Pv Kizu :)

Marth se sentis frémir en sentant la mains de celui ci venir agripper sa cuisse, remontant lentement, puis passant ses doigts sous son boxeur. Celui ci eu un petit grognement de plaisir, mélanger à un petit gémissement, sentant ses doigts s'infiltrer sous son boxeur et frôler son membre durcissant encore sous le toucher. Un frisson parcourue son corps, tendis qu'il lui fit tomber son pantalon, allant caresser sa cuisse, la griffant du bout de ses ongles. Il remontait lentement, passant sa mains sur le boxeur et pressant légèrement, avant de continuer à remonter, allant plutôt prendre ses hanche, et se pressant contre lui.

Cette pression me fit grogner. J'étais déjà complètement dur, mon membre se dressant fièrement dans mon boxer, un peu stoppé par le tissu, poussant contre celui-ci. Je baissai mes lèvres au cou de l'homme, puis vers son torse, attrapant l'un de ses mamelons entre mes lèvres et promenant ma langue autour. Ya pas à dire, je savais quand même comment donner du plaisir à un homme. Similaire à ma langue, ma main se mit à décrire des mouvements, mais sur l'entrejambe du coroner cette fois. Par-dessus le boxer d'abord, puis dessous ensuite, frottant tantôt vigoureusement, tantôt doucement ... passant mes doigts sur toute la longueur...

Le coroner eu un petit sourire, sentant cet langue passé à son cou, ses lèvres caressant sa peau. Cet langue sur son mamelons, il du poser sa mains sur le mur pour se retenir, fermant les yeux en sentant la mains de Pierick caresser son entre jambe sur son boxeur, puis en dessus. Le massage était à la fois vigoureux, et tendre, parfois plus lents, d'autre fois plus rapide. Ses doigts longeant la verge gonflé, palpitante sur le membre de l'homme, qui fermait les yeux pour tout bien ressentir de ce plaisir qui l'envahissait peut à peut. Mart passait son autre mains dans les cheveux du policier, passant ses doigts sur sa nuque, caressant ses mèches folles.

Mon souffle chaud, erratique, atterrit un instant sur le mamelon de l'homme. Je reprenais tranquillement mon souffle, avant de retourner à la charge, cette fois du bout des dents, tout doucement. Lorsque j'eus fait subir le même traitement à l'autre, je baissai ma langue en direction du nombril, puis continuai mon chemin encore plus bas. On aurait cru que je prendrais enfin le membre bien dur en bouche... mais contre toute attente, je me relevai. J'avais aussi besoin d'être soulagé. Je voulais plus que cela. Alors je me tournai dos à Marth, appuyant mes deux mains sur le mur, et pressant mes fesses contre son bas-ventre, lui faisant bien comprendre ce que je voulais.

Et dire qu'il allait presque... Cet langue qui descendait sur sa peau, venant jouer dans son nombril, s'en approchant. Ce souffle éradique contre sa peau humidifier de sa langue, frissonnante. Il rageait un peut de l'intérieur, quand Pierick se releva, s'attendant à ce qu'il parte ainsi... mais il se retourna, frottant ses fesses contre son bassins. Marth eu un sourire...! Marth passait son membre dur entre ses cuisses, sans rentré, juste entre ses cuisses, mordant l'homme, et caressant son membre de ses doigts. De son autre mains il empoignait le siens, s'infiltrant en Pierick peut à peut, le caressant en même temps. Il pris une longue respiration, soupirant d'aise. Il commençait de petit mouvement, bougeant sa mains par la même occasion, le caressant en même temps de bouger ses hanches.

Je commençait VRAIMENT à m'impatienté! Et la patience n'était pas du tout ma tasse de thé...
Je me levait, tanner de mâcher mon crayon celui ci ayant déjà été bien maganer, le pauvre...

La tête penchée et les cuisses bien écartées, je m'offrais complètement à l'homme. Il me faisait patienter, je sentais son membre entre mes cuisses, me titiller, se frotter contre moi augmentant simplement mon envie ! Mais pas en moi ... alors que c'était bien l'endroit où je le voulais le plus...
Il finit par me pénétrer, alors que sous le plaisir d'enfin obtenir ce que je voulais, je me laissais aller à un gémissement incontrôlable. Ses caresses en rythme sur mon membre augmentaient les sensations... Je bougeais avec lui, reculant quand il donnait une poussée vers l'avant, l'attirant encore plus profond en moi. Je le voulais en entier. Bien vite, mes jambes commencèrent à trembler légèrement, mes grognements devant plus prononcés.

Je traversait les couloir, un peut frustré qu'il me fasse tant attendre! J'avais trouver quelques informations intéressantes à ce sujet, information que l'on pourraient bel et bien prendre en compte lors de cet affaire. Mais bon, si celui ci préférais flirter avec ce salopard de coroner au lieux de venir m'aider à essayer de clore cet enquête au plutôt. J'arrivais proche de la porte de métal du coroner, posant ma mains sur la pogner, que quelques bruits plus ou moins reconnaissables, virent à mon oreille...

Non...

Je ravalait ma salive, restant planter là un instant, une indécision alarmante, me demandant si je devais ouvrir la porte un peut pour savoir, si je devais repartir, ou défoncé la porte en faisant croire à un agression.... J'avais mes dossiers en mains, fronçant mes sourcils... Je fini par ouvrir tranquillement la porte, jetant un coup d'oeuil à l'intérieur.

Marth allait clairement plus rapidement, s'enfonçant carrément violemment en mon collègue... Je restait pantois, le coeur battant, regardant le corps de Rick en sueur, épris de plaisir.... Je sentait cet sorte de rage monté en moi, et cet étrange sensation au creux de mes entrailles... Tremblant de frustration, je retournait rapidement vers le bureau, n'ayant qu'une seule idée en tête....

Prendre un bon verre de Rhum, et une cigarette...
L'idée de désinfecter mes yeux à l'alcool me passa par la tête mais je tenait à garder la vue...

Cette toute nouvelle brutalité finit par avoir raison de moi. Mes gémissements couvrant tout bruit autour de nous, même celui de la porte qui s'ouvrit et se referma doucement, je ne me rendis compte de rien. Je finis simplement par pousser un long râle en me lâchant une main pour la mettre devant mon membre. Je me déversai dans ma main, atteignant l'orgasme, mes jambes tremblant carrément désormais. Je n'avais simplement pas voulu salir le plancher de l'homme ... Ayant un peu de mal à me tenir debout pendant quelques secondes, je restai appuyé au mur. Puis, retrouvant lentement l'usage de mes membres, je repris plus contenance et sourit en le regardant. Heureux. Comblé.

Marth pu profiter de ce dernier cris, se lâchant aussi mais qu'une fois sortie de Pierick. Lui ne fit pas trop attention à son plancher, bien qu'un peut maniaque de la propreté. Le coroner se retourna, rattachant son pantalon sur ses hanches, et prenant une petite lingette humide. Il la tendis à Pierick, pour qu'il puisse s'essuyer en prenant une autre pour laver son plancher et le mur... Il devait faire attention a son espace de travaille après tout.

-Sa va un peut mieux maintenant à ce que je voix! Dit-il.

Il s'approchait, caressant la lèvre inférieur du blond de son pouce.

-Si t'as un autre blues comme celui là, tu peut venir me voire quand tu veux... murmura t-il.

Je passai ma langue sur mes lèvres, les humidifiant un peu, puis prit la lingette qu'il me tendait pour essuyer toute trace de substance de sur mes mains. Puis, je passai une main dans mes cheveux, me rhabillant tranquillement, rattachant mon pantalon puis remettant ma chemise. Comme on était encore au boulot, je la rentrai dans mon pantalon. Je souris alors à Marth.

- D'accord... Merci pour tout Marth.

Il lui adressa un clin d'oeil. Merci à la fois pour l'avoir aidé à se soulager, et merci pour les infos. Une fois plus présentable, il posa une dernière fois sa bouche sur celle de l'homme, puis le salua et sortit du bureau. Il marcha dans le couloir d'un pas qu'il voulait le plus normal, mais il avait un peu peur de comment il trouverait Darek. Aurait-il deviné ce qu'il se passait vu son absence bien plus longue que prévue ?

Mais biensur je n'étais pas rester dans notre bureau, ayant préférer aller me réfugier dans ma voiture, les deux pieds sur le volant, le banc écraser à l'arrière... Quand je stressait, J'était du genre à m'enfuir, enfin pour tout problème personnelle... Ce n'était pas pour rien que je ne désirait aucunement une relation stable, je voulait éviter tout problème au niveaux interpersonnelle...Et bien là je venait de vivre un sale gros problème! Immense même!!!
.........Je venait de bander en voyant mon collègue de bureau, Pierick, se faire mettre par derrière... Comme le sale gai qu'il est...

Assis comme sa je me calmait, fumant en fermant les yeux et en essayant d'imaginer toute sorte de choses affreuse et aucunement bandantes!!... ce qui marchait assez bien! Je devais absolument tout faire pour l'éloigner de sa tête le temps de redevenir tout à fait normale!
Qu'il aille baiser avec cet sale belle gueule il s'en fou, qu'il fasse ce qu'il voulait de sa vie, Je m'en foutait! Je m'en fou, je m'en fou... JE M'EN FOU!

En revenant dans le bureau, je fus surpris de ne pas y trouver Darek. C'était complètement vide, et en m'avancant, je remarquai que le dossier avait aussi disparu. Je savais qu'il travaillait dessus avant que je parte, alors il devait l'avoir avec lui. Mais où avait-il bien pu aller ?

Je m'assis sur une chaise et passai une main dans mes cheveux. Était-il au courant de quelque chose ? Il était peut-être parti chercher un fouet pour me punir de flirter pendant le travail !!!! Non... Quand même pas. Arrête de prendre tes fantasmes pour la realité, Rick. Haha.
En attendant, je pris mon calepin et regardai ce que j'avais noté de de que Marth avait dit.

Le problème était que je n'arrivait toujours pas à me calmer, calmer ces images redondantes dans le creux de mon cerveau, qui partaient et revenaient... de la même manière que son truck rentrait et ... Qu'est ce que je fou à ... Et merde....

Tout cela pour dire que j'étais encore dans ma voiture, les pied sur le plafond, la tête tombant de mon banc, rendu appuyer sur mon banc arrière, vous imaginez la position étrange, le dossier sur le banc passager, je fumait ma cinquième clope au moins... Oui oui juste ma cinquième en une heure! J'avais une envi intense que de me frapper voilement la tête sur le volant de sorte à ce que mon cerveau finisse par exploser!! Saleté d'images... j'avais besoins d'une femme pour me faire oublier sa! Il n'y avait que sa de vrai, de bon gros nibard... Rien d'autre!
J'ouvrait mon cellulaire, appelant cindy... C'était fort risquer, j'aurais pu contacter Sandra ou Natalie, mais Cindy était vraiment douer avec sa bouche et bien... elle était aussi percer sur la langue...

-Allo Cindy..

Quelqu'un décrocha, mais je n'entendit qu'un souffle rauque...

-Cin...

-Ai.. d.. ez... m..

Puis j'entendis un cris, le cris d'une femme, son cris, et la ligne coupa! Je me relevait alors en vitesse, ouvrant la porte de ma voiture, jetant ma cigarette sur le sol et courant vers le poste. Je rentrait allant directement vers mon bureau.

-RICK!!! RICKKK!!!!!

Affoler, j'en avait oublier l'incident de tout à l'heure, mais pas assez pour ne pas tiquer en le regardant. Je posait tout de même mes mains sur ses épaules, le tannent face à moi.

-Cindy, la femme... Elle vas se faire tuer! J'en suis sur!! Je viens de l’appeler!! il faut retracer le téléphone d'où j'ai envoyer l'appelle!

Je sursautai violemment en entendant hurler mon nom. Aussitôt je sautai sur mes pieds, juste à temps pour tomber face à face avec Darek. Il mis ses mains sur mes épaules, me secouant même un peu, mais je remarquai qu'il avait au début paru bizarre en me voyant. Il Devait savoir. Mais pas de temps à perdre.

- Quoi ??? On localise ça !

Je bondit vers l'ordinateur, ouvrant un logiciel, pianotant sur les touches avec rapidité et efficacité. Il savait exactement ce qu'il faisait, et ça paraissait. Après un instant, il nota vite vite une adresse sur un bot de papier. Oubliant pour l'instant la toute récente aventure que j'avais eu... Et dont il était au courant... Je relevai la tête.

- GO ! Grouille ton cul on y va !

Je le regardait pianoter les codes pour retracer l'appelle, regardant l’écran, voyant que celà venait d'un entrepôt désaffecter tout au bout de la ville! il fallait se dépêcher! je pris mon fusil et des balles de rechanges, envoyant celui de mon collègue vers lui afin qu'il ne l'attrape. Je sortie mes clefs de ma poche, et retournait vers ma voiture... Avant de voire la tosse de fumer s'en échaper..

-ho merde... Dis-je... Je la débarra, ouvrant grand les fenêtres. On seraient mieux avec la voiture de police à la place Dis-je avec un drôle de sourire coupable.

Je la laissait alors se départir de cet affreuse odeur de fumée, puis sortie la clef de la voiture de police, embarquant débarrant pour que Rick rentre. Je reculait, pesant sur le champignon.

-Et merde... Après le marie... ils veulent tuer la femme... Alors, qu'est ce que le .. hm .. médecin légiste t'as radoter? Demandais-je, promettant un aller pas aussi vite que je ne l'aurais voulue! Mains durant l'allée nous pourrions au moins discuter de nos .........recherches, pour certain...

Je pinçai les lèvres en voyant toute cette fumée dans la voiture de Darek. Je comprenais maintenant ou il se trouvait quand j'étais rentré dans le bureau. Ici, dans sa voiture, à fumer comme une cheminée. Géniale. Et après il me reproche parfois de ne pas faire mon boulot ? Hum...

J'embarquai dans la voiture côté passager, le laissant conduire encore une fois. En fait je n'avais pas trop pensé à ça, le temps pressait et j'étais déjà sur l'adrénaline. Je pris alors le dossier que j'avais amené avec moi, l'ouvrant et en sortant une image. Le revolver.

- Ce n'était pas un suicide, mais on le sait déjà. La balle ne venait pas du revolver que tenait le cadavre, mais d'un modèle semblable, très classe, qui ressemble à ça. Je me demandais si ça ne pouvait pas être de la famille, ou une personne proche. Tu sais, le fameux " souvent la victime et le meurtrier se connaissaient bien ".

J'écoutait, concentré sur la route, avançant le plus vite que je pouvais.

-Oui... Ce serais plausible! Car je me suis apperçut que son frère, est un criminel plonger jusqu'au cou dans des affaires de mafia. Sa familles semblent tous un peut comme sa mais ils sont tous mort mis à part son frère! Algatorio dela firenze ou quelque chose comme sa... (je vies de décider que la victime est italien >> les nom italien sa fait mafieux!) Je ne sais pas exactement dans quel branche il bosse, mais qu'il sois mêler à tout sa serais très plausible! Papa qui lègue des petits joujou à ses fiston, et l'un qui joue au cowboy indien avec, puis ''BANG'' ... plus de frérot! Mais dans quel but?

Je regardait la route défiler, le coeur battant regardant le petit moniteur qui montrait l'endroit. Nous arriverions sous peut...

-S'il s'en prend à sa femme après sa mort... alors ce n'est pas pour le faire souffrir encore plus...

Je réfléchissais à toute vitesse. Le frère. Alors ça ne serait pas étonnant pour le modèle de l'arme, le père devait avoir acheté les mêmes pour tous ses enfants. Ainsi ça semblait plausible. Puis avec le nom que le mec avait, ça ne m'étonnerait même pas. Enfin, je soupçonnais quelque chose dans cette histoire. Si il tuait aussi la femme, ce n'était pas pour faire payer son frère, probablement pas...

- L'argent, dis-je alors spontanément.

C'est toujours un motif qui revient, dans les crimes. C'est bête. Faire autant de mal pour des bouts de papier... J'suis pas riche et je m'en remets très bien quoi. Mais non. Les gens préfèrent avoir tellement d'argent, plus qu'ils ne pourront jamais dépenser dans une vie entière ! C'est dingue.

- Vu la grosseur de la baraque, le frérot devait avoir plein de money money. Peut-être que ça aurait un lien avec le testament. Il élimine tous les autres noms inscrits dessus, et rafle tout.

-Sa serais une option plausible... Très logique même...

Je mordillait ma lèvre, un peut anxieux, énerver. Nous étions arriver à un énorme usine de coton abandonnée, délabrée. Je me stationna plus loin en avant, juste question qu'ils ne touchent pas au char, et sortie, claquant la porte rapidement. Je marchait alors d'un pas rapide vers l'usine, prenant mon fusil en mains.

Je fit un signe à Pierick de s'en venir, m’approchant lentement.

Je sortis de la voiture en referman la porte moins bruyamment que Darek. Juste à regarder le bâtiment, cette usine bizarre à l'air étrange et lugubre, fort peu accueillante, je me mordis les lèvres. Il avait bien choisis sa place, ça faisait peur quoi. Mais comme chaque fois que je sentais le stress ou la peur, l'inquietude me gagner, je ne disais rien, refermant solidement ma main sur mon arme et suivait Darek sans laisser rien paraître. Je lui emboitai le pas, sur mes gardes, le cœur battant.

Je m’approchait, essayant de me calmer intérieurement, regardant par la fenêtre et y voyant... Et oui, Cindy était attacher sur une chaise, bailloner, elle ne pouvait bouger, de plus elle était entourer d'une dizaine de mafieux balèzes et armer jusqu'aux dents. Par chance elle était encore en vie, que je me retournais vers Rick, chuchotant ; '' bon, on vas les attaquer parles fenêtre, sa nous feras une barricade, le temps d'en mettre un ou deux hors d’états de nuire! Vas à la fenêtre là bas, je prend celle ci...''
Je fit enclencher mon arme, la levant, avant de me mettre à tirer, ne visant que les larbins du mafieux, pas le gros plein de bijoux. Lui ce serais pour la fin..

Je hochai la tête sous les consignes et m'eloignai alors lentement de lui. Je pris la direction de l'autre fenêtre, lentement, avec une grande discrétion. Personne ne devait nous repérer. Sans trop de mal, j'atteignis la fenêtre, puis m'accroupos et jetai un coup d'oeil à l'interieur. Hum...

J'attendis un quelconque signal de la part de mon collègue, le bruit soudain du coup de feu étant le signe que j'attendais. Je fis alors feu aussi, tirant les gros balezes qui ne semblaient pas encore trop comprendre ce qui leur arrivait. Des que l'un d'eux regarda vers la fenêtre, je me penchai sans qu'il n'ait le temps de me voir, restant immobile, retenant mon souffle.

Je regardait ceux ci s'écrouler, avant de me pencher pour passé sous la fenêtre et me dépêcher de retourner vers Pierick .

-Viens, on vas rentré par l'arrière! Ils ne doivent pas nous voire!

Je lui pris la mains, pour le tirer, me foutant en ces moments d'adrénaline, le fait que ce genre de contactes étaient peut-être un peut intime. Le je tirait vers l'arrière, entendant ces balourds de Mafieux sortir vers là d'où provenaient les balles. j'ouvris la porte arrière, passant avant Rick, mon fusil en mains, dresser à fin de pouvoir l'utiliser en cas de besoins!

Je descendit des marches de fer, tendis qu'en tournant un pan de mur, même très prudent, je sentis quelque chose de froid sur ma tempe...

-Je savait que tu allais venir, et en plus ton p'tit ami à décider de v'nir.. cracha un homme, grand Italien, qui semblait dire qu'il me connaissait quand je n'avais aucune idée de qui il était... Et toi, l'blond, j'lui explose la tête si t'essaye quoi que ce sois. soyez gentil tout les deux, et suivez moi!!

Celui ci pointait toujours son fusil sur ma tempe, le même automatique que la victime...
l'arme du crime...

-Oui oui, sa va j'ai compris! On te suis! Dis-je, tournant mon regard vers Rick, laissant tomber mon arme sur le sol pour prouver que je me soumettait.

Je déglutis en voyant Darek s'immobiliser. La voix qui retentit alors me glaça sur place, faisant courir un long frisson d'effroi le long de ma colonne. Je levai lentement mes mains derrière ma tête, les croisant, mais ne lâchant pas mon arme pour autant. Darek venait de laisser tomber la sienne, mais je me sentais mieux en sentant le métal contre ma paume de plus en plus humide. J'avais tiqué au mot "petit ami" mais ne dis rien. Il valait mieux juste suivre et obéir. Ce que je fis, les yeux fixes sur Darek, le cœur débattant. Il ne lui ferait pas de mal, je ne le permettrais pas !! Je tuerais ce costaud à mains nues avant qu'il ne fasse du mal à Darek !!

(ho... j'ai compris... elle était passé là ma première réponse à l'autre... bravo kiz! me suis foiré de fenêtre XD esti que chu con!)

J'avençait, faisant exactement ce que l'homme me disait de faire, sans railler, où le contre dire, sentant le métal froid du canon appuyer contre ma tempe. Je restait bien calme, sans m'énerver, même si au creux de moi, je me sentait toujours tant effrayer! Après tout, avoir le canon d'un fusil dont le possesseur pourrais appuyer à chaque instant sur la gâchette, cela à le dont de vous glacer les veines. Je le suivait, arrivant dans l'énorme sale, remplis de machines industrielles, avec cet chaise de bois où Cindy était assise, attacher, un tas d'hommes a l'air bien dangereux poster tout autour.

-CINDY!! m'écriais-je..

Celle ci relevait son regard, me voyant, mais bailloner elle ne pouvait rien dire!

-Je voix que vous vous connaissez...

Deux hommes, énormes, forts, prirent Pierick pour qu'il ne puisse bouger, quand je sentis l'homme me poussé sur le sol, d'un coup de canon de fusil dans le dos...

-p'tain sa fait mal!

Celui ci se mis à rire, s’avançant vers la femme.. défaisant alors le ducktape sur sa bouche, le tirant, quand celle ci se mis à sourire... Mais pourquoi souriait-elle?

-Merci Cindy pour la belle comédie! Ce fut très réaliste, bella!

-hahaha magnifique! Je devrais devenir actrice! Dit-elle en ricanant se défaisant de ses liens.

Mais que ce passait-il, je n'y comprenait rien à rien... Pourquoi Cindy agissait-elle ainsi? Ne m'avait-elle pas appeler pour que je vienne la sauver?

-Merde! qu'est ce qui se passe à la fin!!! Cindy???

-Hahahahahahahaha!! T'es vraiment naïf Darek, et même ton p'tit ami, l'autre policier ne semblait rien y comprendre! Vous êtes les dernier obstacle face au magot que nous pourrions avoir, moi et mon nouveau mari. Dit-elle, s’approchant du frère de son ex mari, passant ses doigts sur son bras.

Elle pris le fusil de celui ci s’approchant, le dressant devant mon crâne.

-Une fois que tu seras mort, personne ne seras notre plan, toi et ton coéquipier allez mourir ici!! Les nuits avec toi furent pas mal torride, je dois me l'avouer, mais je préfère définitivement l'argent, à ta pauvre petite vie, connard.