédié directe au service d'en bas, les bureaux qui s'occupe des info sans importance. Elle était de la mafia Russe, c'était normale qu'elle sache pas trop comment se comporter avec la mafia Italienne mais quant même.

-" Mais ça ne me servira pas à grand chose de les doubler. c'est pas amusant, et ça me mettrais dans la merde inutilement."

Les compte en banque de la mafia étaient plein à craquer. Pas la peine de renflouer plus. Et puis provoquer la mafia russe, juste pour une histoire futile de tunes, pas la peine, ce serait prendre des risque inconsidéré.

Il se leva en prenant subtilement le verre d'Elena, pour le donner au barman discrètement. Il en prit un autre, et aussi une autre bouteille de liqueur. Tirant une bouffée sur son cigarillos, il déplaça un pion noir d'une case en avant, quant le barman repartit, emportant le verre d'Elena, avec ses précieuse empreintes. Voyons voir si ça sert à quelque chose.
Il s'avança ensuite vers Elena, de dos. Il posa sa main sur le dossier de sa chaise, se pencha au dessus de l'épaule de la jeune femme, le cigarillos au bec.

-"Un autre verre ?! "

-Non merci, ça ira.

Décidément, les italiens étaient durs en affaires. Les infos sur l'argent était tout ce qu'elle pouvait donner pour le moment, faute de temps, mais aussi question de sécurité. Elle ne pouvait pas se permettre de donner trop d'informations importantes sur tous les terrains, sinon elle ne pourrait pas tout défendre par la suite. Elle donna alors le reste de ses informations, plus ou moins importantes, puis se leva. Elle n'avait qu'une hâte, s'en aller d'ici. Elle ne se sentait, disons, pas à sa place. Elle se leva donc et salua poliment Tolomeo et les reste des occupants se trouvant dans la pièce dont le barman.


Puis elle partit et fut reconduite à l'extérieure par la même femme qui l'avait menée jusqu'à Tolomeo. Ce premier contact l'avait un peu déboussolée. Quelque chose n'allait pas. Une fois à l'extérieur et à l'abris des regards indiscrets ou des oreilles, elle appela son boss.


Elle raccrocha et se rendit dans son petit appartement à Brooklyn, histoire d'ouvrir les volets et d'aérer un peu. Ca faisait des mois qu'elle n'y était pas allée. Elle s'en servait de QG, ou de cachette lorsque c'était trop risqué de retourner chez elle sans qu'on découvre sa deuxième identité. Maintenant qu'elle avait donné cette adresse, autant y venir de temps en temps histoire de ne pas donner l'impression que l'endroit est tout le temps vide.

-"Oh vous partez déjà ?!... A plus alors !"

Il afficha un large sourire, histoire de faire croire qu'il était gentil.Une petit bouille de gosse, qui peut y résister... De plus en plus de monde. Surtout depuis qu'il avait un oeil qui viré au rouge, ça casse un peu le mythe.Enfin bon c'est la vie.

Une fois Elena sortit, il baissa son bras qu'il agitait comme les gens font pour dire au revoir dans les gares, et fit vite de retirer ce sourire craignos de son visage. Fallait maintenant qu'il joue les gentil.. Pfff quel plaie. En plus elle donne rien intéressant. Bon, il est temps maintenant daller faire un compte rendu au boss. Pour ce faire, deux choix s'offrait à lui : soit il prenait l’ascenseur, mais il devait descendre puis remonter car il faut impérativement prévenir le boss avant de monter, sinon la porte s'ouvre pas. Où alors, est ce fut son choix, passer par la fenêtre, utiliser la rampe de secours pour passer par la fenêtre.

Ainsi fut fait. Une fois hissé jusqu'au dernière étage ( faut pas avoir le vertige) il enjamba la fenêtre. Par habitude, son boss, qui était aussi son père, laissait une fenêtre ouverte... Et oui, ce n'est pas la 1er fois que Tolomeo passait par la fenêtre.

Donc il était à l'intérieur, et à peine eut il posé ses deux pieds par terre, qu'une assiette vola dans sa direction, il l'évita avec tout le naturel du monde, en penchant la tête sur le côté.

-"Bonjour tante Anne."

Ah, tante Anne. Elle était mignonne cette tata, avec ses cheveux marrons et ses yeux noisette... Dommage qu'elle est complétement péter un boulon il y a de ça quelques années. Elle envoyait souvent des objet volés dans tout les sens, une fois c'est même le chat qu'a fait un baptême de l'aire. Elle restait assise sur un fauteuil rocking-char, avec un sourire figé sur son visage.

-"OOOhhh!!! Qu'ellle belllleuh tommmateuuhh !"

Elle avait aussi des hallucinations par moment... Dans ce cas là, elle voyait Tolomeo en tomate. Dommage qu'elle soit complétement folle. Elle était si douée pour les interrogatoire. Enfin même dans son état elle continuait, mais elle effrayé plus qu'autre chose.

Laissant de côté la tata tarée, Tolomeo s'assit près du fauteuil du boss, pour lui expliquer en détail ce qui venait de se passer.

(J'adore la tata tarée et le baptême du chat XD)

Une fois l'appartement passé en revue, Kisa retourna chez elle et alla prendre une douche. Ce rendez-vous avait lui avait laissé un goût amer, et il fallait à tout prix qu'elle se change les idées. C'est pourquoi elle laissa tomber pour aujourd'hui Elena et Erin et se rendit uniquement en tant que Kisa, soit la jeune femme au gros héritage qui était juste née dans la bonne famille et qui côtoyait la haute société dans les magasins de haute couture, histoire de faire une virée shopping avant de sortir le soir même. Elle s'autorisait rarement ce genre de chose, mais y était quand même un peu obligée, histoire de ne pas disparaître totalement du cercle mondain. Et oui, ça pourrait attirer la curiosité de disparaître totalement de toutes les fêtes uppées. Et puis, faire la fête l'aiderait sûrement à oublier un peu l'entretient qu'elle avec eut avec cette homme ... A la fois charismatique et effrayant.
Elle sortit alors dehors, avec des une jolie tenue beaucoup moins officielle, plus colorée, et surtout, hors de prix. Elle avait laissé ses cheveux blonds à l'air libre tout comme ses yeux qui ne supportaient plus ces lentilles noires.
Après s'être fait volontairement remarquée dans plusieurs grandes boutiques de luxe par d'autres femmes et hommes elle réussit à se faire inviter à un gala d'un fils de l'oncle d'un fonctionnaire au ministère ou quelque chose dans le genre. Elle ne s'attardait pas trop sur ces quelques détails.
Elle rentra alors chez elle et enfila une robe de soirée bleu marine somptueuse, des boucles d'oreilles sur lesquelles brillaient un diamant, et se maquilla un peu de manière à faire ressortir ses yeux éclatants. Elle laissa ses cheveux tels quels, prit une petite pochette assortie en guise de sac à main et rejoignit celle qui l'avait fait invité pour se rendre à ladite soirée.

(Il était trop sérieux ce rp, fallait bien une touche de taré !!! Et j'imagine trop tata Anne qui fait un interrogatoire : "tu parle mon cornichon ?! Non ? Ben prend une 'tite patate alors, tient mange la par l'oreille c'est mieux XD... Okay c'est gore mais moi ça me fait rire.)

Leur discussion bâté son plein, tata Anne divaguant. Très vite ils se rendirent compte que ses informations ne servait à rien, et que la pauvre 'tite Elena ne toucherais pas grand chose si elle donnait des info' aussi inutile. Mais Tolomeo voulait pas lâcher l affaire, il était sur qu'elle pouvait servir.

Par moment, tata Anne avait des bref instant de lucidité, Elle demanda à Mr.Tomate, entre autre terme Tolomeo, pourquoi il continuait, alors que ça n'avait rien donné.

-"Quant je prend un paris, je m’arrête pas avoir de l'avoir gagné".

Il se tourna vers son père en disant ça, mais celui ci ne fit rien. Un paris, la seul chose qui motivait Tolomeo était un défi que lui avait lancé son père. Alors il lâcherait pas... Bon joueur, ou mauvais perdant : vous étes seul juge !

(Elle est juste énorme la tata XD)

La soirée battait son plein du côté de Kisa, mais la jeune femme ne semblait pas prendre part aux festivités. Accoudée au comptoir, elle ressassait ses idées noires. En ce moment elle était tout ce qu'il y avait de plus mauvais, du moins par rapport à ce qu'elle avait put faire, et ne voulait pas descendre dans l'estime du boss, qui était presque comme un membre de sa famille. En soupirant, elle ouvrit la pochette qui lui servait de sac et en sortit la photo vieillie de son père.


"-Je te promets que je les aurais, je le ferai pour toi."


Elle remis la photo à sa place et commanda un verre pour noyer son cafard ce qui la requinqua un peu. Elle allait trouver un moyen de s'infiltrer plus dans ce groupe d'italiens qu'elle n'appréciait guère. Il y avait forcément un moyen. Maintenant, il ne restait plus qu'à trouver lequel.

Une fois leur conversation finit, Tolomeo fit un signe de min à son père, embrassa sa tata sur le front. Même si elle était folle, il l'aimait bine sa tata.Il sorti de la pièce, par l’ascenseur. Une fois à l'intérieur de cette boite, et à une hauteur vertigineuse si on pouvait la voir, il s'adossa contre une des parois de la boite, afin de réfléchir... A quoi vous demandez vous ?! Ben à ce qu'il allait faire ensuite. Pas au point de vue de leur situation d'Elena et du paris. Non, juste où il pouvait aller pour se changer les idées. Pour l’instant, il ne savait pas.
La boite métalique finit par arriver en bas, Tolomeo sortit et alluma une cigarette. Il mit une main dans sa poche, et commença à marcher dans la rue, tranquillement, sans penser à grand chose.