Lost in the dark (Kizu)

- Compte jusqu'à 10 d'accord ? Triche pas !
- Mais je sais pas compter jusqu'à 10...
- Euh... Ben attend un peu alors !

Je fis signe à mon cousin de ne pas bouger. Il était plus jeune que moi, de deux petites années. Mais pour l'époque, il était plus rare que les enfants sachent compter, ou même lire et écrire. Nous n'étions qu'au début de l'industrialisation, et souvent les jeunes n'avaient pas vraiment d'éducation. Mais mon père voulait que j'aie la meilleure éducation possible et m'avait appris l'alphabet. Et les chiffres aussi. Du haut de mes 8 ans, je me débrouillais pas si mal, même si j'avais un peu de mal à écrire. Je lisais mieux par contre. Laissant le petit attendre, je couru dans la grande maison de mes grands-parents pour chercher une cachette. Nous étions en visite, et comme il était rare que je voyais mon cousin, on avait tout de suite décidé de jouer.

Je voulais une bonne cachette. La meilleure de toutes. Alors je décidai de me glisser au grenier. Je rampai un peu dans la poussière, laissant les traces de mon passage et salissant mes genoux et mes mains. Je vis alors une sorte de grosse machine. C'était impossible de savoir ce que c'était, je n'avais jamais rien vu de tel. Je savais que mon grand-père était en quelque sorte un savant fou, un inventeur et qu'il créait toutes sortes de choses incensées. Une sorte de scientifique qui croit qu'il va réussir à créer des trucs incroyables. Mais rien jusqu'à maintenant n'avait fonctionné, selon mamie. L'invention en question ressemblait à un congélateur. Il n'y avait pas de tablettes, ni rien, et c'était assez grand pour y faire entrer un adulte. En plus, c'était plutôt joli... et la porte s'ouvrait bien. Je pourrais en sortir une fois le jeu fini. Aussitôt, je me glissai à l'Intérieur et refermai la porte. Et j'attendis. Un moment. Puis plus longtemps. Je ris en mon fort intérieur, certain d'avoir la meilleure cachette qui soit. Jamais il ne me trouverait ici.

Il commençait à faire de plus en plus froid, mais ça m'était égal. Je n'en prenais pas compte. Sauf qu'après un certain temps, je commençai à voir le bout des doigts et des orteils tout engourdis. Je gelais sérieusement. Alors je cherchai à sortir... Mais la poignée refusa de s'actionner. Je m'alarmai alors. Tirant de toutes mes forces, j'essayais d'ouvrir la porte, mais rien à faire. Alors je hurlai. Mais je n'en eu pas bien le temps... Sans prévenir, la température chuta d'un coup. À un tel point que j'eu tout juste le temps de penser que j'étais dans le pétrin... Que ce fut le noir total.

~~~~~~~~~

J'ouvris brusquement les yeux en étant bousculé. J'étais étendu sur le dos, toujours enfermé dans la machine, mais on aurait dit que celle-ci avait été renversée. J'étais debout avant, me voilà couché. Donc oui, on avait renversé la machine sur le dos. J'avais le corps un peu engourdi, endoloris. Mais j'allais bien. Je me demandai alors si c'était mon cousin qui m'avait retrouvé. Si on venait me libérer de ma prison. Il ne faisait plus froid, ça c'était bien réchauffé, jusqu'à une température normale. Je m'étais sûrement endormi. J'avais l'impression qu'il ne s'était écoulé que quelques heures tout au plus. Mais j'avais quand même perdu un peu la notion du temps. Grand-père allait me libérer... Oui. Oui c'est ça. Ce devait être lui qui avait couché la machine sur le dos, pour mieux l'ouvrir. Je devais juste lui signaler ma présence... Je me mis alors à crier, crier qu'on me sorte de là. Si seulement je savais que je n'étais plus du tout dans le grenier de mes grands-parents...

Nous étions en juillet, le 4 juillet 2011, en plein milieux de Los Angeles. À ce temps ci de l'année il faisait beau, la canicule estivale chauffait encore doucement l'air. Habiller dans mes habits habituels, costard noirs, cravate, pantalon noirs, propres, avec mes lunettes de marque cachant mes yeux du regard des genre et des rayons brûlant du soleil qui avaient déjà du mal à pénétré la fenêtre de ma ferrarie enzo. Je tournais un croissant de rue, j'avais un rendez-vous avec un marchant de vieillerie, je comptait trouver de nouveaux accessoires pour décorer mon superbe manoir, sans une décoration parfaite mes invité bien spéciaux ne s'amuseraient pas autant.

Je roulais, finallement n'arrêtant là où il y avait une pancarte écrite ''Chez Duke's, Antiquité''. Je me stationna devant, sortant de ma voiture, et rentrant chez ce célèbre antiquaire, bien reconnue dans tout LA. La petite cloche sonna dès que je rentra. Imédiatement je fut attaquer par le vieille homme, le gérant de la place, qui se faisait toujours un point d'honneur de venir saluer sa clientèle, du moins ceux qu'il savait qui avaient énormément d'argent.

-Monsieur Dawkins, que me vaux l'honneur de votre visite aujourd'hui.

Je ne retirais toujours pas mes lunettes, mais autait au moins mon chapeau phédora noirs, le tenant dans mes mains.

-J'ai besoin de nouvelle décoration pour mon manoir. J'aimerais quelque chose qui fasse vieux mais futuriste un peut... comme dans les films, certain de mes clients raffole de ce genre de décors.

Je me promenais entre les allées regardant tout les vieux accessoires, vieilleries de tout genre.

-J'ai un vieux piano à queux si vous voulez?

-Non, j'en ai déjà un.

Je me promenais, désintéresser de tout ce qui jonchait la place... rien ne rentrais dans les critère de ma nouvelle idée, je cherchais quelque chose qui ferais un peut ''steam punk'' sur les bord... il ne semblait pas rester grand chose de l'industrialisation européenne ici...

C'est alors que mon regard fut attirer vers le drap qui recouvrait je ne sais trop quel objet. Intéresser, je n'écoutais plus les babillages du vieux bonhomme, allant soulever un peut le drap.... C'était une bien étrange machine, qui semblait énormément vieille, et terriblement froide... Je regardais dans la vitre... on aurais dit qu'une silhouette s'y trouvait...?!

-Je veux sa! Dis-je attirer par le style de la chose... et sur tout ma curiosité piquer.

-Sa? Ce n'est rien du tout sa! c'est juste un européein qui me l'as donner en me disant qu'il contenait un corps humains putréfier, mais cet sataner chose est impossible à ouvrir.

-Son prix?

-Quoi? mais vous ne savez même pas ce que c'est!!!

-Donner moi un prix je le veux.

-heu............. 100 000$ ? Qu'allez vous faire avec ce truck, C'est trop froid pour en faire une table et trop rond pour en faire un lit!!

Je sortis mon porte feuille, lui tendant les billets verts.

-Je prend.

____________________________________________

Quelques heures après, j'avais réussis à rapporter la drôle de machine dans mon manoir, ayant appeller quelques de mes hommes de mains. Pour l'instant je l'avais installer dans mon salon personnelle, coucher dans un coins, en attendant que je finisse la décorartion de la nouvelle chambre.

Revenant d'un rendez vous avec lilith, je rentra dans ma chambre, jettant mon veston sur mon lit, et défaisant les premier boutons de ma chemise un peut froissé et attachant mes longs cheveux blonds sur ma nuque à cause de la chaleur. J'avais bien travailler, et quoi de mieux que d'aller voire lilith pour soigner mon stress de la journée?! Ah oui, un bon thé. Je mis de l'Eau dans ma bouilloire que je gardais dans mon bureau,au cas ou que je voudrais un thé, et sortis de ma grosse boite à thé, une petite poche de earl grey bien simple.

c'ets alors que j'entendis crier, de drôle de petits cris, comme si un enfant hurlais quelque part.... mais il n'y avait aucun enfant ici, enfin je ne voudrais qu'aucun enfant ne rentre dans mon manoir! Et si une de mes filles tomberais enceinte je l'enverrait immédiatement se faire avorter! Je hai les enfants...

Je suivis le drôle de cris, voyant que sa sortait de l'étrange machine que j'avais acheter quelques jours plus tôt.... J'essuyais alors la vitre, qui semblait devenue même chaude sous le soleil et la canicule.... l'humidité perlais de l'intérieur... C'est alors que je tira sur la pogner sur le côté, rouiller, tirant de toutes mes forces. Une ''clic'' fini par se faire entendre, tendis que la porte de la machine s'ouvrit...

Le clic fut hautement rassurant. Enfin, enfin on allait me libérer. Je m'attendais à voir mon grand-père, là devant moi. J'étais même prêt à accepter de me faire sermonner, j'étais trop content d'enfin sortir de là et revoir les autres. C'était peut-être une mauvaise idée au fond de me cacher là... La porte s'ouvrit enfin devant moi, laissant apparaître... un visage complètement inconnu. Je sursautai un peu. Puis lentement, mes petites mains attrapèrent les rebords de la machine et je cherchai à m'en extirper. Je finis par sortir, tout petit comparé à l'homme, qui paraissait si grand à mes côtés. C'était qui celui-là ? Un ami de mon grand-père ?

- ....

Je ne reconnaissais rien de cette pièce. Ce n'était pas chez mes grands-parents ça ! Et qu'est-ce que c'était que ces vêtements bizarres que l'homme portait ? Je n'avais sur moi que mon petit short un peu déchiré dans le bas, qui m'arrivait à mi-cuisse, et un haut sans manches un peu trop grand. J'étais aussi pieds nus. Bref, je faisais carrément pauvre à côté de lui. Et je semblais traumatisé par l'endroit où je me trouvais.

- Je... Suis où là... ?

Je fis quelques petits pas tremblants sur le sol, froid sous mes pieds. Il faisait drôlement chaud ici. Après le froid du congélateur, c'est presque agréable. Mais... Non, en fait c'était un peu incommodant. Je passai ma main dans mes courts cheveux blonds, levant la tête vers l'homme, et posant mes yeux bleus sur lui. J'avais quelques taches de rousseur sur le nez, et un petit visage vraiment mignon. Je ne semblais pas bien gêné pour l'instant. Je me croyais encore à mon époque. Peut-être dans une pièce que je n'avais jamais vu dans la maison de mes grands-parents, qui sait. Je ne pouvais même pas imaginer avoir changé d'époque. C'était tout simplement inconcevable, encore plus pour des gens de mon époque à moi. La technologique... je n'en connaissais rien du tout. Alors tout dans cette pièce me semblait un peu bizarre. Et je n'avais encore rien vu.

- Vous êtes qui vous ? apostrophai-je enfin le monsieur.

- Vous êtes qui vous ?Dit une toute petite chose sortant de la drôle de machine.

Je regardais l'enfant, reculant d'un pas, ne comprenant pas comment un humains avait pu être là dedans sans qu'on ne s'en aperçoive. Il était minuscule, les cheveux joliment doré, et le visage consteller de petites tâches de rousseur...

-Je suis Clarence Dawkins, et en ce moment tu es dans mon manoir, petit...

Je pris mes lunettes sur ma petite table a thé, les posant sur le bout de mon nez.
J'allais plus loin, m'appuyant sur mon énorme sofa de cuir brun foncé.

-Qu'est ce que tu faisait dans ma machine! J'ai payer 100 000 dollard pour ce truck! Et j'ai un gamin qui jouait à je ne sais trop quel jeux en prime!

Je soupira, un peut frustré de la chose...
Les enfants n'avaient pas d'affaire dans mon manoir!

-En plus tu devrais prendre un bain, tu sens la mort! et changer de linge! c'est quoi ces guenilles? Dis-je lui prenant la manche de son chandail.

Je regardais autour... Mais où pourrais-je trouver du linge pour enfant... ? Question au moins qu'il ne paraisse pas mal devant mes clients le temps que je ne trouve sa famille et que je le renvoie chez lui....

Je hai les gamins! Je les hai!

- 100 000 dollars !?!

Évidemement c'était quand même beaucoup. Mais pour moi, à mes yeux, c'était une fortune. Chez moi, les gens possédant autant d'argent étaient richissimes, et incroyablement rares. Personne n'arrivait à rassembler une aussi grosse fortune ! Je contemplais l'homme avec de gros yeux, abasourdit. Mais encore plus quand il parla ainsi de mes vêtements.

- Guenilles... ?

Certes, mes vêtements n'étaient pas dans le meilleur des états. Mais c'était bien convenable selon moi. Les autres enfants ne portaient pas mieux après tout. Et pourquoi parlait-il de bain ? Oh évidemment. S'il avait assez d'argent pour payer quelque chose 100 000 dollars, il avait les moyens de se payer plus d'eau que les autres et pouvait prendre des bains. Moi je ne le pouvais pas tout le temps à la maison. On prenait un bain trois fois par semaine. Dans une bassine d'eau pas tout le temps super chaude. Mais c'était mieux que rien. On avait de la chance selon maman. Y'en avait qui en prenaient un une fois par semaine, ou même pas du tout.

- ... Pourquoi j'suis dans votre manoir ? J'étais chez mon grand-père. Vous êtes un de ses amis ?

Je ne comprenais définitivement rien. Mais je m'approchai d'un fauteuil à l'allure bien confortable. Je n'avais jamais rien de vu de tel. C'était joli. Lentement, je m'y hissai et m'installai dessus. Woah ! On était bien !

- ... Pourquoi j'suis dans votre manoir ? J'étais chez mon grand-père. Vous êtes un de ses amis ?Dit le gamin s'assoyant sur mon fauteuil.

Je fronçais les sourcils.... il salissait mon fauteuil!! Ce SALE gamin salissait mon fauteuil....

Je lui pris le bras, le tirant pour qu'il se lève.

-Ton grand-père, alors ce vieille antiquaire as un petit fils, moi qui le croyais encore puceaux la vieille peau!

Je le tirais vers la porte sans ménagement, ouvrant ma porte en claquant frustré... je déteste qu'on ne salisse mes affaire, ou que l'on ne les brises, sa me met hors de moi!

-Lill!! LIILLL!!!!! Criais-je.

c'est alors que lillith monta les escalier de marbre blanc, habiller en petite robe bouffante, assez courte, avec un tas de dentelle, et au corset mettant en valeur son énorme poitrine pale. Ses cheveux roux, boucler tombaient sur ses épaules frêles et dénuder.

-Oui, oui, qu'es ce qu'il y a Clarence...

Je poussait l'enfant, pour le mettre en valeur devant la femme.

-Il y a sa... ce p'tit c'est retrouver dans ma chambre... Fait lui couler un bain et trouve lui de quoi se mettre sur le dos au plus sacrant!

-Je ne peut pas faire les deux en même temps, Cla', je ne suis pas non plus une magicienne!

-Je ne te paie pas pour ne rien faire!

-Donne lui un bains toi! Tu es bien capable de le laver!

-Tu t'y connais en bite toi!

-De toute manière il serais plus alaise avec un homme, qu'avec une fille, c'est encore qu'un enfant!

Je rageais, me retournant, pour aller vers la sale de bain, tenant toujours le petit par le bras. Au moins je n'aurais qu'a m'obliger de le laver une fois... une seule fois et après je le ship chez son grand père... arriver dans ma grande sale de bains, je referma la porte, le lâchant enfin, et m'assoyant sur la petite chaise basse de soie rouge sur le côté du bain, ouvrant l'eau chaude, la tempérant, tendis que le grand bains tourbillons blanc se remplissait peut à peut.

-Déshabille toi. Dis-je sec.

- Ça a l'air dangereux...Dit le petit regardant mon grand bains tourbillons.

Pourtant je n'avais actionner ni les jets, ni la fonction massage.. Il étais débile cet enfant. Je regardais néanmoins son petit corps nue, frêle, à la blanche... cet enfant n'avais vraiment rien en commun avec son grand-père! Et moi qui croyait cet antiquaire riche!?

Juste pour voire la réaction, Je me levais, allant vers la porte. et fermant toutes les lumières de la sale de bains. Je connaissais cet endroit mieux que qui conque. Même plonger dans les ténèbres, je sue où aller, retournant proche du bains, effleurant la peau duveteuse de l'épaule du gamin. Puis sur les commande, j'enclanchais la fonction 'lumière'. c'est alors que je fond du bains se mis à illuminer, changeant de couleurs, du blanc, au bleu, au rouge, au vert, etc... Dans le noirs c'était superbe avec la lumière qui se reflétais sur le marbre blanc.

-Aller, embarque petit, il ne te boufferas pas!

L'enfant s'était accrocher à moi, solidement... moi qui croirais que sa amuserais un mioche de voire ces lumières!.... il faut dire que je n'ai jamais été douer avec les petits...

-Aller du calme petit, tu n'as jamais vue de lumière comme sa!?

Il devais vraiment être pauvre.... huuu un petit pauve! La galère! en plus je n'aurais aps de récompense pour l'avoir retrouver.
Alors, sans ménagement, je le pris et l'envoyant dans le bains, l'y assoyant au milieux des lumière...
Je retirais alors ma chemise, et ma cravate, les posant à côté.

-Aller, je viens avec toi, tu verras comme sa que sa ne te boufferas pas.

Quoi? Il avais quel âge celui là pour agir comme sa, lui? Aussi impressionnable... moi qui pensais les enfants d'aujourd'hui beaucoup moins innocent!

-Donc, tu me dit quel est ton nom? Et ton âge, gamin? Dis-je étant entrains de retirer mon pantalon.

Bon, sa faisait un peut pedo d'aller prendre son bain avec un gamin.... mais j'avais besoin d'un bain et en plus, je n'avais pas envi d'assister à une crise d'hystérie de la part du petit terrifier par de simple lumière..
si quelqu'un me voyait.... je serais bon pour le tribunal!

Avant même d'avoir le temps de réagir, je me retrouvai assis dans le bain. Je pataugeai un peu dans l'eau avec les mains, cherchant à me redresser pour en sortir, mais la vue de l'homme m'arrêta en plein milieu de mes gestes désespérés. Il se déshabillait, disant qu'il viendrait avec moi. Bizarrement, cela me rassura fortement. S'il était là, s'il voulait venir, c'est sûrement que ce n'était pas dangereux. Alors je me calmai. Intrigué, je commençai à passer mes doigts sur la surface du bain, dans le fond. Le fond illuminait de toutes les couleurs. Même sous mes fesses. C'était magique... Je passais mes mains dessus, sans comprendre comment une telle chose était possible. Puis, je me redressai, observant le rebord du bain. Sans prévenir, je souris jusqu'aux oreilles et appuyai sur un bouton au hasard. Aussitôt, cela actionna les jets d'eau, et je me figeai au milieu du bain avec de gros yeux. C'était ce bouton qui avait fait ça ? J'appuyai une nouvelle fois dessus, et tout arrêta. Alors je commençai à jouer avec le bouton, pesant dessus à répétition et activant/désactivant les jets avec un sourire amusé. Je finis par arrêter, laissant les jets, et en laissant un aller dans mon dos. C'était drôle... et avec l'homme, j'avais moins peur. Je répondis alors à ses questions.

- Je m'appelle Jonah. Et j'ai 8 ans.

- Je m'appelle Jonah. Et j'ai 8 ans. Dit-il arrêtant enfin de jouer avec le bouton qui acctionait les bulles....

..... JE HAI LES ENFANTS!

-Bien.. 8 ans! c'est pas un peut jeunes pour se promener seul. Sur tout dans cet ville! Il y a un tas de gens mal honnêtes et de pédophiles..

Bon je faisait partie de ces gens mal honnêtes... mais quoi! même si mon commerce est quelque peut mal vue, du commerce c'est du commerce!
Je retirais mon pantalon, et mon boxeur, rentrant dans l'eau. Bon les enfants sa dois bien aimer les bulles?! J'imagine!.. Je pris une petite bouteille rose, avec du liquide à l'intérieur, en versant un peut dans le bains.

-Brasse sa vas faire des bulle, Dis-je un peut désintéresser.

Je regardait l'enfant, brassant un peut l'eau pour que sa mousse. Jonah... drôle de nom pour un enfant de LA... Et c'est vêtements... pourquoi n'avait-il pas des jeans comme tout le monde? En plus, il étais vraiment mignon pour un petit pauvre *comme si tout les pauvres étaient laid!*... Il devrais revenir à un bon prix... bon j'irais premièrement le porter a son grand père, je ne suis pas encore dans la vente d'enfant ou de pornographie infantile!... quoi que ce serais assez rentable.......

- Je me promenais pas seul ! Je jouais à cache-cache avec mon cousin. Mais euh... Je me suis caché dans la machine que vous avez achetée...

Voyant qu'il me disait de brasser pour que ça fasse des bulles, je souris. Les bulles. C'est drôle des bulles ! D'un coup, subitement, je me rapprochai de Clarence et prit place sur ses genoux, m'installant assis sur lui. Je mis même mes petites mains sur ses cuisses, me plaçant mieux, plus confortablement. Je plongeai alors les mains dans l'eau et m'arrangeai pour brasser vigoureusement l'eau avec mes bras, en envoyant parfois un peu partout, mais ça faisait plein de jolies bulles alors moi j'étais content. Oui oui... Je venais vraiment de m'asseoir sur un homme, alors que nous étions nu tous les deux, et je n'y voyais aucun inconvénient. Ahh les enfants...

- Bubuuulles !

Pour une fois je ne semblais pas apeuré et même que j'avais l'air de beaucoup aimer les bulles. Je n'avais jamais pris de bain avec des bulles moi. Cet homme était vraiment très, très riche ! Il était peut-être un inventeur comme mon grand-père, et il avait inventé des choses comme le bain à lumières... Après en vendant sa découverte extraordinaire il était devenu riche ! Ça devait être ça...

Le petit avait décider de s'asseoir sur moi, touchant mes cuisses, bien assis, brassant l'eau et en envoyant par tout. C'est quoi, ce petit n'avais jamais appris à ne pas faire confiance aux adultes qu'il ne connais pas...
Je regardais son dos, son dos tout frêle, plein de tâches de rousseurs, et ses petites cuisses sur moi. Je pouvais sentir ses petites fesses sur mes cuisses bouger tendis qu'il jouait dans l'eau provoquant une montagne de bulles. Je passais mes mains sur ses hanches, les caressants doucement. J'étais obnubiler par ces mèches blondes qui tombaient sur son cou frêle. Je n'avais jamais été intéresser aux enfant... sa ne commencerais pas aujourd'hui... enfin j'espère..

-Aller, je vais te laver! Dis-je prenant le savon qui trainait sur le côté.

Je me mis alors à le passer sur son torse frêle, sur ses bras, son dos, et ses cuisses... mon cœur se mis à battre plus fort... devrais-je lui laver la aussi... Même si je ne voulais pas, mon corps répondait un peut trop heureux de cet étrange situation...

Pendant que je jouais avec les bulles, Clarence commença à me laver. Je levai alors les bras dans les airs pour qu'il puisse passer partout partout. Je les rebaissai ensuite, tandis qu'il continuais sur mes cuisses... Il oubliait des coins ! Ma mère me disait toujours de bien passer partout... Peut-être qu'il avait juste attendu un peu, qu'il allait le faire après... J'attendis donc en me tenant tranquille, qu'il finisse de me laver, arrêtant même de brasser dans la mousse pour quelques instants. Je ne voyais juste pas que la situation était totalement... wrong.

- Je peux te dire "tu" ?

En fait je lui demandais tout simplement si je pouvais le tutoyer... question d'un minimum de politesse.

- Je peux te dire "tu" ?me demandais le petit..

Je rie, un rire fort, et rauque.

-Biensur! Je ne suis pas non plus une vieille croute, l'gamin!

Je ravalais ma salive, finissant par me convaincre d'aller passé le savon à ces endroits disons... plus personnelles. Malgré moi, je lichait mes lèvres, touchant ce tout petit membre imberbe.... puis ces fesses rondelettes à la peau douce et rosées... Je contatait alors que j'étais carrément entrain de bandé... POUR UN ENFANT! J'avais eu des expériences avec des gars, moins qu'avec des femmes, mais tant qu'ils étaient féminin et mignon sa m'allait... Mais de là a bander quand je touche un enfant de 8 ans! Quoi! moi j'ai 21 ans! Je me ferais foutre en prisons! Déjà que la police me veux....

Je pris le petit par les hanches et le tassa un peut plus loin... une chance qu'il y avait la mousse...

-Bon, je vais me savonner aussi..... Dis-je le savon toujours en mains..

J'essayais de rester le plus impassible...
Pourquoi n'avait-il pas peur? Trop D'innocence... ces grands yeux bleu remplis de gentillesse, d'innocence, de douceur... je n'étais pas habituer à ce genre de choses...

-Tu me raconte un peut d'où tu viens? Dis-je au petit, passant le savon sur mon torse, essayant de calmer mes pulsions.

(bwahahahahahahahahhaaaaa clarence est hornyyyy XD♥ pedooo)

(Hahaha !! xDD <3 C'est ça qu'on aime ^o^)

Je le laissai me savonner en riant un peu; ses doigts sur ma peau me chatouillaient.

- D'accord. Alors... Hum. T'es gentil ! Merci de m'avoir lavé...

Dans un geste de pure affection, même si l'homme m'avais tassé de ses genoux, je rembarquai dessus mais cette fois face à lui et passai mes maigres petits bras autour de son torse. Je lui fit alors ainsi un gros câlin, pressant mon corps nu contre le sien. J'étais content. Il avait été brusque au début, mais maintenant je le trouvais plutôt gentil avec moi et ça me plaisait. Alors voilà, je lui faisais juste un câlin amical, bourré d'affection. Sauf que la position était louche. Mais tout ça ne me disait rien. Je ne venais pas non plus d'une époque ou la sexualité était quelque chose de courant. On n'en parlait jamais, c'était tabou... Ce n'était vraiment pas la même chose. Alors ne comptez pas sur mes parents pour m'avoir parlé de tout ça ! Surtout pas à mon âge !
Je finis par me décoller doucement de lui un petit peu, allant m'attarder à découvrir les autres boutons du bain. J'activai ainsi plusieurs fonctions, envoyant de l'eau partout et sursautant parfois lorsqu'un jet s'activait brusquement. En même temps je parlais, et parlais encore. Un vrai p'tit moulin à parole.

- Been... Je viens... d'ici ! Faut dire que je me croyais toujours près de chez moi, dans mon époque. J'étais chez mon grand-père. On y est allés en calèche et c'était vraiment super ! Pi j'ai pu jouer avec mon cousin... Dans les champs dans la cour !! Vu que j'suis tout petit, je peux me cacher dans le blé et on me voit plus ! Pi on a accompagné mon grand-père acheter un gros cube de glace pour mettre dans le réfrigérateur... parce que l'autre était tout fondu, et sinon la nourriture serait pu gardée au froid. Et aussi on a joué à cache-cache dans la maison et je suis entré dans la machine. Il faisait vraiment froiiid.. et j'suis resté pris... Une chance t'es venu me sortir de là !

Je m'étais carrément lancé dans le récit de ma journée, parlant joyeusement, mes beaux yeux bleus brillants à l'évocation de tout cela.

Me calmer... il n'aidait vraiment pas là a venir me faire un gros calin, nue, embarquer sur moi... Calme toi, clarence.... calme toi!

- Been... Je viens... d'ici !J'étais
chez mon grand-père. On y est allés en calèche et c'était vraiment
super ! Pi j'ai pu jouer avec mon cousin... Dans les champs dans la cour
!! Vu que j'suis tout petit, je peux me cacher dans le blé et on me
voit plus ! Pi on a accompagné mon grand-père acheter un gros cube de
glace pour mettre dans le réfrigérateur... parce que l'autre était tout
fondu, et sinon la nourriture serait pu gardée au froid. Et aussi on a
joué à cache-cache dans la maison et je suis entré dans la machine. Il
faisait vraiment froiiid.. et j'suis resté pris... Une chance t'es venu
me sortir de là ! Dit le petit jouant avec les jet du bains.

-Quoi! Dis-j réagissant vivement. Tu ne viens surrement pas d'ici! Sa fais des centaines d'années qu'il n'y a pas eu de calèches a LA... ni de frigo qui marche avec un cube de glace!..

Froid... la machine avait été froide... non cet théorie relevais d'un film fantastique où d'une connerie hollywoodienne... mais pas de la réalité!

-Tu viens de quel pay *pour ne pas dire pay arrièré* gamin?

Après tout, je ne pouvait croire que c'est antiquaire ai un petit fils assez pauvre pour aller dans des calèches et refroidir son frigo avec de la glace! c'était un peut dément! Même a Cuba et en Afrique ils ont des voitures!!
Mais même s'il venait d'ailleurs... comment ne se serait-il pas rendu compte du voyagement?

Je levai les yeux vers l'homme qui me regardait étrangement. C'était quoi cette question stupide ? Je veux dire, il avait l'air étonné de ce que je lui racontais. C'est vrai que lui vivait dans un énorme luxe, il devait avoir inventé un réfrigérateur sans glace alors ! Je me grattai un peu la tête, mouillant mes cheveux blonds, avant de répondre comme si c'était la chose la plus normale et évidente:

- Ben... D'Angleterre !

Je le regardai longuement. Des centaines d'années qu'il n'y avait pas de calèche ici ? Mais c'est complètement débile ! Ils se promenaient comme alors ?

- ... C'est quoi LA ?

-LA..... Angleterre......

Terriblement surpris je fronçait les sourcils... L'antiquaire n'avait pas d'origine anglaise, sa j'en était absolument sur... et l'Angleterre n'est pas un endroit arriérer, j,y suis aller une fois... bon bon, oui ils le sont dans leurs mentalité mais ils sont aussi industrialiser que nous!

-Los Angeles, mon p'tit gars, c'est une des plus grosses villes des état unis d'Amérique...

Et il ne savait pas qu'est ce qu'étais Los Angeles...
Cet théorie des plus étrange se formait dans ma tête... non c'était impossible! il y avait quelque chose qui clochait quelque part! ... mais...

-Dit moi donc... nous sommes quel date et quel année aujourd'hui?...

Je pris le savon, me r'approchant de lui,en coulant dans mes mains pour lui savonner les cheveux. Quand même ces petites boucles blondes feraient mieux de se faire laver!

Il commença à passer ses mains dans les cheveux, les lavant, les savonnant. Pendant qu'il faisait ça, je mis mes mains à plat sur son ventre pour garder un peu d'équilibre et levai les yeux vers lui.

- C'est un gros chiffre... J'sais pas le dire. Mais je vais te le dire séparé ok ? Alors euuh... c'était le... 18, euh, juillet... 1, 8, 2, 4. Oui. 1 8 2 4.

Je les avais nommés séparément, étant incapable de dire 1824 d'un coup. Mais bon. Je le regardais avec étonnement, comme bouleversé par toutes ses questions. Je ne pouvais pas comprendre, il me semble qu'il est évident qu'on est le 18 juillet 1824. Pas de doute là-dessus... !

- C'est où les États-Unis d'Amérique... ? Oh, oui ! Je sais ! Il faut prendre le bateau !! Hein, hein ? J'ai raison ? ... Mais j'ai pas pris l'bateau moi...

1.8.2.4... 1824!!!! En angleterre!!! ......
Je resta figer un moment... comment croire sa! Mais sa ne pouvait-être un mensonge, Jonah avait l'air beaucoup trop innocent pour sa... et tout coordonnait, cet manière de me demander s'il pouvait me tutoyer, ses vêtements, les carrosses..... comment lui dire que nous n'étions en 2011... et que toute sa famille était probablement morte.... comment lui avouer sa! Et comment étais-ce possible..... .......mais comment n'ai-je pas pu y penser!? LA MACHINE!!! Le gros truck que j'avais acheter?! C'était quoi... il avais du être congeler à l'intérieur vue qu'elle étais tellement froide avant que je ne l'ouvre!

et en y pensant était-elle encore en état...?

- ... Mais pourquoi tu me regardes comme ça !?

Je m'étais rapproché de lui, rapprochant mon visage pour scruter son regard avec attention. Mes yeux plongeaient dans les siens, je m'étais collé plus que nécessaire, mais je cherchais à comprendre. Je ne savais pas pourquoi il était si étonné. Ni comment j'avais pu me rendre aux états-unis sans prendre le bateau. En plus, la traversée durait bien longtemps... C'était impossible ! Et dans ce cas, où était mon grand-père ? Est-ce que ma famille était encore en Angleterre et me cherchait partout ? Ou ils m'attendaient ? Qu'est-ce qu'il se passait exactement !?!

- ... Mais pourquoi tu me regardes comme ça !?Dit le petit, se collant à moi..

Je pris son petit corps, le tassant, sortant de l'eau. Je devais vérifier la machine, savoir si elle marchais! Je pourrais savoir si je pourais peut-être la vendre, ou juste savoir comment elle marchais... comment un enfant avais pu faire un tel bond dans le temps! Toute cet histoire étais des plus étrange!!

-Aller, morveux, rince toi et lève toi!

Je pris une serviette ouvrant la porte, criant.

-LILITH! LIL!!!!

-Oui oui quoi? Entandis-je venant de l'autre bout du corridor.

-T'as du linge pour le petit!

-J'ai trouver rien d'autre qu'un vieux pyjamas au petit de Sam...

-Emporte moi sa!

Celle ci rentra sans gêne dans la sale de bain, ouvrant la porte, un petit pyjamas surement trop grand pour l'enfant, en coton blanc.

-Alors il vas mieux le petit? Demanda la femme.

-Ouai....... Dis-je pris dans mes interrogation, retirant ma serviette sans gêne et ré-enfilant mon boxeur et mon pantalon..... j'avais besoin d'une bonne cigarette!!! un peut de tabac m'aiderais à réfléchir!

Je venais de payer plus de 100 000$ pour avoir un enfant sur le dos et une vieille machine bizarre... ce maudit antiquaire allais m'entendre!!!!!

Morveux ? Le voilà repartit avec ses insultes et son mauvais caractère. Avec un air de gamin pris en faute, je sortis timidement du bain en prenant garde de ne pas mettre d'eau partout, et me séchai tranquillement avec une serviette. La femme d'un peu plus tôt apporta un pyjama, que je pris entre mes mains, abandonnant ainsi ma serviette et dévoilant mon corps nu, et le contemplai. Il ne ressemblait pas vraiment à ce que je portais chez moi. Il était doux. Je le plaquai contre mon visage, sentant l'odeur de propreté. Il était plutôt vieux, mais propre, et il sentait bon, chose qui me plaisait beaucoup. Je ne me fis pas prier pour l'enfiler, même s'il était trop grand et bouffait un peu, me donnant un drôle d'air. Le pantalon glissait un peu mais je le remontais pour ne pas me retrouver les fesses à l'air.
Il avait pas l'air content du tout, l'autre. Il avait crié et je n'avais pas aimé ça. Peut-être que, dans le bain, je l'avais trouvé plus doux qu'à la normale. Et que j'aurais aimé que cela dure... C'était sans espoirs. Enfin bon.

- ... J'ai faim...