Les anges ne restent pas.

- Tu te sens comment?

-J'ai faim...

~

Il était assit sur se sol dure et humide qui semblait avoir bercer tout ses souvenirs. Ses jambes meurtris étaient ramener vers son corps recouvert de lambeaux et couverts des marques du temps qui passait ici dans cette ruelle, temps calculé par l'aube et la nuit, temps qu'il ne comptait plus. À quoi bon quand la seule chose qui nous reste a faire est de mourir?

Il attendait sagement comme toujours, observant les autres d'un regard impuissant. Voyant marchants et passants se confondre dans un ébat de vie, la richesse dansant une triste valse a la pauvreté, lui faisant remarqué qu'elle n'arrivait plus a suivre la cadence.

Dans cette Londres triste, maculé d’une neige aussi froide que la justice de ce pays, un enfant perdait tout le temps d’une vie a rêvé au fond de son caniveau. Les parents de cette petite épave humaine en avait bien vite fait le cadeau à la mort et à la vie. Ces deux parents maintenant qui se l'arrachait a coup de douleur et d 'espoir. Qui vaincra? Et a quel prix?

Une souris glissa entre les pierres, l’enfant frissonna. La nuit retombait déjà et il était bien seul dans cette ruelle grouillante d'âme en peine comme la sienne. D’autre gamin affamé qui sautait sur le premier venu, grognant comme des bêtes oubliant leur miraculeux statut d'être humain, civilisé et évoluer. Quand on a la faim comme seul sentiment et que la seule chose que l'on se met dans le ventre est la peur on finit par se ficher bien de cette supposer supériorité. Une silhouette glissa sur le mur, noire et bien droite dans se monde sans équilibre. L'ombre se percha au pied du garçon. Il releva un regard d'implorant sur se nouveau venu, mais il ne pu tenir se regard si profond qu’on lui portait, il en voyait plus qu'une chose, se morceau de pain dans la main de l'autre. Lentement l'ombre s’agenouilla près de lui, proposant a son petit nez la douce odeur de se morceau encore chaud qui lui ferait tant de bien. Il trouva cela bien drôle le porteur de se petit trésor, tellement drôle que son sourire se torda dans un éclat de rire qui se perdit dans l’écho des grognements des autres.

-Dis-moi, tu dois avoir bien faim ici... Je me trompe...? Tu en veux peut-être? Un morceau?

-Oh oui… s’il vous plaît…

-Et tu crois que tu le mérites plus que moi ce pain, pauvre ignorant! T’a qu’a sortir de ta poubelle si tu veux pas mourir, y,aura jamais personne pour te faire vivre a ta place!

L’ombre se releva, menaçante. Au milieu de ces deux courtes phrases l’enfant avait pu percevoir toute la haine que cet enfant, d’environ 10 ans son ainé, portait a la vie. Mais de toutes ces répliques tranchantes et sans pitié, il en était habitué, alors maintenant il ne mendiait plus le pain, mais la solution qui le mènerait a lui. Le jeune garçon balaya ses questions de la main; la réponse serait trop cru pour cette petite épave des ruelles. Et puis il en aurait surement pas la force nécessaire. Le petit se releva péniblement faisant face a celui qui pensait tout avoir vu, il lui planta son petit doigts en plein cœur, le bousculant faiblement.

-Je veux!

Rien n’aurait pu démentir la détermination de l’enfant a cet instant précis tant ses yeux brillait de cette force qu’était de croire en tout et n’importe quoi, cet force qu’on les enfants de se dire que rien n’est perdu. L’enfant du caniveau fut bien vite surpris, s’attendant a un autre refus, quand le nouveau venu lui prit la main le sortant de sa pénombre pour le trainer sur les pavés glissants de Londres.

Il le laissa au pied d’un grillage et disparu dans la pénombre venu. Il ne restait plus qu’au petit garçon d’avancer… même si il ne savait guère ou cette porte le conduirait.

~


L’homme qui l’avait prit en charge il y avait déjà 8 ans de cela, ne semblait plus lui porter cette passion admirative qu’il avait eu au début bien au contraire il semblait détenir pour l’enfant une sorte de fascination mortelle. Son visage si doux ne lui donnait plus que des envies de massacre et de carnage. Il voulait voir ces prunelles bruler d’horreur et se vider de tout se poison dans son corps. Il voulait le détruire, l’émietter, être le seul a pouvoir désormais le posséder. Il voulait tout de sa chair blanche, de cet air maladif et fragile, de ce regard si grand et immense de compréhension, il devait tout bruler, le ramener en enfer avec lui.

-Les anges ne restent pas…

Ils l’avaient attaché, a une table, face contre le béton dur et froid, comme celui d’autre fois. L’enfant avait cesser de gémir depuis déjà de bonne heure, devenu muet de toute parole pour cause de cet peur qi lui tordait la gorge. Il ne savait plus qu’haleter face a la douleur, tandis que l’homme, prenant tout son temps, lui enfonçait lentement la pointe de sa plume dans ses entrailles. Il taillait doucement la chair nu de son dos. La découpant finement en une belle paire d’aile d’ange. La plume, imbibé de gaz et de sang traçait le dessin qui accompagnerait L’enfant jusqu'à la mort. Le dernier tiret de sang fut tracer et sans nul autre cérémonie que se sourire ignoble sur les lèvres du marquis, celui-ci mit le feux a son œuvre.


~

Il était seule, si seul. Nu au milieu du pavé. La nuit s’était effondré sur lui pendant que l’agonie le ramenait a la mort, sa douce protégé. Son corps lui brulait de se poison qu’était la douleur qui lui paralysait les veines. Tout était désormais perdu pour lui. Le feux qui avait consumé son dos, une heure avant, l’avait achevé.. Il avait laissé de lui même les armes glisser, il se rendait, se fichant bien de cette vie même si elle fut la seule chose qu’il possédât dans cette vie de misère. Ce soir, sur ce pavé rougit par son sang et blanchit de cette neige qui l’enveloppait doucement, il jetait lui même sa vie au fond du ravin. La mort n’avait plus qu’a le récupérer.

Il pris le temps d'attacher sont grand manteau au collet de fourrure noir ébène avant de sortir dehors pour respirer l'air frais de cette nuit glaciale.
L'homme contempla un moment la lune qui fessais briller chaque flocon tombé du ciel. C'était si calme, les dernier passent de dépêchais de rentrer dans leurs demeure pour enfin s'endormir pour une longue nuit ...
Il aimais marcher ... cela fessais maintenant 335 ans qu'il marchais dans les rues accompagné de cette fameuse lune qui ne l'avais jamais quitté...
335 ans qu'il ne voyais plus de soleil briller ...

Il était déjà rendu bien loin qu'il fini par voir un ombre au loin dans al neige ... plus il s'approchais plus il remarquais que c,était un forme humaine au sol, elle semblais nue ...
Il coeur se figea quand il remarqua le sang imprégner dans la neige blanche ...
Jean-Marie accéléras le pas de plus vite possible pour fini par arriver proche du corps inerte. C'était un jeune garçon, et il semblais gravement blesser ... Ne savant plus trop quoi faire, l'homme enleva rapidement sont manteau de fourrure et recouvris le petit corps meurtrit de l'enfant avec.
Il le pris dans ses bras et observa les signes vitaux du jeune homme ... il semblais encore vivant, mais plus pour long temps ...
Puis un lueur lui traversa l'esprit, il en connaissais pas cet enfant, et savais clairement ... que c'était interdit,
Pris de panique il souleva l'enfant du sol et couru ... courue de sont plus vite sans jamais lâcher le jeune homme, comme si c,était la sien, sa poupée ... Sont enfant ...
Jamais il n'avais ressentis le besoin de sauvé quelqu'un comme ça ... jamais ... en 335 ans ... c'était la première fois.
Il donna un coup de pied dans la veille porte de sa demeure qui s'ouvris doucement ...
- À L'AIDE !
Jean-Marie dépausa l'enfant au sol, referma la porté à clée et se mit à genoux..
- MARC-OLIVER !

Toute cette tranquillité qu'il s'était créer s'effondra en cet écho qui se répercuta mainte fois dans le manoir vide et dévasté. Il balaya ses remords d'un mouvement de main et répondit a l'appel, le sourire plus triste que jamais; il n'avait pas encore trouvé le moyen de mourir.

-Ne cris pas ainsi, s'il te plaît...

Il descendit lentement les marches, laissant trainer derrière ses pas la fin de son manteau queue de pi. Il repoussa la folie de ces cheveux mi-rouqin, mi-auburn, nonchalant. Toute joie l'avait délaissé depuis peu, il ne pouvait cesser de penser a elle. Elle et ses beaux yeux, ses yeux si vitreux désormais, elle et son rire, si froid a présent et sa peau avant si douce... devenu béton maintenant. Il avait échoué, elle était morte... même si il avait tout fait, il avait encore échoué, il ne savait pas comment rendre un humain immortelle... Il laissa ses yeux éteints balader au travers de la pièce, son meilleur ami s'était effondré a ses pieds portant entre ses mains un bien étrange petit paquet. Il sentit l'odeur douceâtre du sang, entendit cette palpitation chaude de vie, se doux souffle rassurant comme celui d'un enfant profondément endormie... ou plus que ça. Celui d'un enfant qui dormirais bientôt pour toujours. Il sentit tout son corps se raidir, il y avait bien un enfant ici, a l'agonie...

Mais il avait toujours échoué avant...

Alors aujourd'hui?

Pour Marie il lui offrirait cette nouvelle vie.

Il ne perdit plus une seconde abandonnant les doutes derrière, cet enfant serait son pardon. Il se laissa glisser au pied de l'escalier, mordant a la fois ses propres veines et soutenant la tête du petit. Le sang perla, poison écarlate et délicatement brillant. Il le fit glisser entre les lèvres du petit colorant celle-ci de vermeille. Il était si petit et fragile.

-Faites que les anges nous le laisse...

-T'es complètement idiot, t,a toujours rien compris a rien hen, Marco?

Un autre comme eux, descendit en vitesse les escaliers, ses cheveux aussi rouge que se sang autour de lui créant au drôle d'effet. Il se jeta sur l,enfant pendant que son temps figeait, planta sa bouche dans sa nuque, lui volant qu'un filet de vie pendant qu'elle était encore chaude. Il s'essuya le coin de ses lèvres sur lesquels dansait un sourire d'ironie.

-... Celui que tu sauveras sera celui qui t'auras servis avant...Rien de plus simple idiot... Maintenant il ne sera jamais complètement comme nous


Déstabilisé, Marco resta échoué près de l,enfant, veillant patiemment a son changement. Caressant ses cheveux machinalement. Il ne mourrait pas... pas lui.

Même si cette vie étai profondément injuste, il recréerait une justice pour ce gamin aux yeux brillants comme le ciel. Il venait de lui arracher tout futur et toute mort. Ce corps resterait désormais a jamais le même. Pour toujours il garderait cette fragilité d'enfant de 12 ans, cette maigreur douce, ses grandes prunelles innocente sans malice, ses traits enfantin et cette peau cristalline.



~


Le temps avait depuis déjà 20 ans cesser de le changer. Que se soit de sa personnalité ou simplement de se corps.

Il se baladait dans cette nuit fraiche, sans lune, fredonnant de sa voix clair et violine d'enfant. Ses bottes crissait sur le froid de Londres, il traversa cette ruelle qui avait fait naître ses premiers souvenirs. Ses doigts longèrent le mur qui avait bercer ses prières et supporter ses crises, qui l,avait protéger e parfois blesser...

-I won't give up...

L'écriture était encore là, celle qu'il avait graver de sa propre force. Une journée avant son départ.

Des cris lui parvint d'une rue voisine. Cette déchirure dans le silence froid de la ville le fit sourire. Elle était bien rare l'action dans ses longues nuits. Il parvint a l,endroit en question, mais ceux qui avait commis tant de bruit avait prit la fuite. Le sang jonchait le sol, barbouillant la neige sale des trottoir. Au sol un homme reposait, en attente de celle qui bercerait ses rêves d'éternité. L'enfant s'allongea près de lui, face vers le ciel cette fois. Le froid traversa son petit corps, il frissonna de bonheur, fixant les étoiles.

-... Une petite sieste monsieur?

Il en avais perdu le fil, il n'avais absolument rien compris à tout cette douleur et tout ce sang. Maintenant qu'il avais froid ... qu'il avais perdu tout chaleur pour lui réchauffé le coeur il compris ... les cris de ces hommes qu'ils l'avais battus ... ces crie de haine, et tout ses coups de frustration. Il avais enfin découvert sont secret, mais sont bonheur à la fois. Les hommes de ce monde ne l'aimais pas ... ils ne les aimais pas non plus. Les hommes, avec le temps avais perdu leurs douceur avec le temps ... leurs innocence. Lui, c'est ce qu'il aimais ... la douceur .... d'un enfant. Les petit corps frêles, les grand regard remplis de joie, et parfois de larmes ... rien de méchant, jamais méchant ... leurs peau douces, leurs voix rassurante ... leurs confiance si rapidement gagnée. Mais dans ce monde, on ne peu pas aimer ce que l'on veux ... surtout quand nous en somme plus enfant.
L'homme fixa le ciel le souffle coupé par la douleur et le froid, il sentait à peine les doux flocons lui tombé sur ses joue taché de sang.
Puis soudant, il senti une présence ... une présence plus froide que jamais ... comme si quelqun était la ... sans vraiment l'être ...
Il voulu tourné la tête mais le mal lui en empêcha.
-... Une petite sieste monsieur?
Cette ironie le fit sourire légèrement puis quand le jeune homme vin se coucher à ses côté il vu très vite que ce n,était pas un homme d'âge mur ... sa voix, sa taille, seulement la présence lui fit sentir que ce n'était encore qu'un enfant ... un enfant ...
- Tu va rester avec ... moi ?

Pourquoi cette question ? Jamais personne n'était resté avec lui, ne tout sa foutu vie ... il était seul, car les enfants, finissent toujours par trouvé un foyer qui leurs conviens vraiment ...

-Ça ne sert plus à rien ... je veux mourir ... va t'en petit ... va t'en, ne dit pas personne que je suis la et laisse moi ... mourir ...

-Oh et toi tu crois que mourir est si facile, elle ne se donne pas au premier la mort, vous savez, il y en a qui sont fait pour souffrir pour toujours...

Il laissa ses doigts courir le long de la veste de l'homme. Ces yeux reflétait toute sa compréhension vis a vis l,humanité, cette chienne d'humanité. Il trouvait bien ironique qu'un homme, qui ne semblait pas encore avoir tout vu veuilles déjà dépérir et pourtant plsu rien n'était étonnant a ça, puisque lui-même a 12 ans avait fait le même voeux, voeux qui l'avait abandonné sur la berge de éternité. Ses doigts longs et fins, comme de petite griffe remontèrent jusqu'au visage, le dégageant de ces mèches folles. Il réprima sa surprise, mais son corps ne le put, il se redressa observant l,homme,s 'était impossible.

-Alors tout ça est de TA faute... et bien non monsieur, votre sentence est tombé, plus question de croire en la mort vous m,accompagnerez dans l'abysse puisque je suis le fantôme de cet enfant que vous avez conduit de vos propre main a l'enfer sur terre sachant pertinemment qu'il y brûlerait ses ailes...

Chaque mots fut cerner de geste, il s'état activer a se déshabiller, retirant son manteau et laissant glisser sa chemise pour faire découvrir a l'homme l'horreur dans laquelle il s'était blottit durant 8 années. 8 années de pures souffrances, ou il n,avait rien compris ni de sa vie ni celle du sens des autres, ces comme si ces 8 années l,avait aspiré, le vidant de toute haine et de tout jugement lui faisant comprendre que la vie n'était se qu'elle était et que l'homme état stupide. Il se tourna alors dos a l'homme lui présenta l'oeuvre de celui qui s'était si souvent prétendu être son créateur. La brulure courait sur son dos, longeant minutieusement sa colonne, s'étendant en une multitude de fine ligne encrer et brûler a sa chair. Réunis tout ce tracer faisait de lui un ange. Il laissa glisser son capuchon, laissant le vent s'engouffrer dans ses cheveux défaits. Son regard brilla de la lumière des réverbère dévoilant leurs couleur surnaturelle d'un rose éclatant rappelant l'aube. Son petit corps se rapprocha de celui de l'homme, ses lèvres effleurèrent son oreille, ses mots le pénétrèrent doucement,

-Je ne vous laisserez plsu repartir, vous serez mien... je ne veux plsu être tout seul et pour m,avoir conduit a la mort vous me devez bien câ, non?

Il se mordit la lèvre inférieur jusqu'à se que le sang la tache puis délicatement déposa le sang qui perlait sur sa bouche sur celle de l'homme mêlant son sang a sa salive et a ses lèvres faisant dons de ce précieux poison qui se déversait dans ses veines, a L,homme.

-Ne mourrez pas...s'il vous plait.

L'homme le fixa un moment ... le jeune homme était maintenant torse nus devant lui ... lui montrant tout ses blessures et les mettant tout sur sa faute. Qu'avais t'il pu bien faire pour avoir, encore une fois tout cette douleurs qu'un enfant pouvais avoir, sur le dos ...
Il regarda les ailes tracé sur le corps de l'enfant puis un frisson lui parcouru la colonne...
L'odeur du pain frais lui revins en tête ... la petit main de l'enfant ... la ruelle ... ses yeux ... il les auras reconnus parmi tant d'autres ...
Mais il n'écoutait plus, ses pensée étaient floue ...puis il le senti s'approcher, ses lèvres contre les siennes il goûtât le sang âcre à en trouvé le goût horrible jus qu’as l’apprécier ... et en vouloir encore ...
Cette douleurs, cette souffrance, il se sentait disparaître ... mourir de l'intérieur, jamais il aurais penser que mourir était si douloureux ...
sont corp se remplis de spasmes puis il porta ses bras à sont ventre pour se recroqueviller sur lui même ... il ne pu s'empêcher de crier et de pleurer ... c,était horrible, que c'était t'il donc passer ... ce baiser était t'il poison ?
Sont crâne voulais exploser.

Puis soudain plus rien .... que le silence de cette nuit horriblement froide ... même ses anciennes blessures ne lui fessais plus mal ... il ne sentait plus rien ... seul le goût du sang était rester ... ce goût merveilleux et délectable ...
Il ouvris les yeux, puis se redressa rapidement s’assis dans la neige puis regarda autour de lui ... plus rien n'était pareille ... mais qu'est-ce-qui était différent ? Il n'aurais sus le dire ...
Il remarquas tout de suite que le sang sur sa chemise blanche avais disparut, portant une main à sont front sans sentir ses blessures ...
Il posa alors le bout de sa langue sur ses dents découvrant avec frayeurs ses deux canines aiguisées ...
L'homme se releva rapidement debout, et replaça sont manteau, sont regard violacé l'était plus qu'avant, sont visage était devenu parfait, sa peau lisses et ses grand cheveux plus doux et plus soyeux que jamais, ses reflets cuivrés miroitaient avec la lumière de la lune ...
-Qu'est-ce-que ... ?

Il observa la douleur sans jamais lui détourner les yeux, il assista a la scène sans vaciller, a peine perturbé des cris horribles que lançait l'homme. La souffrance, il avait passé son enfance blottit contre elle, pourquoi vouloir la fuir maintenant? Le mal était déjà fait, un mal qu'il ne ressentirais plsu jamais, car il l,aimais. Pour lui ses cris n'était que frisson. Ces comme si a chaque souffle ils le transportaient, faisant battre son corps violemment. Il les ressentaient dans son âme, sentait sa morsure pleine de poison qui L,engourdissait, amplifiant le bourdonnement de sa tête, il voyait rouge, du sang,encore et toujours se sang. La pression redescendit enfin quand le souffle de l'homme fut coupé, il se sentit soudain vide, comme abrutis de toute cette sensation bizarre qu'il avait eu. Il en aurait voulu plus, plus de cette souffrance, de ces cris déchirant le voile du silence,plus de larme et de sang. Plus de se plaisir malsain...

-Dommage... vous avez fait â vite alors... Et bien vous mon cher, vous serez celui qui accompagnera désormais toute mes nuits.

Il poussa doucement l'homme dans la neige, s'agenouillant sur lui, glissant une jambe entre les siennes, avança son visage près du sien. Leur souffle se mêlèrent dans un nuage de bué. Il lécha doucement le sang qui perlait encore au coin des lèvres de l'homme.

-Délicieux... <3

Sont souffle se recoupas à nouveau ... il ne comprenais rien ...
Quand le jeune homme le repoussa dans la neige et s'installa sur lui en glissant doucement sa petite jambe entre les siennes, il posa doucement ses mains autour de la fine taille de l'enfant vampirique ...
Quand celui ci lécha le coin de ses lèvres avec un air satisfait et qu'il sentis de l'envie ... il compris que lui non plus n'était plus humain ... que cet enfant l'avais changer à jamais ... et qu'il verras pas l'aube ce matin et ne la verras plus jamais ...
Il fixa le jeune homme dans les yeux un moment ... si tout était réel ... c,était vraiment avec cet enfant qu'il allais passer le reste de ses jours ...
Un frisson lui parcourut le corps puis il fit un mince sourire ... Si cette "vie" lui avais été donner ... c'est surement ce qu'il avais mériter ...
Ce jeune homme il voulais le garder contre lui ... à jamais, il le voulais ... oh oui ...
Sont coeur battais la chamade et ses mains tremblaient doucement ...
- Je crois, que je n'ai guère le choix de vous suivre de tout manière. Il me feras un plaisir, de vous accompagner alors ...
Il ne savais pas à quoi s'attendre ... si cette vie allais être dur ou simplement magnifique, s'il allais se plaire, ou souffrir ... mais de tout façon ... même s'il aurais voulu revenir en arrière ... il était trop tard ...

-Alors vous êtes près a me suivre...et puis au fond que vous le désirez ou non, vous devrez me suivre, monsieur, puisque vous ne pourrez obtenir le vérité seul et il n'y a que moi ici qui la connaisse...

Il posa ses lèvres sur l,oreille de l'homme, la mordillant légèrement, taquinant cette peau douce et claire, lui murmurant cette vérité si horrible et si délectable a la fois. L'immortalité, la vrai, il lui en avait fait cadeau. Cadeau d'une souffrance peut-être éternelle.

-Vous seul, maintenant est disposé a faire de votre temps un calvaire ou l'inverse, vous êtes désormais le maître de tout ce que vous voudrez, car la nuit les règles n'existent plus...

Il pris une grande respiration, les frissons de désire lui parcourais le corps en entier ... Il voulais cet enfant plus que tout au monde, puisque maintenant, sa vie reprenais un nouveau départ, et que plus jamais il n'allais vivre comme avant, sont seul but était cet enfant, toucher ton corps, gagner sa confiance, et l'aimer pour toujours ... car toujours avais maintenant un sens pour lui ...
- Tant que tu reste avec moi, ma vie ne seras pas un calvaire ...
Il colla l'enfant sur lui en lui caressant doucement le dos, ses envie et ses pulsions n'était pas partie ...
L'homme lui caressa doucement le visage de sa main droite toujours en le fixant dans les yeux ... il déposa un léger baiser sur les lèvres rouge le l'enfant ...
-Nous n’avons pas encore fait connaissance ... Je me nomme Envy ... Et, toi ?

Cette douceur fit naître en lui un doute, une crainte, comme si elle venait de réveiller un vide qu'il n,avait jamais chercher a combler. mais qu'était-il? Pourquoi cette sensation de manque étrange s'imposait maintenant a lui. Pourquoi se mal l'escaladait-il ainsi? Il ne put détacher ses yeux de l'homme, il était comme aspiré par se charme étrange qu'était l'impression qu'il lui donnait, cette impression d'être enfin aimé... Ce vide qu'on lui avait créer, une nuit d'hiver ou tout avait basculer, entre feux et sang, mensonge et destin. Le destin s'était foutu de lui et L,avait laissé au pied d'un mur qu'il ne pourrait plsu jamais escalader, jamais il ne trouverait se repos, pour avoir eu droit a sa seconde chance il avait du renoncer a toute issu. Il ne pouvait plus mourir. Et dans cette double vie, jamais un tel sentiment lui avait été offert, cette folie douce qui berce les coeurs lui manquait, cette envie sauvage d'aimer,d 'être prêt a tout pour plaire. A cet instant froid, ou la neige donnait le rythme, il se serait même mis a genoux pour plaire a cet homme et qu'il lui offre encore un peu de ce baume étrange qui endormait ses propres malices.

-Encore...

Il ne voulait rien savoir de son nom, pour lui, son nom ne serait nul autre qu'existence. Il eu enfin l'impression de vivre après toute ses années. Il était vivant dans les yeux de quelqu'un. Cet homme serait son existence.

-Encore un... s'il vous plait...

Il voulait lui appartenir, que plsu jamais leur main ne se sépare. Que leur souffle ne face qu'un pour qu'il n,est plus a porté seul se fardeau de n'être qu'un enfant et de ne plus jamais pouvoir avoir la chance de comprendre. Car son corps avait arrêter autant que son âme, jamais il ne pourrait comprendre les choses comme un adulte . A jamais il serait un enfant prit d'un corps immortelle.

-Encore un... s'il vous plait...
Encore un baiser ? ... Il fit un larme sourire, mais cette fois, ne senti pas cette attirance comme une simple attirance pour un enfant ...
Sont jeux s’arrêtât la, au moment ou le deuxième baiser fut donner ... Un baiser long et remplis de passion qu'il n'avais jamais encore donner, les lèvres de l'enfant, cette douceur, ce goût délicieux, il en voulais plus encore. Plus jamais il ne toucherais quelqu’un d'autre que cet enfant au regard de braise il ne désirais que lui et rien de plus ...
Il continua de caressa le corps du jeune homme en l'embrassant tendrement dans le coups, il l'aimais comme s'il l'avais toujours connus, et lui ferais l'amour comme s'Il l'avais toujours aimer, il voulais sentir sont corps nus contre le siens ... sa peau était si froide mais il n'en portait aucune attention car la sienne l'état autant..
- Jamais je te lâcherais ... jamais ...
L'homme passa ses main sur les fesses du jeune vampire puis fini par le tourné coucher au sol et embarquer à quatre pattes par dessus lui ... caressant le torse du jeune garçon du bout des doigts ...
-Aime-moi ... Aime-moi ...

-Oui...autant que vous le voudrez... ne ... me... laissez pas.

Il ne comprenait ou allait ses gestes, mais il ne cherchait pas de réponse non plus. Sa tête était prise de brume, il ne voyait plus de phare sauf lui. Il était devenu sa seule lumière et il aurait tout fait pour l,atteindre même certaine chose qu'Il ne pouvait comprendre a cet âge.

Il continua de caresser le corps de l'enfant qui était déjà torse nus dans la neige ... mais lui, il n'avais pas froid, et le jeune homme n'avais pas l'air de sen plaindre ...
Alors il retira sa propre chemise et parcourut le corps de l'enfant avec ses lèvres ... le couvant de baiser, il lui retira sont pantalons et ses sous vêtements ... et pris doucement dans ses bras pour ne plus que la neige colle sur la petit peau douce et le berça doucement, assis au sol, l'enfant nus dans ses bras ... sont corps doux, le petit battement de sont coeur ....
Il l'embrassa tendrement sur les lèvres, lécha doucement ses lèvres en lui caressant la nuque du bout des doigt, il n'iras pas plus loin cette nuit ... car il éprouvais pour cet enfant, le plus grand des respect ... Il était si bien ... et auras voulu rester comme ça tout sa vie ... sont petit corps frêle collé contre le sien ... tout était parfait ...

Il se laissa déshabiller, prendre et bercer. Il n'était plsu q'un simple enfant. Entre les bras de cet homme il eu le réconfort qu'il N,eu jamais eu, cette sensation douce et a la fois brûlante qu'était L,amour. Il se sentait si petit, si fragile, malgré se pouvoir infini qui parcourait ces veines a chaque instant, pourtant, là et maintenant il se sentait humain, faible et frêle, la moindre secousse émotive aurait pu le consumé. Mai cet homme qui le berçait, n,avait-il pas enfin trouver le remède a tout ce mal-être. Il serait lui-même se qui penserait ses blessures. Blessure d'une guerre froide qui fut l'enfance d'un être abandonné au conffeint de l'univers n'ayant que pour arme cette carapace dure et illusionniste qu'est cette force que nous avons de vouloir survivre. Il n'avait eu que ça et se ne fu que ça qui dirigea sa vie, mais plus maintenant, l'amour venait de le délivrer de cette vie qu'il n,avait pas vraiment vécu. Jusuqu'a maintenant tout n,avait été qu,action flou sans attache... il s'attacherait cette fois,a la vie a la mort comme si une corde le retenait par le cou menacant de se tendre d'une seconde a l'aute s'il faisait un faux pas. Il était près a vendre son éternité pour cet amour...

-Gardez moi avec vous... pour toujours... je vous en prit...

Sa jou effleura le torse, pendant que ses lèvres le baisait doucement, il était entre le sommeil et le rêve, perdu dans un songe qui laisserait tomber au plsu profond des abysses, mais encore cette fois, il N,en avait rien a faire pouvu qu'il puisse connaître se verbe qu'est aimer.

- Je te garde avec moi promis ...
Il continua de toucher sont petit corps sentant que l,enfant était bien contre lui, ils avaient créer un lien si fort et il ne voulais pas le perdre. L'homme se leva ... laissant la chemise et el manteau du jeune homme au sol ... il n'y pensais plus ... il ne pensais plus à rien d'autre que cet enfant sans âme qu'il tenais dans ses bras forts et qu'il ne lâcherais jamais ...
Il commença à marcher dans la nuit profonde et sombre et fit un sourire à al pénombre qui allais maintenant faire partis de sa vie en entier car il ne verrais plus jamais la lumière pure et vrai ... mais le soleil et le jour l'importait peu maintenant que cet enfant l'avais trouvé il ne voulais plus rien savoir de cette clarté si c,était pour trouvé le bonheur dans le côté obscure et dans le néant, il n'avais plus peur ... il était bien, calme ... l'enfant dans ses bras, il se laissa guider au travers des ruelles vide et silencieuse, le bruit au loin étouffer par la neige ... la nuit semblais éternelle...

-Il est imprudent de partir sans savoir ou aller vous savez...

L'enfant avez laisser le temps s'écouler doucement oubliant le passé et son présent ne pensant qu'a cet homme comme étant son propre futur, mais s'il voulait atteindre se futur qu'il désirait tant il se devait de les conduire en sécurité. Le soleil avait été, dans cette enfance ou il vivait, L,astre qui avait guidé chacun de ses pas et de ses chutes surtout, mais étant a ce jour bel et bien mort, il se devait de le renier par peur de voir son corps se détruire. Cette perfection n'était au fond qu'une belle illusion.

-Tournez a droite sur la prochaine rue je vous pris... Vous continuerez jusqu'au bout du champs, le manoir tout au fond... allez dedans... des amis a moi nous y attendent...

Il frotta encore un peu sa joue contre l'homme.. cherchant se réconfort qui lui avait tant manqué, puis glissa entre ses lèvres son pouce, question de bien se rendormir. Les autres feraient le reste.

Ses pas étaient lents, il n'était pas presser et ne voulais pas lâcher l'enfant tout de suite ... il était trop bien ...
Il suivi les directives du petit vampire et fini par atterire sur la grande rue qui menais au manoir. L'enfant c'était endormis ... tout était si silencieux ...
Il était si bien, mais pourquoi ? Quesqui venais de changer tout à coups si vite ... sa tête se bousculais de question ... il avais l'impression de êver, mais ce rêve était si merveilleux qu'il n'avais même pas peur, et ne portait pas attention à tout les questions possibles ...

Envy fini par arrivé à l'entré su Manoir ... il fixa la grande porte de bois sombre puis cognas à la porte d'un geste rapide ... sont coeur battais vite, y avais t'il donc d'autre vampires ? ... Des gens comme eux ? ... et, il allais maintenant vivre ... avec eux ? C'était incroyable ...

-x-
Jean-Marie entra dans la pièce ou était installer sont meilleur amis, il s'assoya à la table devant lui et le fixa un moment.
-Tu as vu ou était parti Jay toi ?
Sont regard semblais inquiet, en fait il l'était toujours, inquiet pour ce petit être encore innocent devant l'obscurité ...