Sex Drogue and rock n' roll!! -->Pv Daisuki

Atami, préfecture de Shizuoka, à quelques heures de Tokyo.
J'étais là assis à la grande table où chaque jours ou presque, Ginji nous faisait un grand discours. J'avais pris la peine d'appuyer mon menton dans le creux de ma paume droite. Mon regard d'acier observait les membres de mon groupe. Ginji Saiku, notre gérant d'artiste ainsi que bassiste. Un chapeau cachait son regard clair, mais sa bouche ne semblait pas vouloir s'arrêter et je commençais à en avoir marre. Continuant d'observer, je remarquais Haku qui sans la moindre gêne dormais sur sa chaise, tout près de lui Ryô qui s'amusait à jouer avec de quelconque baguettes un beat que je n'entendais pas. Puis mon regard se tourna vers mon frère, un véritable gamin sur deux pattes, sa voix énergétique me fit pousser un long soupire de découragement. Il semblait terriblement heureux de partir faire un show dans la grande ville qu'est Tokyo. À la fin de l'annonce officiel de notre show, je me levais et quittais prestement la pièce avant même qu'un autre membre n'eut le temps de bouger le petit doigt. On partait demain, à ce que Gin nous avait dit. Les mecs ayant des copines iraient sans doute les voir, Ginji et Taiji eux c'était simple de savoir ce qu'ils feraient, mais moi qu'est-ce que j'allais faire?

Par automatisme, je me dirigeais vers le backroom le plus proche. Tant qu'à perdre mon temps autant aller me faire enculer. Je n'avais aucune envie de passer mon temps dans un bar à chercher. L'option la plus intéressante me semblait celle-ci. Une fois entré dans la place je ne perdis pas un instant et me dirigea directement à l'arrière, passant une énorme porte noir. Je venais de rentré dans cet immense labyrinthe sombre, quelque bruits me parvinrent, mais je passais mon chemin, jusqu'à croiser une porte ouverte. Je m’engouffrais dans la pièce noir et une voix arriva jusqu'à mes oreilles. Sans perdre un instant je dé-zippais mon skinny et abaissais mon boxer offrant à l'homme avec moi mon cul bien blanc. Je le sentis approcher, écoutant chacun de ses mouvements. Lorsque je sentis ses mains contre mes fesses, je ne pus m'empêcher de soupirer, ce que l'homme ne sembla pas remarquer. Ou sinon il se disait simplement que j'appréhendais ce moment avec tant de désir que j'en était maintenant soulagé. Pourtant il avait tout faux, je suis du genre à aimé un amour bestial et sans le moindre signe que l'autre puis s'attaché. Je dis ceci, car ma peau me faisait ressentir le moindre de ses mouvements et je peux le dire, il prenait du plaisir seulement en me touchant les fesses et les reins. Sa verge se glissait entre mes cuisses frêles et son gland caressait mes testicules avec désir. Je commençais à montré des signes d'impatiences, enfonçant mes ongles noirs dans la chair de mes cuisses. Je ne pouvais qu'espéré qu'il me pénètre et lorsque je viens pour ouvrir ma bouche et ainsi lui dire ce que je pensais de lui et de sa queue lente comme une tortue, il me pénétra en douceur tout en poussant des soupirs de pure plaisir. Je sentis sa main contre mon pénis, parcourant mon frein avec, ce qui devait être pour lui, sensualité. Ses doigts arrivant sur mon gland, pendant que son membre m'avait pénétré qu'avec son gland, il toucha mon dydoe et je sentis une réticence, il ne devais pas s'attendre à découvrir un piercing là. J'eus immédiatement un sourire sadique et ennuyer par ses gestes, je me retirais sans demander mon reste remontant mon boxer, ainsi que mon skinny. Je n'avais même pas besoin de me faire une branlette, je n'avais aucunement levé durant ses attouchements. Et glissant mes mains dans mes poches, je me dirigeais vers la sortie.
- Et bien si tu touches ta femme ou ton mec comme ça je comprends pourquoi t'es ici.

Je partis laissant l'homme sans voix dans l'obscurité. Je repris la direction du studio, cette nuit je dormirais là-bas et peut-être qu'à Tokyo je trouverai un mec digne de me baiser.

Tokyo.
Je débarques de ma lotus, laissant tomber le mégot de clope qui se trouvait entre mes lèvres. Mon frère à coté de moi, cours vers le vans où Haku et Ryô se trouve. Je regard Taiji descendre de sa voiture et je finis par faire comme lui en me dirigeant vers les autres. Un homme sort d'un immeuble, je le regards tout en allumant une seconde cigarette. Tout le band se rassemble près de lui, sauf moi qui s'adosse à ma voiture. Je n'écoutes aucunement leur conversation, préférant observer mes pieds. Mon choix de converse était banale aujourd'hui, noir et blanc, le model des plus commun. Une ombre arrive sur mes pieds et je redresse la tête pour voir l'homme qui nous avait accueillit. Il semblait avoir fini de leur parler et se croyait tout permis de venir m'adresser la parole. Sans aucun mot, ma lèvre supérieur se retroussa montrant une canine à l'homme d'affaire. Un genre de grognement s'échappa de ma bouche et je le vis faire un pas de recule. Il se présenta tout de même à moi comme étant Negi, producteur de musique. J'haussais un sourcil et j'envoyais valsé mon mégot devant ses pieds avant de m'éloigner. J'entendis Ginji lui dire que j'étais plus agréable sur scène, bien que ce ne soit pas tout à fait vrai. Entendre mon nom crier ne m’enchantais gère, mais le chant était et sera toujours ma raison de vivre. Si j'avais pu répliqué, enfin j'aurais très bien pu, mais j'avais pas envie, je lui aurais dit que le moment où je suis le plus "agréable" était le moment où une bite m’empalait avec vigueur.

Durant la journée, nous perdîmes notre temps à nous entraîner, enfin Ginji désirait montré à ce Negi le niveau musical de notre groupe qui n'était encore qu'à l’apogée de sa gloire. Puis le temps s'écoula avec une telle lenteur que je pris le temps de faire une sieste. D'autre band vinrent se joindre à nous dans le petit salon aménager pour les artistes. Quelque filles vinrent me parler, mais je ne leur répondis pas et elles allèrent voir d'autre membres.

Finalement, la soirée commença, sortant de mes rêveries, j'allais écouter les autres groupes, bras croisé, cigarette entre les lèvres et mon regard toujours aussi froid. Lorsque ce fut notre tour de monter sur scène, je laissais passer les autres membres avant moi et entrant le dernier je regardais la foule. Sans grand étonnement je reconnus quelque visages, sûrement des fans qui nous avaient suivit. La guitare se fit entendre. Bien qu'Haku soit le genre de garçon froid et très peu bavard, je n'ai jamais pu nier que ce mec avec toute une façon de jouer de la guitare. Le drum vint se joindre à lui, suivit de la base et j'embarquais en coeur avec le piano. Nos nom s'élevaient dans la salle, mais je voyais bien que pour la plupart nous étions des inconnus. Et leur réaction en entendant ma voix me fit légèrement sourire. Ils ne devaient pas être habituer à entendre une voix aussi douce produite par un homme, d'ailleurs beaucoup d'entre eux devait ce dire que je ne pouvais être autre chose qu'une femme. Mon look androgyne m'a toujours attiré des ennuis, car beaucoup trop de personne ont tendance à croire que je suis une fille... Pourtant je vous le confirme, je suis bien un mec!

J'empoignais le micro avec détermination, laissant coulé les paroles de nos chansons à travers ma gorge et s'échappant dans cette minuscule cage sonore. Le sons des emplis étaient juste parfait et je pouvais ainsi suivre le beat de la musique sans être obligé de regarder mes compères. Tout en chantant de ma voix de cristal, je regardais la foule de mes iris lunaires. Nos noms étaient de plus en plus crier, sûrement que le monde s'était habituer à ma voix et à notre sons. Car celui-ci était des plus irréaliste. Très près de ressemblé à du VK, il en restait pas moins que nous apportions notre petite touche très différente. Je prenais un réel plaisir à chanter en anglais, lorsque nous jouions l'une des chanson dans cette langue. Cela devait sûrement surprendre certain.

Une fois finis, je fis comme à mon habitude pendant que Ryô et Taiji faisaient le pitre sur scène, moi je quittais celle-ci avant tout le monde et dévalant les marches. Je me dirigeais sans un regard vers l'arrière, où j'entendais Ginji hurler à gorge déployer mon nom. Je commençais à croire qu'il ne s'habituerait jamais à mes sorties de scène. Des membres d'un autre groupe s'approcha de moi et je les évitais avec ma souplesse, passant près d'eux sans leur porté un seul regard. Je rentrais en vitesse dans la loge et tirais un bagage vers moi, avant d'en sortir une paire de skinny et une camisole noir déchiré. Mes vêtements de scène me décourageais, je n'ai jamais compris pourquoi Ginji faisait affaire avec Sakura-san pour faire nos vêtements, elle avait un goût trop particuliers et sa manie de vouloir m'habiller en fille, commençait royalement à me taper sur le système.

Sortant de la pièce qui ne tarderais sûrement pas à être bonder, je me dirigeais pour me trouver un petit coin tranquille pour me changer. L'endroit qui me parut le mieux était entre deux immenses emplis, je retirais prestement mes skinny en léopard blanc. Manquant par ce fait même de me péter la gueule en tombant. Je changeais de pantalon puis retirais ma veste en jeans blanc et léopard, pour mettre ma camisole. Je jetais un regard vers l'entré de ma cachette et je remarquais un mec me zieutant. J'émis un grognement et il partit. Attendant quelque secondes, puis je m'empressais de ramasser mes vêtements au sol.

Je finis par aller rejoindre le reste du groupes déjà entouré de diverse personne, entre autre des musiciens de cette soirée. Restant à l'écart de cet achalandage, je cherchais avec empressement mon paquet de clope, que je finis par trouver dans la poche gauche de mon fessier. Tapant le paquet dans le creux de ma main, je recueillis le bâtonnet blanc qui en sortit. Zippo déjà en main, j'allumais ce bâton cancérigène et en pris une pof.

Tapis dans mon coin, j'observais sans réellement regarder ce qui se trouvait autour de moi. Les gens comme eux, n'était pas trop mon fort. Mes mains dans mes poches, je laissais ma clope se consumé. À un moment donné, Ginji m'appela, je daignai pendant un instant l'ignoré, mais je finis par capitulé, m'approchant du groupe qui s'était fait. Taiji vient me prendre par le cou et je montrais l'un de mes crocs. Je déteste qu'on soit si familier avec moi, même si Taiji est mon frère.
- Qu'es-ce que t'me veux?

Je remarquais à peine le regard noir qu'il me lança, habituer à ses envies de meurtre. Mais il devrait sans doute s'y faire, puis tout les membres de son groupe avaient un très fort caractère. Il m'affirma que son ami, près de lui, avait quelque chose à me dire. Je regardais ce dernier et l'autre qui se tenait près de lui les bras croisés.
-Hum...
- J'ai adoré votre prestation.
- C'est tout c'que t'a à m'dire? Désolé, mais ché très bien qu'suis bon. Si t'as rien d'mieux à m'dire, m'a aller voir qui va m'héberger cette nuit.

J'ai toujours détester dormir dans des hôtels. Et je savais pertinemment que nous partirions pas ce soir. Mon regard gris croisa les yeux bleutés du mec près du dénommé Negi. Il était plutôt pas mal, je me demandais comment il pouvait utiliser sa bite. Ce mec devait être plutôt doué au lit, mais je n'avais aucunement l'intention de l'abordé. Je sortais donc de la salle et me dirigeait vers l'extérieur, quand j'entendis des voix de fan crier. Je poussais un soupire épuiser et tout en écrasant ma clope au sol, je m'en cherchais une nouvelle. Une fois allumé, je me demandais pour où je pouvais bien sortir sans me faire repéré.